Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
Après identification sur connected (ID et mot de passe), les membres de la Helha ont l'accès à Cinahl et à Cairn en passant par l'onglet "Bases de données" de ce catalogue et en cliquant sur le lien d'accès.
Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
Détail de l'auteur
Auteur Marie-France Mamzer-Bruneel |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Éthique et transplantation rénale avec donneurs vivants / Marie-France Mamzer-Bruneel in La revue de l'infirmière, 226 (Décembre 2016)
[article]
Titre : Éthique et transplantation rénale avec donneurs vivants Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-France Mamzer-Bruneel Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 21-22 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Donneur vivant ; E:Ethique ; L:Législation ; R:Rein ; T:Transplantation d'organes et de tissusRésumé : Le débat éthique autour des pratiques de transplantation interpelle nos sociétés. Les recommandations internationales prévoient que de nombreuses précautions soient prises pour s’assurer du libre choix de chaque donneur. Si dans la plupart des pays, dont la France, le don est sous-tendu par le volontariat et la gratuité de l’acte, un marché noir existe dans le monde, à l’origine d’un trafic d’organes et d’un dramatique tourisme de transplantation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33088
in La revue de l'infirmière > 226 (Décembre 2016) . - p. 21-22[article] Éthique et transplantation rénale avec donneurs vivants [texte imprimé] / Marie-France Mamzer-Bruneel . - 2016 . - p. 21-22.
Langues : Français (fre)
in La revue de l'infirmière > 226 (Décembre 2016) . - p. 21-22
Catégories : Alpha
D:Donneur vivant ; E:Ethique ; L:Législation ; R:Rein ; T:Transplantation d'organes et de tissusRésumé : Le débat éthique autour des pratiques de transplantation interpelle nos sociétés. Les recommandations internationales prévoient que de nombreuses précautions soient prises pour s’assurer du libre choix de chaque donneur. Si dans la plupart des pays, dont la France, le don est sous-tendu par le volontariat et la gratuité de l’acte, un marché noir existe dans le monde, à l’origine d’un trafic d’organes et d’un dramatique tourisme de transplantation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33088 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M004619 REV Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T006901 REV Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Représentations des coordinateurs hospitaliers concernant la légitimité des proches à décider d’un don d’organes / R. David in Ethique & Santé, Vol. 15, 3 (Septembre 2018)
[article]
Titre : Représentations des coordinateurs hospitaliers concernant la légitimité des proches à décider d’un don d’organes Type de document : texte imprimé Auteurs : R. David, Auteur ; Marie-France Mamzer-Bruneel, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.135-141 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Don d'organes et de tissus ; E:Ethique clinique ; E:Etude qualitative [type de publication] ; P:Prélèvement d'organes, de tissus et de cellules ; P:Proche ; P:Professionnel de santé ; R:ReprésentationRésumé : La «pénurie» d’organes globale actuelle incite à œuvrer pour diminuer le nombre de refus de prélèvement, qui fait obstacle au don d’organes de plus de 33 % des personnes décédées en mort encéphalique en France. Or, alors que la collecte des organes est régie par le principe de non-opposition, les données publiées par l’ABM démontrent que les 2/3 des refus sont l’expression de la volonté des proches. Ce travail étudie les représentations des coordonnateurs de prélèvement en Île-de-France, afin de tenter de comprendre les raisons pour lesquelles ils considèrent ces décisions comme légitimes, en désaccord avec la loi de bioéthique. Les 24 professionnels participant (17 infirmiers et 7 médecins) aux entretiens décrivent des pratiques homogènes globalement conformes aux recommandations de l’ABM. Alors que tous connaissent les termes de la loi et déclarent y adhérer, ils se sentent au cœur d’une ambivalence. Soignants avant tout, ils doivent aux proches endeuillés l’ouverture d’un espace de dialogue propice à un juste accompagnement, tandis qu’au regard de la loi, ils devraient privilégier l’information et le recueil de témoignage. Le dialogue instauré mobilise un agir communicationnel dont l’enjeu devient implicitement la décision partagée du don, l’empathie prenant souvent le pas sur la rationalité de la norme. Les coordinateurs sont donc à l’interface de la loi et de la singularité des familles en deuil et sont soumis à de nombreux dilemmes éthiques. L’accompagnement des proches étant la première préoccupation des coordinateurs, cela peut contribuer à expliquer le pouvoir décisionnel qui leur est accordé. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38781
in Ethique & Santé > Vol. 15, 3 (Septembre 2018) . - p.135-141[article] Représentations des coordinateurs hospitaliers concernant la légitimité des proches à décider d’un don d’organes [texte imprimé] / R. David, Auteur ; Marie-France Mamzer-Bruneel, Auteur . - 2018 . - p.135-141.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé > Vol. 15, 3 (Septembre 2018) . - p.135-141
Catégories : Alpha
D:Don d'organes et de tissus ; E:Ethique clinique ; E:Etude qualitative [type de publication] ; P:Prélèvement d'organes, de tissus et de cellules ; P:Proche ; P:Professionnel de santé ; R:ReprésentationRésumé : La «pénurie» d’organes globale actuelle incite à œuvrer pour diminuer le nombre de refus de prélèvement, qui fait obstacle au don d’organes de plus de 33 % des personnes décédées en mort encéphalique en France. Or, alors que la collecte des organes est régie par le principe de non-opposition, les données publiées par l’ABM démontrent que les 2/3 des refus sont l’expression de la volonté des proches. Ce travail étudie les représentations des coordonnateurs de prélèvement en Île-de-France, afin de tenter de comprendre les raisons pour lesquelles ils considèrent ces décisions comme légitimes, en désaccord avec la loi de bioéthique. Les 24 professionnels participant (17 infirmiers et 7 médecins) aux entretiens décrivent des pratiques homogènes globalement conformes aux recommandations de l’ABM. Alors que tous connaissent les termes de la loi et déclarent y adhérer, ils se sentent au cœur d’une ambivalence. Soignants avant tout, ils doivent aux proches endeuillés l’ouverture d’un espace de dialogue propice à un juste accompagnement, tandis qu’au regard de la loi, ils devraient privilégier l’information et le recueil de témoignage. Le dialogue instauré mobilise un agir communicationnel dont l’enjeu devient implicitement la décision partagée du don, l’empathie prenant souvent le pas sur la rationalité de la norme. Les coordinateurs sont donc à l’interface de la loi et de la singularité des familles en deuil et sont soumis à de nombreux dilemmes éthiques. L’accompagnement des proches étant la première préoccupation des coordinateurs, cela peut contribuer à expliquer le pouvoir décisionnel qui leur est accordé. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38781 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007908 ETH Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Représentations de la fin de vie pour les oncologues et les praticiens de soins palliatifs / Marie Coudert in Médecine palliative, vol. 20, n° 2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Représentations de la fin de vie pour les oncologues et les praticiens de soins palliatifs Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Coudert ; Marcel-Louis Viallard ; Marie-France Mamzer-Bruneel Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 81-89 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Attitude du personnel soignant ; C:Chimiothérapie ; F:Fin de vie ; O:Oncologie ; P:Prise de décision ; S:Soins palliatifs ; S:SubjectivitéRésumé : Contexte
Dans les pays occidentaux, les soins des patients en fin de vie sont encadrés par la loi, mais à la différence de la mort, la « fin de vie », évoquée dans l’intitulé des lois, n’a pas de définition légale ni médicale. La notion de fin de vie est-elle un concept consensuel permettant de délimiter la frontière entre le soin curatif et le refus d’une obstination déraisonnable ? Notre hypothèse principale était qu’en oncologie, l’arrêt des thérapeutiques actives (antinéoplasiques) définissait le début de la fin de vie.
Méthodologie
Il s’agissait d’une étude qualitative prospective multicentrique réalisée à l’aide d’entretiens semi-dirigés auprès de médecins oncologues et pratiquant les soins palliatifs. La directive de rapport COREQ a été utilisée.
Résultats
La fin de vie n’a pas pu être définie de façon unanime, mais deux concepts de « fin de vie » ont émergé. La fin de vie « objective » convergeait vers une définition consensuelle médicale et la fin de vie « subjective », sujette à de multiples représentations, impactait directement l’attitude médicale et l’arrêt des thérapeutiques actives.
Conclusion
La mort est vécue comme une réalité ayant une composante subjective. L’arrêt des thérapeutiques actives initie les discussions relatives à la gestion médicale de la fin de vie. Le médecin se décentre alors de sa fonction de « sachant » et se confronte à l’expression de l’autonomie d’un patient et aux besoins de l’entourage.Note de contenu : Doi : 10.1016/j.medpal.2020.03.002 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46363
in Médecine palliative > vol. 20, n° 2 (Avril 2021) . - p. 81-89[article] Représentations de la fin de vie pour les oncologues et les praticiens de soins palliatifs [texte imprimé] / Marie Coudert ; Marcel-Louis Viallard ; Marie-France Mamzer-Bruneel . - 2021 . - p. 81-89.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 20, n° 2 (Avril 2021) . - p. 81-89
Catégories : Alpha
A:Attitude du personnel soignant ; C:Chimiothérapie ; F:Fin de vie ; O:Oncologie ; P:Prise de décision ; S:Soins palliatifs ; S:SubjectivitéRésumé : Contexte
Dans les pays occidentaux, les soins des patients en fin de vie sont encadrés par la loi, mais à la différence de la mort, la « fin de vie », évoquée dans l’intitulé des lois, n’a pas de définition légale ni médicale. La notion de fin de vie est-elle un concept consensuel permettant de délimiter la frontière entre le soin curatif et le refus d’une obstination déraisonnable ? Notre hypothèse principale était qu’en oncologie, l’arrêt des thérapeutiques actives (antinéoplasiques) définissait le début de la fin de vie.
Méthodologie
Il s’agissait d’une étude qualitative prospective multicentrique réalisée à l’aide d’entretiens semi-dirigés auprès de médecins oncologues et pratiquant les soins palliatifs. La directive de rapport COREQ a été utilisée.
Résultats
La fin de vie n’a pas pu être définie de façon unanime, mais deux concepts de « fin de vie » ont émergé. La fin de vie « objective » convergeait vers une définition consensuelle médicale et la fin de vie « subjective », sujette à de multiples représentations, impactait directement l’attitude médicale et l’arrêt des thérapeutiques actives.
Conclusion
La mort est vécue comme une réalité ayant une composante subjective. L’arrêt des thérapeutiques actives initie les discussions relatives à la gestion médicale de la fin de vie. Le médecin se décentre alors de sa fonction de « sachant » et se confronte à l’expression de l’autonomie d’un patient et aux besoins de l’entourage.Note de contenu : Doi : 10.1016/j.medpal.2020.03.002 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46363 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009013 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible