Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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HORAIRE
Semaine du 29/04 au 12/05 à Tournai : Fermé (Vacances).
Semaine du 13/05 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 22/04 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 01/04 à Mouscron : Fermé lundi (Jour férié).
Semaine du 08/04 à Mouscron : Horaire habituel.
Semaine du 25/03 à Mouscron : Fermé lundi de 8h00 à 10h30.Fermé mercredi 27/03 de 13h00 à 15h00.
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Accoucher sous caméra, impudeur ou réappropriation de l'événement ? / Anne-Chantal Hardy in Vocation Sage-Femme, 124 (Janvier-Février 2017)
[article]
Titre : Accoucher sous caméra, impudeur ou réappropriation de l'événement ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Chantal Hardy Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 20-22 Note générale : Cet article fait partie du dossier de la revue. Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accouchement ; M:Média ; N:Naissance ; P:Pudeur ; S:Sage-femme ; S:Sociologie ; T:TélévisionRésumé : Les émissions de téléréalité montrant des accouchements suscitent des sentiments divers, parmi lesquels celui d’une transgression de l’intimité d’un couple. Mais s’agit-il vraiment de l’impudeur ? Comment peut-on interpréter cette réalité médiatisée ? Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33754
in Vocation Sage-Femme > 124 (Janvier-Février 2017) . - p. 20-22[article] Accoucher sous caméra, impudeur ou réappropriation de l'événement ? [texte imprimé] / Anne-Chantal Hardy . - 2017 . - p. 20-22.
Cet article fait partie du dossier de la revue.
Langues : Français (fre)
in Vocation Sage-Femme > 124 (Janvier-Février 2017) . - p. 20-22
Catégories : Alpha
A:Accouchement ; M:Média ; N:Naissance ; P:Pudeur ; S:Sage-femme ; S:Sociologie ; T:TélévisionRésumé : Les émissions de téléréalité montrant des accouchements suscitent des sentiments divers, parmi lesquels celui d’une transgression de l’intimité d’un couple. Mais s’agit-il vraiment de l’impudeur ? Comment peut-on interpréter cette réalité médiatisée ? Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33754 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T006967 VOC Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Accueillir un premier enfant... Puis un deuxième / Régine Prieur in Spirale : La grande aventure de Monsieur bébé, n° 99 (Décembre 2021)
[article]
Titre : Accueillir un premier enfant... Puis un deuxième Type de document : texte imprimé Auteurs : Régine Prieur, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.178-180 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accouchement ; A:Accueil ; E:Enfant ; E:Expérience ; F:Famille ; G:Grossesse ; N:Nouveau-né ; P:Parent ; P:Préparation à la naissance ; T:TémoignageRésumé : Mars 2018, j’apprends que je suis enceinte de mon premier enfant. Naissent les premières angoisses mais, avec Hicham, le futur papa, nous sommes surtout fous de joie. Tout devient magique quand on pense à ce futur petit bébé. Une session shopping classique se transforme en session shopping bébé, une excursion au bord de la mer…, et on observe les familles d’un air béat en s’imaginant déjà à leur place dans quelques mois. Tout notre quotidien se teinte de cette future parentalité. Pendant les échographies, on est toujours émus d’apercevoir ce petit être. Dans l’intimité, Hicham me touche le ventre, parle au bébé. Il est très présent.
Le 10 novembre 2018, Mila voit le jour et tous les deux nous sommes inondés d’amour pour ce bébé dont on rêve depuis qu’on a appris ma grossesse. On est sur un petit nuage. Les premiers mois, je pleure souvent d’autant de bonheur. Je suis transcendée par cet amour inconditionnel qui est né en moi à l’instant où mon regard s’est posé sur ce bébé. Tous les jours, à chaque sourire, chaque gazouillis, chaque mimique, c’est comme un uppercut en plein cœur.
Mais cette émotion si forte dans les beaux moments l’est tout autant dans les moments difficiles. Chaque pleur me déchire le cœur, me retourne le ventre. Je me pose mille questions. Sur mes épaules pèse la responsabilité du bien-être de cet enfant, alors je fais attention à chaque détail. La couture des chaussettes doit être bien positionnée pour ne pas lui faire mal au pied, elle doit être habillée pour n’avoir ni trop chaud ni trop froid, et ce ne sont que quelques exemples. J’ai l’impression que mon cerveau est en ébullition et en état de veille permanent.
Quand Mila a eu un peu plus d’un an, on s’est dit qu’on avait trouvé nos marques, que les choses devenaient de plus en plus faciles mois après mois. Et surtout qu’on formait maintenant une véritable équipe avec Hicham, chacun de nous avait trouvé sa place en tant que parent. On s’est senti la force de repartir dans cette grande aventure avec un deuxième enfant. J’allaitais encore Mila à l’époque et nous savions que ça pouvait freiner la fertilité. Alors sans pression, on se lance dans ce nouveau projet. On s’imagine que quelques mois vont passer avant que je tombe enceinte. Et finalement, quinze jours après avoir arrêté ma contraception, la grande aventure recommence ! Nous sommes heureux mais nous n’avons pas vraiment le temps d’y penser car la folie du quotidien avec Mila continue. On a une petite fille pleine d’énergie qui nous prend beaucoup de temps. On a envie d’être des parents présents et de profiter d’elle au maximum. On ne veut pas laisser filer ces moments...
Pour se faire sa place, cette grossesse me cloue au lit les trois premiers mois. Le quotidien devient plus lourd à gérer et à assumer. On se dispute davantage avec Hicham. J’angoisse à l’idée d’avoir ce nouvel enfant que j’ai pourtant voulu. Je me rends compte de tout ce qu’on a traversé depuis qu’on a Mila, de toute l’énergie et les sacrifices que ça nous a demandés, et j’ai l’impression que je n’arriverai jamais à refaire tout ça. Et puis, toute cette magie qui entourait ma première grossesse n’est plus là. Ce n’est plus nouveau, on sait à quoi s’attendre.
Je culpabilise de ne pas ressentir cette même excitation. Je voudrais que cet enfant puisse ressentir tout cet amour qui était déjà là quand j’étais enceinte de Mila. Mais là, c’est un peu comme si la vie continuait d’avancer et que, en silence, je savais que tout allait bien pour ce petit être au chaud dans mon ventre. Petit à petit, les mois passent, le bébé se met à bouger et les craintes s’estompent, mais il est certain que contrairement à la première grossesse, la vie ne tourne pas autour de ce futur bébé mais autour de l’enfant qui est déjà là. Pourtant, ce partage de temps qu’il faudra opérer quand le nouveau bébé sera né se fait déjà ressentir et amène son flot de culpabilité. Je n’ai pas tout mon temps à consacrer à ce bébé qui grandit en moi, et en même temps je suis affaiblie par ma grossesse et je n’arrive pas à profiter de tout ce que je souhaiterais avec mon premier petit bout... Pas facile d’être une maman...
Le 4 décembre 2020, Calie voit le jour. C’est un merveilleux accouchement mais très rapide, si rapide que j’ai presque du mal à réaliser que j’ai accouché. Je suis heureuse mais je ne me sens pas transportée dans un autre monde comme lors de la naissance de Mila. Quatre jours après mon accouchement, j’accueille la sage-femme en pleurs. J’aimerais que le temps soit suspendu. Accueillir une nouvelle vie c’est quelque chose d’unique. Mais rien ne s’arrête. Mila n’est encore pas bien grande, alors le quotidien doit continuer, presque comme d’habitude. J’ai l’impression d’être lancée dans un train à mille à l’heure et de ne pouvoir rien lâcher. Mon électroencéphalogramme des émotions est à plat. Je suis complètement déstabilisée. Je pensais replonger dans cette folie que j’avais connue avec Mila, cet état de vigilance permanent, ces uppercuts d’amour et ces excès d’angoisse.
Je ne suis pas traversée par tant d’émotions... J’ai honte de moi et j’en pleure régulièrement. Pourquoi est-ce que je ne suis pas submergée d’amour comme la première fois ? Ce petit bébé ne mérite pas ça.
Les jours, les semaines passent. Notre nouveau quotidien se met en place et je sens une joie m’envahir, et l’amour grandir en moi. Je me régale à observer Calie évoluer. Je suis fascinée par le fait de pouvoir être tout aussi comblée par ce bébé pourtant si différent de ce qu’avait été Mila. Tout est fluide et instinctif avec elle. Je ne me prends pas la tête, je suis à son écoute et tout paraît bien plus simple que la première fois. Tous les jours, je me répète : « Calie, il est si doux d’être ta maman. » Je prends les choses avec beaucoup plus de philosophie. Je connais déjà la réalité du quotidien avec un bébé. Ne pas pouvoir manger ou prendre ma douche quand je le veux, et sans interruption, ce n’est plus une surprise. Et surtout, je sais que tout ça passe très vite au final.
Et je réalise alors que ce que je croyais être une absence d’amour pendant les premiers jours après sa naissance, c’était en fait cet amour différent mais tout aussi fort dont parlent tous les parents. Si je devais résumer en un mot mon expérience de mère avec chacune, je dirais qu’avec Mila c’est l’intensité, et avec Calie, la sérénité.
LuciePermalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49124
in Spirale : La grande aventure de Monsieur bébé > n° 99 (Décembre 2021) . - p.178-180[article] Accueillir un premier enfant... Puis un deuxième [texte imprimé] / Régine Prieur, Auteur . - 2021 . - p.178-180.
Langues : Français (fre)
in Spirale : La grande aventure de Monsieur bébé > n° 99 (Décembre 2021) . - p.178-180
Catégories : Alpha
A:Accouchement ; A:Accueil ; E:Enfant ; E:Expérience ; F:Famille ; G:Grossesse ; N:Nouveau-né ; P:Parent ; P:Préparation à la naissance ; T:TémoignageRésumé : Mars 2018, j’apprends que je suis enceinte de mon premier enfant. Naissent les premières angoisses mais, avec Hicham, le futur papa, nous sommes surtout fous de joie. Tout devient magique quand on pense à ce futur petit bébé. Une session shopping classique se transforme en session shopping bébé, une excursion au bord de la mer…, et on observe les familles d’un air béat en s’imaginant déjà à leur place dans quelques mois. Tout notre quotidien se teinte de cette future parentalité. Pendant les échographies, on est toujours émus d’apercevoir ce petit être. Dans l’intimité, Hicham me touche le ventre, parle au bébé. Il est très présent.
Le 10 novembre 2018, Mila voit le jour et tous les deux nous sommes inondés d’amour pour ce bébé dont on rêve depuis qu’on a appris ma grossesse. On est sur un petit nuage. Les premiers mois, je pleure souvent d’autant de bonheur. Je suis transcendée par cet amour inconditionnel qui est né en moi à l’instant où mon regard s’est posé sur ce bébé. Tous les jours, à chaque sourire, chaque gazouillis, chaque mimique, c’est comme un uppercut en plein cœur.
Mais cette émotion si forte dans les beaux moments l’est tout autant dans les moments difficiles. Chaque pleur me déchire le cœur, me retourne le ventre. Je me pose mille questions. Sur mes épaules pèse la responsabilité du bien-être de cet enfant, alors je fais attention à chaque détail. La couture des chaussettes doit être bien positionnée pour ne pas lui faire mal au pied, elle doit être habillée pour n’avoir ni trop chaud ni trop froid, et ce ne sont que quelques exemples. J’ai l’impression que mon cerveau est en ébullition et en état de veille permanent.
Quand Mila a eu un peu plus d’un an, on s’est dit qu’on avait trouvé nos marques, que les choses devenaient de plus en plus faciles mois après mois. Et surtout qu’on formait maintenant une véritable équipe avec Hicham, chacun de nous avait trouvé sa place en tant que parent. On s’est senti la force de repartir dans cette grande aventure avec un deuxième enfant. J’allaitais encore Mila à l’époque et nous savions que ça pouvait freiner la fertilité. Alors sans pression, on se lance dans ce nouveau projet. On s’imagine que quelques mois vont passer avant que je tombe enceinte. Et finalement, quinze jours après avoir arrêté ma contraception, la grande aventure recommence ! Nous sommes heureux mais nous n’avons pas vraiment le temps d’y penser car la folie du quotidien avec Mila continue. On a une petite fille pleine d’énergie qui nous prend beaucoup de temps. On a envie d’être des parents présents et de profiter d’elle au maximum. On ne veut pas laisser filer ces moments...
Pour se faire sa place, cette grossesse me cloue au lit les trois premiers mois. Le quotidien devient plus lourd à gérer et à assumer. On se dispute davantage avec Hicham. J’angoisse à l’idée d’avoir ce nouvel enfant que j’ai pourtant voulu. Je me rends compte de tout ce qu’on a traversé depuis qu’on a Mila, de toute l’énergie et les sacrifices que ça nous a demandés, et j’ai l’impression que je n’arriverai jamais à refaire tout ça. Et puis, toute cette magie qui entourait ma première grossesse n’est plus là. Ce n’est plus nouveau, on sait à quoi s’attendre.
Je culpabilise de ne pas ressentir cette même excitation. Je voudrais que cet enfant puisse ressentir tout cet amour qui était déjà là quand j’étais enceinte de Mila. Mais là, c’est un peu comme si la vie continuait d’avancer et que, en silence, je savais que tout allait bien pour ce petit être au chaud dans mon ventre. Petit à petit, les mois passent, le bébé se met à bouger et les craintes s’estompent, mais il est certain que contrairement à la première grossesse, la vie ne tourne pas autour de ce futur bébé mais autour de l’enfant qui est déjà là. Pourtant, ce partage de temps qu’il faudra opérer quand le nouveau bébé sera né se fait déjà ressentir et amène son flot de culpabilité. Je n’ai pas tout mon temps à consacrer à ce bébé qui grandit en moi, et en même temps je suis affaiblie par ma grossesse et je n’arrive pas à profiter de tout ce que je souhaiterais avec mon premier petit bout... Pas facile d’être une maman...
Le 4 décembre 2020, Calie voit le jour. C’est un merveilleux accouchement mais très rapide, si rapide que j’ai presque du mal à réaliser que j’ai accouché. Je suis heureuse mais je ne me sens pas transportée dans un autre monde comme lors de la naissance de Mila. Quatre jours après mon accouchement, j’accueille la sage-femme en pleurs. J’aimerais que le temps soit suspendu. Accueillir une nouvelle vie c’est quelque chose d’unique. Mais rien ne s’arrête. Mila n’est encore pas bien grande, alors le quotidien doit continuer, presque comme d’habitude. J’ai l’impression d’être lancée dans un train à mille à l’heure et de ne pouvoir rien lâcher. Mon électroencéphalogramme des émotions est à plat. Je suis complètement déstabilisée. Je pensais replonger dans cette folie que j’avais connue avec Mila, cet état de vigilance permanent, ces uppercuts d’amour et ces excès d’angoisse.
Je ne suis pas traversée par tant d’émotions... J’ai honte de moi et j’en pleure régulièrement. Pourquoi est-ce que je ne suis pas submergée d’amour comme la première fois ? Ce petit bébé ne mérite pas ça.
Les jours, les semaines passent. Notre nouveau quotidien se met en place et je sens une joie m’envahir, et l’amour grandir en moi. Je me régale à observer Calie évoluer. Je suis fascinée par le fait de pouvoir être tout aussi comblée par ce bébé pourtant si différent de ce qu’avait été Mila. Tout est fluide et instinctif avec elle. Je ne me prends pas la tête, je suis à son écoute et tout paraît bien plus simple que la première fois. Tous les jours, je me répète : « Calie, il est si doux d’être ta maman. » Je prends les choses avec beaucoup plus de philosophie. Je connais déjà la réalité du quotidien avec un bébé. Ne pas pouvoir manger ou prendre ma douche quand je le veux, et sans interruption, ce n’est plus une surprise. Et surtout, je sais que tout ça passe très vite au final.
Et je réalise alors que ce que je croyais être une absence d’amour pendant les premiers jours après sa naissance, c’était en fait cet amour différent mais tout aussi fort dont parlent tous les parents. Si je devais résumer en un mot mon expérience de mère avec chacune, je dirais qu’avec Mila c’est l’intensité, et avec Calie, la sérénité.
LuciePermalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49124 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009429 SPI Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Les actes sexistes durant le suivi gynécologique et obstétrical : des remarques aux violences, la nécessité de reconnaître, prévenir et condamner le sexisme / Danielle Bousquet in Les dossiers de l'obstétrique, 482 (Juillet 2018)
[article]
Titre : Les actes sexistes durant le suivi gynécologique et obstétrical : des remarques aux violences, la nécessité de reconnaître, prévenir et condamner le sexisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Danielle Bousquet, Auteur ; Margaux Collet, Auteur ; Geneviève Couraud, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 38-40 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Abus sexuel ; A:Accouchement ; F:Femme ; G:Grossesse ; G:Gynécologie ; O:Obstétrique ; R:Recommandation ; S:Sexisme ; V:ViolenceRésumé : Extrait du rapport n° 2018-06-26-SAN-034 voté le 26 juin 2018 par le Haut Conseil à l'Egalité entre les femmes et les hommes. Suivi du communiqué de presse du Rapport du HCE : des pistes essentielles. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38473
in Les dossiers de l'obstétrique > 482 (Juillet 2018) . - p. 38-40[article] Les actes sexistes durant le suivi gynécologique et obstétrical : des remarques aux violences, la nécessité de reconnaître, prévenir et condamner le sexisme [texte imprimé] / Danielle Bousquet, Auteur ; Margaux Collet, Auteur ; Geneviève Couraud, Auteur . - 2018 . - p. 38-40.
Langues : Français (fre)
in Les dossiers de l'obstétrique > 482 (Juillet 2018) . - p. 38-40
Catégories : Alpha
A:Abus sexuel ; A:Accouchement ; F:Femme ; G:Grossesse ; G:Gynécologie ; O:Obstétrique ; R:Recommandation ; S:Sexisme ; V:ViolenceRésumé : Extrait du rapport n° 2018-06-26-SAN-034 voté le 26 juin 2018 par le Haut Conseil à l'Egalité entre les femmes et les hommes. Suivi du communiqué de presse du Rapport du HCE : des pistes essentielles. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38473 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M005202 DOS Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible Des aiguilles pour la mère et l'enfant / C. Bruet in Soins Pédiatrie/Puériculture, 205 (avril 2002)
[article]
Titre : Des aiguilles pour la mère et l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Bruet, Auteur Année de publication : 2002 Article en page(s) : pp. 11-12 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accouchement ; A:AcupunctureNote de contenu : 2002 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2822
in Soins Pédiatrie/Puériculture > 205 (avril 2002) . - pp. 11-12[article] Des aiguilles pour la mère et l'enfant [texte imprimé] / C. Bruet, Auteur . - 2002 . - pp. 11-12.
Langues : Français (fre)
in Soins Pédiatrie/Puériculture > 205 (avril 2002) . - pp. 11-12
Catégories : Alpha
A:Accouchement ; A:AcupunctureNote de contenu : 2002 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2822 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M_724 M_2002_205 Revue CePaS - Centre du Patrimoine Santé Soins Infirmiers (M) Consultable sur demande au CePaS (Gilly)
Exclu du prêtT_724 T_2002_205 Revue CePaS - Centre du Patrimoine Santé Soins infirmiers (T) Consultable sur demande au CePaS (Gilly)
Exclu du prêtAnalgésie obstétricale, la singularité de la France [Dossier : Accompagner la douleur du travail] / Jade Merrer in Sages-femmes. Clinique - formation - recherche, Vol.19, n°4 (Juillet/août 2020)
[article]
Titre : Analgésie obstétricale, la singularité de la France [Dossier : Accompagner la douleur du travail] Type de document : texte imprimé Auteurs : Jade Merrer Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 15-17 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accouchement ; A:Anesthésie péridurale ; A:Antalgie ; D:Douleur ; F:France ; T:Travail obstétricalRésumé : Au sein des pays industrialisés, il existe des disparités dans l’utilisation des méthodes analgésiques. En France, la majorité des parturientes choisit de bénéficier d’une analgésie périmédullaire. Plusieurs hypothèses peuvent être avancées pour expliquer les différences parfois très importantes observées dans la gestion de la douleur du travail. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45156
in Sages-femmes. Clinique - formation - recherche > Vol.19, n°4 (Juillet/août 2020) . - p. 15-17[article] Analgésie obstétricale, la singularité de la France [Dossier : Accompagner la douleur du travail] [texte imprimé] / Jade Merrer . - 2020 . - p. 15-17.
Langues : Français (fre)
in Sages-femmes. Clinique - formation - recherche > Vol.19, n°4 (Juillet/août 2020) . - p. 15-17
Catégories : Alpha
A:Accouchement ; A:Anesthésie péridurale ; A:Antalgie ; D:Douleur ; F:France ; T:Travail obstétricalRésumé : Au sein des pays industrialisés, il existe des disparités dans l’utilisation des méthodes analgésiques. En France, la majorité des parturientes choisit de bénéficier d’une analgésie périmédullaire. Plusieurs hypothèses peuvent être avancées pour expliquer les différences parfois très importantes observées dans la gestion de la douleur du travail. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45156 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008858 SAG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Analgésie péridurale en obstétrique [Dossier : Accompagner la douleur du travail] / Jade Merrer in Sages-femmes. Clinique - formation - recherche, Vol.19, n°4 (Juillet/août 2020)
PermalinkAnalyse objective des différentes positions maternelles pour l'accouchement / C Racinet in Profession Sage-Femme, 154 (avril 2009)
PermalinkL'analyse du RCF : étapes de reconnaissance et de récupération in Les dossiers de l'obstétrique, vol. 46, 497 (Décembre 2019)
PermalinkApport de l'hypnose dans la prise en charge de la douleur des parturientes à la maternité de l'hôpital Robert-Debré / H Le cornu in Profession Sage-Femme, 193 (mars 2013)
PermalinkApport des méthodes non pharmacologiques dans les douleurs obstétricales [Dossier : Accompagner la douleur du travail] / Hélène Cinelli in Sages-femmes. Clinique - formation - recherche, Vol.19, n°4 (Juillet/août 2020)
PermalinkApport d'un modèle virtuel utilisant différentes postures du travail et d'accouchement / M Tailliez in Vocation Sage-Femme, 93 (nov/déc 2011)
PermalinkL’apprentissage de l’accouchement physiologique, une revue systématique de la littérature / Laureyline Augustin Dit Morard ; Marie-Odile Guern ; Laura Levallois ; Bernard Guillois ; Pascal Thibon in Sages-femmes. Clinique - formation - recherche, Vol. 22, n° 4 (Juillet - Août 2023)
PermalinkL'apprentissage par la simulation en santé / Nicole Pierre-poulet in Soins cadres, 92, suppl. (Novembre 2014)
PermalinkApproche sociologique de la médiatisation de la naissance / Constance Guignard in Vocation Sage-Femme, 124 (Janvier-Février 2017)
PermalinkAtlas de poche d'obstétrique / K. Goerke (2004)
PermalinkAttendre bébé... autrement: ressources pour une grossesse naturelle / C. Piraud (2009)
PermalinkL’autohypnose, une aide à la naissance / Dominique Villa in Vocation Sage-Femme, 114 (Mai-juin 2015)
PermalinkUne autre façon de vivre l'accouchement / C. Pourprix in Objectif Soins & Management, 148 (août/sept 2006)
PermalinkL'auxiliaire de puériculture en maternité / C. Boussaroque (2006)
Permalink'Baby Boom', une expérience hors du commun en maternité / Françoise Damageux in Vocation Sage-Femme, 124 (Janvier-Février 2017)
PermalinkBan Mù, un dispensaire dans les nuages ou la rencontre avec une sage-femme vietnamienne / Jean-Christophe Azorin in Sages-femmes. Clinique - formation - recherche, Vol. 22, n° 5 (Septembre/Octobre 2023)
PermalinkBâtir une relation de confiance grâce au projet de naissance / Sylvie Bonnefont in Sages-femmes. Clinique - formation - recherche, Vol. 21, n°5 (Septembre / Octobre 2022)
PermalinkBien-être et maternité / B. De gasquet (1997)
PermalinkLes bienfaits du chant prénatal pour la mère et l’enfant / Marie-Laure Potel in Soins Pédiatrie/Puériculture, 307 (Mars - Avril 2019)
PermalinkBouger en accouchant: comment le bassin peut bouger lors de l'accouchement / B. Calais (2009)
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