Centre de Documentation Campus Montignies
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Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Fracture vertébrale'
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Fracture vertébrale non traumatique / M. Slouma in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°1 (février 2022)
[article]
Titre : Fracture vertébrale non traumatique Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Slouma ; F. Maatoug ; I. Gharsallah ; E. Cheour Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-024-A-01 [Tome 1] Note générale : https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)44651-6 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture vertébrale Tassement vertébral Ostéoporose Spondylite Métastase Résumé : La fracture vertébrale (FV) non traumatique survient en dehors d'un traumatisme violent. Fréquemment rencontrée en pratique courante, elle est constatée soit sur une radiographie réalisée devant une symptomatologie rachidienne, soit fortuitement sur une imagerie réalisée à d'autres fins. Son diagnostic positif repose sur l'imagerie. Une fois le diagnostic de FV retenu, il convient de déterminer sa nature bénigne ou non ainsi que son étiologie. On opposera la FV bénigne d'une ostéopathie fragilisante bénigne à celle maligne, métastatique ou d'une hémopathie maligne. L'absence de signes cliniques, biologiques ou radiographiques de malignité épargne le recours à d'autres explorations. Il faut cependant garder à l'esprit que l'aspect radiographique de la FV du myélome multiple peut mimer celui d'une FV ostéoporotique. Les signes radiologiques en faveur d'une fracture maligne ne permettent pas toujours de la distinguer d'une spondylite infectieuse. L'imagerie par résonnance magnétique permet de déterminer la nature bénigne ou non d'une FV selon son étiologie. La séquence Dixon en phase et en opposition de phase est d'un grand apport pour la distinction entre une FV bénigne ou non dans les cas litigieux. Le diagnostic étiologique de la FV repose sur des arguments cliniques, biologiques et radiologiques. L'origine ostéoporotique, bien qu'elle soit la plus fréquente, ne doit pas faire méconnaitre les causes malignes nécessitant une prise en charge propre, différente de celle de l'ostéoporose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101480
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-024-A-01 [Tome 1][article] Fracture vertébrale non traumatique [texte imprimé] / M. Slouma ; F. Maatoug ; I. Gharsallah ; E. Cheour . - 2022 . - p. 14-024-A-01 [Tome 1].
https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)44651-6
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-024-A-01 [Tome 1]
Mots-clés : Fracture vertébrale Tassement vertébral Ostéoporose Spondylite Métastase Résumé : La fracture vertébrale (FV) non traumatique survient en dehors d'un traumatisme violent. Fréquemment rencontrée en pratique courante, elle est constatée soit sur une radiographie réalisée devant une symptomatologie rachidienne, soit fortuitement sur une imagerie réalisée à d'autres fins. Son diagnostic positif repose sur l'imagerie. Une fois le diagnostic de FV retenu, il convient de déterminer sa nature bénigne ou non ainsi que son étiologie. On opposera la FV bénigne d'une ostéopathie fragilisante bénigne à celle maligne, métastatique ou d'une hémopathie maligne. L'absence de signes cliniques, biologiques ou radiographiques de malignité épargne le recours à d'autres explorations. Il faut cependant garder à l'esprit que l'aspect radiographique de la FV du myélome multiple peut mimer celui d'une FV ostéoporotique. Les signes radiologiques en faveur d'une fracture maligne ne permettent pas toujours de la distinguer d'une spondylite infectieuse. L'imagerie par résonnance magnétique permet de déterminer la nature bénigne ou non d'une FV selon son étiologie. La séquence Dixon en phase et en opposition de phase est d'un grand apport pour la distinction entre une FV bénigne ou non dans les cas litigieux. Le diagnostic étiologique de la FV repose sur des arguments cliniques, biologiques et radiologiques. L'origine ostéoporotique, bien qu'elle soit la plus fréquente, ne doit pas faire méconnaitre les causes malignes nécessitant une prise en charge propre, différente de celle de l'ostéoporose. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101480 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Ostéoporoses : généralités, stratégie diagnostique / E. Legrand in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2012)
[article]
Titre : Ostéoporoses : généralités, stratégie diagnostique Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Legrand ; M. Bouvard ; E. Hoppé Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-024-A-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéoporose Fracture vertébrale Fracture de l'extrémité supérieure du fémur Handicap neurosensoriel Endocrinopathie Corticothérapie Résumé : L'ostéoporose est définie comme une affection diffuse du squelette, caractérisée par une masse osseuse basse et des altérations microarchitecturales du tissu osseux, conduisant à une augmentation de la fragilité osseuse et à un risque accru de fractures. Les fractures vertébrales, fémorales, humérales et celles du bassin, complications les plus graves de cette maladie osseuse, sont associées avec une augmentation de la morbidité, du nombre des hospitalisations et de la mortalité à court et moyen termes dans les deux sexes. On admet actuellement que 50 % des femmes et 20 % des hommes de plus de 50ans présenteront avant la fin de leur vie au moins une fracture ostéoporotique. La découverte d'une ostéoporose, qu'elle soit diagnostiquée devant une densité osseuse basse ou devant une première fracture, oblige à une enquête diagnostique dont les trois objectifs sont de vérifier l'absence d'une autre pathologie osseuse pouvant simuler une ostéoporose (en particulier le myélome) ; de rechercher une ostéoporose secondaire à une endocrinopathie ou à une maladie générale ; de prendre en compte l'ensemble des facteurs de risque de fracture en particulier ceux qui sont modifiables ou améliorables (tabac, alcool, maladie inflammatoire, corticothérapie, thérapeutiques anti-estrogénique ou anti-androgénique, dénutrition, carence en vitamine D, consommation de psychotropes responsables de chutes). À partir de 70ans, la recherche d'un handicap neurosensoriel, hautement associé au risque de fracture de l'extrémité supérieure du fémur, est indispensable afin de l'inclure dans l'évaluation du risque et dans le programme thérapeutique. Au-delà de cette phase diagnostique initiale, l'évaluation de la gravité de la maladie, socle du choix thérapeutique, doit prendre en compte l'âge élevé du patient, le nombre et la gravité des fractures vertébrales visibles sur les radiographies, le nombre et les circonstances de survenue des fractures périphériques, l'importance de la diminution de la densité osseuse et de nouveau la présence ou non de chutes répétées liées à un handicap neurosensoriel. Note de contenu : Introduction
Définition
Ostéoporoses primitives et secondaires
Ostéoporoses postménopausique et sénile
Ostéoporose : maladie multifactorielle
Stratégie générale du diagnostic
Diagnostic avant la fracture
Diagnostic après la fracture
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43693
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-024-A-10 [Tome 1][article] Ostéoporoses : généralités, stratégie diagnostique [texte imprimé] / E. Legrand ; M. Bouvard ; E. Hoppé . - 2012 . - 14-024-A-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-024-A-10 [Tome 1]
Mots-clés : Ostéoporose Fracture vertébrale Fracture de l'extrémité supérieure du fémur Handicap neurosensoriel Endocrinopathie Corticothérapie Résumé : L'ostéoporose est définie comme une affection diffuse du squelette, caractérisée par une masse osseuse basse et des altérations microarchitecturales du tissu osseux, conduisant à une augmentation de la fragilité osseuse et à un risque accru de fractures. Les fractures vertébrales, fémorales, humérales et celles du bassin, complications les plus graves de cette maladie osseuse, sont associées avec une augmentation de la morbidité, du nombre des hospitalisations et de la mortalité à court et moyen termes dans les deux sexes. On admet actuellement que 50 % des femmes et 20 % des hommes de plus de 50ans présenteront avant la fin de leur vie au moins une fracture ostéoporotique. La découverte d'une ostéoporose, qu'elle soit diagnostiquée devant une densité osseuse basse ou devant une première fracture, oblige à une enquête diagnostique dont les trois objectifs sont de vérifier l'absence d'une autre pathologie osseuse pouvant simuler une ostéoporose (en particulier le myélome) ; de rechercher une ostéoporose secondaire à une endocrinopathie ou à une maladie générale ; de prendre en compte l'ensemble des facteurs de risque de fracture en particulier ceux qui sont modifiables ou améliorables (tabac, alcool, maladie inflammatoire, corticothérapie, thérapeutiques anti-estrogénique ou anti-androgénique, dénutrition, carence en vitamine D, consommation de psychotropes responsables de chutes). À partir de 70ans, la recherche d'un handicap neurosensoriel, hautement associé au risque de fracture de l'extrémité supérieure du fémur, est indispensable afin de l'inclure dans l'évaluation du risque et dans le programme thérapeutique. Au-delà de cette phase diagnostique initiale, l'évaluation de la gravité de la maladie, socle du choix thérapeutique, doit prendre en compte l'âge élevé du patient, le nombre et la gravité des fractures vertébrales visibles sur les radiographies, le nombre et les circonstances de survenue des fractures périphériques, l'importance de la diminution de la densité osseuse et de nouveau la présence ou non de chutes répétées liées à un handicap neurosensoriel. Note de contenu : Introduction
Définition
Ostéoporoses primitives et secondaires
Ostéoporoses postménopausique et sénile
Ostéoporose : maladie multifactorielle
Stratégie générale du diagnostic
Diagnostic avant la fracture
Diagnostic après la fracture
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43693 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire