Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Semaine du 23/12 au 05/01 à Tournai : Vacances de Noël.
Semaine du 06/01 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 16/12 à Tournai : Mardi 17 : fermé entre 14h30 et 15h30 (cours). Mercredi 18 : Fermé en matinée. jeudi 19 : ouvert à 10h30. Vendredi 20 : ouvert à 10h30, fermeture à 15h00
Semaine du 09/12 à Mouscron : Lundi : ouverture à 10h30 et fermeture à 17h00.
Semaine du 16/12 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30. Fermeture à 17h00.
Semaine du 23/12 et du 30/12 à Mouscron : Congé de Noël
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Affaire du Médiator : quelles leçons pour les soignants? / Adrien Renaud in L'infirmièr.e, n°8 (Mai 2021)
[article]
Titre : Affaire du Médiator : quelles leçons pour les soignants? Type de document : texte imprimé Auteurs : Adrien Renaud Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 16-17 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Condamnation judiciaire ; C:Conflit psychique ; C:Culpabilité ; E:Effet secondaire indésirable des médicaments ; H:Homicide ; I:Industrie pharmaceutique ; J:Justice ; M:Mort ; R:Responsabilité ; S:Santé publiqueRésumé : Après douze ans d’enquête, la justice a tranché : les laboratoires Servier et l’ANSM sont coupables. Mais le feuilleton judiciaire est appelé à se poursuivre… tout comme la bataille pour l’indépendance des soignants face à l’industrie.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46555
in L'infirmièr.e > n°8 (Mai 2021) . - p. 16-17[article] Affaire du Médiator : quelles leçons pour les soignants? [texte imprimé] / Adrien Renaud . - 2021 . - p. 16-17.
Langues : Français (fre)
in L'infirmièr.e > n°8 (Mai 2021) . - p. 16-17
Catégories : Alpha
C:Condamnation judiciaire ; C:Conflit psychique ; C:Culpabilité ; E:Effet secondaire indésirable des médicaments ; H:Homicide ; I:Industrie pharmaceutique ; J:Justice ; M:Mort ; R:Responsabilité ; S:Santé publiqueRésumé : Après douze ans d’enquête, la justice a tranché : les laboratoires Servier et l’ANSM sont coupables. Mais le feuilleton judiciaire est appelé à se poursuivre… tout comme la bataille pour l’indépendance des soignants face à l’industrie.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46555 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006026 INF Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible Cancer de la prostate : souffrir de sa guérison / Solène Basier in Psycho-Oncologie, Vol. 13, 1 (Mars 2019)
[article]
Titre : Cancer de la prostate : souffrir de sa guérison Type de document : texte imprimé Auteurs : Solène Basier, Auteur ; Marie-Christine Pheulpin, Auteur ; B. Guillonneau, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.34-38 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cancer ; C:Conflit psychique ; G:Guérison ; P:Prostate ; P:Psycho-oncologie ; R:Relation médecin-patient ; S:Souffrance psychiqueRésumé : Le diagnostic précoce du cancer de la prostate permet à des patients de choisir de vivre avec un cancer peu menaçant, via une surveillance active (SA) qui mène souvent à une chirurgie, dont les effets secondaires s’inscrivent dans une forme de chronicité, impactant vie quotidienne, image de soi et sexualité. Qu’implique sur le plan psychique de vivre avec un cancer non traité, mais surveillé ? Comment vivre après une intervention chirurgicale aux conséquences mutilantes, handicapantes, portant atteinte au narcissisme ?
Objectif : Interroger les remaniements psychiques à l’œuvre chez des patients diagnostiqués d’un cancer de la prostate, opérés soit après plus d’un an de SA, soit sans délai.
Méthode : Dans le cadre d’une recherche doctorale en cours, des entretiens semi-directifs sont proposés en préopératoire, six semaines après, puis six mois. Ces entretiens sont appuyés par des autoquestionnaires ainsi que des tests projectifs : le Rorschach et le TAT (Thematic Apperception Test).
Résultats : Les patients opérés après avoir vécu une SA ont bénéficié d’une temporalité particulière au cours de laquelle la plupart d’entre eux ont pu accepter l’inacceptable et tolérer l’idée d’avoir un cancer et vivre avec. Si cette période permet à certains de se préparer à l’évolution de leur cancer et à son traitement par ablation, souvent synonyme de guérison, les effets secondaires de la chirurgie restent parfois très difficiles à vivre, surtout lorsqu’ils s’installent dans la durée et impactent le quotidien, constituant alors une nouvelle forme de chronicité. Vivre avec un « corps cancéreux » en SA n’est pas ici une épreuve physique où le corps est le siège de douleurs physiques et de fatigue, mais essentiellement une épreuve psychique. De façon paradoxale, le « corps guéri » subit des transformations en période postopératoire, des bouleversements qui touchent et atteignent l’image que l’homme a de lui-même.
Conclusion : Compte tenu des progrès de la médecine dans le dépistage et le traitement curatif du cancer de la prostate, quels sont les enjeux actuels du dépistage précoce ? Peut-on réellement parler de guérison lorsque le vécu subjectif des patients va à l’encontre de la définition habituelle de ce terme ? La « guérison chronique » succéderait-elle à la « maladie chronique » ?Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41861
in Psycho-Oncologie > Vol. 13, 1 (Mars 2019) . - p.34-38[article] Cancer de la prostate : souffrir de sa guérison [texte imprimé] / Solène Basier, Auteur ; Marie-Christine Pheulpin, Auteur ; B. Guillonneau, Auteur . - 2019 . - p.34-38.
Langues : Français (fre)
in Psycho-Oncologie > Vol. 13, 1 (Mars 2019) . - p.34-38
Catégories : Alpha
C:Cancer ; C:Conflit psychique ; G:Guérison ; P:Prostate ; P:Psycho-oncologie ; R:Relation médecin-patient ; S:Souffrance psychiqueRésumé : Le diagnostic précoce du cancer de la prostate permet à des patients de choisir de vivre avec un cancer peu menaçant, via une surveillance active (SA) qui mène souvent à une chirurgie, dont les effets secondaires s’inscrivent dans une forme de chronicité, impactant vie quotidienne, image de soi et sexualité. Qu’implique sur le plan psychique de vivre avec un cancer non traité, mais surveillé ? Comment vivre après une intervention chirurgicale aux conséquences mutilantes, handicapantes, portant atteinte au narcissisme ?
Objectif : Interroger les remaniements psychiques à l’œuvre chez des patients diagnostiqués d’un cancer de la prostate, opérés soit après plus d’un an de SA, soit sans délai.
Méthode : Dans le cadre d’une recherche doctorale en cours, des entretiens semi-directifs sont proposés en préopératoire, six semaines après, puis six mois. Ces entretiens sont appuyés par des autoquestionnaires ainsi que des tests projectifs : le Rorschach et le TAT (Thematic Apperception Test).
Résultats : Les patients opérés après avoir vécu une SA ont bénéficié d’une temporalité particulière au cours de laquelle la plupart d’entre eux ont pu accepter l’inacceptable et tolérer l’idée d’avoir un cancer et vivre avec. Si cette période permet à certains de se préparer à l’évolution de leur cancer et à son traitement par ablation, souvent synonyme de guérison, les effets secondaires de la chirurgie restent parfois très difficiles à vivre, surtout lorsqu’ils s’installent dans la durée et impactent le quotidien, constituant alors une nouvelle forme de chronicité. Vivre avec un « corps cancéreux » en SA n’est pas ici une épreuve physique où le corps est le siège de douleurs physiques et de fatigue, mais essentiellement une épreuve psychique. De façon paradoxale, le « corps guéri » subit des transformations en période postopératoire, des bouleversements qui touchent et atteignent l’image que l’homme a de lui-même.
Conclusion : Compte tenu des progrès de la médecine dans le dépistage et le traitement curatif du cancer de la prostate, quels sont les enjeux actuels du dépistage précoce ? Peut-on réellement parler de guérison lorsque le vécu subjectif des patients va à l’encontre de la définition habituelle de ce terme ? La « guérison chronique » succéderait-elle à la « maladie chronique » ?Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41861 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008521 PSY Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible La chute " à corps défendant " / Céline Racin in Santé Mentale, 283 (Décembre 2023)
[article]
Titre : La chute " à corps défendant " Type de document : texte imprimé Auteurs : Céline Racin, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 51-57 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Les épreuves du vieillissement ". Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cas clinique ; C:Chute ; C:Conflit psychique ; D:Dépendance (autonomie) ; G:Grand âge ; I:Image de soi ; N:Narcissisme ; O:Oedipe (complexe) ; P:Personne âgée ; P:Processus psychique ; S:Souffrance psychique ; V:Vécu du patient ; V:VieillissementRésumé : Chez la personne âgée, la chute est un événement physique redouté, marqueur de vulnérabilité et de dépendance. Si elle inflige une blessure au corps autant qu’à la psyché, elle peut aussi constituer une ouverture sur le travail psychique du vieillir.
« À 90 ans passés, on vieillit autrement qu’après la cinquantaine ou la soixantaine : on vieillit sans se sentir offensé. Son visage ridé et rose se faisait vieux à la façon des très vieilles étoffes, des soieries anciennes dans lesquelles l’habileté manuelle et les rêves de toute une famille se trouvent intégrés. » (Marai, 1942).
En quelques mots, se dessine ici la promesse d’un vieillissement progressivement consenti, source de reconnaissance sociale, dans lequel l’avancée insidieuse sur l’axe du temps serait vécue relativement sereinement et le corps vieillissant garderait sa capacité d’être un objet d’admiration. Mais il est des coups qui, jalonnant le processus de vieillissement, conduisent de façon incontournable à l’urgence de traiter la perspective de la « perte de soi » qu’il était possible jusqu’alors d’esquiver, de porter loin devant soi. L’expérience de la chute constitue parfois l’un de ces coups, véritable « coup du corps », confirmant l’intuition selon laquelle « le corps est donc souvent celui par qui le scandale arrive » (Noël, 2012, p. 264). C’est là le point commun d’un certain nombre de personnes âgées que nous rencontrons dans le cadre d’une recherche doctorale, sur l’identification des facteurs de risque psychologiques chez des hommes et des femmes âgés de plus de 75 ans, hospitalisées et confrontées à une situation de dépendance nécessitant le recours durable à des aides renforcées, sous la forme d’aides à domicile ou de soutien institutionnel en établissement d’hébergement. Les rencontres organisées au cours de l’hospitalisation puis trois mois environ après la sortie de l’hôpital, soit au domicile habituel, soit sur le nouveau lieu de vie, visent à repérer les problématiques psychiques rencontrées à ce moment de la vie et à évaluer la qualité des processus et conduites psychiques mobilisés, en tenant compte à la fois de la personnalité de l’individu et de l’intégrité des processus cognitifs permettant d’élaborer ces problématiques (au moyen d’épreuves neuropsychologiques).Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53694
in Santé Mentale > 283 (Décembre 2023) . - p. 51-57[article] La chute " à corps défendant " [texte imprimé] / Céline Racin, Auteur . - 2023 . - p. 51-57.
Cet article fait partie du dossier " Les épreuves du vieillissement ".
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 283 (Décembre 2023) . - p. 51-57
Catégories : Alpha
C:Cas clinique ; C:Chute ; C:Conflit psychique ; D:Dépendance (autonomie) ; G:Grand âge ; I:Image de soi ; N:Narcissisme ; O:Oedipe (complexe) ; P:Personne âgée ; P:Processus psychique ; S:Souffrance psychique ; V:Vécu du patient ; V:VieillissementRésumé : Chez la personne âgée, la chute est un événement physique redouté, marqueur de vulnérabilité et de dépendance. Si elle inflige une blessure au corps autant qu’à la psyché, elle peut aussi constituer une ouverture sur le travail psychique du vieillir.
« À 90 ans passés, on vieillit autrement qu’après la cinquantaine ou la soixantaine : on vieillit sans se sentir offensé. Son visage ridé et rose se faisait vieux à la façon des très vieilles étoffes, des soieries anciennes dans lesquelles l’habileté manuelle et les rêves de toute une famille se trouvent intégrés. » (Marai, 1942).
En quelques mots, se dessine ici la promesse d’un vieillissement progressivement consenti, source de reconnaissance sociale, dans lequel l’avancée insidieuse sur l’axe du temps serait vécue relativement sereinement et le corps vieillissant garderait sa capacité d’être un objet d’admiration. Mais il est des coups qui, jalonnant le processus de vieillissement, conduisent de façon incontournable à l’urgence de traiter la perspective de la « perte de soi » qu’il était possible jusqu’alors d’esquiver, de porter loin devant soi. L’expérience de la chute constitue parfois l’un de ces coups, véritable « coup du corps », confirmant l’intuition selon laquelle « le corps est donc souvent celui par qui le scandale arrive » (Noël, 2012, p. 264). C’est là le point commun d’un certain nombre de personnes âgées que nous rencontrons dans le cadre d’une recherche doctorale, sur l’identification des facteurs de risque psychologiques chez des hommes et des femmes âgés de plus de 75 ans, hospitalisées et confrontées à une situation de dépendance nécessitant le recours durable à des aides renforcées, sous la forme d’aides à domicile ou de soutien institutionnel en établissement d’hébergement. Les rencontres organisées au cours de l’hospitalisation puis trois mois environ après la sortie de l’hôpital, soit au domicile habituel, soit sur le nouveau lieu de vie, visent à repérer les problématiques psychiques rencontrées à ce moment de la vie et à évaluer la qualité des processus et conduites psychiques mobilisés, en tenant compte à la fois de la personnalité de l’individu et de l’intégrité des processus cognitifs permettant d’élaborer ces problématiques (au moyen d’épreuves neuropsychologiques).Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53694 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006779 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T010136 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Convoquer ses ruminations ! / Guillaume Delannoy in Santé Mentale, 252 (Novembre 2020)
[article]
Titre : Convoquer ses ruminations ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume Delannoy, Auteur ; Vania Torres-Lacaze, Auteur ; Annick Toussaint, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.56-61 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accompagnement thérapeutique ; A:Approche systémique ; C:Cas clinique ; C:Conflit psychique ; P:Pensée ; P:Psychiatrie ; P:Psychothérapie ; T:Trouble obsessionnel compulsifRésumé : Face à des pensées envahissantes, effrayantes ou dérangeantes, l’approche systémique et stratégique consiste à les explorer pour en comprendre les tenants et les aboutissants. Plusieurs démarches peuvent être proposées au patient pour les « digérer ». Histoires cliniques.
Il est inefficace de vouloir supprimer volontairement des pensées intempestives. L’approche systémique et stratégique va chercher au contraire à les convoquer, les explorer, en comprendre les tenants et les aboutissants, les conduire au bout de leur logique… afin de permettre aux patients de les digérer. Quatre vignettes cliniques illustrent cette approche.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45212
in Santé Mentale > 252 (Novembre 2020) . - p.56-61[article] Convoquer ses ruminations ! [texte imprimé] / Guillaume Delannoy, Auteur ; Vania Torres-Lacaze, Auteur ; Annick Toussaint, Auteur . - 2020 . - p.56-61.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 252 (Novembre 2020) . - p.56-61
Catégories : Alpha
A:Accompagnement thérapeutique ; A:Approche systémique ; C:Cas clinique ; C:Conflit psychique ; P:Pensée ; P:Psychiatrie ; P:Psychothérapie ; T:Trouble obsessionnel compulsifRésumé : Face à des pensées envahissantes, effrayantes ou dérangeantes, l’approche systémique et stratégique consiste à les explorer pour en comprendre les tenants et les aboutissants. Plusieurs démarches peuvent être proposées au patient pour les « digérer ». Histoires cliniques.
Il est inefficace de vouloir supprimer volontairement des pensées intempestives. L’approche systémique et stratégique va chercher au contraire à les convoquer, les explorer, en comprendre les tenants et les aboutissants, les conduire au bout de leur logique… afin de permettre aux patients de les digérer. Quatre vignettes cliniques illustrent cette approche.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45212 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M005910 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T008313 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Déni et paradoxes dans l'anorexie / Katryn Driffield in Santé Mentale, 240 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Déni et paradoxes dans l'anorexie Type de document : texte imprimé Auteurs : Katryn Driffield Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 54-59 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Anorexie mentale ; C:Cas clinique ; C:Clivage ; C:Conflit psychique ; D:Déni ; I:Individuation ; P:Projection ; P:Psychothérapie ; R:Relation parent-enfant ; T:Théorie ; T:Transfert (psychiatrie)Résumé : De manière constante, une personne anorexique est dans le déni de son apparence, de son comportement alimentaire, de son besoin de nourriture et de sa souffrance émotionnelle. Le soignant doit tenter de la rejoindre dans ses paradoxes, mais sans devenir complice.
Le mécanisme du déni caractérise l’anorexie. De façon constante, la personne anorexique est dans le déni de son apparence, de son comportement alimentaire dit « déviant », de son besoin de nourriture et de sa souffrance émotionnelle. Pour le soignant, la rencontre avec le sujet qui s’ingénie à nier le symptôme autant que la plainte est loin d’être évidente. Cet article propose un rappel de l’évolution des conceptions pathogéniques de l’anorexie et la clinique actuelle. Plusieurs vignettes cliniques éclairent les différentes facettes du déni.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42124
in Santé Mentale > 240 (Septembre 2019) . - p. 54-59[article] Déni et paradoxes dans l'anorexie [texte imprimé] / Katryn Driffield . - 2019 . - p. 54-59.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 240 (Septembre 2019) . - p. 54-59
Catégories : Alpha
A:Anorexie mentale ; C:Cas clinique ; C:Clivage ; C:Conflit psychique ; D:Déni ; I:Individuation ; P:Projection ; P:Psychothérapie ; R:Relation parent-enfant ; T:Théorie ; T:Transfert (psychiatrie)Résumé : De manière constante, une personne anorexique est dans le déni de son apparence, de son comportement alimentaire, de son besoin de nourriture et de sa souffrance émotionnelle. Le soignant doit tenter de la rejoindre dans ses paradoxes, mais sans devenir complice.
Le mécanisme du déni caractérise l’anorexie. De façon constante, la personne anorexique est dans le déni de son apparence, de son comportement alimentaire dit « déviant », de son besoin de nourriture et de sa souffrance émotionnelle. Pour le soignant, la rencontre avec le sujet qui s’ingénie à nier le symptôme autant que la plainte est loin d’être évidente. Cet article propose un rappel de l’évolution des conceptions pathogéniques de l’anorexie et la clinique actuelle. Plusieurs vignettes cliniques éclairent les différentes facettes du déni.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42124 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M005645 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T008514 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Le déni pour survivre / Nicolas Gougoulis in Santé Mentale, 240 (Septembre 2019)
PermalinkL’éthique martiale : un remède à la souffrance des soignants ? / S. Lopez-Jacob in Ethique & Santé, Vol. 17, 4 (Décembre 2020)
PermalinkFace au risque suicidaire des soignants / Marguerite Charazac-Brunel in Santé Mentale, 213 (Décembre 2016)
PermalinkIdentité, genre et dépression adolescente / Catherine Zittoun in Santé Mentale, 269 (Juin 2022)
PermalinkImpact émotionnel de l'intersubjectivité / Slimane Zerrouk in Santé Mentale, 254 (Janvier 2021)
PermalinkLa litigaphobia, ou peur des procès, au sein du monde médical : petite déclinaison d'écueils et pistes de solutions / Valérie Teitelbaum in Ethica Clinica, 96 (Octobre 2019)
Permalink"Ma mère m'a abandonné à la psychiatrie" / Léa Martinez in Santé Mentale, 219 (Juin 2017)
PermalinkNévrose ou conduite d’échec / Marina Litinetskaia in Santé Mentale, 229 (Juin 2018)
PermalinkPsychodynamique du parent abuseur / Gérard Bonnet in Santé Mentale, 271 (Octobre 2022)
PermalinkQuand le conflit fait figure de symptôme / Raymond Panchaud in Santé Mentale, 266 (Mars 2022)
PermalinkLa relation perverse narcissique / Maurice Hurni in Santé Mentale, 188 (Mai 2014)
PermalinkRumination : la pensée de trop / Guillaume Von Der Weid in Santé Mentale, 252 (Novembre 2020)
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