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3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Relations infirmier-patient / éthique'
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La thérapeutique au coeur de la relation. Pour une phénoménologie du soin / Jean Vion-Dury in La revue de gériatrie, Vol. 37, n° 4 (Avril 2012)
[article]
Titre : La thérapeutique au coeur de la relation. Pour une phénoménologie du soin Type de document : document graphique à deux dimensions Auteurs : Jean Vion-Dury, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 273-278 Mots-clés : Levinas, Emmanuel (Philosophe français, 1906-1995) Heidegger, Martin (philosophe allemand, 1889-1976) Soins aux patients /Sujet âgé Éthique Empathie Relations infirmier-patient /Sujet âgé Relations infirmier-patient / éthique Résumé : Ce texte propose une réflexion d?inspiration phénoménologique sur le soin. En posant la question de ce qu?engage la com-passion, c?est-à-dire le fait d?être affecté par la souffrance de l?autre, on est amené à mieux analyser l?attitude éthique qui découle de cette mise en danger, à la fois dans son ambivalence et dans son exigence. Dès lors, il apparaît que le soin requiert un type de relation intersubjective très proche de l?amitié et engage une responsabilité, c?est à dire une réponse. Et inversement, il apparaît que toute relation intersubjective devient également une démarche de soin, qui dans ce cas est symétrique, alors que celle du soignant vis-à-vis du malade est asymétrique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=79885
in La revue de gériatrie > Vol. 37, n° 4 (Avril 2012) . - 273-278[article] La thérapeutique au coeur de la relation. Pour une phénoménologie du soin [document graphique à deux dimensions] / Jean Vion-Dury, Auteur . - 2012 . - 273-278.
in La revue de gériatrie > Vol. 37, n° 4 (Avril 2012) . - 273-278
Mots-clés : Levinas, Emmanuel (Philosophe français, 1906-1995) Heidegger, Martin (philosophe allemand, 1889-1976) Soins aux patients /Sujet âgé Éthique Empathie Relations infirmier-patient /Sujet âgé Relations infirmier-patient / éthique Résumé : Ce texte propose une réflexion d?inspiration phénoménologique sur le soin. En posant la question de ce qu?engage la com-passion, c?est-à-dire le fait d?être affecté par la souffrance de l?autre, on est amené à mieux analyser l?attitude éthique qui découle de cette mise en danger, à la fois dans son ambivalence et dans son exigence. Dès lors, il apparaît que le soin requiert un type de relation intersubjective très proche de l?amitié et engage une responsabilité, c?est à dire une réponse. Et inversement, il apparaît que toute relation intersubjective devient également une démarche de soin, qui dans ce cas est symétrique, alors que celle du soignant vis-à-vis du malade est asymétrique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=79885 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue CePaS - Centre du Patrimoine Santé CePaS - Centre du Patrimoine Santé Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLa formation corporelle des soignants : propositions pédagogiques : expérimenter et conscientiser / Cédric Juliens in Perspective soignante, 57 (décembre 2016)
[article]
Titre : La formation corporelle des soignants : propositions pédagogiques : expérimenter et conscientiser Type de document : texte imprimé Auteurs : Cédric Juliens Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 48-74 Langues : Français (fre) Mots-clés : Communication non verbale Relations infirmier-patient / éthique Distance sociale Toucher Image du corps Enseignement infirmier Attitude du personnel soignant Élève infirmier / psychologie Corps humain Relations entre professionnels de santé et patients Émotions Jeu de rôle socialisation corporelle relation au corps lâcher prise distance thérapeutique écriture professionnelle sensible pédagogie corporelle représentations mentales soin relationnel pudeur INTIMITE Relations infirmier-patient / Ethique lâcher-prise intimité Résumé : L'auteur partage son expérience de l'enseignement de l'approche psychocorporelle du soin. Il décrit les ateliers de corporalité qu'il anime à l'attention des étudiants infirmiers, sages-femmes et psychomotriciens de la Haute Ecole Léonard de Vinci (Bruxelles).
Ce dispositif vise à faire émerger ce qui se joue dans la rencontre non verbale des corps. Les étudiants y explorent la communication non verbale au moyen de 7 paramètres : la respiration, le tonus, l'ancrage, le regard, l'accordage à l'autre, le toucher et le lâcher-prise. On y teste la qualité de la présence, du contact intime et de l'engagement dans le geste empathique.
A l'aide d'exercices et de jeux de rôles, le professeur travaille la compétence de lâcher-prise chez ses étudiants : accepter l'inaction pour accueillir ce qui surgit, accepter la venue de l'autre dans sa bulle, accepter de recevoir une contenance de l'autre dans un toucher respectueux et réconfortant.
Comme le montre les témoignages des étudiants, la situation d'être mis "à la place du patient" est vécue par les participants comme une expérience déstabilisante et le toucher souvent ressenti comme une intrusion.
L'animateur a recours à des métaphores de la relation soignant-soigné : il propose des situations fictives qui mettent en scène l'inaction, la confiance, le toucher ou l'abandon afin de faire vivre aux étudiants une image de fusion sans être dans la fusion, une métaphore de vulnérabilité sans s'y perdre.
Au cours des différentes séances, l'auteur fait écrire les étudiants à propos des expériences corporelles vécues en groupe. Cette écriture réflexive amène les étudiants à transformer leurs éprouvés en réflexion, à questionner leurs représentations (de la profession, des patients, d'eux-mêmes), donc à énoncer leurs doutes, leurs idéaux, leurs valeurs. Suivant une approche poétique, le recours à la métaphore et la fiction au cours des séances autorise une saine distance pour parler de sujets flous, difficiles ou trop intimes.
L'auteur dispense quelques pistes de réflexion à l'attention des formateurs qui abordent la question du corps : les réactions des participants face à des exercices confrontants, la question du genre et de l'éducation, le risque de mettre à jour d'anciennes blessures personnelles.
En conclusion, ces ateliers de corporalité permettent aux étudiants (1) de s'impliquer dans la construction de leur identité professionnelle, (2) de travailler la relation d'aide en en s'engageant dans la rencontre avec écoute et bienveillance et enfin (3) de renforcer leur bien-être au travail en étant à l'écoute de leurs émotions, de leurs tensions et en sachant nommer les ressentis problématiques.Note de contenu : Cet article est extrait de l'ouvrage de Cédric Juliens, 'Le corps intime : la formation corporelle des soignants', Seli Arslan, 2016. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45260
in Perspective soignante > 57 (décembre 2016) . - p. 48-74[article] La formation corporelle des soignants : propositions pédagogiques : expérimenter et conscientiser [texte imprimé] / Cédric Juliens . - 2016 . - p. 48-74.
Langues : Français (fre)
in Perspective soignante > 57 (décembre 2016) . - p. 48-74
Mots-clés : Communication non verbale Relations infirmier-patient / éthique Distance sociale Toucher Image du corps Enseignement infirmier Attitude du personnel soignant Élève infirmier / psychologie Corps humain Relations entre professionnels de santé et patients Émotions Jeu de rôle socialisation corporelle relation au corps lâcher prise distance thérapeutique écriture professionnelle sensible pédagogie corporelle représentations mentales soin relationnel pudeur INTIMITE Relations infirmier-patient / Ethique lâcher-prise intimité Résumé : L'auteur partage son expérience de l'enseignement de l'approche psychocorporelle du soin. Il décrit les ateliers de corporalité qu'il anime à l'attention des étudiants infirmiers, sages-femmes et psychomotriciens de la Haute Ecole Léonard de Vinci (Bruxelles).
Ce dispositif vise à faire émerger ce qui se joue dans la rencontre non verbale des corps. Les étudiants y explorent la communication non verbale au moyen de 7 paramètres : la respiration, le tonus, l'ancrage, le regard, l'accordage à l'autre, le toucher et le lâcher-prise. On y teste la qualité de la présence, du contact intime et de l'engagement dans le geste empathique.
A l'aide d'exercices et de jeux de rôles, le professeur travaille la compétence de lâcher-prise chez ses étudiants : accepter l'inaction pour accueillir ce qui surgit, accepter la venue de l'autre dans sa bulle, accepter de recevoir une contenance de l'autre dans un toucher respectueux et réconfortant.
Comme le montre les témoignages des étudiants, la situation d'être mis "à la place du patient" est vécue par les participants comme une expérience déstabilisante et le toucher souvent ressenti comme une intrusion.
L'animateur a recours à des métaphores de la relation soignant-soigné : il propose des situations fictives qui mettent en scène l'inaction, la confiance, le toucher ou l'abandon afin de faire vivre aux étudiants une image de fusion sans être dans la fusion, une métaphore de vulnérabilité sans s'y perdre.
Au cours des différentes séances, l'auteur fait écrire les étudiants à propos des expériences corporelles vécues en groupe. Cette écriture réflexive amène les étudiants à transformer leurs éprouvés en réflexion, à questionner leurs représentations (de la profession, des patients, d'eux-mêmes), donc à énoncer leurs doutes, leurs idéaux, leurs valeurs. Suivant une approche poétique, le recours à la métaphore et la fiction au cours des séances autorise une saine distance pour parler de sujets flous, difficiles ou trop intimes.
L'auteur dispense quelques pistes de réflexion à l'attention des formateurs qui abordent la question du corps : les réactions des participants face à des exercices confrontants, la question du genre et de l'éducation, le risque de mettre à jour d'anciennes blessures personnelles.
En conclusion, ces ateliers de corporalité permettent aux étudiants (1) de s'impliquer dans la construction de leur identité professionnelle, (2) de travailler la relation d'aide en en s'engageant dans la rencontre avec écoute et bienveillance et enfin (3) de renforcer leur bien-être au travail en étant à l'écoute de leurs émotions, de leurs tensions et en sachant nommer les ressentis problématiques.Note de contenu : Cet article est extrait de l'ouvrage de Cédric Juliens, 'Le corps intime : la formation corporelle des soignants', Seli Arslan, 2016. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45260 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Face à la souffrance spirituelle, quel soin infirmier ? / Martine Goethals in Perspective soignante, 60 (Décembre 2017)
[article]
Titre : Face à la souffrance spirituelle, quel soin infirmier ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Martine Goethals Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 55-76 Langues : Français (fre) Mots-clés : Relations infirmier-patient / éthique Spiritualité Accompagnement de la fin de la vie distance thérapeutique besoin spirituel détresse spirituelle soin spirituel juste distance Résumé : Cet article traite de la qualité de la présence du soignant lors de l'accompagnement spirituel du patient.
La spiritualité qui intéresse l'auteure dépasse la cadre strict de la religion et n'est pas limitée à la dimension de fin de vie. Elle définit la spiritualité en faisant appel à l'étymologie (du latin spiritus, -us : le souffle) qui nous apprend que la spiritualité nous aide à respirer, et donc à vivre.
L'auteure développe sa réflexion autour des trois composantes irréductibles de notre condition humaine : finitude, solitude et incertitude que nous devons apprendre à apprivoiser au cours de la vie. De ce point de vue, soignant et soigné se trouvent côte à côte face aux grandes questions humaines. L'accompagnement spirituel du sujet en quête de sens, demande de la part de l'équipe soignante un forme de lâcher-prise par rapport à l'idéal médical. Il doit plutôt être à côté de lui, dans un lien d'humanité, "prêt à naviguer sur les eaux de l'incertitude et du non-faire".
Elle propose quelques pistes quant aux formes que peuvent prendre un soin spirituel. Certains propositions relèvent de la posture (pleine présence, incertitude assumée,..) d'autres passent par des pratiques (toucher relationnel, méditation, aromathérapie, snoezelen, art-thérapie, bibliothérapie, etc). Elle met en évidence l'importance du silence, de la respiration et de la voix dans l'échange.
L'auteure met en garde contre les pièges de la préméditation, du projet et pose les conditions d'une 'juste présence' lors du soin spirituel : accueillir ce qui vient, être ouvert à sa propre spiritualité et surtout une autodiscipline pour ne jamais penser à la place de l'autre.Note de contenu : Ce texte est un extrait de travail de fin d'études en vue de l'obtention du diplôme de Bachelière en soins infirmiers responsable de soins généraux, Haute Ecole Léonard de Vinci, Parnasse-ISEI, Louvain-la-Neuve, 2016-2017; conseillère pédagogique Anne Lodewijck. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=55792
in Perspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 55-76[article] Face à la souffrance spirituelle, quel soin infirmier ? [texte imprimé] / Martine Goethals . - 2017 . - p. 55-76.
Langues : Français (fre)
in Perspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 55-76
Mots-clés : Relations infirmier-patient / éthique Spiritualité Accompagnement de la fin de la vie distance thérapeutique besoin spirituel détresse spirituelle soin spirituel juste distance Résumé : Cet article traite de la qualité de la présence du soignant lors de l'accompagnement spirituel du patient.
La spiritualité qui intéresse l'auteure dépasse la cadre strict de la religion et n'est pas limitée à la dimension de fin de vie. Elle définit la spiritualité en faisant appel à l'étymologie (du latin spiritus, -us : le souffle) qui nous apprend que la spiritualité nous aide à respirer, et donc à vivre.
L'auteure développe sa réflexion autour des trois composantes irréductibles de notre condition humaine : finitude, solitude et incertitude que nous devons apprendre à apprivoiser au cours de la vie. De ce point de vue, soignant et soigné se trouvent côte à côte face aux grandes questions humaines. L'accompagnement spirituel du sujet en quête de sens, demande de la part de l'équipe soignante un forme de lâcher-prise par rapport à l'idéal médical. Il doit plutôt être à côté de lui, dans un lien d'humanité, "prêt à naviguer sur les eaux de l'incertitude et du non-faire".
Elle propose quelques pistes quant aux formes que peuvent prendre un soin spirituel. Certains propositions relèvent de la posture (pleine présence, incertitude assumée,..) d'autres passent par des pratiques (toucher relationnel, méditation, aromathérapie, snoezelen, art-thérapie, bibliothérapie, etc). Elle met en évidence l'importance du silence, de la respiration et de la voix dans l'échange.
L'auteure met en garde contre les pièges de la préméditation, du projet et pose les conditions d'une 'juste présence' lors du soin spirituel : accueillir ce qui vient, être ouvert à sa propre spiritualité et surtout une autodiscipline pour ne jamais penser à la place de l'autre.Note de contenu : Ce texte est un extrait de travail de fin d'études en vue de l'obtention du diplôme de Bachelière en soins infirmiers responsable de soins généraux, Haute Ecole Léonard de Vinci, Parnasse-ISEI, Louvain-la-Neuve, 2016-2017; conseillère pédagogique Anne Lodewijck. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=55792 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt