Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Auteur Joanna Smith |
Documents disponibles écrits par cet auteur



[article]
Titre : Adaptation et mémoire traumatique Type de document : texte imprimé Auteurs : Joanna Smith Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 74-79 Note générale : Cet article fait partie du dossier "L'adaptation en question(s)". Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Adaptation ; C:Cas clinique ; C:Crise sanitaire ; D:Dissociation ; E:Evénement de vie ; P:Psychothérapie ; R:Relation sociale ; S:Stress post-traumatique ; S:Stress psychologique ; S:Système nerveux centralRésumé : Les difficultés d’adaptation peuvent être vues comme émanant d’événements de vie voire de traumatismes non résolus. Illustration avec l’histoire de Louise, 35 ans, qui souffre de plusieurs traumatismes ravivés par la crise sanitaire liée à la covid-19.
S’adapter, c’est pouvoir répondre avec souplesse aux enjeux du moment en exploitant pleinement son potentiel. Défini ainsi, cela peut paraître simple… Pourtant, cette capacité dépend grandement de notre système de gestion du stress, qui consiste à retenir du passé les informations pertinentes concernant le danger, et à en rejeter les non-pertinentes. Lorsque des données non pertinentes sont sélectionnées, ou au contraire que des informations pertinentes au sujet du danger ne le sont pas, voire les deux, nous risquons de développer des symptômes qui nous empêchent de nous adapter de façon optimale au présent.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46609
in Santé Mentale > 257 (Avril 2021) . - p. 74-79[article] Adaptation et mémoire traumatique [texte imprimé] / Joanna Smith . - 2021 . - p. 74-79.
Cet article fait partie du dossier "L'adaptation en question(s)".
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 257 (Avril 2021) . - p. 74-79
Catégories : Alpha
A:Adaptation ; C:Cas clinique ; C:Crise sanitaire ; D:Dissociation ; E:Evénement de vie ; P:Psychothérapie ; R:Relation sociale ; S:Stress post-traumatique ; S:Stress psychologique ; S:Système nerveux centralRésumé : Les difficultés d’adaptation peuvent être vues comme émanant d’événements de vie voire de traumatismes non résolus. Illustration avec l’histoire de Louise, 35 ans, qui souffre de plusieurs traumatismes ravivés par la crise sanitaire liée à la covid-19.
S’adapter, c’est pouvoir répondre avec souplesse aux enjeux du moment en exploitant pleinement son potentiel. Défini ainsi, cela peut paraître simple… Pourtant, cette capacité dépend grandement de notre système de gestion du stress, qui consiste à retenir du passé les informations pertinentes concernant le danger, et à en rejeter les non-pertinentes. Lorsque des données non pertinentes sont sélectionnées, ou au contraire que des informations pertinentes au sujet du danger ne le sont pas, voire les deux, nous risquons de développer des symptômes qui nous empêchent de nous adapter de façon optimale au présent.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46609 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006039 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009064 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible
[article]
Titre : Comment l'agresseur sexuel fait taire sa proie... Type de document : texte imprimé Auteurs : Joanna Smith Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 60-65 Note générale : Cet article fait partie du dossier " La relation d'emprise ". Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accompagnement thérapeutique ; A:Agression sexuelle ; A:Auteur de violence sexuelle ; E:Emprise ; F:Facteur de risque ; I:Inceste ; M:Manipulation ; V:Victime ; V:VulnérabilitéRésumé : Pour sortir de l’emprise associée aux violences sexuelles, il faut comprendre comment l’agresseur l’a progressivement mise en place. Trois modalités relationnelles émergent : l’effraction, la captation et la programmation.
Dans les violences sexuelles sur mineurs, l’emprise est, de loin, le mode opératoire le plus fréquent. En effet, seules 1 % de ces agressions s’accompagnent de violence physique additionnelle, et 85 % sont commises par une personne connue de l’enfant ou de l’adolescent, le plus souvent un proche. Pour sortir de l’emprise associée aux violences sexuelles, il est nécessaire de comprendre comment l’agresseur l’a déployée, et ce qui la compose. Or, sa mise en place est souvent progressive, insidieuse, au point que la victime (et souvent son entourage) ne s’en aperçoit pas. Ne pas voir l’emprise et ses composantes entretient et consolide les sentiments de culpabilité de la victime, qui se perd en auto-reproches et en questionnements erronés : « Pourquoi n’ai-je pas dit non ? Pourquoi n’ai-je pas révélé les faits ? » ou : « Pourquoi ne pas avoir parlé plus tôt ? N’ai-je pas trouvé un bénéfice ou du plaisir aux agressions ? Est-ce que c’était vraiment du viol ? » … Ces questionnements sont biaisés car ils ne tiennent pas compte du contexte d’emprise. Les doutes et auto-accusations de la victime sont eux-mêmes un signe de l’emprise persistante de l’agresseur.
Aider une victime de violences sexuelles à se reconstruire après l’emprise, c’est l’aider à passer de « pourquoi je n’ai pas dit non ? » à « comment l’agresseur m’a-t-il empêchée de dire non ? ». L’emprise est un mécanisme subtil et lent, qui touche non seulement la victime, mais aussi souvent ses proches et ses parents par exemple lorsqu’il s’agit d’un enfant [...]Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57205
in Santé Mentale > 296 (Avril 2025) . - p. 60-65[article] Comment l'agresseur sexuel fait taire sa proie... [texte imprimé] / Joanna Smith . - 2025 . - p. 60-65.
Cet article fait partie du dossier " La relation d'emprise ".
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 296 (Avril 2025) . - p. 60-65
Catégories : Alpha
A:Accompagnement thérapeutique ; A:Agression sexuelle ; A:Auteur de violence sexuelle ; E:Emprise ; F:Facteur de risque ; I:Inceste ; M:Manipulation ; V:Victime ; V:VulnérabilitéRésumé : Pour sortir de l’emprise associée aux violences sexuelles, il faut comprendre comment l’agresseur l’a progressivement mise en place. Trois modalités relationnelles émergent : l’effraction, la captation et la programmation.
Dans les violences sexuelles sur mineurs, l’emprise est, de loin, le mode opératoire le plus fréquent. En effet, seules 1 % de ces agressions s’accompagnent de violence physique additionnelle, et 85 % sont commises par une personne connue de l’enfant ou de l’adolescent, le plus souvent un proche. Pour sortir de l’emprise associée aux violences sexuelles, il est nécessaire de comprendre comment l’agresseur l’a déployée, et ce qui la compose. Or, sa mise en place est souvent progressive, insidieuse, au point que la victime (et souvent son entourage) ne s’en aperçoit pas. Ne pas voir l’emprise et ses composantes entretient et consolide les sentiments de culpabilité de la victime, qui se perd en auto-reproches et en questionnements erronés : « Pourquoi n’ai-je pas dit non ? Pourquoi n’ai-je pas révélé les faits ? » ou : « Pourquoi ne pas avoir parlé plus tôt ? N’ai-je pas trouvé un bénéfice ou du plaisir aux agressions ? Est-ce que c’était vraiment du viol ? » … Ces questionnements sont biaisés car ils ne tiennent pas compte du contexte d’emprise. Les doutes et auto-accusations de la victime sont eux-mêmes un signe de l’emprise persistante de l’agresseur.
Aider une victime de violences sexuelles à se reconstruire après l’emprise, c’est l’aider à passer de « pourquoi je n’ai pas dit non ? » à « comment l’agresseur m’a-t-il empêchée de dire non ? ». L’emprise est un mécanisme subtil et lent, qui touche non seulement la victime, mais aussi souvent ses proches et ses parents par exemple lorsqu’il s’agit d’un enfant [...]Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57205 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M007075 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T010618 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Documents numériques
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Comment l'agresseur sexuel fait taire sa proie...
[article]
Titre : Corps, trauma et régulation des émotions Type de document : texte imprimé Auteurs : Joanna Smith Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 60-64 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cas clinique ; C:Corps ; P:Prise en charge personnalisée du patient ; P:Psychothérapie ; R:Régulation des émotions ; R:Relation thérapeutique ; R:Reviviscence ; S:Stress post-traumatique ; T:Tolérance ; V:Vécu du patientRésumé : Le corps est central dans le trauma : le corps traumatisé pleure, il se fige, il "abréagit", il agresse. Grâce à l'éclairage de la théorie polyvagale de Porgès (2011), l'auteur décrit comment mobiliser le corps afin de contrer les effets du traumatisme psychique (tentative de fuite, de combat, de figement), notamment à l'aide de brefs exercices psychocorporels. La thérapie Lifespan Integration, aussi connue sous l'appellation ICV (Intégration du cycle de la vie), illustre comment la théorie polyvagale peut être employée afin de favoriser la régulation des émotions dans le cadre de la psychothérapie du trauma.
La théorie polyvagale apporte un nouvel éclairage dans la compréhension du stress et du trauma. Elle propose une aide clinique dans le monitoring et la régulation de l’état émotionnel du patient.
La théorie polyvagale, déveoppée par Porges (Porges, 2021, 2022 ; Porges et Dana, 2022) dans les années 1990 représente aujourd’hui une révolution dans la compréhension du stress, du trauma et de leurs traitements. Nous développerons ici les grandes lignes de cette théorie et décrirons la manière dont elle peut être appliquée à la prise en charge du traumatisme psychique, à travers l’exemple du Lifespan Integration (Intégration du cycle de la vie, ICV) de Peggy Pace (Pace, 2014). Nous proposerons un kit de repères pour la clinique « corps et trauma », qui structure des stratégies aidantes dans les situations difficiles face à une réactivation traumatique chez un patient.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51290
in Santé Mentale > 274 (Janvier 2023) . - p. 60-64[article] Corps, trauma et régulation des émotions [texte imprimé] / Joanna Smith . - 2023 . - p. 60-64.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 274 (Janvier 2023) . - p. 60-64
Catégories : Alpha
C:Cas clinique ; C:Corps ; P:Prise en charge personnalisée du patient ; P:Psychothérapie ; R:Régulation des émotions ; R:Relation thérapeutique ; R:Reviviscence ; S:Stress post-traumatique ; T:Tolérance ; V:Vécu du patientRésumé : Le corps est central dans le trauma : le corps traumatisé pleure, il se fige, il "abréagit", il agresse. Grâce à l'éclairage de la théorie polyvagale de Porgès (2011), l'auteur décrit comment mobiliser le corps afin de contrer les effets du traumatisme psychique (tentative de fuite, de combat, de figement), notamment à l'aide de brefs exercices psychocorporels. La thérapie Lifespan Integration, aussi connue sous l'appellation ICV (Intégration du cycle de la vie), illustre comment la théorie polyvagale peut être employée afin de favoriser la régulation des émotions dans le cadre de la psychothérapie du trauma.
La théorie polyvagale apporte un nouvel éclairage dans la compréhension du stress et du trauma. Elle propose une aide clinique dans le monitoring et la régulation de l’état émotionnel du patient.
La théorie polyvagale, déveoppée par Porges (Porges, 2021, 2022 ; Porges et Dana, 2022) dans les années 1990 représente aujourd’hui une révolution dans la compréhension du stress, du trauma et de leurs traitements. Nous développerons ici les grandes lignes de cette théorie et décrirons la manière dont elle peut être appliquée à la prise en charge du traumatisme psychique, à travers l’exemple du Lifespan Integration (Intégration du cycle de la vie, ICV) de Peggy Pace (Pace, 2014). Nous proposerons un kit de repères pour la clinique « corps et trauma », qui structure des stratégies aidantes dans les situations difficiles face à une réactivation traumatique chez un patient.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51290 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006503 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009771 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible
[article]
Titre : Dissociation traumatique : de quoi s’agit-il ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Joanna Smith Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 36-40 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Je suis traumatisé!" Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Agressivité ; C:Consommation (addiction) ; D:Dépersonnalisation ; D:Diagnostic ; D:Dissociation ; N:Neurobiologie ; N:Neurosciences ; N:Nosologie ; R:Régulation des émotions ; T:Traumatisme psychique ; T:Trouble du comportement alimentaireRésumé : La compréhension du phénomène de dissociation grâce aux données issues des neurosciences permet d’appréhender un certain nombre de symptômes sous un jour nouveau. Repères et illustration clinique.
La dissociation est un concept de plus en plus employé, mais aux significations multiples. A partir de l'histoire clinique d'Elodie, souffrant de troubles dissociatifs, nous expliquerons comment les recherches en neurosciences portant sur le cerveau des personnes souffrant de traumatisme psychique permettent de déterminer les contours de la dissociation structurelle, à partir de symptômes positifs ou négatifs, psychoformes ou somatoformes, et de symptômes émanant de tentatives de régulation émotionnelle face à la dissociation, comme les comportements addictifs, les troubles du comportement alimentaire ou les passages à l'acte auto ou hétéro-agressifs. Ces différents éléments nous conduiront à aborder l'importance de la psychoéducation, de la sensibilisation des proches et de la formation des professionnels.
Élodie, 32 ans, consulte au retour de son voyage de noces à l’étranger pendant lequel sont apparus des voix et des flashs au contenu sexuel dont elle se souvient partiellement. Elle souhaite travailler sur son histoire et être soulagée de ses troubles, qui persistent un mois après son retour.
Cliniquement, Élodie présente une raideur corporelle, un visage très pâle et semble n’éprouver aucune émotion. Elle me fait penser à une poupée de porcelaine. Nous découvrirons par la suite au cours de la thérapie qu’elle éprouve très peu de sensations physiques, qu’elle a l’impression de ne pas être elle-même ou que ce qui se passe autour d’elle n’est pas réel. Elle est amimique (incapable de s’exprimer par des gestes), sa voix est monocorde et son regard peu expressif. Elle présente une amnésie partielle concernant son enfance : si elle se rappelle bien de sa scolarité, elle se souvient peu d’événements familiaux. Ceux-ci se présentent souvent sous forme de bribes avec un contenu traumatique (scènes de violences verbales et physiques contre elle ou sa mère). Sur le plan de la symptomatologie dissociative, on retient donc des sensations de déréalisation et de dépersonnalisation chroniques, une amnésie partielle de l’enfance, une anesthésie émotionnelle et sensorielle, et des intrusions, notamment sous forme de flash-back.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50857
in Santé Mentale > 272 (Novembre 2022) . - p. 36-40[article] Dissociation traumatique : de quoi s’agit-il ? [texte imprimé] / Joanna Smith . - 2022 . - p. 36-40.
Cet article fait partie du dossier "Je suis traumatisé!"
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 272 (Novembre 2022) . - p. 36-40
Catégories : Alpha
A:Agressivité ; C:Consommation (addiction) ; D:Dépersonnalisation ; D:Diagnostic ; D:Dissociation ; N:Neurobiologie ; N:Neurosciences ; N:Nosologie ; R:Régulation des émotions ; T:Traumatisme psychique ; T:Trouble du comportement alimentaireRésumé : La compréhension du phénomène de dissociation grâce aux données issues des neurosciences permet d’appréhender un certain nombre de symptômes sous un jour nouveau. Repères et illustration clinique.
La dissociation est un concept de plus en plus employé, mais aux significations multiples. A partir de l'histoire clinique d'Elodie, souffrant de troubles dissociatifs, nous expliquerons comment les recherches en neurosciences portant sur le cerveau des personnes souffrant de traumatisme psychique permettent de déterminer les contours de la dissociation structurelle, à partir de symptômes positifs ou négatifs, psychoformes ou somatoformes, et de symptômes émanant de tentatives de régulation émotionnelle face à la dissociation, comme les comportements addictifs, les troubles du comportement alimentaire ou les passages à l'acte auto ou hétéro-agressifs. Ces différents éléments nous conduiront à aborder l'importance de la psychoéducation, de la sensibilisation des proches et de la formation des professionnels.
Élodie, 32 ans, consulte au retour de son voyage de noces à l’étranger pendant lequel sont apparus des voix et des flashs au contenu sexuel dont elle se souvient partiellement. Elle souhaite travailler sur son histoire et être soulagée de ses troubles, qui persistent un mois après son retour.
Cliniquement, Élodie présente une raideur corporelle, un visage très pâle et semble n’éprouver aucune émotion. Elle me fait penser à une poupée de porcelaine. Nous découvrirons par la suite au cours de la thérapie qu’elle éprouve très peu de sensations physiques, qu’elle a l’impression de ne pas être elle-même ou que ce qui se passe autour d’elle n’est pas réel. Elle est amimique (incapable de s’exprimer par des gestes), sa voix est monocorde et son regard peu expressif. Elle présente une amnésie partielle concernant son enfance : si elle se rappelle bien de sa scolarité, elle se souvient peu d’événements familiaux. Ceux-ci se présentent souvent sous forme de bribes avec un contenu traumatique (scènes de violences verbales et physiques contre elle ou sa mère). Sur le plan de la symptomatologie dissociative, on retient donc des sensations de déréalisation et de dépersonnalisation chroniques, une amnésie partielle de l’enfance, une anesthésie émotionnelle et sensorielle, et des intrusions, notamment sous forme de flash-back.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50857 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006493 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible Le grand livre des 1000 premiers jours de vie (2021)
Titre : Le grand livre des 1000 premiers jours de vie : développement, trauma, approche thérapeutique Type de document : texte imprimé Auteurs : Joanna Smith, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Antoine Guedeney, Postfacier, auteur du colophon, etc. Editeur : Malakoff : Dunod Année de publication : 2021 Importance : 1 vol. (XX-364 p.) Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-10-082024-5 Prix : 34 euros Note générale : Bibliogr. p. 325-361. Webliogr. p. 363-364 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Attachement ; C:Cerveau ; C:Conséquence psychologique ; C:Construction de soi ; D:Développement psychique ; L:Lien mère-enfant ; P:Petite enfance ; P:Psychothérapie ; R:Régulation des émotions ; R:Relation parent-enfant ; S:Santé mentale ; S:Somatique ; S:Stress psychologique ; T:Traumatisme psychique ; T:Trouble psychiqueRésumé : Grâce aux progrès des neurosciences et des recherches sur l'attachement, on saitaujourd'hui que la période des 1000 premiers jours ? de la conception aux 2 ans de l'enfant ? bien que non accessible à la mémoire consciente, est cruciale pour le développement, tant somatique que psychique. Du fait de la poussée de croissance massive du cerveau qui caractérise ces 1000 premiers jours, cette période joue un rôle capital sur l'attachement, la régulation du stress et des émotions, et la prévention des troubles psychiques et somatiques, à l'échelle de la vie.L'ouvrage récapitule les enjeux du développement normal des 1000 premiers jours, décrit les risques liés aux aléas et à l'adversité survenant durant cette période (insécurité ou désorganisation de l'attachement, naissance traumatique, prématurité, traumatismes, transmission transgénérationnelle?) et expose des stratégies d'intervention possibles (prévention au sein du lien parent-bébé ou, plus tard, psychothérapie des 1000 premiers jours chez l'enfant, l'adolescent ou l'adulte).Cet ouvrage est rédigé par des experts internationaux. Premier du genre, il fournit les informations encore insuffisamment connues quant à l'impact crucial des 1000 premiers jours sur le développement de l'enfant, pour la santé globale de l'adulte qu'il deviendra, et propose également des perspectives thérapeutiques novatrices.Sous la direction de Joanna Smith. Préface de Boris Cyrulnik - Postface d'Antoine GuedeneyAvec la contribution de : H. Dellucci, A. Deprez, E. Dozio, R. Dugravier, C. Genet, A. Guedeney, L. Mann, L. Provenzi, E. Rinaldi, P. V. Rousseau, A. Schore, S. Seguin, S. Tereno, E. Tronick, M.-N. Vacheron, V. Vandenbroucke, E. Wallon. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52089 Le grand livre des 1000 premiers jours de vie : développement, trauma, approche thérapeutique [texte imprimé] / Joanna Smith, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Antoine Guedeney, Postfacier, auteur du colophon, etc. . - Malakoff : Dunod, 2021 . - 1 vol. (XX-364 p.) ; 24 cm.
ISBN : 978-2-10-082024-5 : 34 euros
Bibliogr. p. 325-361. Webliogr. p. 363-364
Langues : Français (fre)
Catégories : Alpha
A:Attachement ; C:Cerveau ; C:Conséquence psychologique ; C:Construction de soi ; D:Développement psychique ; L:Lien mère-enfant ; P:Petite enfance ; P:Psychothérapie ; R:Régulation des émotions ; R:Relation parent-enfant ; S:Santé mentale ; S:Somatique ; S:Stress psychologique ; T:Traumatisme psychique ; T:Trouble psychiqueRésumé : Grâce aux progrès des neurosciences et des recherches sur l'attachement, on saitaujourd'hui que la période des 1000 premiers jours ? de la conception aux 2 ans de l'enfant ? bien que non accessible à la mémoire consciente, est cruciale pour le développement, tant somatique que psychique. Du fait de la poussée de croissance massive du cerveau qui caractérise ces 1000 premiers jours, cette période joue un rôle capital sur l'attachement, la régulation du stress et des émotions, et la prévention des troubles psychiques et somatiques, à l'échelle de la vie.L'ouvrage récapitule les enjeux du développement normal des 1000 premiers jours, décrit les risques liés aux aléas et à l'adversité survenant durant cette période (insécurité ou désorganisation de l'attachement, naissance traumatique, prématurité, traumatismes, transmission transgénérationnelle?) et expose des stratégies d'intervention possibles (prévention au sein du lien parent-bébé ou, plus tard, psychothérapie des 1000 premiers jours chez l'enfant, l'adolescent ou l'adulte).Cet ouvrage est rédigé par des experts internationaux. Premier du genre, il fournit les informations encore insuffisamment connues quant à l'impact crucial des 1000 premiers jours sur le développement de l'enfant, pour la santé globale de l'adulte qu'il deviendra, et propose également des perspectives thérapeutiques novatrices.Sous la direction de Joanna Smith. Préface de Boris Cyrulnik - Postface d'Antoine GuedeneyAvec la contribution de : H. Dellucci, A. Deprez, E. Dozio, R. Dugravier, C. Genet, A. Guedeney, L. Mann, L. Provenzi, E. Rinaldi, P. V. Rousseau, A. Schore, S. Seguin, S. Tereno, E. Tronick, M.-N. Vacheron, V. Vandenbroucke, E. Wallon. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52089 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006628 159.92/043 Livre Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009898 159.92/015 Livre Tournai Soins infirmiers (T) Disponible