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Auteur Aino Sirparanta |
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L’attachement se transmet-il entre générations ? / Aino Sirparanta in Santé Mentale, 285 (Février 2024)
[article]
Titre : L’attachement se transmet-il entre générations ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Aino Sirparanta ; Raphaële Miljkovitch Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 52-58 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Troubles dans l'attachement ". Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Adaptation ; A:Attachement ; C:Confiance ; D:Développement affectif ; E:Échelle d'évaluation ; E:Emotion ; E:Etude qualitative [type de publication] ; R:Relation parent-enfant ; T:TransgénérationnelRésumé : Bien que le domaine de la transmission intergénérationnelle de l'attachement soit largement étudié, d'importantes questions méthodologiques demeurent. Il existe incontestablement une influence du parent sur l'enfant, mais il semble prématuré d'affirmer que 'enfant reproduit les mêmes stratégies d'attachement que son parent. Malgré ces importantes avancées sur la transmission du traitement des informations émotionnelles et leurs implications sur un plan clinique, un large champ de recherche reste à explorer.
Le bébé arrive au monde extrêmement vulnérable et ne peut survivre seul. En revanche, il est dès le début de sa vie équipé de comportements qui vont assurer la présence constante d’un individu susceptible de le protéger (Bowlby, 1969). Ce sont les comportements d’attachement, instinctifs, généralement dirigés vers une figure spécifique, qui incluent ceux de communication (pleurer, sourire…) et d’approche (s’approcher, s’agripper… ; Bowlby, 1969). Ces comportements seraient orientés vers un but spécifique, à savoir le rétablissement de la proximité avec la figure de soins (Bowlby, 1969) ou plus généralement, la «sécurité ressentie» (Sroufe et Waters, 1977). Ils contribueraient à la survie de l’individu et auraient donc une fonction biologique de protection (Bowlby, 1969)Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54158
in Santé Mentale > 285 (Février 2024) . - p. 52-58[article] L’attachement se transmet-il entre générations ? [texte imprimé] / Aino Sirparanta ; Raphaële Miljkovitch . - 2024 . - p. 52-58.
Cet article fait partie du dossier " Troubles dans l'attachement ".
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 285 (Février 2024) . - p. 52-58
Catégories : Alpha
A:Adaptation ; A:Attachement ; C:Confiance ; D:Développement affectif ; E:Échelle d'évaluation ; E:Emotion ; E:Etude qualitative [type de publication] ; R:Relation parent-enfant ; T:TransgénérationnelRésumé : Bien que le domaine de la transmission intergénérationnelle de l'attachement soit largement étudié, d'importantes questions méthodologiques demeurent. Il existe incontestablement une influence du parent sur l'enfant, mais il semble prématuré d'affirmer que 'enfant reproduit les mêmes stratégies d'attachement que son parent. Malgré ces importantes avancées sur la transmission du traitement des informations émotionnelles et leurs implications sur un plan clinique, un large champ de recherche reste à explorer.
Le bébé arrive au monde extrêmement vulnérable et ne peut survivre seul. En revanche, il est dès le début de sa vie équipé de comportements qui vont assurer la présence constante d’un individu susceptible de le protéger (Bowlby, 1969). Ce sont les comportements d’attachement, instinctifs, généralement dirigés vers une figure spécifique, qui incluent ceux de communication (pleurer, sourire…) et d’approche (s’approcher, s’agripper… ; Bowlby, 1969). Ces comportements seraient orientés vers un but spécifique, à savoir le rétablissement de la proximité avec la figure de soins (Bowlby, 1969) ou plus généralement, la «sécurité ressentie» (Sroufe et Waters, 1977). Ils contribueraient à la survie de l’individu et auraient donc une fonction biologique de protection (Bowlby, 1969)Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54158 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006801 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T010205 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Dépression périnatale et attachement au conjoint / Stéphanie Vanwalleghem in Santé Mentale, 285 (Février 2024)
[article]
Titre : Dépression périnatale et attachement au conjoint Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphanie Vanwalleghem ; Anne-Sophie Deborde ; Aino Sirparanta ; Raphaële Miljkovitch ; Stéphanie Leclercq Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 40-44 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Troubles dans l'attachement ". Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Attachement ; C:Conjoint ; D:Dépression post-natale ; E:Échelle d'évaluation ; F:Facteur de risque ; L:Lien mère-enfant ; R:Régulation des émotions ; R:Relation entre pairsRésumé : De nombreuses études ont établi qu'un attachement insécure constitue un facteur de risque pour la dépression périnatale, en évaluant l'état d'esprit général des mères par rapport à l'attachement. Cette conception d'un modèle général de l'attachement contribue à la compréhension des processus qui sous-tendent le risque de dépression périnatale et souligne l'importance de la prévention de l'insécurité d'attachement. La conception plus récente de l'attachement en réseau apporte un éclairage supplémentaire car elle permet d'évaluer les effets spécifiques de chaque relation d'attachement et par ce biais d'identifier les relations qui constituent des cibles thérapeutiques, ce qui permet d'orienter la prise en charge thérapeutique. Comme la qualité du soutien conjugal est liée à la sévérité de la dépression périnatale. Les résultats ont montré d'une part un effet direct de l'attachement au conjoint sur l'intensité de la dépression périnatale et d'autre part un effet indirect médiatisé par les difficultés de régulation émotionnelle : plus la qualité de l'attachement au conjoint est faible, plus la mère présente des difficultés de régulation émotionnelle, et par ce biais, plus son risque de dépression augmente. Ces résultats ouvrent des perspectives en termes de travail thérapeutique de couple.
La période périnatale, qui inclut la grossesse et l’année qui suit la naissance est un moment de vulnérabilité pour la santé psychique des femmes (Slomian et al., 2019). La dépression y est fréquente avec une prévalence estimée à 11,9 % (Woody et al., 2017), et plus spécifiquement à 17,7 % pendant la période postnatale (Hahn-Holbrook et al., 2018). Elle se caractérise généralement par une humeur déprimée, une perte d’intérêt ou de plaisir pour les activités, une perturbation du sommeil et de l’appétit, une perte d’énergie, un sentiment de culpabilité, une autodépréciation, des difficultés de concentration, une irritabilité, de l’anxiété et des pensées suicidaires (Slomian et al., 2019).
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54156
in Santé Mentale > 285 (Février 2024) . - p. 40-44[article] Dépression périnatale et attachement au conjoint [texte imprimé] / Stéphanie Vanwalleghem ; Anne-Sophie Deborde ; Aino Sirparanta ; Raphaële Miljkovitch ; Stéphanie Leclercq . - 2024 . - p. 40-44.
Cet article fait partie du dossier " Troubles dans l'attachement ".
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 285 (Février 2024) . - p. 40-44
Catégories : Alpha
A:Attachement ; C:Conjoint ; D:Dépression post-natale ; E:Échelle d'évaluation ; F:Facteur de risque ; L:Lien mère-enfant ; R:Régulation des émotions ; R:Relation entre pairsRésumé : De nombreuses études ont établi qu'un attachement insécure constitue un facteur de risque pour la dépression périnatale, en évaluant l'état d'esprit général des mères par rapport à l'attachement. Cette conception d'un modèle général de l'attachement contribue à la compréhension des processus qui sous-tendent le risque de dépression périnatale et souligne l'importance de la prévention de l'insécurité d'attachement. La conception plus récente de l'attachement en réseau apporte un éclairage supplémentaire car elle permet d'évaluer les effets spécifiques de chaque relation d'attachement et par ce biais d'identifier les relations qui constituent des cibles thérapeutiques, ce qui permet d'orienter la prise en charge thérapeutique. Comme la qualité du soutien conjugal est liée à la sévérité de la dépression périnatale. Les résultats ont montré d'une part un effet direct de l'attachement au conjoint sur l'intensité de la dépression périnatale et d'autre part un effet indirect médiatisé par les difficultés de régulation émotionnelle : plus la qualité de l'attachement au conjoint est faible, plus la mère présente des difficultés de régulation émotionnelle, et par ce biais, plus son risque de dépression augmente. Ces résultats ouvrent des perspectives en termes de travail thérapeutique de couple.
La période périnatale, qui inclut la grossesse et l’année qui suit la naissance est un moment de vulnérabilité pour la santé psychique des femmes (Slomian et al., 2019). La dépression y est fréquente avec une prévalence estimée à 11,9 % (Woody et al., 2017), et plus spécifiquement à 17,7 % pendant la période postnatale (Hahn-Holbrook et al., 2018). Elle se caractérise généralement par une humeur déprimée, une perte d’intérêt ou de plaisir pour les activités, une perturbation du sommeil et de l’appétit, une perte d’énergie, un sentiment de culpabilité, une autodépréciation, des difficultés de concentration, une irritabilité, de l’anxiété et des pensées suicidaires (Slomian et al., 2019).
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54156 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006801 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T010205 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible