Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
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Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
HORAIRE
Semaine du 24/06 à Tournai : Fermé mercredi à 17h00.
Semaine du 01/07 à Tournai : Lundi 01/07, ouvert de 13h à 17h. Mercredi 03/07 : ouvert à 10h30
Prestations de vacances : Lundi 19/08 et mardi 20/08: ouvert de 9h00 à 12h30 et de 13h00 à 17h00. Mercredi 21/08, ouvert de 9h00 à 12h00.
Semaine du 26/08 à Tournai : Reprise de l'année scolaire : Attention aux modifications ! Lundi, horaire normal; Mardi 27/08, fermé; Mercredi 28/08, ouvert de 13h00 à 17h30; Jeudi 29/08, ouvert de 13h00 à 17h00, Vendredi, horaire normal.
Semaine du 24/06 à Mouscron : Vendredi: ouverture le matin (de 9h00 à 12h30) et fermeture l'après-midi.
Semaine du 10/06 à Mouscron : Horaire habituel.
Semaine du 17/06 à Mouscron : Horaire habituel.
Prestations de vacances : mercredi 21/08 et jeudi 22/08: ouvert de 9h00 à 12h30 et de 13h00 à 17h00.
Catégories
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Ronsard face à la vieillesse et à la mort : de l’épicurisme à l’auto-compassion / R. Gil in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 23, n° 135 (Juin 2023)
[article]
Titre : Ronsard face à la vieillesse et à la mort : de l’épicurisme à l’auto-compassion Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Gil Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 198-210 Note générale : https://doi.org//10.1016/j.npg.2022.12.004 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Auto-compassion ; C:Compassion ; F:Fin de vie ; F:Finitude ; L:Littérature ; M:Mort ; P:Poésie ; V:VieillesseRésumé : Pierre de Ronsard, qualifié au XVIe siècle de « prince des poètes », rassembla autour de lui la Pléiade. Comblé de faveurs par Henri II et Charles IX, pétri d’une immense culture classique, il écrivit des poèmes d’une langue savante et mélodieuse, avec une versification rigoureuse. Il fut surtout considéré comme un épicurien, célébrant dans ses poèmes ses amours et ses déceptions amoureuses, les plaisirs de la bonne chère et du bon vin, le souci de jouir de l’instant présent. Il fut en effet habité aussi par la perspective du temps qui passe, par la fuite de la jeunesse, par la perspective de la vieillesse, des maladies et par la conscience de la finitude. À 31 ans, il rassemble sa vision de la vieillesse et de la mort dans un hymne aux accents graves orné d’images mythologiques et soutenu par sa foi chrétienne. Il y exprime moins une crainte de la vieillesse et de la mort qu’une crainte de la mort sociale, de l’incapacité de se mouvoir, des souffrances de fin de vie. Plus de trente plus tard, dans sa soixante et unième année, son état de santé le confine dans ses deux prieurés et ses épreuves de fin de vie durent environ deux mois. Ronsard fut très entouré notamment par quelques amis et par les religieux de ses prieurés. Claude Binet, son disciple, consigna ses observations sur les paroles et le comportement du poète dans une biographie. Par ailleurs, Ronsard composa des poèmes qu’il dicta jusqu’aux derniers instants de sa vie. Les témoignages ainsi recueillis ont conduit à analyser comment le poète, considéré comme épicurien, avait vécu sa fin de vie. Cette étude permet de montrer que Ronsard abandonna son épicurisme tandis que ses paroles et son comportement relèvent d’une auto-compassion avec ses trois composantes : la gentillesse à l’égard de soi, le sentiment d’appartenance à une humanité commune, exposée à la maladie, à la vieillesse, à la mort, une pleine conscience excluant l’hyperidentification avec l’expérience douloureuse et ses émotions négatives. L’auto-compassion est ainsi distinguée de l’auto-apitoiement et de l’estime de soi longtemps considérée comme un facteur déterminant de la santé mentale. La fin de vie de Ronsard est ainsi l’occasion d’apprécier de manière nouvelle l’œuvre de cet immense poète. Elle permet aussi de mettre en parallèle une œuvre littéraire et l’histoire de vie dont elle témoigne. Elle permet enfin de prêter attention aux manifestations cliniques de l’auto-compassion et à prendre la mesure de son importance comme stratégie adaptative à l’égard des épreuves de l’existence et notamment, en situation de soins palliatifs, dans l’accompagnement de fin de vie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52344
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 23, n° 135 (Juin 2023) . - p. 198-210[article] Ronsard face à la vieillesse et à la mort : de l’épicurisme à l’auto-compassion [texte imprimé] / R. Gil . - 2023 . - p. 198-210.
https://doi.org//10.1016/j.npg.2022.12.004
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 23, n° 135 (Juin 2023) . - p. 198-210
Catégories : Alpha
A:Auto-compassion ; C:Compassion ; F:Fin de vie ; F:Finitude ; L:Littérature ; M:Mort ; P:Poésie ; V:VieillesseRésumé : Pierre de Ronsard, qualifié au XVIe siècle de « prince des poètes », rassembla autour de lui la Pléiade. Comblé de faveurs par Henri II et Charles IX, pétri d’une immense culture classique, il écrivit des poèmes d’une langue savante et mélodieuse, avec une versification rigoureuse. Il fut surtout considéré comme un épicurien, célébrant dans ses poèmes ses amours et ses déceptions amoureuses, les plaisirs de la bonne chère et du bon vin, le souci de jouir de l’instant présent. Il fut en effet habité aussi par la perspective du temps qui passe, par la fuite de la jeunesse, par la perspective de la vieillesse, des maladies et par la conscience de la finitude. À 31 ans, il rassemble sa vision de la vieillesse et de la mort dans un hymne aux accents graves orné d’images mythologiques et soutenu par sa foi chrétienne. Il y exprime moins une crainte de la vieillesse et de la mort qu’une crainte de la mort sociale, de l’incapacité de se mouvoir, des souffrances de fin de vie. Plus de trente plus tard, dans sa soixante et unième année, son état de santé le confine dans ses deux prieurés et ses épreuves de fin de vie durent environ deux mois. Ronsard fut très entouré notamment par quelques amis et par les religieux de ses prieurés. Claude Binet, son disciple, consigna ses observations sur les paroles et le comportement du poète dans une biographie. Par ailleurs, Ronsard composa des poèmes qu’il dicta jusqu’aux derniers instants de sa vie. Les témoignages ainsi recueillis ont conduit à analyser comment le poète, considéré comme épicurien, avait vécu sa fin de vie. Cette étude permet de montrer que Ronsard abandonna son épicurisme tandis que ses paroles et son comportement relèvent d’une auto-compassion avec ses trois composantes : la gentillesse à l’égard de soi, le sentiment d’appartenance à une humanité commune, exposée à la maladie, à la vieillesse, à la mort, une pleine conscience excluant l’hyperidentification avec l’expérience douloureuse et ses émotions négatives. L’auto-compassion est ainsi distinguée de l’auto-apitoiement et de l’estime de soi longtemps considérée comme un facteur déterminant de la santé mentale. La fin de vie de Ronsard est ainsi l’occasion d’apprécier de manière nouvelle l’œuvre de cet immense poète. Elle permet aussi de mettre en parallèle une œuvre littéraire et l’histoire de vie dont elle témoigne. Elle permet enfin de prêter attention aux manifestations cliniques de l’auto-compassion et à prendre la mesure de son importance comme stratégie adaptative à l’égard des épreuves de l’existence et notamment, en situation de soins palliatifs, dans l’accompagnement de fin de vie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52344 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009938 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible
[article]
Titre : Les rouages inconscients de la nécrophilie Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphanie Germani Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 18-21 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cas clinique ; D:Deuil ; I:Interdit ; L:Littérature ; M:Mécanisme de défense ; M:Mort ; N:Nécrophilie ; P:Processus psychiqueRésumé : La nécrophilie se définit comme une attirance pour le cadavre ou plus largement le mortifère. Les actes de nécrophilie seraient une façon pathologique de faire revivre symboliquement «le mort», en injectant de la libido, de la vie, dans sa dépouille. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46600
in Santé Mentale > 257 (Avril 2021) . - p. 18-21[article] Les rouages inconscients de la nécrophilie [texte imprimé] / Stéphanie Germani . - 2021 . - p. 18-21.
Langues : Français (fre)
in Santé Mentale > 257 (Avril 2021) . - p. 18-21
Catégories : Alpha
C:Cas clinique ; D:Deuil ; I:Interdit ; L:Littérature ; M:Mécanisme de défense ; M:Mort ; N:Nécrophilie ; P:Processus psychiqueRésumé : La nécrophilie se définit comme une attirance pour le cadavre ou plus largement le mortifère. Les actes de nécrophilie seraient une façon pathologique de faire revivre symboliquement «le mort», en injectant de la libido, de la vie, dans sa dépouille. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46600 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006039 SAN Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009064 SAN Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Les sages-femmes ont aussi la capacité d'accompagner la mort / JP Legros in Profession Sage-Femme, 131 (déc/janv 2006-2007)
[article]
Titre : Les sages-femmes ont aussi la capacité d'accompagner la mort Type de document : texte imprimé Auteurs : JP Legros, Auteur Année de publication : 2006-2007 Article en page(s) : pp. 36-38 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Deuil ; I:Infirmière accoucheuse ; M:Mort ; N:Nouveau-né ; R:Relation d'aideNote de contenu : 2006-2007 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10419
in Profession Sage-Femme > 131 (déc/janv 2006-2007) . - pp. 36-38[article] Les sages-femmes ont aussi la capacité d'accompagner la mort [texte imprimé] / JP Legros, Auteur . - 2006-2007 . - pp. 36-38.
Langues : Français (fre)
in Profession Sage-Femme > 131 (déc/janv 2006-2007) . - pp. 36-38
Catégories : Alpha
D:Deuil ; I:Infirmière accoucheuse ; M:Mort ; N:Nouveau-né ; R:Relation d'aideNote de contenu : 2006-2007 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10419 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M003130 M_2006-2007_131 Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible Scénographie rituelle contemporaine et nouvelles pratiques de deuil / Cynthia Mauro in Jusqu'à la mort accompagner la vie, 140 (Mars 2020)
[article]
Titre : Scénographie rituelle contemporaine et nouvelles pratiques de deuil Type de document : texte imprimé Auteurs : Cynthia Mauro Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 19-33 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Deuil ; I:Institutionnalisation ; M:Mémoire ; M:Mort ; O:Obsèques ; R:RiteRésumé : Peut-être qu’il nous a fallu prendre une pause émotionnelle dans notre histoire meurtrie (guerres, famines, épidémies) et nous éloigner psychiquement de cette mort décimante au seuil de nos existences, au pas de la porte de l’héritage familial de chacun. Trop c’est trop.
La mort va en se taisant, comme si nous pouvions la faire disparaître de nos vies en l’effaçant de notre langue. Comme si nous espérions la perdre de vue en la perdant de mots. Il y a bien quelques épitaphes comme celle d’Alexandre Dumas : « je n’ai pas peur de la mort, je lui raconterai une histoire », mais plus question d’en rire. On ne se fait plus un costume en sapin, on ne mange plus les pissenlits par la racine, on ne dit plus des morts qu’ils ont un manque de savoir vivre. À la mort d’un proche, si les mots manquent pour exprimer la douleur, les périphrases abondent : « il nous a quittés », dira la famille, « j’ai perdu ma mère », confiera un fils. Autant de circonlocutions qui permettent de ne pas prononcer « la mort ».
La mort va également en se cachant, comme si nous pouvions la faire disparaître de nos vies en l’institutionnalisant et en diffusant nos responsabilités en faveur d’un savoir-faire professionnel. « Autrefois, la mort avait une forme qui organisait l’ensemble. Le mourant décrétait l’ouverture des cérémonies et des pompes funèbres. La famille l’assistait, les pleureuses pleuraient, les curés confessaient et consolaient, les voisins visitaient, les volets se fermaient. Personne n’était indifférent…Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45911
in Jusqu'à la mort accompagner la vie > 140 (Mars 2020) . - p. 19-33[article] Scénographie rituelle contemporaine et nouvelles pratiques de deuil [texte imprimé] / Cynthia Mauro . - 2020 . - p. 19-33.
Langues : Français (fre)
in Jusqu'à la mort accompagner la vie > 140 (Mars 2020) . - p. 19-33
Catégories : Alpha
D:Deuil ; I:Institutionnalisation ; M:Mémoire ; M:Mort ; O:Obsèques ; R:RiteRésumé : Peut-être qu’il nous a fallu prendre une pause émotionnelle dans notre histoire meurtrie (guerres, famines, épidémies) et nous éloigner psychiquement de cette mort décimante au seuil de nos existences, au pas de la porte de l’héritage familial de chacun. Trop c’est trop.
La mort va en se taisant, comme si nous pouvions la faire disparaître de nos vies en l’effaçant de notre langue. Comme si nous espérions la perdre de vue en la perdant de mots. Il y a bien quelques épitaphes comme celle d’Alexandre Dumas : « je n’ai pas peur de la mort, je lui raconterai une histoire », mais plus question d’en rire. On ne se fait plus un costume en sapin, on ne mange plus les pissenlits par la racine, on ne dit plus des morts qu’ils ont un manque de savoir vivre. À la mort d’un proche, si les mots manquent pour exprimer la douleur, les périphrases abondent : « il nous a quittés », dira la famille, « j’ai perdu ma mère », confiera un fils. Autant de circonlocutions qui permettent de ne pas prononcer « la mort ».
La mort va également en se cachant, comme si nous pouvions la faire disparaître de nos vies en l’institutionnalisant et en diffusant nos responsabilités en faveur d’un savoir-faire professionnel. « Autrefois, la mort avait une forme qui organisait l’ensemble. Le mourant décrétait l’ouverture des cérémonies et des pompes funèbres. La famille l’assistait, les pleureuses pleuraient, les curés confessaient et consolaient, les voisins visitaient, les volets se fermaient. Personne n’était indifférent…Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45911 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006099 JAL Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T008986 JUS Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M003973 ETH Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T005944 ETH Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Se lever pour Vigiles. Tenir le coup pour vieillir et mourir au monastère / Laurent Amiotte-Suchet in Gérontologie et Société, Vol. 42, n°163 (2020)
PermalinkSédation pour détresse en phase terminale / Véronique Blanchet in Médecine palliative, vol.13, 5 (Novembre 2014)
PermalinkSédation profonde et continue jusqu’au décès : qu’en vivent les soignants ? Enquête exploratoire qualitative en oncologie / D. Peyrat-Apicella ; Y. Chemrouk in Psycho-Oncologie, Vol. 16, 4 (Décembre 2022)
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PermalinkLa Sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès : enjeux éthiques, juridiques et médicaux / Manon Lafon ; Diane Constant-David ; Paul Veron ; Aurélie Lepeintre ; Julien Nizard in Ethique & Santé, Vol. 18 - N°1 (Mars 2021)
PermalinkSédation en situation d'urgence palliative / C. Daout in Médecine palliative, vol.13, 5 (Novembre 2014)
PermalinkLe sens de la mort dans le contexte des soins palliatifs et de l’accompagnement / François Roger Nguepy Keubo in Revue internationale de soins palliatifs, Vol.32, 1 (Mars 2017)
PermalinkPermalinkEt si perdre la raison avait un sens ? / Françoise Bosquet in Jusqu'à la mort accompagner la vie, 138 (Septembre 2019)
PermalinkPermalinkSLA : Enjeux psychiques de la mort annoncée. / Valérie Piloti in Médecine palliative, Vol.12, 2 (Avril 2013)
PermalinkPermalinkLe soignant face au deuil périnatal / Morgane Fath in Jusqu'à la mort accompagner la vie, 144 (Mars 2021)
PermalinkPermalinkPermalinkLes soignants et la mort (2013)
PermalinkPermalinkPermalinkLe soin à la fin de la trajectoire de vie : réflexions sur la "belle mort" / Nicole Tremblay in La gérontoise, 1 (janvier 2005)
PermalinkSoin et fin de vie (2014)
PermalinkLe soin, origine et horizon, déplacements de frontières / RW Higgins in Jusqu'à la mort accompagner la vie, 110 (septembre 2012)
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