Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 02/12 à Tournai : Fermé Mercredi de 10h15 à 13h00.
Semaine du 09/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 16/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 02/12 à Mouscron : Lundi : ouverture à 10h30 et fermeture à 17h00.
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30. Fermeture à 17h00.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
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Auteur B. Birmelé |
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Les chemins de l’inclusion. Défi social et projet personnel. Compte rendu du colloque de la Fondation John-Bost / B. Birmelé in Ethique & Santé, Vol. 15, 4 (Décembre 2018)
[article]
Titre : Les chemins de l’inclusion. Défi social et projet personnel. Compte rendu du colloque de la Fondation John-Bost Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Birmelé, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.211-215 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Droit / Législation ; E:Ethique ; H:Handicap ; I:Intégration sociale ; R:Reconnaissance ; S:SociétéRésumé : La problématique du handicap, initialement objet de générosité et de charité, puis bénéficiant d’une approche plus médicale, est actuellement une question sociétale avec l’inclusion. Celle-ci, outre la démarche de compensation des limitations induites par le handicap, repose sur le projet individuel de chaque personne, dans son contexte singulier. Lors de ce colloque en mars 2018, ont été rapportées de nombreuses expériences, en particulier le retour de voyages d’étude de professionnels de la Fondation John-Bost, dans 6 pays, ayant pour objet de découvrir comment les personnes en situation de handicap sont accompagnées et soignées dans une dimension plus inclusive. Ainsi des professionnels de tous les métiers de l’accompagnement, de soins, de services de support ont restitué le fruit de leur rencontre avec les institutions, les professionnels. Mais ce colloque a été aussi un temps de réflexion sur l’inclusion, la reconnaissance de la personne en situation de handicap, ses droits devant relever du droit commun, le changement sur les modalités de soins et d’accompagnement, les conditions et les limites de cette inclusion. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39925
in Ethique & Santé > Vol. 15, 4 (Décembre 2018) . - p.211-215[article] Les chemins de l’inclusion. Défi social et projet personnel. Compte rendu du colloque de la Fondation John-Bost [texte imprimé] / B. Birmelé, Auteur . - 2018 . - p.211-215.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé > Vol. 15, 4 (Décembre 2018) . - p.211-215
Catégories : Alpha
D:Droit / Législation ; E:Ethique ; H:Handicap ; I:Intégration sociale ; R:Reconnaissance ; S:SociétéRésumé : La problématique du handicap, initialement objet de générosité et de charité, puis bénéficiant d’une approche plus médicale, est actuellement une question sociétale avec l’inclusion. Celle-ci, outre la démarche de compensation des limitations induites par le handicap, repose sur le projet individuel de chaque personne, dans son contexte singulier. Lors de ce colloque en mars 2018, ont été rapportées de nombreuses expériences, en particulier le retour de voyages d’étude de professionnels de la Fondation John-Bost, dans 6 pays, ayant pour objet de découvrir comment les personnes en situation de handicap sont accompagnées et soignées dans une dimension plus inclusive. Ainsi des professionnels de tous les métiers de l’accompagnement, de soins, de services de support ont restitué le fruit de leur rencontre avec les institutions, les professionnels. Mais ce colloque a été aussi un temps de réflexion sur l’inclusion, la reconnaissance de la personne en situation de handicap, ses droits devant relever du droit commun, le changement sur les modalités de soins et d’accompagnement, les conditions et les limites de cette inclusion. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39925 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008123 ETH Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible La décision d’arrêter la dialyse : quel est l’impact des lois sur la fin de vie ? / B. Birmelé in Ethique & Santé, Vol. 14, 4 (Décembre 2017)
[article]
Titre : La décision d’arrêter la dialyse : quel est l’impact des lois sur la fin de vie ? Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Birmelé, Auteur ; M. Francois, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 205-212 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Dialyse ; E:Ethique ; E:Etude qualitative [type de publication] ; F:Fin de vie ; L:Limitation et arrêt de traitement ; P:Prise de décisionRésumé : Le traitement par dialyse chez un patient ayant une insuffisance rénale est une suppléance vitale. Cependant, avec l’évolution des technologies, la prise en charge des patients aux nombreuses comorbidités, la dialyse peut devenir une obstination déraisonnable. Avant les lois sur la fin de vie, de telles décisions étaient prises, parfois de manière non explicite. La question restait difficile, a-t-on le droit, peut-on arrêter un traitement vital ? Et si oui, comment procéder, qui prend la décision ? L’objectif de cet article est de montrer comment les lois sur la fin de vie permettent de poser un cadre à ces décisions : l’arrêt du traitement par dialyse est un droit pour le patient, un devoir pour les professionnels lorsque celle-ci est obstination déraisonnable. La procédure collégiale est obligatoire lorsque le patient n’est pas conscient, avec la consultation de la personne de confiance et des directives anticipées (rédaction à laquelle on peut encourager les patients). Enfin l’intervention des professionnels de soins palliatifs est une aide précieuse pour la prise de décision et pour l’accompagnement des patients et de leurs proches. L’expérience présentée montre que même si le patient est conscient, la délibération pluridisciplinaire est systématique. Cependant, il reste des problématiques ; celle de la temporalité de chacun, patient, proches, équipe soignante/médecin, comment concilier les différents vécus ? Et celle du lieu de fin de vie, d’une durée indéterminée, entre domicile, EHPAD, hospitalisation : comment organiser en amont cet accompagnement ? Finalement cette fin de vie n’est pas toujours prévisible… Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36371
in Ethique & Santé > Vol. 14, 4 (Décembre 2017) . - p. 205-212[article] La décision d’arrêter la dialyse : quel est l’impact des lois sur la fin de vie ? [texte imprimé] / B. Birmelé, Auteur ; M. Francois, Auteur . - 2017 . - p. 205-212.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé > Vol. 14, 4 (Décembre 2017) . - p. 205-212
Catégories : Alpha
D:Dialyse ; E:Ethique ; E:Etude qualitative [type de publication] ; F:Fin de vie ; L:Limitation et arrêt de traitement ; P:Prise de décisionRésumé : Le traitement par dialyse chez un patient ayant une insuffisance rénale est une suppléance vitale. Cependant, avec l’évolution des technologies, la prise en charge des patients aux nombreuses comorbidités, la dialyse peut devenir une obstination déraisonnable. Avant les lois sur la fin de vie, de telles décisions étaient prises, parfois de manière non explicite. La question restait difficile, a-t-on le droit, peut-on arrêter un traitement vital ? Et si oui, comment procéder, qui prend la décision ? L’objectif de cet article est de montrer comment les lois sur la fin de vie permettent de poser un cadre à ces décisions : l’arrêt du traitement par dialyse est un droit pour le patient, un devoir pour les professionnels lorsque celle-ci est obstination déraisonnable. La procédure collégiale est obligatoire lorsque le patient n’est pas conscient, avec la consultation de la personne de confiance et des directives anticipées (rédaction à laquelle on peut encourager les patients). Enfin l’intervention des professionnels de soins palliatifs est une aide précieuse pour la prise de décision et pour l’accompagnement des patients et de leurs proches. L’expérience présentée montre que même si le patient est conscient, la délibération pluridisciplinaire est systématique. Cependant, il reste des problématiques ; celle de la temporalité de chacun, patient, proches, équipe soignante/médecin, comment concilier les différents vécus ? Et celle du lieu de fin de vie, d’une durée indéterminée, entre domicile, EHPAD, hospitalisation : comment organiser en amont cet accompagnement ? Finalement cette fin de vie n’est pas toujours prévisible… Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36371 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007311 ETH Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Les libertés en EHPAD, à l’épreuve du confinement / M. Ladiesse in Ethique & Santé, Vol. 17, 3 (Septembre 2020)
[article]
Titre : Les libertés en EHPAD, à l’épreuve du confinement Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Ladiesse, Auteur ; T. Léonard, Auteur ; B. Birmelé, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.147-154 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Autonomie ; C:Confinement ; C:Covid-19 ; E:Ethique ; L:Liberté ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgéeRésumé : La pandémie Covid-19 a limité la liberté de tout citoyen, contrainte encore majorée chez les personnes en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), souvent très âgées, ayant des polypathologies, parfois des troubles psychocomportementaux, qu’il s’agisse d’un confinement en chambre, l’absence de consentement à des prélèvements de dépistage, un cadre limité pour la visite des proches. On peut ainsi s’interroger sur cette restriction de liberté, un droit constitutionnel y compris pour des résidents en EHPAD, et du non-respect de l’autodétermination et du consentement. L’objectif a été l’intérêt collectif, avant le droit et le bénéfice de la personne elle-même. Rien n’aurait su justifier de faire courir un risque aux autres résidents par le comportement choisi par un résident ou ses proches. Des précautions ont été prises au risque d’aggraver des situations individuelles par un isolement social et affectif, et de réduire encore davantage les capabilités. Souvent le savoir-faire et l’esprit créatif des professionnels ont pu permettre de limiter les conséquences de cette restriction de liberté. Il conviendrait d’en tirer des leçons, de partager les expériences si un tel contexte devait se reproduire. Mais se pose surtout la question de la place de ces personnes dans notre société. Il est indispensable d’avoir une réflexion sur ces lieux de vie, qui devraient relever du choix des personnes, davantage ouverts vers l’extérieur, adaptés à leur vulnérabilité, limitant l’isolement, afin d’éviter de renouveler ces mesures de restriction. Certes, elles ont permis de limiter les décès liés à l’infection mais au risque de mourir dans la solitude et le chagrin. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44611
in Ethique & Santé > Vol. 17, 3 (Septembre 2020) . - p.147-154[article] Les libertés en EHPAD, à l’épreuve du confinement [texte imprimé] / M. Ladiesse, Auteur ; T. Léonard, Auteur ; B. Birmelé, Auteur . - 2020 . - p.147-154.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé > Vol. 17, 3 (Septembre 2020) . - p.147-154
Catégories : Alpha
A:Autonomie ; C:Confinement ; C:Covid-19 ; E:Ethique ; L:Liberté ; M:Maison de repos et de soins ; P:Personne âgéeRésumé : La pandémie Covid-19 a limité la liberté de tout citoyen, contrainte encore majorée chez les personnes en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), souvent très âgées, ayant des polypathologies, parfois des troubles psychocomportementaux, qu’il s’agisse d’un confinement en chambre, l’absence de consentement à des prélèvements de dépistage, un cadre limité pour la visite des proches. On peut ainsi s’interroger sur cette restriction de liberté, un droit constitutionnel y compris pour des résidents en EHPAD, et du non-respect de l’autodétermination et du consentement. L’objectif a été l’intérêt collectif, avant le droit et le bénéfice de la personne elle-même. Rien n’aurait su justifier de faire courir un risque aux autres résidents par le comportement choisi par un résident ou ses proches. Des précautions ont été prises au risque d’aggraver des situations individuelles par un isolement social et affectif, et de réduire encore davantage les capabilités. Souvent le savoir-faire et l’esprit créatif des professionnels ont pu permettre de limiter les conséquences de cette restriction de liberté. Il conviendrait d’en tirer des leçons, de partager les expériences si un tel contexte devait se reproduire. Mais se pose surtout la question de la place de ces personnes dans notre société. Il est indispensable d’avoir une réflexion sur ces lieux de vie, qui devraient relever du choix des personnes, davantage ouverts vers l’extérieur, adaptés à leur vulnérabilité, limitant l’isolement, afin d’éviter de renouveler ces mesures de restriction. Certes, elles ont permis de limiter les décès liés à l’infection mais au risque de mourir dans la solitude et le chagrin. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44611 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008346 ETH Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible