Centre de Documentation Campus Montignies
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5 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'tassement vertébral'
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Dorsalgies / A. Binard in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2007)
[article]
Titre : Dorsalgies Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Binard ; A. Sarraux Année de publication : 2007 Article en page(s) : 15-867-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : douleur dorsale spondylarthropathie tumeurs rachidiennes tassement vertébral ostéoporose hernie discale thoracique maladie de Forestier hyperostose vertébrale engainante dorsalgo Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44105
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2007) . - 15-867-A-10 [Tome 7][article] Dorsalgies [texte imprimé] / A. Binard ; A. Sarraux . - 2007 . - 15-867-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2007) . - 15-867-A-10 [Tome 7]Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Dorsalgies / M. MARTY in EMC : Appareil locomoteur, Vol.35, n°1 (Mars 2021)
[article]
Titre : Dorsalgies Type de document : texte imprimé Auteurs : M. MARTY, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 15-867-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Dorsalgie Spondylarthrite Tumeurs rachidiennes Tassement vertébral Ostéoporose Hernie discale thoracique Index. décimale : 616.7 Pathologie des organes locomoteurs Résumé : Une dorsalgie est définie par une douleur de la colonne vertébrale localisée entre la zone de la charnière cervicothoracique (C7-T1) et la jonction thoracolombaire (T12-L1), ou par une douleur de la paroi postérieure du thorax (paravertébrale ou plus latérale). En présence d'une dorsalgie, quelle que soit sa durée, la démarche diagnostique passe par l'interrogatoire, l'examen clinique et par la réalisation d'examens complémentaires orientés selon le contexte. La démarche diagnostique doit être présidée par deux objectifs : rechercher pour l'exclure ou l'identifier une affection rachidienne grave nécessitant un traitement spécifique urgent (infection, tumeur, etc.) en cherchant des signes d'alerte, ou une cause viscérale grave thoracique (infarctus du myocarde, dissection aortique, etc.) ou abdominale (ulcère de l'estomac, etc.), responsable d'une douleur projetée ou référée, et nécessitant un traitement spécifique urgent ; rechercher pour l'exclure ou l'identifier un signe neurologique témoignant de la gravité de la dorsalgie (compression médullaire). Les causes des dorsalgies sont très nombreuses. La démarche diagnostique recherche : des causes rachidiennes non spécifiques dont la prise en charge passe par trois modèles de compréhension (anatomoclinique, fonctionnel et psycho-socio-culturel) ; des causes rachidiennes spécifiques (fractures pathologiques, tumeurs, rhumatismes inflammatoires, rhumatismes à microcristaux, infections) ; des causes non rachidiennes d'origine viscérale thoracique (cœur, poumon, etc.) ou abdominale (estomac, pancréas, rein, etc.). Le traitement symptomatique et étiologique est à adapter selon les causes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92446
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°1 (Mars 2021) . - 15-867-A-10 [Tome 7][article] Dorsalgies [texte imprimé] / M. MARTY, Auteur . - 2021 . - 15-867-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.35, n°1 (Mars 2021) . - 15-867-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Dorsalgie Spondylarthrite Tumeurs rachidiennes Tassement vertébral Ostéoporose Hernie discale thoracique Index. décimale : 616.7 Pathologie des organes locomoteurs Résumé : Une dorsalgie est définie par une douleur de la colonne vertébrale localisée entre la zone de la charnière cervicothoracique (C7-T1) et la jonction thoracolombaire (T12-L1), ou par une douleur de la paroi postérieure du thorax (paravertébrale ou plus latérale). En présence d'une dorsalgie, quelle que soit sa durée, la démarche diagnostique passe par l'interrogatoire, l'examen clinique et par la réalisation d'examens complémentaires orientés selon le contexte. La démarche diagnostique doit être présidée par deux objectifs : rechercher pour l'exclure ou l'identifier une affection rachidienne grave nécessitant un traitement spécifique urgent (infection, tumeur, etc.) en cherchant des signes d'alerte, ou une cause viscérale grave thoracique (infarctus du myocarde, dissection aortique, etc.) ou abdominale (ulcère de l'estomac, etc.), responsable d'une douleur projetée ou référée, et nécessitant un traitement spécifique urgent ; rechercher pour l'exclure ou l'identifier un signe neurologique témoignant de la gravité de la dorsalgie (compression médullaire). Les causes des dorsalgies sont très nombreuses. La démarche diagnostique recherche : des causes rachidiennes non spécifiques dont la prise en charge passe par trois modèles de compréhension (anatomoclinique, fonctionnel et psycho-socio-culturel) ; des causes rachidiennes spécifiques (fractures pathologiques, tumeurs, rhumatismes inflammatoires, rhumatismes à microcristaux, infections) ; des causes non rachidiennes d'origine viscérale thoracique (cœur, poumon, etc.) ou abdominale (estomac, pancréas, rein, etc.). Le traitement symptomatique et étiologique est à adapter selon les causes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92446 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fracture du rachis chez l'enfant / T. Odent in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 2 (Avril 2014)
[article]
Titre : Fracture du rachis chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Odent ; C. Pfirmann ; C. Glorion Année de publication : 2014 Article en page(s) : 15-815-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Luxation rotatoire SCIWORA Burst fracture Tassement vertébral Cyphose Résumé : Les fractures du rachis sont rares chez l'enfant (1 à 10 % des lésions traumatiques selon les auteurs). Elles diffèrent des fractures de l'adulte par leurs causes, leurs localisations, l'anatomopathologie des lésions rencontrées, leur potentiel évolutif et leur traitement. Elles intéressent un squelette en croissance comprenant des zones cartilagineuses vertébrales non encore ossifiées, qui sont des zones de fragilité chez l'enfant et parfois difficilement analysables avec des clichés radiographiques. Ces particularités disparaissent au fur et à mesure que la maturation squelettique se produit, jusqu'à l'adolescence où les lésions sont superposables à celles de l'adulte. Il est important de connaître la sémiologie radiologique de ces lésions, notamment pour les lésions du rachis cervical supérieur. En complément des clichés radiologiques, les examens complémentaires comme l'imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRMN) ou la tomodensitométrie (TDM) sont indiqués en cas de fractures ou de lésions neurologiques associées. Ces examens seront les plus performants pour établir un bilan lésionnel précis des lésions osseuses, cartilagineuses et du contenu rachidien. Le traitement orthopédique reste la règle chez l'enfant en cas de lésion osseuse ou cartilagineuse sans lésion ligamentaire associée. Le traitement chirurgical a des indications certaines et doit être limité aux lésions pour éviter les troubles de croissance secondaires au geste chirurgical (laminectomie, dépériostage, etc.). La surveillance de ces lésions à long terme est indispensable compte tenu du risque de troubles de croissance à long terme. Les déformations post-traumatiques se rencontrent le plus souvent lorsque la gravité de la lésion initiale a été méconnue ou lorsque le traitement orthopédique ou chirurgical a été inadapté. La prévention de ces déformations nécessite donc une connaissance des éléments anatomiques responsables de la stabilité et de la croissance rachidienne. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42927
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 2 (Avril 2014) . - 15-815-A-10[article] Fracture du rachis chez l'enfant [texte imprimé] / T. Odent ; C. Pfirmann ; C. Glorion . - 2014 . - 15-815-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 2 (Avril 2014) . - 15-815-A-10
Mots-clés : Luxation rotatoire SCIWORA Burst fracture Tassement vertébral Cyphose Résumé : Les fractures du rachis sont rares chez l'enfant (1 à 10 % des lésions traumatiques selon les auteurs). Elles diffèrent des fractures de l'adulte par leurs causes, leurs localisations, l'anatomopathologie des lésions rencontrées, leur potentiel évolutif et leur traitement. Elles intéressent un squelette en croissance comprenant des zones cartilagineuses vertébrales non encore ossifiées, qui sont des zones de fragilité chez l'enfant et parfois difficilement analysables avec des clichés radiographiques. Ces particularités disparaissent au fur et à mesure que la maturation squelettique se produit, jusqu'à l'adolescence où les lésions sont superposables à celles de l'adulte. Il est important de connaître la sémiologie radiologique de ces lésions, notamment pour les lésions du rachis cervical supérieur. En complément des clichés radiologiques, les examens complémentaires comme l'imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRMN) ou la tomodensitométrie (TDM) sont indiqués en cas de fractures ou de lésions neurologiques associées. Ces examens seront les plus performants pour établir un bilan lésionnel précis des lésions osseuses, cartilagineuses et du contenu rachidien. Le traitement orthopédique reste la règle chez l'enfant en cas de lésion osseuse ou cartilagineuse sans lésion ligamentaire associée. Le traitement chirurgical a des indications certaines et doit être limité aux lésions pour éviter les troubles de croissance secondaires au geste chirurgical (laminectomie, dépériostage, etc.). La surveillance de ces lésions à long terme est indispensable compte tenu du risque de troubles de croissance à long terme. Les déformations post-traumatiques se rencontrent le plus souvent lorsque la gravité de la lésion initiale a été méconnue ou lorsque le traitement orthopédique ou chirurgical a été inadapté. La prévention de ces déformations nécessite donc une connaissance des éléments anatomiques responsables de la stabilité et de la croissance rachidienne. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42927 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fracture du rachis chez l'enfant / T. Odent in EMC : Appareil locomoteur, (Mars 2013)
[article]
Titre : Fracture du rachis chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Odent ; C. Pfirrmann ; C. Glorion Année de publication : 2013 Article en page(s) : 15-815-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Luxation rotatoire SCIWORA Burst fracture Tassement vertébral Cyphose Résumé : Les fractures du rachis sont rares chez l'enfant (1 à 10 % des lésions traumatiques selon les auteurs). Elles diffèrent des fractures de l'adulte par leurs causes, leurs localisations, l'anatomopathologie des lésions rencontrées, leur potentiel évolutif et leur traitement. Elles intéressent un squelette en croissance comprenant des zones cartilagineuses vertébrales non encore ossifiées, qui sont des zones de fragilité chez l'enfant et parfois difficilement analysables avec des clichés radiographiques. Ces particularités disparaissent au fur et à mesure que la maturation squelettique se produit, jusqu'à l'adolescence où les lésions sont superposables à celles de l'adulte. Il est important de connaître la sémiologie radiologique de ces lésions, notamment pour les lésions du rachis cervical supérieur. En complément des clichés radiologiques, les examens complémentaires comme l'imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRMN) ou la tomodensitométrie (TDM) sont indiqués en cas de fractures ou de lésions neurologiques associées. Ces examens seront les plus performants pour établir un bilan lésionnel précis des lésions osseuses, cartilagineuses et du contenu rachidien. Le traitement orthopédique reste la règle chez l'enfant en cas de lésion osseuse ou cartilagineuse sans lésion ligamentaire associée. Le traitement chirurgical a des indications certaines et doit être limité aux lésions pour éviter les troubles de croissance secondaires au geste chirurgical (laminectomie, dépériostage, etc.). La surveillance de ces lésions à long terme est indispensable compte tenu du risque de troubles de croissance à long terme. Les déformations post-traumatiques se rencontrent le plus souvent lorsque la gravité de la lésion initiale a été méconnue ou lorsque le traitement orthopédique ou chirurgical a été inadapté. La prévention de ces déformations nécessite donc une connaissance des éléments anatomiques responsables de la stabilité et de la croissance rachidienne. Note de contenu : Introduction
Généralités
Épidémiologie
Anatomie des vertèbres en croissance
Élément de stabilité rachidienne
Particularités biomécaniques
Bilan clinique et radiologique
Particularités des lésions traumatiques de l'enfant
Lésions médullaires sans lésion radiologique osseuse visible
Risque évolutif avec la croissance
Traumatisme du rachis cervical
Lésions du rachis cervical supérieur
Luxation occipitocervicale
Fracture de l'atlas
Luxation rotatoire C1-C2
Fracture de l'apophyse odontoïde
Fractures de l'arc postérieur de C2
Luxation C2-C3
Lésions du rachis cervical inférieur
Traumatisme du rachis thoracolombaire
Généralités
Classification
Traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44090
in EMC : Appareil locomoteur > (Mars 2013) . - 15-815-A-10 [Tome 7][article] Fracture du rachis chez l'enfant [texte imprimé] / T. Odent ; C. Pfirrmann ; C. Glorion . - 2013 . - 15-815-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mars 2013) . - 15-815-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Luxation rotatoire SCIWORA Burst fracture Tassement vertébral Cyphose Résumé : Les fractures du rachis sont rares chez l'enfant (1 à 10 % des lésions traumatiques selon les auteurs). Elles diffèrent des fractures de l'adulte par leurs causes, leurs localisations, l'anatomopathologie des lésions rencontrées, leur potentiel évolutif et leur traitement. Elles intéressent un squelette en croissance comprenant des zones cartilagineuses vertébrales non encore ossifiées, qui sont des zones de fragilité chez l'enfant et parfois difficilement analysables avec des clichés radiographiques. Ces particularités disparaissent au fur et à mesure que la maturation squelettique se produit, jusqu'à l'adolescence où les lésions sont superposables à celles de l'adulte. Il est important de connaître la sémiologie radiologique de ces lésions, notamment pour les lésions du rachis cervical supérieur. En complément des clichés radiologiques, les examens complémentaires comme l'imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRMN) ou la tomodensitométrie (TDM) sont indiqués en cas de fractures ou de lésions neurologiques associées. Ces examens seront les plus performants pour établir un bilan lésionnel précis des lésions osseuses, cartilagineuses et du contenu rachidien. Le traitement orthopédique reste la règle chez l'enfant en cas de lésion osseuse ou cartilagineuse sans lésion ligamentaire associée. Le traitement chirurgical a des indications certaines et doit être limité aux lésions pour éviter les troubles de croissance secondaires au geste chirurgical (laminectomie, dépériostage, etc.). La surveillance de ces lésions à long terme est indispensable compte tenu du risque de troubles de croissance à long terme. Les déformations post-traumatiques se rencontrent le plus souvent lorsque la gravité de la lésion initiale a été méconnue ou lorsque le traitement orthopédique ou chirurgical a été inadapté. La prévention de ces déformations nécessite donc une connaissance des éléments anatomiques responsables de la stabilité et de la croissance rachidienne. Note de contenu : Introduction
Généralités
Épidémiologie
Anatomie des vertèbres en croissance
Élément de stabilité rachidienne
Particularités biomécaniques
Bilan clinique et radiologique
Particularités des lésions traumatiques de l'enfant
Lésions médullaires sans lésion radiologique osseuse visible
Risque évolutif avec la croissance
Traumatisme du rachis cervical
Lésions du rachis cervical supérieur
Luxation occipitocervicale
Fracture de l'atlas
Luxation rotatoire C1-C2
Fracture de l'apophyse odontoïde
Fractures de l'arc postérieur de C2
Luxation C2-C3
Lésions du rachis cervical inférieur
Traumatisme du rachis thoracolombaire
Généralités
Classification
Traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44090 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fracture vertébrale non traumatique / M. Slouma in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°1 (février 2022)
[article]
Titre : Fracture vertébrale non traumatique Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Slouma ; F. Maatoug ; I. Gharsallah ; E. Cheour Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-024-A-01 [Tome 1] Note générale : https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)44651-6 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture vertébrale Tassement vertébral Ostéoporose Spondylite Métastase Résumé : La fracture vertébrale (FV) non traumatique survient en dehors d'un traumatisme violent. Fréquemment rencontrée en pratique courante, elle est constatée soit sur une radiographie réalisée devant une symptomatologie rachidienne, soit fortuitement sur une imagerie réalisée à d'autres fins. Son diagnostic positif repose sur l'imagerie. Une fois le diagnostic de FV retenu, il convient de déterminer sa nature bénigne ou non ainsi que son étiologie. On opposera la FV bénigne d'une ostéopathie fragilisante bénigne à celle maligne, métastatique ou d'une hémopathie maligne. L'absence de signes cliniques, biologiques ou radiographiques de malignité épargne le recours à d'autres explorations. Il faut cependant garder à l'esprit que l'aspect radiographique de la FV du myélome multiple peut mimer celui d'une FV ostéoporotique. Les signes radiologiques en faveur d'une fracture maligne ne permettent pas toujours de la distinguer d'une spondylite infectieuse. L'imagerie par résonnance magnétique permet de déterminer la nature bénigne ou non d'une FV selon son étiologie. La séquence Dixon en phase et en opposition de phase est d'un grand apport pour la distinction entre une FV bénigne ou non dans les cas litigieux. Le diagnostic étiologique de la FV repose sur des arguments cliniques, biologiques et radiologiques. L'origine ostéoporotique, bien qu'elle soit la plus fréquente, ne doit pas faire méconnaitre les causes malignes nécessitant une prise en charge propre, différente de celle de l'ostéoporose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101480
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-024-A-01 [Tome 1][article] Fracture vertébrale non traumatique [texte imprimé] / M. Slouma ; F. Maatoug ; I. Gharsallah ; E. Cheour . - 2022 . - p. 14-024-A-01 [Tome 1].
https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)44651-6
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-024-A-01 [Tome 1]
Mots-clés : Fracture vertébrale Tassement vertébral Ostéoporose Spondylite Métastase Résumé : La fracture vertébrale (FV) non traumatique survient en dehors d'un traumatisme violent. Fréquemment rencontrée en pratique courante, elle est constatée soit sur une radiographie réalisée devant une symptomatologie rachidienne, soit fortuitement sur une imagerie réalisée à d'autres fins. Son diagnostic positif repose sur l'imagerie. Une fois le diagnostic de FV retenu, il convient de déterminer sa nature bénigne ou non ainsi que son étiologie. On opposera la FV bénigne d'une ostéopathie fragilisante bénigne à celle maligne, métastatique ou d'une hémopathie maligne. L'absence de signes cliniques, biologiques ou radiographiques de malignité épargne le recours à d'autres explorations. Il faut cependant garder à l'esprit que l'aspect radiographique de la FV du myélome multiple peut mimer celui d'une FV ostéoporotique. Les signes radiologiques en faveur d'une fracture maligne ne permettent pas toujours de la distinguer d'une spondylite infectieuse. L'imagerie par résonnance magnétique permet de déterminer la nature bénigne ou non d'une FV selon son étiologie. La séquence Dixon en phase et en opposition de phase est d'un grand apport pour la distinction entre une FV bénigne ou non dans les cas litigieux. Le diagnostic étiologique de la FV repose sur des arguments cliniques, biologiques et radiologiques. L'origine ostéoporotique, bien qu'elle soit la plus fréquente, ne doit pas faire méconnaitre les causes malignes nécessitant une prise en charge propre, différente de celle de l'ostéoporose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101480 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire