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[article] La désignation de la personne de confiance, un dispositif encore méconnu [texte imprimé] / C. Manaouil, Auteur ; V Crepelle, Auteur . - 2009 . - pp. 18-21. Langues : Français ( fre) in Soins > 741 (décembre 2009) . - pp. 18-21 |
Exemplaires (2)
|
M_3834 | M_2009_741 | Revue | Mouscron | Soins Infirmiers (M) | Disponible |
T_3834 | T_2009_741 | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |

[article]
Titre : |
Égalité et équité dans le cadre de la nouvelle loi de bioéthique, visions croisées du juriste et du médecin de la reproduction |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
S. Tuffin ; F. Scheffler ; D. Bosquet ; P.A. Debailleul ; C. Cozette ; M. Camo ; E. Lefranc ; I. Maerten ; M. Benkhalifa ; Alain De Broca ; C. Manaouil ; Rosalie Cabry-Goubet |
Année de publication : |
2021 |
Article en page(s) : |
p. 236-244 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha B:Bioéthique ; D:Droit / Législation ; E:Égalité ; E:Equité ; P:Procréation médicalement assistée
|
Résumé : |
En 1994, avec sa première loi de bioéthique, la France a été le premier pays au Monde à encadrer les techniques scientifiques et médicales en matière d’Assistance Médicale à la Procréation. Avec la loi du 6 août 2004 modifiant celle de 1994, le terme de « bioéthique » apparaîtra pour la première fois en droit positif français. Au gré de ses révisions successives (2004 puis 2011), ces lois ont évolué principalement en fonction des avancées techniques dans ce domaine. C’est dans ce cadre que le gouvernement a proposé un projet de révision de la loi de bioéthique en 2019. Celui-ci pose entre autres propositions l’ouverture du droit à l’Assistance Médicale à la Procréation pour les couples de femmes et les femmes seules. Les questions soulevées par ce projet de révision éprouvent les notions d’égalité et d’équité dans un projet qui promeut ces principes essentiels. Nous nous sommes interrogés sur les limites posées par ces notions d’égalité et d’équité en croisant les regards et l’expérience d’un juriste et d’un médecin de la reproduction en nous intéressant au raisonnement éthique, aux faits biologiques, aux droits acquis et aux enjeux économiques et sociétaux.
|
Note de contenu : |
Doi : 10.1016/j.etiqe.2021.10.001
|
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=48213 |
in Ethique & Santé > Vol. 18, N°4 (Décembre 2021) . - p. 236-244
[article] Égalité et équité dans le cadre de la nouvelle loi de bioéthique, visions croisées du juriste et du médecin de la reproduction [texte imprimé] / S. Tuffin ; F. Scheffler ; D. Bosquet ; P.A. Debailleul ; C. Cozette ; M. Camo ; E. Lefranc ; I. Maerten ; M. Benkhalifa ; Alain De Broca ; C. Manaouil ; Rosalie Cabry-Goubet . - 2021 . - p. 236-244. Langues : Français ( fre) in Ethique & Santé > Vol. 18, N°4 (Décembre 2021) . - p. 236-244
Catégories : |
Alpha B:Bioéthique ; D:Droit / Législation ; E:Égalité ; E:Equité ; P:Procréation médicalement assistée
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Résumé : |
En 1994, avec sa première loi de bioéthique, la France a été le premier pays au Monde à encadrer les techniques scientifiques et médicales en matière d’Assistance Médicale à la Procréation. Avec la loi du 6 août 2004 modifiant celle de 1994, le terme de « bioéthique » apparaîtra pour la première fois en droit positif français. Au gré de ses révisions successives (2004 puis 2011), ces lois ont évolué principalement en fonction des avancées techniques dans ce domaine. C’est dans ce cadre que le gouvernement a proposé un projet de révision de la loi de bioéthique en 2019. Celui-ci pose entre autres propositions l’ouverture du droit à l’Assistance Médicale à la Procréation pour les couples de femmes et les femmes seules. Les questions soulevées par ce projet de révision éprouvent les notions d’égalité et d’équité dans un projet qui promeut ces principes essentiels. Nous nous sommes interrogés sur les limites posées par ces notions d’égalité et d’équité en croisant les regards et l’expérience d’un juriste et d’un médecin de la reproduction en nous intéressant au raisonnement éthique, aux faits biologiques, aux droits acquis et aux enjeux économiques et sociétaux.
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Note de contenu : |
Doi : 10.1016/j.etiqe.2021.10.001
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Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=48213 |
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Exemplaires (1)
|
T009292 | ETH | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |

Exemplaires (1)
|
T003510 | T_2008_4 | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |

[article]
Titre : |
Le ressenti de médecins généralistes face au refus de soins des patients : une étude qualitative |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Coralie Lelièvre ; C. Laserre ; O. Jarde ; C. Manaouil |
Année de publication : |
2020 |
Article en page(s) : |
p. 44-51 |
Note générale : |
Doi : 10.1016/j.etiqe.2019.12.001 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Alpha E:Etude qualitative [type de publication] ; M:Médecin généraliste ; R:Refus de soins ; R:Relation médecin-patient ; R:Ressenti ; V:Vécu du soignant
|
Résumé : |
Introduction
En demandant le consentement au patient, le médecin s’attend à entendre un « oui ». Il se retrouve alors démuni quand le patient répond par la négation. La relation de soin s’en trouve déséquilibrée et cela peut alors créer des tensions, menaçant la confiance soignant-soigné normalement nécessaire à une bonne alliance thérapeutique.
Objectif
L’objectif de cette étude est d’évaluer le ressenti du médecin généraliste face à un refus de soins d’un patient.
Méthode
Une étude qualitative a été réalisée à partir de l’analyse thématique de 18 entretiens semi-dirigés de médecins généralistes entre le mois d’octobre 2017 et février 2018.
Résultats
Pour la plupart des médecins, le refus de soins des patients était avant tout le signe d’une incompréhension ou de représentation négative du soin. La compréhension reposait avant tout sur une bonne communication entre le médecin et le malade. Afin d’obtenir une adhésion au soin, la stratégie la plus pertinente était une approche centrée sur le patient afin d’aboutir à un compromis entre le projet de soin du soignant et le projet de vie du patient. Mais en cas de persistance du refus, les médecins s’accordaient à dire qu’ils respectaient ce choix.
Conclusion
Généralement les médecins ne vivaient pas le refus de soins comme une atteinte personnelle et ne souffraient pas de cette situation. Toutefois, ce refus pouvait entraîner une rupture de la relation thérapeutique. Cependant, quelques-uns voyaient le refus de soins comme une manière de renforcer le lien médecin-malade et de favoriser le dialogue. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43480 |
in Ethique & Santé > Vol. 17, 1 (Mars 2020) . - p. 44-51
[article] Le ressenti de médecins généralistes face au refus de soins des patients : une étude qualitative [texte imprimé] / Coralie Lelièvre ; C. Laserre ; O. Jarde ; C. Manaouil . - 2020 . - p. 44-51. Doi : 10.1016/j.etiqe.2019.12.001 Langues : Français ( fre) in Ethique & Santé > Vol. 17, 1 (Mars 2020) . - p. 44-51
Catégories : |
Alpha E:Etude qualitative [type de publication] ; M:Médecin généraliste ; R:Refus de soins ; R:Relation médecin-patient ; R:Ressenti ; V:Vécu du soignant
|
Résumé : |
Introduction
En demandant le consentement au patient, le médecin s’attend à entendre un « oui ». Il se retrouve alors démuni quand le patient répond par la négation. La relation de soin s’en trouve déséquilibrée et cela peut alors créer des tensions, menaçant la confiance soignant-soigné normalement nécessaire à une bonne alliance thérapeutique.
Objectif
L’objectif de cette étude est d’évaluer le ressenti du médecin généraliste face à un refus de soins d’un patient.
Méthode
Une étude qualitative a été réalisée à partir de l’analyse thématique de 18 entretiens semi-dirigés de médecins généralistes entre le mois d’octobre 2017 et février 2018.
Résultats
Pour la plupart des médecins, le refus de soins des patients était avant tout le signe d’une incompréhension ou de représentation négative du soin. La compréhension reposait avant tout sur une bonne communication entre le médecin et le malade. Afin d’obtenir une adhésion au soin, la stratégie la plus pertinente était une approche centrée sur le patient afin d’aboutir à un compromis entre le projet de soin du soignant et le projet de vie du patient. Mais en cas de persistance du refus, les médecins s’accordaient à dire qu’ils respectaient ce choix.
Conclusion
Généralement les médecins ne vivaient pas le refus de soins comme une atteinte personnelle et ne souffraient pas de cette situation. Toutefois, ce refus pouvait entraîner une rupture de la relation thérapeutique. Cependant, quelques-uns voyaient le refus de soins comme une manière de renforcer le lien médecin-malade et de favoriser le dialogue. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43480 |
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Exemplaires (1)
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T008686 | ETH | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |