L’Agence des médecines complémentaires et alternatives (A-MCA) Pour favoriser l’essor des pratiques tout en luttant contre les dérives en santé / Véronique Suissa ; Antoine Bioy ; Gilles Berrut ; Alain Blanchet ; Julien Nizard ; Tolotra Andriamparany ; Philippe Denormandie ; Alfonso Santarpia ; Serge Guérin in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 18, n°4 (Décembre 2020)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 18, n°4 (Décembre 2020) . - p. 357-358 Titre : L’Agence des médecines complémentaires et alternatives (A-MCA) Pour favoriser l’essor des pratiques tout en luttant contre les dérives en santé Type de document : texte imprimé Auteurs : Véronique Suissa ; Antoine Bioy ; Gilles Berrut ; Alain Blanchet ; Julien Nizard ; Tolotra Andriamparany ; Philippe Denormandie ; Alfonso Santarpia ; Serge Guérin Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 357-358 Note générale : 10.1684/pnv.2020.0893 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha M:Médecine complémentaire ; S:Soins Résumé : Fondée en septembre 2020, l’Agence des médecines complémentaires et alternatives (A-MCA1), de nature associative, est un pôle de réflexions et d’actions en faveur d’une intégration cohérente, structurée et sécurisée des MCA [1]. Les MCA peuvent se définir comme un ensemble de soins non médicalisants impliquant des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées, [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45214 [article] L’Agence des médecines complémentaires et alternatives (A-MCA) Pour favoriser l’essor des pratiques tout en luttant contre les dérives en santé [texte imprimé] / Véronique Suissa ; Antoine Bioy ; Gilles Berrut ; Alain Blanchet ; Julien Nizard ; Tolotra Andriamparany ; Philippe Denormandie ; Alfonso Santarpia ; Serge Guérin . - 2020 . - p. 357-358. 10.1684/pnv.2020.0893 Langues : Français (fre) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 18, n°4 (Décembre 2020) . - p. 357-358 Catégories : Alpha M:Médecine complémentaire ; S:Soins Résumé : Fondée en septembre 2020, l’Agence des médecines complémentaires et alternatives (A-MCA1), de nature associative, est un pôle de réflexions et d’actions en faveur d’une intégration cohérente, structurée et sécurisée des MCA [1]. Les MCA peuvent se définir comme un ensemble de soins non médicalisants impliquant des méthodes validées et sécurisées, insuffisamment éprouvées, [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45214

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La méthode Snoezelen : une alternative thérapeutique chez les patients ayant des troubles cognitifs ? / Julien Nizard ; Chloé Barbier ; Alain Blanchet ; Véronique Suissa ; Serge Guérin ; Pascal Derkinderen ; Laure De Decker ; Gilles Berrut ; Guillaume Chapelet in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement, Vol. 20, n°2 (Juin 2022)

Public ISBD [article]  inGériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 167-172 Titre : La méthode Snoezelen : une alternative thérapeutique chez les patients ayant des troubles cognitifs ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Julien Nizard ; Chloé Barbier ; Alain Blanchet ; Véronique Suissa ; Serge Guérin ; Pascal Derkinderen ; Laure De Decker ; Gilles Berrut ; Guillaume Chapelet Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 167-172 Note générale : 10.1684/pnv.2022.1032 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha A:Activité thérapeutique ; B:Bien-être ; E:Efficacité ; I:intervention non médicamenteuse ; P:Personne âgée ; Q:Qualité de vie ; S:Snoezelen ; S:Stimulation sensorielle ; T:Trouble cognitif Résumé : La prise en soin des symptômes neuropsychiatriques de patients ayant des troubles neurocognitifs est basée sur des traitements non médicamenteux. Certains auteurs suggèrent que la méthode Snoezelen pourrait être une alternative thérapeutique. L’objectif de cette revue de littérature était de faire une recherche systématique des essais contrôlés et randomisés ayant analysé l’effet de la méthode Snoezelen sur les patients âgés ayant des troubles cognitifs. Le processus de sélection a permis d’inclure 18 études, ayant des méthodologies hétérogènes. Dans plusieurs études, la méthode Snoezelen pourrait avoir un effet bénéfique, à court terme, sur les troubles du comportement, sur l’humeur, la cognition, ou les capacités fonctionnelles. Cependant, la méthode Snoezelen ne semblait pas être supérieure à d’autres interventions non médicamenteuses et certaines études montraient des résultats discordants. Finalement, le niveau de preuve d’efficacité de la méthode Snoezelen reste faible et des études mixtes (quantitatives et qualitatives) seraient intéressantes à mener pour évaluer l’intérêt de la méthode Snoezelen sur des profils spécifiques de patients ayant des troubles neurocognitifs. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49962 [article] La méthode Snoezelen : une alternative thérapeutique chez les patients ayant des troubles cognitifs ? [texte imprimé] / Julien Nizard ; Chloé Barbier ; Alain Blanchet ; Véronique Suissa ; Serge Guérin ; Pascal Derkinderen ; Laure De Decker ; Gilles Berrut ; Guillaume Chapelet . - 2022 . - p. 167-172. 10.1684/pnv.2022.1032 Langues : Français (fre) in Gériatrie et Psychologie. Neuropsychiatrie du Vieillissement > Vol. 20, n°2 (Juin 2022) . - p. 167-172 Catégories : Alpha A:Activité thérapeutique ; B:Bien-être ; E:Efficacité ; I:intervention non médicamenteuse ; P:Personne âgée ; Q:Qualité de vie ; S:Snoezelen ; S:Stimulation sensorielle ; T:Trouble cognitif Résumé : La prise en soin des symptômes neuropsychiatriques de patients ayant des troubles neurocognitifs est basée sur des traitements non médicamenteux. Certains auteurs suggèrent que la méthode Snoezelen pourrait être une alternative thérapeutique. L’objectif de cette revue de littérature était de faire une recherche systématique des essais contrôlés et randomisés ayant analysé l’effet de la méthode Snoezelen sur les patients âgés ayant des troubles cognitifs. Le processus de sélection a permis d’inclure 18 études, ayant des méthodologies hétérogènes. Dans plusieurs études, la méthode Snoezelen pourrait avoir un effet bénéfique, à court terme, sur les troubles du comportement, sur l’humeur, la cognition, ou les capacités fonctionnelles. Cependant, la méthode Snoezelen ne semblait pas être supérieure à d’autres interventions non médicamenteuses et certaines études montraient des résultats discordants. Finalement, le niveau de preuve d’efficacité de la méthode Snoezelen reste faible et des études mixtes (quantitatives et qualitatives) seraient intéressantes à mener pour évaluer l’intérêt de la méthode Snoezelen sur des profils spécifiques de patients ayant des troubles neurocognitifs. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49962

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La Sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès : enjeux éthiques, juridiques et médicaux / Manon Lafon ; Diane Constant-David ; Paul Veron ; Aurélie Lepeintre ; Julien Nizard in Ethique & Santé, Vol. 18 - N°1 (Mars 2021)

Public ISBD [article]  inEthique & Santé > Vol. 18 - N°1 (Mars 2021) . - p. 59-64 Titre : La Sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès : enjeux éthiques, juridiques et médicaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Manon Lafon ; Diane Constant-David ; Paul Veron ; Aurélie Lepeintre ; Julien Nizard Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 59-64 Note générale : Doi : 10.1016/j.etiqe.2020.11.004 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha E:Ethique ; L:Loi Claeys-Léonetti ; M:Mort ; Q:Questionnement ; S:Sédation profonde et continue jusqu'au décès ; S:Soins palliatifs Résumé : La Société n’a de cesse de chercher à appréhender le mourir. Chaque être humain souhaite pour lui ou pour les siens une fin de vie digne et apaisée. La mort qui survient dans le sommeil est perçue par la plupart comme la mort idéale. L’introduction du droit à la sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès (Loi Claeys-Léonetti du 2 février 2016) afin de “dormir pour ne pas souffrir avant de mourir” semble être de prime abord une réponse adéquate et congruente avec l’éthique. Mais qu’en est-il réellement ? Ce nouveau droit permettrait d’éviter au patient toute situation potentiellement insupportable lorsque son pronostic vital est engagé à court terme. Elle semble congruente avec la philosophie des soins palliatifs. Cependant la réalité du terrain fait émerger de nombreuses interrogations éthiques tant du côté des professionnels de santé que des patients. Nous sommes forcés de constater que les tensions, incompréhensions, réticences relatives à la promulgation de ce droit étaient prémonitoires des questionnements émanant du terrain. La définition du court terme, de la souffrance ainsi que l’évaluation du degré d’autonomie du patient formulant la demande, le niveau d’information à transmettre au patient ou encore le délai à respecter entre la réception de la demande et la mise en œuvre de la procédure restent autant de questions ne trouvant pas réponses. L’enjeu de ce travail est de pouvoir identifier à partir de situations cliniques, les dilemmes éthiques inhérents à ce nouveau droit dans la perspective de faciliter son appropriation, sa diffusion et son application. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46163 [article] La Sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès : enjeux éthiques, juridiques et médicaux [texte imprimé] / Manon Lafon ; Diane Constant-David ; Paul Veron ; Aurélie Lepeintre ; Julien Nizard . - 2021 . - p. 59-64. Doi : 10.1016/j.etiqe.2020.11.004 Langues : Français (fre) in Ethique & Santé > Vol. 18 - N°1 (Mars 2021) . - p. 59-64 Catégories : Alpha E:Ethique ; L:Loi Claeys-Léonetti ; M:Mort ; Q:Questionnement ; S:Sédation profonde et continue jusqu'au décès ; S:Soins palliatifs Résumé : La Société n’a de cesse de chercher à appréhender le mourir. Chaque être humain souhaite pour lui ou pour les siens une fin de vie digne et apaisée. La mort qui survient dans le sommeil est perçue par la plupart comme la mort idéale. L’introduction du droit à la sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès (Loi Claeys-Léonetti du 2 février 2016) afin de “dormir pour ne pas souffrir avant de mourir” semble être de prime abord une réponse adéquate et congruente avec l’éthique. Mais qu’en est-il réellement ? Ce nouveau droit permettrait d’éviter au patient toute situation potentiellement insupportable lorsque son pronostic vital est engagé à court terme. Elle semble congruente avec la philosophie des soins palliatifs. Cependant la réalité du terrain fait émerger de nombreuses interrogations éthiques tant du côté des professionnels de santé que des patients. Nous sommes forcés de constater que les tensions, incompréhensions, réticences relatives à la promulgation de ce droit étaient prémonitoires des questionnements émanant du terrain. La définition du court terme, de la souffrance ainsi que l’évaluation du degré d’autonomie du patient formulant la demande, le niveau d’information à transmettre au patient ou encore le délai à respecter entre la réception de la demande et la mise en œuvre de la procédure restent autant de questions ne trouvant pas réponses. L’enjeu de ce travail est de pouvoir identifier à partir de situations cliniques, les dilemmes éthiques inhérents à ce nouveau droit dans la perspective de faciliter son appropriation, sa diffusion et son application. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46163

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