Centre de Documentation Campus Montignies
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Equilibre alimentaire et développement de l’enfant / Liliane Mata in Métiers de la petite enfance, 245 (Mai 2017)
[article]
Titre : Equilibre alimentaire et développement de l’enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Liliane Mata, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : 14-17 Langues : Français (fre) Mots-clés : ALIMENTATION EQUILIBRE NUTRITION PLAISIR REPAS Résumé :
L’alimentation de l’enfant est capitale pour son développement et sa santé. Équilibre, goûts et éducation se mêlent pour accompagner le tout-petit dans ses découvertes. Quelques règles sont à respecter pour que cet apprentissage reste une occasion de plaisir partagé pour lui comme pour l’adulte.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=49320
in Métiers de la petite enfance > 245 (Mai 2017) . - 14-17[article] Equilibre alimentaire et développement de l’enfant [texte imprimé] / Liliane Mata, Auteur . - 2017 . - 14-17.
Langues : Français (fre)
in Métiers de la petite enfance > 245 (Mai 2017) . - 14-17
Mots-clés : ALIMENTATION EQUILIBRE NUTRITION PLAISIR REPAS Résumé :
L’alimentation de l’enfant est capitale pour son développement et sa santé. Équilibre, goûts et éducation se mêlent pour accompagner le tout-petit dans ses découvertes. Quelques règles sont à respecter pour que cet apprentissage reste une occasion de plaisir partagé pour lui comme pour l’adulte.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=49320 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtContrôle de l'équilibre postural lors de l'initiation de la marche avec enjambement d'obstacles de hauteur et de distance changeantes / Eric Yiou in Kinésithérapie scientifique, 621 (Juin 2020)
[article]
Titre : Contrôle de l'équilibre postural lors de l'initiation de la marche avec enjambement d'obstacles de hauteur et de distance changeantes Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Yiou, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 5-12 Langues : Français (fre) Mots-clés : controle postural equilibre Résumé : Le contrôle de l’équilibre postural est une exigence capitale qui sous-tend l’exécution de toutes nos actions motrices. Comme toutes les espèces terrestres, l’être humain se déplace dans un environnement gravitaire qui l’attire en permanence vers le sol, perturbant ainsi continuellement son équilibre.
Le mouvement lui-même, de par les forces internes et les modifications de la géométrie corporelle qu’il induit, constitue également une source de perturbation de l’équilibre. L’altération de ce contrôle, avec l’avancée en âge ou certains types de pathologies du système sensorimoteur (par exemple lors de la maladie de Parkinson), a pour corollaire une augmentation du risque de survenue de chutes avec ses conséquences morbides bien connues. Une des questions majeures du domaine scientifique du contrôle moteur est de savoir comment le système nerveux central (SNC) parvient à contrôler cet équilibre malgré les différentes sources de perturbations, endogènes et exogènes, inhérentes à la production du mouvement.
Connaître les mécanismes de contrôle de l’équilibre chez le sujet sain et leurs disfonctionnements chez le sujet pathologique, constitue également un enjeu important pour le clinicien qui pourra ainsi mieux cibler, voire individualiser, ses protocoles d’interventions, et éventuellement quantifier l’effet de ceux-ci par le biais d’outils expérimentaux d’analyse du mouvement (e.g. accéléromètres, goniomètres, électromyographie, etc.).
L’initiation de la marche est une tâche locomotrice fonctionnelle qui constitue un modèle expérimental classique permettant d’étudier les mécanismes de contrôle de l’équilibre chez le sujet sain et le sujet pathologique [1]. L’initiation de la marche correspond à la phase transitoire entre deux états stables, celui du maintien de la posture statique et celui de la marche stationnaire [2]. Afin de mieux appréhender les mécanismes de contrôle de l’équilibre lors de cette tâche, un bref rappel de biomécanique s’avère nécessaire.
Lorsque le sujet est en posture initiale statique, le centre des masses et le centre des pressions (correspondant au barycentre des forces de réaction verticales) sont positionnés sur la même ligne verticale (correspondant à la verticale gravitaire). Lorsque le pied de départ (ou pied « oscillant ») quitte le sol pour initier la marche, la taille de la surface de sustentation (correspondant à la surface délimitée par les appuis podaux) se trouve alors drastiquement réduite selon la direction médio-latérale, le sujet passant d’un appui bipodal à un appui unipodal. Si le centre des masses n’est pas repositionné au-dessus de la nouvelle surface de sustentation (correspondant à la surface délimitée par le seul pied d’appui), celui-ci aura tendance à tomber latéralement vers la jambe oscillante et ce, de façon quasi « balistique ». Plus la distance latérale entre le centre des masses et le centre des pressions sera importante au moment du décollement du pied, plus le « couple de déséquilibre » à cet instant sera grand, et plus cette chute latérale sera difficile à freiner après le poser du pied au sol. On sait aujourd’hui que cette chute latérale est automatiquement minimisée avant même que le sujet ne décolle le pied du sol et donc que la perturbation ne soit opérante, grâce au développement de phénomènes posturo-dynamiques connus sous le terme d’« ajustements posturaux anticipateurs » (APA) [1,3,4].
Selon la direction médio-latérale (direction à laquelle je restreindrai mon exposé), ces APA se caractérisent par un déplacement du centre des pressions vers la future jambe oscillante. Celui-ci débute quelques centaines de millisecondes avant le décollement du pied. Ce déplacement anticipateur du centre des pressions va avoir pour effet d’accélérer le centre des masses en direction opposée, i.e. vers la future jambe d’appui, et ainsi de réduire la distance entre le centre des masses et le centre des pressions au moment du décollement du pied. Le couple de déséquilibre à cet instant sera donc réduit, et la chute latérale du centre des masses au cours de l’exécution du pas minimisée. Le sujet aura ainsi assuré une progression plus stable du corps.
Sans rentrer dans le détail, il a été montré que ce déplacement anticipateur du centre des pressions est induit par une synergie articulaire et musculaire complexe, mobilisant bilatéralement les muscles de la cheville, du genou et de la hanche [1,5]. Une restriction de mobilité, chronique ou aiguë, de l’une ou de plusieurs de ces articulations ou une altération de l’efficacité mécanique d’un ou de plusieurs des muscles croisant ces articulations, va donc altérer le développement de ces APA [6,7] ; ceci pouvant potentiellement être à l’origine de la survenue d’une chute latérale. La littérature atteste d’ailleurs que les chutes latérales sont particulièrement fréquentes et dommageables chez la personne âgée, car le plus souvent associées à des fractures de hanche [8]Une fois cette fonction stabilisatrice des APA bien identifiée, la question se pose de son adaptabilité aux différentes contraintes pouvant être imposées au système postural [9]. Comme on peut aisément l’imaginer au regard de nos activités motrices quotidiennes, ces contraintes peuvent être multiples (fatigue, douleur, hypomobilité articulaire, port de charge, etc.). Dans le cadre de cet article, nous nous sommes posés la question de l’adaptabilité des APA associés à l’initiation de la marche face à une contrainte environnementale usuelle, à savoir la présence d’un obstacle de hauteur et de distance changeantes à enjamber. Étant donné l’importance du maintien de l’équilibre, nous faisons l’hypothèse que le système nerveux central (SNC) est capable d’adapter les caractéristiques spatio-temporelles des APA aux contraintes environnementales imposées (hauteur et distance de l’obstacle) de façon à assurer une progression stable du corps.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=87167
in Kinésithérapie scientifique > 621 (Juin 2020) . - p. 5-12[article] Contrôle de l'équilibre postural lors de l'initiation de la marche avec enjambement d'obstacles de hauteur et de distance changeantes [texte imprimé] / Eric Yiou, Auteur ; et al., Auteur . - 2020 . - p. 5-12.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 621 (Juin 2020) . - p. 5-12
Mots-clés : controle postural equilibre Résumé : Le contrôle de l’équilibre postural est une exigence capitale qui sous-tend l’exécution de toutes nos actions motrices. Comme toutes les espèces terrestres, l’être humain se déplace dans un environnement gravitaire qui l’attire en permanence vers le sol, perturbant ainsi continuellement son équilibre.
Le mouvement lui-même, de par les forces internes et les modifications de la géométrie corporelle qu’il induit, constitue également une source de perturbation de l’équilibre. L’altération de ce contrôle, avec l’avancée en âge ou certains types de pathologies du système sensorimoteur (par exemple lors de la maladie de Parkinson), a pour corollaire une augmentation du risque de survenue de chutes avec ses conséquences morbides bien connues. Une des questions majeures du domaine scientifique du contrôle moteur est de savoir comment le système nerveux central (SNC) parvient à contrôler cet équilibre malgré les différentes sources de perturbations, endogènes et exogènes, inhérentes à la production du mouvement.
Connaître les mécanismes de contrôle de l’équilibre chez le sujet sain et leurs disfonctionnements chez le sujet pathologique, constitue également un enjeu important pour le clinicien qui pourra ainsi mieux cibler, voire individualiser, ses protocoles d’interventions, et éventuellement quantifier l’effet de ceux-ci par le biais d’outils expérimentaux d’analyse du mouvement (e.g. accéléromètres, goniomètres, électromyographie, etc.).
L’initiation de la marche est une tâche locomotrice fonctionnelle qui constitue un modèle expérimental classique permettant d’étudier les mécanismes de contrôle de l’équilibre chez le sujet sain et le sujet pathologique [1]. L’initiation de la marche correspond à la phase transitoire entre deux états stables, celui du maintien de la posture statique et celui de la marche stationnaire [2]. Afin de mieux appréhender les mécanismes de contrôle de l’équilibre lors de cette tâche, un bref rappel de biomécanique s’avère nécessaire.
Lorsque le sujet est en posture initiale statique, le centre des masses et le centre des pressions (correspondant au barycentre des forces de réaction verticales) sont positionnés sur la même ligne verticale (correspondant à la verticale gravitaire). Lorsque le pied de départ (ou pied « oscillant ») quitte le sol pour initier la marche, la taille de la surface de sustentation (correspondant à la surface délimitée par les appuis podaux) se trouve alors drastiquement réduite selon la direction médio-latérale, le sujet passant d’un appui bipodal à un appui unipodal. Si le centre des masses n’est pas repositionné au-dessus de la nouvelle surface de sustentation (correspondant à la surface délimitée par le seul pied d’appui), celui-ci aura tendance à tomber latéralement vers la jambe oscillante et ce, de façon quasi « balistique ». Plus la distance latérale entre le centre des masses et le centre des pressions sera importante au moment du décollement du pied, plus le « couple de déséquilibre » à cet instant sera grand, et plus cette chute latérale sera difficile à freiner après le poser du pied au sol. On sait aujourd’hui que cette chute latérale est automatiquement minimisée avant même que le sujet ne décolle le pied du sol et donc que la perturbation ne soit opérante, grâce au développement de phénomènes posturo-dynamiques connus sous le terme d’« ajustements posturaux anticipateurs » (APA) [1,3,4].
Selon la direction médio-latérale (direction à laquelle je restreindrai mon exposé), ces APA se caractérisent par un déplacement du centre des pressions vers la future jambe oscillante. Celui-ci débute quelques centaines de millisecondes avant le décollement du pied. Ce déplacement anticipateur du centre des pressions va avoir pour effet d’accélérer le centre des masses en direction opposée, i.e. vers la future jambe d’appui, et ainsi de réduire la distance entre le centre des masses et le centre des pressions au moment du décollement du pied. Le couple de déséquilibre à cet instant sera donc réduit, et la chute latérale du centre des masses au cours de l’exécution du pas minimisée. Le sujet aura ainsi assuré une progression plus stable du corps.
Sans rentrer dans le détail, il a été montré que ce déplacement anticipateur du centre des pressions est induit par une synergie articulaire et musculaire complexe, mobilisant bilatéralement les muscles de la cheville, du genou et de la hanche [1,5]. Une restriction de mobilité, chronique ou aiguë, de l’une ou de plusieurs de ces articulations ou une altération de l’efficacité mécanique d’un ou de plusieurs des muscles croisant ces articulations, va donc altérer le développement de ces APA [6,7] ; ceci pouvant potentiellement être à l’origine de la survenue d’une chute latérale. La littérature atteste d’ailleurs que les chutes latérales sont particulièrement fréquentes et dommageables chez la personne âgée, car le plus souvent associées à des fractures de hanche [8]Une fois cette fonction stabilisatrice des APA bien identifiée, la question se pose de son adaptabilité aux différentes contraintes pouvant être imposées au système postural [9]. Comme on peut aisément l’imaginer au regard de nos activités motrices quotidiennes, ces contraintes peuvent être multiples (fatigue, douleur, hypomobilité articulaire, port de charge, etc.). Dans le cadre de cet article, nous nous sommes posés la question de l’adaptabilité des APA associés à l’initiation de la marche face à une contrainte environnementale usuelle, à savoir la présence d’un obstacle de hauteur et de distance changeantes à enjamber. Étant donné l’importance du maintien de l’équilibre, nous faisons l’hypothèse que le système nerveux central (SNC) est capable d’adapter les caractéristiques spatio-temporelles des APA aux contraintes environnementales imposées (hauteur et distance de l’obstacle) de façon à assurer une progression stable du corps.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=87167 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtL'équilibre, où en êtes-vous? / B. TAVERNIER in Soins gérontologie, 32 (décembre 2001)
[article]
Titre : L'équilibre, où en êtes-vous? Type de document : texte imprimé Auteurs : B. TAVERNIER, Auteur Année de publication : 2001 Article en page(s) : pp. 38-41 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERSONNE AGEE EQUILIBRE CHUTE PREVENTION Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=11202
in Soins gérontologie > 32 (décembre 2001) . - pp. 38-41[article] L'équilibre, où en êtes-vous? [texte imprimé] / B. TAVERNIER, Auteur . - 2001 . - pp. 38-41.
Langues : Français (fre)
in Soins gérontologie > 32 (décembre 2001) . - pp. 38-41
Mots-clés : PERSONNE AGEE EQUILIBRE CHUTE PREVENTION Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=11202 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtForce, équilibre, mobilité et fonction des femmes âgées avec incontinence urinaire: une revue de la littérature / Mélanie Le Berre in Kinésithérapie, la revue, 226 (Oktobre 2020)
[article]
Titre : Force, équilibre, mobilité et fonction des femmes âgées avec incontinence urinaire: une revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : Mélanie Le Berre ; Chantale Dumoulin Année de publication : 2020 Article en page(s) : p . 3-20 Langues : Français (fre) Mots-clés : Incontinence urinaire Sujet âgé equilibre Force musculaire équilibre incontinence urinaire sujet âgé Résumé : L’association entre l’incontinence urinaire (IU) d’urgenturie (IUU) ou mixte (IUM) et les chutes est bien établie dans la littérature. Plusieurs auteurs ont émis des hypothèses pour expliquer ce lien. Parmi ces hypothèses, les facteurs psychomoteurs associés à un risque de chute accru chez les femmes âgées avec IUU ou IUM seraient particulièrement pertinents pour la kinésithérapie visant la population gériatrique. Nous avons réalisé un examen de la portée afin de cartographier les différents facteurs psychomoteurs évalués chez les femmes âgées qui présentent de l’IU. Nous avons mené une recherche à travers les bases de données Medline, Embase et CINAHL. Au total, 17 articles, publiés entre 1995 et janvier 2019, ont été sélectionnés. La littérature suggère que les femmes âgées avec IU, particulièrement celles avec IUU/IUM et celles avec des symptômes plus sévères, présentent une diminution de force musculaire fonctionnelle des membres inférieurs, de l’équilibre, de la mobilité et de la fonction. Ainsi, les femmes qui consultent en kinésithérapie concernant des symptômes d’IU auraient avantage à être également investiguées au niveau psychomoteur dans un souci de prévention des chutes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89606
in Kinésithérapie, la revue > 226 (Oktobre 2020) . - p . 3-20[article] Force, équilibre, mobilité et fonction des femmes âgées avec incontinence urinaire: une revue de la littérature [texte imprimé] / Mélanie Le Berre ; Chantale Dumoulin . - 2020 . - p . 3-20.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 226 (Oktobre 2020) . - p . 3-20
Mots-clés : Incontinence urinaire Sujet âgé equilibre Force musculaire équilibre incontinence urinaire sujet âgé Résumé : L’association entre l’incontinence urinaire (IU) d’urgenturie (IUU) ou mixte (IUM) et les chutes est bien établie dans la littérature. Plusieurs auteurs ont émis des hypothèses pour expliquer ce lien. Parmi ces hypothèses, les facteurs psychomoteurs associés à un risque de chute accru chez les femmes âgées avec IUU ou IUM seraient particulièrement pertinents pour la kinésithérapie visant la population gériatrique. Nous avons réalisé un examen de la portée afin de cartographier les différents facteurs psychomoteurs évalués chez les femmes âgées qui présentent de l’IU. Nous avons mené une recherche à travers les bases de données Medline, Embase et CINAHL. Au total, 17 articles, publiés entre 1995 et janvier 2019, ont été sélectionnés. La littérature suggère que les femmes âgées avec IU, particulièrement celles avec IUU/IUM et celles avec des symptômes plus sévères, présentent une diminution de force musculaire fonctionnelle des membres inférieurs, de l’équilibre, de la mobilité et de la fonction. Ainsi, les femmes qui consultent en kinésithérapie concernant des symptômes d’IU auraient avantage à être également investiguées au niveau psychomoteur dans un souci de prévention des chutes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89606 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPosture et équilibre : de la sensorialité à la motricité, tout un processus d'intégration corticale / Serge Mesure in Kinésithérapie scientifique, 596 (Mars 2018)
[article]
Titre : Posture et équilibre : de la sensorialité à la motricité, tout un processus d'intégration corticale Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Mesure Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 15-24 Langues : Français (fre) Mots-clés : SENSORI - MOTRICITE PROPRIOCEPTION STRATEGIE POSTURE EQUILIBRE Résumé : L'augmentation du temps de loisir, l'innovation constante des activités quotidiennes, des activités sportives sont sous la dépendance d'une activité de base qu'il est possible désormais de comprendre, d'éduquer, de rééduquer et d'entraîner : la posture.
L'empirisme du mouvement et de la réalisation technique, font place progressivement à des méthodes plus rationnelles, physiologiques et physiques, orientées sur une connaissance plus précise et plus appropriée à chaque geste. Cette posture, cette attitude posturale de référence ou ses composantes, intègre des notions aussi variées que neurophysiologiques (intégration du tonus, activité électromyographique, réflexes myotatiques, informations sensorielles...) , que biomécaniques (composantes des forces, de leurs applications, des bras de leviers, de la pesanteur...) , que psychosomatiques et relationnelles (représentation de soi vis-à-vis d'autrui, expression corporelle, moyen d'expression...).
La coordination des différents espaces à l'intérieur desquels nos activités prennent place (égocentré et exocentré) nécessite la constitution d'une référence qui ne peut se concevoir sans l'interdépendance de systèmes tels que la sensorialité et la motricité. Ces deux systèmes sont de ce fait inséparables quant à une bonne et correcte construction et organisation de l'individu.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56252
in Kinésithérapie scientifique > 596 (Mars 2018) . - p. 15-24[article] Posture et équilibre : de la sensorialité à la motricité, tout un processus d'intégration corticale [texte imprimé] / Serge Mesure . - 2018 . - p. 15-24.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 596 (Mars 2018) . - p. 15-24
Mots-clés : SENSORI - MOTRICITE PROPRIOCEPTION STRATEGIE POSTURE EQUILIBRE Résumé : L'augmentation du temps de loisir, l'innovation constante des activités quotidiennes, des activités sportives sont sous la dépendance d'une activité de base qu'il est possible désormais de comprendre, d'éduquer, de rééduquer et d'entraîner : la posture.
L'empirisme du mouvement et de la réalisation technique, font place progressivement à des méthodes plus rationnelles, physiologiques et physiques, orientées sur une connaissance plus précise et plus appropriée à chaque geste. Cette posture, cette attitude posturale de référence ou ses composantes, intègre des notions aussi variées que neurophysiologiques (intégration du tonus, activité électromyographique, réflexes myotatiques, informations sensorielles...) , que biomécaniques (composantes des forces, de leurs applications, des bras de leviers, de la pesanteur...) , que psychosomatiques et relationnelles (représentation de soi vis-à-vis d'autrui, expression corporelle, moyen d'expression...).
La coordination des différents espaces à l'intérieur desquels nos activités prennent place (égocentré et exocentré) nécessite la constitution d'une référence qui ne peut se concevoir sans l'interdépendance de systèmes tels que la sensorialité et la motricité. Ces deux systèmes sont de ce fait inséparables quant à une bonne et correcte construction et organisation de l'individu.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56252 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtRééducation de l'équilibre et prévention de la chute chez la personne âgée / M.C. SOUDE in Soins gérontologie, 23 (mai/juin 2000)
PermalinkTroubles de l'équilibre du sujet âgé in Revue du praticien, 61/6 (juin 2011)
PermalinkComment ne pas perdre pied : travailler l'équilibre avec la Wii! in Kinésithérapie, la revue, 114 (Juin 2011)
PermalinkL’équilibre et l’ajustement du temps pour le travailleur social en service de santé mentale. / Meggy Matheys
PermalinkEvaluation de l'équilibre et de la marche selon TINETTI
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