Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Semaine du 01 avril à Tournai : Fermé lundi (Jour férié).Fermé mardi après-midi (cours)
Semaine du 01/04 à Mouscron : Fermé lundi (Jour férié).
Semaine du 08/04 à Mouscron : Horaire habituel.
Semaine du 25/03 à Mouscron : Fermé lundi de 8h00 à 10h30.Fermé mercredi 27/03 de 13h00 à 15h00.
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Le bébé des neurosciences [Dossier] / Jacques Dayan in Spirale : La grande aventure de Monsieur bébé, 76 (Décembre 2015)
[article]
Titre : Le bébé des neurosciences [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Dayan ; et al. Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.13-83 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
B:Bébé ; C:Cerveau ; D:Développement ; N:Neurobiologie ; N:Neurosciences ; N:NourrissonRésumé : Peut-on mieux comprendre les bébés, à partir de ce qui se passe dans leurs cerveaux ? Et si les dernières découvertes de la neurobiologie et de l’imagerie cérébrale nous permettaient de rendre nos enfants plus heureux ? Les neuroscientifiques ont clairement montré que le cerveau dispose d’une grande capacité́ d’adaptation aux demandes de son environnement : la plasticité́. Elle est une caractéristique fondamentale du cerveau tout au long de la vie, même s’il existe des périodes idéales ou « sensibles » durant lesquelles un apprentissage donné présentera une efficacité́ maximale.
Alors si les tempêtes émotionnelles des tout-petits et leurs peurs irrationnelles (un bruit, le noir, une forme) sont en lien avec l’immaturité de leurs structures cérébrales, notamment celles situées dans le cortex orbitofrontal, comment les aider à apprivoiser et connaître leurs émotions ? Si les bienfaits du toucher lors d'un câlin génèrent la sécrétion d'ocytocine, l'hormone du bien-être, la bienveillance permet-elle à aux circuits cérébraux, qui vont de l’émotionnel au rationnel, de grandir ? Si le « système de motivation et de récompense » stimule la curiosité et active la sécrétion de dopamine, faut-il donc encourager plus souvent ses enfants ? Ce numéro sonde les cerveaux de nos petits bouts pour essayer de mieux comprendre la vie naissante et son développement.Note de contenu :
Page 9 à 14 Et maintenant, on fait quoi ?
Le bébé des neurosciences
Jacques Dayan
Page 15 à 17 Introduction
Jacques Dayan
Page 18 à 23 Le bébé des neurosciences est-il un bébé nouveau ?
Michèle Molina, François Jouen
Page 24 à 34 Aux origines de la connaissance
Jean Decety
Page 35 à 42 Le sens moral chez le bébé : neurosciences développementales
Marianne Barbu-Roth
Page 43 à 49 La mobilité autonome du nouveau-né et du nourrisson
Entretien par Jacques Dayan
Joëlle Provasi
Page 50 à 63 Comment le rythme vient aux bébés ?
Bernard Golse
Page 64 à 76 L’approche piklerienne au carrefour des neurosciences et de la psychanalyse
Joëlle Rochette-Guglielmi
Page 77 à 85 Le bébé agent des états mentaux d’autrui
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30834
in Spirale : La grande aventure de Monsieur bébé > 76 (Décembre 2015) . - p.13-83[article] Le bébé des neurosciences [Dossier] [texte imprimé] / Jacques Dayan ; et al. . - 2015 . - p.13-83.
Langues : Français (fre)
in Spirale : La grande aventure de Monsieur bébé > 76 (Décembre 2015) . - p.13-83
Catégories : Alpha
B:Bébé ; C:Cerveau ; D:Développement ; N:Neurobiologie ; N:Neurosciences ; N:NourrissonRésumé : Peut-on mieux comprendre les bébés, à partir de ce qui se passe dans leurs cerveaux ? Et si les dernières découvertes de la neurobiologie et de l’imagerie cérébrale nous permettaient de rendre nos enfants plus heureux ? Les neuroscientifiques ont clairement montré que le cerveau dispose d’une grande capacité́ d’adaptation aux demandes de son environnement : la plasticité́. Elle est une caractéristique fondamentale du cerveau tout au long de la vie, même s’il existe des périodes idéales ou « sensibles » durant lesquelles un apprentissage donné présentera une efficacité́ maximale.
Alors si les tempêtes émotionnelles des tout-petits et leurs peurs irrationnelles (un bruit, le noir, une forme) sont en lien avec l’immaturité de leurs structures cérébrales, notamment celles situées dans le cortex orbitofrontal, comment les aider à apprivoiser et connaître leurs émotions ? Si les bienfaits du toucher lors d'un câlin génèrent la sécrétion d'ocytocine, l'hormone du bien-être, la bienveillance permet-elle à aux circuits cérébraux, qui vont de l’émotionnel au rationnel, de grandir ? Si le « système de motivation et de récompense » stimule la curiosité et active la sécrétion de dopamine, faut-il donc encourager plus souvent ses enfants ? Ce numéro sonde les cerveaux de nos petits bouts pour essayer de mieux comprendre la vie naissante et son développement.Note de contenu :
Page 9 à 14 Et maintenant, on fait quoi ?
Le bébé des neurosciences
Jacques Dayan
Page 15 à 17 Introduction
Jacques Dayan
Page 18 à 23 Le bébé des neurosciences est-il un bébé nouveau ?
Michèle Molina, François Jouen
Page 24 à 34 Aux origines de la connaissance
Jean Decety
Page 35 à 42 Le sens moral chez le bébé : neurosciences développementales
Marianne Barbu-Roth
Page 43 à 49 La mobilité autonome du nouveau-né et du nourrisson
Entretien par Jacques Dayan
Joëlle Provasi
Page 50 à 63 Comment le rythme vient aux bébés ?
Bernard Golse
Page 64 à 76 L’approche piklerienne au carrefour des neurosciences et de la psychanalyse
Joëlle Rochette-Guglielmi
Page 77 à 85 Le bébé agent des états mentaux d’autrui
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30834 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T006620 SPI Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Ce que la musique fait aux humains / F. Bouvet in Sciences Humaines, 272 (Juillet 2015)
[article]
Titre : Ce que la musique fait aux humains Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Bouvet, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.20-25 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Emotion ; I:Impact ; M:Musique ; N:NeurobiologiePermalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=28635
in Sciences Humaines > 272 (Juillet 2015) . - p.20-25[article] Ce que la musique fait aux humains [texte imprimé] / F. Bouvet, Auteur . - 2015 . - p.20-25.
Langues : Français (fre)
in Sciences Humaines > 272 (Juillet 2015) . - p.20-25
Catégories : Alpha
E:Emotion ; I:Impact ; M:Musique ; N:NeurobiologiePermalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=28635 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T006151 SCI Revue Tournai Communication Disponible Clinique du psychotraumatisme / P Louville in Santé Mentale, 176 (Mars 2013)
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T003967 T_2013_176 Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Le corps, premier acteur de la vie psychique / Philippe Nuss in Santé Mentale, 274 (Janvier 2023)
[article]
Titre : Le corps, premier acteur de la vie psychique Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Nuss Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 21-25 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Alliance thérapeutique ; C:Corps ; I:Imagerie médicale ; M:Maladie mentale ; N:Neurobiologie ; P:Processus psychique ; P:Psychopathologie ; R:Réflexion ; V:Vécu du patientRésumé :
Corps contraint par la maladie, corps expressif des symptômes… La clinique aujourd’hui doit tenir compte à la fois de la singularité du vécu subjectif de la pathologie et des connaissances actuelles en biologie ou imagerie cérébrale.
Contrairement à la représentation première, qui voudrait que la psychiatrie et la psychologie concernent essentiellement les réflexions, les émotions, les idées ou l’immatériel, force est de constater que le premier acteur de la vie psychique est le corps. Lieu de la pensée et acteur de l’action, réceptacle et instigateur de la sensation, figuration du soi en son sein propre et pour autrui, sont autant d’illustrations de l’enracinement de la vie psychique dans le corps. La pathologie mentale, qui se manifeste au sein des pensées, des actions, des sensations et dans le rapport à l’altérité, se trouve par conséquent indubitablement inscrite dans la question du corps. Le processus pathologique contraint le corps, notamment le cerveau. Le corps est à la fois l’écran passif objectivant la maladie et l’acteur dont les manifestations corporelles témoignent de la lutte mise en œuvre pour tenter de la contenir. Il s’agit d’ailleurs d’une caractéristique de la clinique psychopathologique que de considérer les symptômes autant comme l’expression immédiate du processus pathologique que la résultante d’un processus dynamique complexe de réaction contre ce dernier.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51283
in Santé Mentale > 274 (Janvier 2023) . - p. 21-25[article] Le corps, premier acteur de la vie psychique [texte imprimé] / Philippe Nuss . - 2023 . - p. 21-25.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 274 (Janvier 2023) . - p. 21-25
Catégories : Alpha
A:Alliance thérapeutique ; C:Corps ; I:Imagerie médicale ; M:Maladie mentale ; N:Neurobiologie ; P:Processus psychique ; P:Psychopathologie ; R:Réflexion ; V:Vécu du patientRésumé :
Corps contraint par la maladie, corps expressif des symptômes… La clinique aujourd’hui doit tenir compte à la fois de la singularité du vécu subjectif de la pathologie et des connaissances actuelles en biologie ou imagerie cérébrale.
Contrairement à la représentation première, qui voudrait que la psychiatrie et la psychologie concernent essentiellement les réflexions, les émotions, les idées ou l’immatériel, force est de constater que le premier acteur de la vie psychique est le corps. Lieu de la pensée et acteur de l’action, réceptacle et instigateur de la sensation, figuration du soi en son sein propre et pour autrui, sont autant d’illustrations de l’enracinement de la vie psychique dans le corps. La pathologie mentale, qui se manifeste au sein des pensées, des actions, des sensations et dans le rapport à l’altérité, se trouve par conséquent indubitablement inscrite dans la question du corps. Le processus pathologique contraint le corps, notamment le cerveau. Le corps est à la fois l’écran passif objectivant la maladie et l’acteur dont les manifestations corporelles témoignent de la lutte mise en œuvre pour tenter de la contenir. Il s’agit d’ailleurs d’une caractéristique de la clinique psychopathologique que de considérer les symptômes autant comme l’expression immédiate du processus pathologique que la résultante d’un processus dynamique complexe de réaction contre ce dernier.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51283 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006503 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009771 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Dissociation traumatique : de quoi s’agit-il ? / Joanna Smith in Santé Mentale, 272 (Novembre 2022)
[article]
Titre : Dissociation traumatique : de quoi s’agit-il ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Joanna Smith Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 36-40 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Je suis traumatisé!" Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Agressivité ; C:Consommation (addiction) ; D:Dépersonnalisation ; D:Diagnostic ; D:Dissociation ; N:Neurobiologie ; N:Neurosciences ; N:Nosologie ; R:Régulation des émotions ; T:Traumatisme psychologique ; T:Trouble du comportement alimentaireRésumé : La compréhension du phénomène de dissociation grâce aux données issues des neurosciences permet d’appréhender un certain nombre de symptômes sous un jour nouveau. Repères et illustration clinique.
La dissociation est un concept de plus en plus employé, mais aux significations multiples. A partir de l'histoire clinique d'Elodie, souffrant de troubles dissociatifs, nous expliquerons comment les recherches en neurosciences portant sur le cerveau des personnes souffrant de traumatisme psychique permettent de déterminer les contours de la dissociation structurelle, à partir de symptômes positifs ou négatifs, psychoformes ou somatoformes, et de symptômes émanant de tentatives de régulation émotionnelle face à la dissociation, comme les comportements addictifs, les troubles du comportement alimentaire ou les passages à l'acte auto ou hétéro-agressifs. Ces différents éléments nous conduiront à aborder l'importance de la psychoéducation, de la sensibilisation des proches et de la formation des professionnels.
Élodie, 32 ans, consulte au retour de son voyage de noces à l’étranger pendant lequel sont apparus des voix et des flashs au contenu sexuel dont elle se souvient partiellement. Elle souhaite travailler sur son histoire et être soulagée de ses troubles, qui persistent un mois après son retour.
Cliniquement, Élodie présente une raideur corporelle, un visage très pâle et semble n’éprouver aucune émotion. Elle me fait penser à une poupée de porcelaine. Nous découvrirons par la suite au cours de la thérapie qu’elle éprouve très peu de sensations physiques, qu’elle a l’impression de ne pas être elle-même ou que ce qui se passe autour d’elle n’est pas réel. Elle est amimique (incapable de s’exprimer par des gestes), sa voix est monocorde et son regard peu expressif. Elle présente une amnésie partielle concernant son enfance : si elle se rappelle bien de sa scolarité, elle se souvient peu d’événements familiaux. Ceux-ci se présentent souvent sous forme de bribes avec un contenu traumatique (scènes de violences verbales et physiques contre elle ou sa mère). Sur le plan de la symptomatologie dissociative, on retient donc des sensations de déréalisation et de dépersonnalisation chroniques, une amnésie partielle de l’enfance, une anesthésie émotionnelle et sensorielle, et des intrusions, notamment sous forme de flash-back.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50857
in Santé Mentale > 272 (Novembre 2022) . - p. 36-40[article] Dissociation traumatique : de quoi s’agit-il ? [texte imprimé] / Joanna Smith . - 2022 . - p. 36-40.
Cet article fait partie du dossier "Je suis traumatisé!"
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 272 (Novembre 2022) . - p. 36-40
Catégories : Alpha
A:Agressivité ; C:Consommation (addiction) ; D:Dépersonnalisation ; D:Diagnostic ; D:Dissociation ; N:Neurobiologie ; N:Neurosciences ; N:Nosologie ; R:Régulation des émotions ; T:Traumatisme psychologique ; T:Trouble du comportement alimentaireRésumé : La compréhension du phénomène de dissociation grâce aux données issues des neurosciences permet d’appréhender un certain nombre de symptômes sous un jour nouveau. Repères et illustration clinique.
La dissociation est un concept de plus en plus employé, mais aux significations multiples. A partir de l'histoire clinique d'Elodie, souffrant de troubles dissociatifs, nous expliquerons comment les recherches en neurosciences portant sur le cerveau des personnes souffrant de traumatisme psychique permettent de déterminer les contours de la dissociation structurelle, à partir de symptômes positifs ou négatifs, psychoformes ou somatoformes, et de symptômes émanant de tentatives de régulation émotionnelle face à la dissociation, comme les comportements addictifs, les troubles du comportement alimentaire ou les passages à l'acte auto ou hétéro-agressifs. Ces différents éléments nous conduiront à aborder l'importance de la psychoéducation, de la sensibilisation des proches et de la formation des professionnels.
Élodie, 32 ans, consulte au retour de son voyage de noces à l’étranger pendant lequel sont apparus des voix et des flashs au contenu sexuel dont elle se souvient partiellement. Elle souhaite travailler sur son histoire et être soulagée de ses troubles, qui persistent un mois après son retour.
Cliniquement, Élodie présente une raideur corporelle, un visage très pâle et semble n’éprouver aucune émotion. Elle me fait penser à une poupée de porcelaine. Nous découvrirons par la suite au cours de la thérapie qu’elle éprouve très peu de sensations physiques, qu’elle a l’impression de ne pas être elle-même ou que ce qui se passe autour d’elle n’est pas réel. Elle est amimique (incapable de s’exprimer par des gestes), sa voix est monocorde et son regard peu expressif. Elle présente une amnésie partielle concernant son enfance : si elle se rappelle bien de sa scolarité, elle se souvient peu d’événements familiaux. Ceux-ci se présentent souvent sous forme de bribes avec un contenu traumatique (scènes de violences verbales et physiques contre elle ou sa mère). Sur le plan de la symptomatologie dissociative, on retient donc des sensations de déréalisation et de dépersonnalisation chroniques, une amnésie partielle de l’enfance, une anesthésie émotionnelle et sensorielle, et des intrusions, notamment sous forme de flash-back.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50857 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006493 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible Focus sur la théorie polyvagale / Julie Francols in Santé Mentale, 277 (Avril 2023)
PermalinkUn massage des mains ? Pour quoi faire ?... / Corinne Schaub in Santé Mentale, 274 (Janvier 2023)
PermalinkModèle comportemental et cognitif de l'addiction / Maurice Dematteis in Santé Mentale, 223 (Décembre 2017)
PermalinkNeurobiologie de la rencontre / J.D. Vincent in Santé Mentale, 175 (Février 2013)
PermalinkLa plasticité cérébrale : une révolution en neurobiologie / C Vidal in Spirale : La grande aventure de Monsieur bébé, 63 (décembre 2012)
PermalinkSaillance aberrante et production délirante / Charles Bonsack in Santé Mentale, 253 (Décembre 2020)
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