[article]
| Titre : |
L'enfant, l'école et le psy |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Jean-François Marmion, Auteur |
| Année de publication : |
2017 |
| Article en page(s) : |
p. 30-31 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Alpha
E:École ; P:Petite enfance ; P:Psychologie ; P:Psychothérapie ; S:Scolarité
|
| Résumé : |
Huit fois sur dix, c’est sur injonction scolaire que les enfants en viennent à consulter un psy. Problème : les cabinets débordent et les prises en charge ne sont pas toujours effectuées dans des conditions correctes.
Si les parents franchissent le pas d’emmener leur enfant voir un psychologue, ça n’est pas de gaieté de cœur. Il peut leur arriver de solliciter une consultation de leur propre initiative (surtout dans les classes aisées, par exemple en cas de retard du langage), ou sur les conseils de la famille, d’amis, de leur médecin ou pédiatre, d’un orthophoniste… Mais, dans 80 % des cas, s’ils emmènent leur enfant chez un psy, c’est à l’invitation, parfois pressante, de l’école. Surtout en primaire. « C’est très, très net, observe Robert Voyazopoulos, directeur de l’Appea (Association francophone de psychologie et psychopathologie de l’enfant et l’adolescent) et enseignant à l’École de psychologues praticiens. Depuis qu’elle est obligatoire, l’école, en tant que lieu majeur de socialisation des enfants, fixe les critères de la normalité. » |
| Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=34266 |
in Sciences Humaines > 291 (Avril 2017) . - p. 30-31
[article] L'enfant, l'école et le psy [texte imprimé] / Jean-François Marmion, Auteur . - 2017 . - p. 30-31. Langues : Français ( fre) in Sciences Humaines > 291 (Avril 2017) . - p. 30-31
| Catégories : |
Alpha
E:École ; P:Petite enfance ; P:Psychologie ; P:Psychothérapie ; S:Scolarité
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| Résumé : |
Huit fois sur dix, c’est sur injonction scolaire que les enfants en viennent à consulter un psy. Problème : les cabinets débordent et les prises en charge ne sont pas toujours effectuées dans des conditions correctes.
Si les parents franchissent le pas d’emmener leur enfant voir un psychologue, ça n’est pas de gaieté de cœur. Il peut leur arriver de solliciter une consultation de leur propre initiative (surtout dans les classes aisées, par exemple en cas de retard du langage), ou sur les conseils de la famille, d’amis, de leur médecin ou pédiatre, d’un orthophoniste… Mais, dans 80 % des cas, s’ils emmènent leur enfant chez un psy, c’est à l’invitation, parfois pressante, de l’école. Surtout en primaire. « C’est très, très net, observe Robert Voyazopoulos, directeur de l’Appea (Association francophone de psychologie et psychopathologie de l’enfant et l’adolescent) et enseignant à l’École de psychologues praticiens. Depuis qu’elle est obligatoire, l’école, en tant que lieu majeur de socialisation des enfants, fixe les critères de la normalité. » |
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