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Auteur Solène Basier |
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Cancer de la prostate et chirurgie robot-assistée / Solène Basier in Psycho-Oncologie, Vol. 14, 1-2 (Mars 2020)
[article]
Titre : Cancer de la prostate et chirurgie robot-assistée Type de document : texte imprimé Auteurs : Solène Basier, Auteur ; Marie-Christine Pheulpin, Auteur ; Bertrand Guillonneau, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.22-26 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cancer ; F:Fantasme ; P:Prostate ; P:Psycho-oncologie ; R:Relation médecin-patient ; R:Robotique ; T:Technique chirurgicaleRésumé : Interroger l’impact de l’utilisation d’une assistance robotisée dans le cadre d’une prostatectomie radicale chez des patients opérés d’un cancer de la prostate et sur la relation médecin–patient, en se focalisant particulièrement sur le vécu des patients.
Méthode : Dans le cadre d’une recherche doctorale en cours, des entretiens semi-directifs de recherche en psychologie clinique explorant entre autres cette thématique sont proposés aux patients sur trois temps : en préopératoire, six semaines puis six mois après l’intervention, et s’accompagnent d’observations de consultations urologiques.Résultats : Le recours à une assistance robotisée est pour de nombreux patients assimilé à un geste anodin, à un simple outil qui vient prolonger le geste du chirurgien et apporter un meilleur confort. Néanmoins, pour certains, cela est source d’angoisse, notamment du fait des fantasmes construits autour du robot. En outre, certains patients associent l’utilisation de l’assistance robotisée à la gravité de leur maladie ou au fait de bénéficier ou non du meilleur traitement possible.
Conclusion : Compte tenu du nombre croissant de prostatectomies radicales robot-assistées, il est essentiel de s’intéresser aux effets de cet outil non seulement sur le corps des patients, mais aussi sur les fantasmes et angoisses que son utilisation peut susciter, ainsi que sur la relation médecin–patient.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45106
in Psycho-Oncologie > Vol. 14, 1-2 (Mars 2020) . - p.22-26[article] Cancer de la prostate et chirurgie robot-assistée [texte imprimé] / Solène Basier, Auteur ; Marie-Christine Pheulpin, Auteur ; Bertrand Guillonneau, Auteur . - 2020 . - p.22-26.
Langues : Français (fre)
in Psycho-Oncologie > Vol. 14, 1-2 (Mars 2020) . - p.22-26
Catégories : Alpha
C:Cancer ; F:Fantasme ; P:Prostate ; P:Psycho-oncologie ; R:Relation médecin-patient ; R:Robotique ; T:Technique chirurgicaleRésumé : Interroger l’impact de l’utilisation d’une assistance robotisée dans le cadre d’une prostatectomie radicale chez des patients opérés d’un cancer de la prostate et sur la relation médecin–patient, en se focalisant particulièrement sur le vécu des patients.
Méthode : Dans le cadre d’une recherche doctorale en cours, des entretiens semi-directifs de recherche en psychologie clinique explorant entre autres cette thématique sont proposés aux patients sur trois temps : en préopératoire, six semaines puis six mois après l’intervention, et s’accompagnent d’observations de consultations urologiques.Résultats : Le recours à une assistance robotisée est pour de nombreux patients assimilé à un geste anodin, à un simple outil qui vient prolonger le geste du chirurgien et apporter un meilleur confort. Néanmoins, pour certains, cela est source d’angoisse, notamment du fait des fantasmes construits autour du robot. En outre, certains patients associent l’utilisation de l’assistance robotisée à la gravité de leur maladie ou au fait de bénéficier ou non du meilleur traitement possible.
Conclusion : Compte tenu du nombre croissant de prostatectomies radicales robot-assistées, il est essentiel de s’intéresser aux effets de cet outil non seulement sur le corps des patients, mais aussi sur les fantasmes et angoisses que son utilisation peut susciter, ainsi que sur la relation médecin–patient.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45106 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008856 PSY Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Cancer de la prostate : communiquer dans le cadre d’une recherche clinique avec des patients fragilisés par une prostatectomie radicale / Solène Basier in Psycho-Oncologie, Vol. 12, 1 (Mars 2018)
[article]
Titre : Cancer de la prostate : communiquer dans le cadre d’une recherche clinique avec des patients fragilisés par une prostatectomie radicale Type de document : texte imprimé Auteurs : Solène Basier, Auteur ; Marie-Christine Pheulpin, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.62-66 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cancer ; C:Cas clinique ; C:Communication ; P:Prostate ; P:Prostatectomie ; P:Psycho-oncologie ; R:Recherche clinique ; R:Relation soignant-soigné ; S:Sexualité ; V:VulnérabilitéRésumé : Les effets secondaires de la chirurgie du cancer de la prostate sont importants et souvent difficiles à vivre : incontinence, troubles de l’érection, absence d’éjaculation, stérilité. Dans ces situations particulières de vulnérabilité, mener une recherche sur les répercussions psychiques de la prostatectomie radicale convoque la question du positionnement clinique du chercheur-clinicien auprès de patients atteints dans leur masculinité.
Objectif : L’objectif principal est d’interroger la relation entre chercheur-clinicien et patients rendus vulnérables par les effets secondaires d’une prostatectomie radicale réalisée dans le cadre d’un cancer de la prostate.
Méthode : Des entretiens semi-directifs, appuyés par des tests projectifs (Rorschach, TAT) et des autoquestionnaires (Mini-clinique, HAD, BDI), sont proposés sur trois temps : en préopératoire, à six semaines puis six mois en postopératoire.
Résultats : Tandis que les patients parlent spontanément des troubles de la continence dans les entretiens postopératoires, les troubles de l’érection sont beaucoup plus difficiles à aborder pour certains patients. Évoquer la question de l’impuissance peut exacerber la fragilité de ces patients, rendant par conséquent la recherche particulièrement délicate. Les entretiens révèlent toute la vulnérabilité de ces hommes qui, atteints dans leur masculinité, ne parviennent pas toujours à mettre en mots leurs troubles. Les entretiens étant en outre réalisés par une jeune femme, il apparaît important d’explorer les effets possibles de cette donnée du cadre sur ces hommes.
Conclusion : La relation duelle de l’entretien étant de surcroît appuyée par l’introduction de tests projectifs susceptibles d’être déstabilisants, il est essentiel pour le chercheur-clinicien d’être vigilant à ces situations potentiellement anxiogènes et, surtout, d’avoir pu développer une réflexion nécessaire sur son propre positionnement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38306
in Psycho-Oncologie > Vol. 12, 1 (Mars 2018) . - p.62-66[article] Cancer de la prostate : communiquer dans le cadre d’une recherche clinique avec des patients fragilisés par une prostatectomie radicale [texte imprimé] / Solène Basier, Auteur ; Marie-Christine Pheulpin, Auteur . - 2018 . - p.62-66.
Langues : Français (fre)
in Psycho-Oncologie > Vol. 12, 1 (Mars 2018) . - p.62-66
Catégories : Alpha
C:Cancer ; C:Cas clinique ; C:Communication ; P:Prostate ; P:Prostatectomie ; P:Psycho-oncologie ; R:Recherche clinique ; R:Relation soignant-soigné ; S:Sexualité ; V:VulnérabilitéRésumé : Les effets secondaires de la chirurgie du cancer de la prostate sont importants et souvent difficiles à vivre : incontinence, troubles de l’érection, absence d’éjaculation, stérilité. Dans ces situations particulières de vulnérabilité, mener une recherche sur les répercussions psychiques de la prostatectomie radicale convoque la question du positionnement clinique du chercheur-clinicien auprès de patients atteints dans leur masculinité.
Objectif : L’objectif principal est d’interroger la relation entre chercheur-clinicien et patients rendus vulnérables par les effets secondaires d’une prostatectomie radicale réalisée dans le cadre d’un cancer de la prostate.
Méthode : Des entretiens semi-directifs, appuyés par des tests projectifs (Rorschach, TAT) et des autoquestionnaires (Mini-clinique, HAD, BDI), sont proposés sur trois temps : en préopératoire, à six semaines puis six mois en postopératoire.
Résultats : Tandis que les patients parlent spontanément des troubles de la continence dans les entretiens postopératoires, les troubles de l’érection sont beaucoup plus difficiles à aborder pour certains patients. Évoquer la question de l’impuissance peut exacerber la fragilité de ces patients, rendant par conséquent la recherche particulièrement délicate. Les entretiens révèlent toute la vulnérabilité de ces hommes qui, atteints dans leur masculinité, ne parviennent pas toujours à mettre en mots leurs troubles. Les entretiens étant en outre réalisés par une jeune femme, il apparaît important d’explorer les effets possibles de cette donnée du cadre sur ces hommes.
Conclusion : La relation duelle de l’entretien étant de surcroît appuyée par l’introduction de tests projectifs susceptibles d’être déstabilisants, il est essentiel pour le chercheur-clinicien d’être vigilant à ces situations potentiellement anxiogènes et, surtout, d’avoir pu développer une réflexion nécessaire sur son propre positionnement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38306 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007843 PSY Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Cancer de la prostate : souffrir de sa guérison / Solène Basier in Psycho-Oncologie, Vol. 13, 1 (Mars 2019)
[article]
Titre : Cancer de la prostate : souffrir de sa guérison Type de document : texte imprimé Auteurs : Solène Basier, Auteur ; Marie-Christine Pheulpin, Auteur ; B. Guillonneau, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.34-38 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cancer ; C:Conflit psychique ; G:Guérison ; P:Prostate ; P:Psycho-oncologie ; R:Relation médecin-patient ; S:Souffrance psychiqueRésumé : Le diagnostic précoce du cancer de la prostate permet à des patients de choisir de vivre avec un cancer peu menaçant, via une surveillance active (SA) qui mène souvent à une chirurgie, dont les effets secondaires s’inscrivent dans une forme de chronicité, impactant vie quotidienne, image de soi et sexualité. Qu’implique sur le plan psychique de vivre avec un cancer non traité, mais surveillé ? Comment vivre après une intervention chirurgicale aux conséquences mutilantes, handicapantes, portant atteinte au narcissisme ?
Objectif : Interroger les remaniements psychiques à l’œuvre chez des patients diagnostiqués d’un cancer de la prostate, opérés soit après plus d’un an de SA, soit sans délai.
Méthode : Dans le cadre d’une recherche doctorale en cours, des entretiens semi-directifs sont proposés en préopératoire, six semaines après, puis six mois. Ces entretiens sont appuyés par des autoquestionnaires ainsi que des tests projectifs : le Rorschach et le TAT (Thematic Apperception Test).
Résultats : Les patients opérés après avoir vécu une SA ont bénéficié d’une temporalité particulière au cours de laquelle la plupart d’entre eux ont pu accepter l’inacceptable et tolérer l’idée d’avoir un cancer et vivre avec. Si cette période permet à certains de se préparer à l’évolution de leur cancer et à son traitement par ablation, souvent synonyme de guérison, les effets secondaires de la chirurgie restent parfois très difficiles à vivre, surtout lorsqu’ils s’installent dans la durée et impactent le quotidien, constituant alors une nouvelle forme de chronicité. Vivre avec un « corps cancéreux » en SA n’est pas ici une épreuve physique où le corps est le siège de douleurs physiques et de fatigue, mais essentiellement une épreuve psychique. De façon paradoxale, le « corps guéri » subit des transformations en période postopératoire, des bouleversements qui touchent et atteignent l’image que l’homme a de lui-même.
Conclusion : Compte tenu des progrès de la médecine dans le dépistage et le traitement curatif du cancer de la prostate, quels sont les enjeux actuels du dépistage précoce ? Peut-on réellement parler de guérison lorsque le vécu subjectif des patients va à l’encontre de la définition habituelle de ce terme ? La « guérison chronique » succéderait-elle à la « maladie chronique » ?Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41861
in Psycho-Oncologie > Vol. 13, 1 (Mars 2019) . - p.34-38[article] Cancer de la prostate : souffrir de sa guérison [texte imprimé] / Solène Basier, Auteur ; Marie-Christine Pheulpin, Auteur ; B. Guillonneau, Auteur . - 2019 . - p.34-38.
Langues : Français (fre)
in Psycho-Oncologie > Vol. 13, 1 (Mars 2019) . - p.34-38
Catégories : Alpha
C:Cancer ; C:Conflit psychique ; G:Guérison ; P:Prostate ; P:Psycho-oncologie ; R:Relation médecin-patient ; S:Souffrance psychiqueRésumé : Le diagnostic précoce du cancer de la prostate permet à des patients de choisir de vivre avec un cancer peu menaçant, via une surveillance active (SA) qui mène souvent à une chirurgie, dont les effets secondaires s’inscrivent dans une forme de chronicité, impactant vie quotidienne, image de soi et sexualité. Qu’implique sur le plan psychique de vivre avec un cancer non traité, mais surveillé ? Comment vivre après une intervention chirurgicale aux conséquences mutilantes, handicapantes, portant atteinte au narcissisme ?
Objectif : Interroger les remaniements psychiques à l’œuvre chez des patients diagnostiqués d’un cancer de la prostate, opérés soit après plus d’un an de SA, soit sans délai.
Méthode : Dans le cadre d’une recherche doctorale en cours, des entretiens semi-directifs sont proposés en préopératoire, six semaines après, puis six mois. Ces entretiens sont appuyés par des autoquestionnaires ainsi que des tests projectifs : le Rorschach et le TAT (Thematic Apperception Test).
Résultats : Les patients opérés après avoir vécu une SA ont bénéficié d’une temporalité particulière au cours de laquelle la plupart d’entre eux ont pu accepter l’inacceptable et tolérer l’idée d’avoir un cancer et vivre avec. Si cette période permet à certains de se préparer à l’évolution de leur cancer et à son traitement par ablation, souvent synonyme de guérison, les effets secondaires de la chirurgie restent parfois très difficiles à vivre, surtout lorsqu’ils s’installent dans la durée et impactent le quotidien, constituant alors une nouvelle forme de chronicité. Vivre avec un « corps cancéreux » en SA n’est pas ici une épreuve physique où le corps est le siège de douleurs physiques et de fatigue, mais essentiellement une épreuve psychique. De façon paradoxale, le « corps guéri » subit des transformations en période postopératoire, des bouleversements qui touchent et atteignent l’image que l’homme a de lui-même.
Conclusion : Compte tenu des progrès de la médecine dans le dépistage et le traitement curatif du cancer de la prostate, quels sont les enjeux actuels du dépistage précoce ? Peut-on réellement parler de guérison lorsque le vécu subjectif des patients va à l’encontre de la définition habituelle de ce terme ? La « guérison chronique » succéderait-elle à la « maladie chronique » ?Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41861 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008521 PSY Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible