Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Résultat de la recherche
4 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'devenir'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
Éléments pour une psychothérapie adaptée à la diversité trans* / Denise Medico in Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux, 52 ([17/10/2014])
[article]
Titre : Éléments pour une psychothérapie adaptée à la diversité trans* Type de document : texte imprimé Auteurs : Denise Medico, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 109-137 Langues : Français (fre) Mots-clés : transgenre transsexuel psychothérapie devenir subjectivité Résumé : Le modèle de la transsexualité ne représente pas la diversité des expériences transgenres et la psychothérapie doit s’adapter, dans ses pratiques, mais aussi dans ses théories de référence, à la diversité des subjectivités contemporaines. Elle doit penser en termes de « devenir du genre » et travailler dans cette optique de la diversité et de la non pathologisation des genres différents. Dans cet article nous présenterons des éléments du devenir trans* ainsi que des pistes de travail et des métaphores alternatives pour penser et accompagner les personnes trans* dans une construction positive de soi. Nos réflexions se basent sur notre expérience thérapeutique auprès des personnes trans* ainsi que de travaux de recherches sur la subjectivité trans* et de la littérature actuelle sur cette question. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=33308
in Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux > 52 [17/10/2014] . - 109-137[article] Éléments pour une psychothérapie adaptée à la diversité trans* [texte imprimé] / Denise Medico, Auteur . - 2014 . - 109-137.
Langues : Français (fre)
in Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux > 52 [17/10/2014] . - 109-137
Mots-clés : transgenre transsexuel psychothérapie devenir subjectivité Résumé : Le modèle de la transsexualité ne représente pas la diversité des expériences transgenres et la psychothérapie doit s’adapter, dans ses pratiques, mais aussi dans ses théories de référence, à la diversité des subjectivités contemporaines. Elle doit penser en termes de « devenir du genre » et travailler dans cette optique de la diversité et de la non pathologisation des genres différents. Dans cet article nous présenterons des éléments du devenir trans* ainsi que des pistes de travail et des métaphores alternatives pour penser et accompagner les personnes trans* dans une construction positive de soi. Nos réflexions se basent sur notre expérience thérapeutique auprès des personnes trans* ainsi que de travaux de recherches sur la subjectivité trans* et de la littérature actuelle sur cette question. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=33308 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleL'ergothérapie de demain en France / Éric Trouvé in Ergothérapies, 59 (Octobre 2015)
[article]
Titre : L'ergothérapie de demain en France Type de document : texte imprimé Auteurs : Éric Trouvé, Auteur ; Emeric Offenstein, Auteur ; Natacha Agati, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.5-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ergothérapeute devenir pratique professionnalisation acteur politique Résumé : Basé sur l'expérience des auteurs et à la lumière de quelques références conceptuelles, cet écrit aborde successivement la pratique future de l'ergothérapie en France, le type de professionnels qui vont l'exercer et le devenir du groupe de professionnels constitué. L'approche centrée sur la personne et l'activité, plutôt que sur le déficit ou la pathologie, est reconnue aujourd'hui comme plus intéressante pour faciliter l'autonomie, l'engagement, la prise d'habitude et la participation sociale. L'ergothérapeute affirme progressivement une posture d’accompagnateur de la personne qui est en perpétuel remaniement et transformation dans son parcours de vie, et où la pathologie et la déficience ne seraient qu'un des facteurs à considérer. Reste à l'ergothérapeute de trouver une place pour cette façon d'exercer dans un environnement sanitaire et social en pleine mutation. Différent de ses aïeuls en matière d'engagement professionnel, de développement de ses compétences et de prise de responsabilité, l'ergothérapeute du futur devra néanmoins participer à l'achèvement du processus de professionnalisation de l'ergothérapie et prendre une part plus active dans la défense des valeurs qu'il porte en lui au niveau sociétal. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=40934
in Ergothérapies > 59 (Octobre 2015) . - p.5-11[article] L'ergothérapie de demain en France [texte imprimé] / Éric Trouvé, Auteur ; Emeric Offenstein, Auteur ; Natacha Agati, Auteur . - 2015 . - p.5-11.
Langues : Français (fre)
in Ergothérapies > 59 (Octobre 2015) . - p.5-11
Mots-clés : Ergothérapeute devenir pratique professionnalisation acteur politique Résumé : Basé sur l'expérience des auteurs et à la lumière de quelques références conceptuelles, cet écrit aborde successivement la pratique future de l'ergothérapie en France, le type de professionnels qui vont l'exercer et le devenir du groupe de professionnels constitué. L'approche centrée sur la personne et l'activité, plutôt que sur le déficit ou la pathologie, est reconnue aujourd'hui comme plus intéressante pour faciliter l'autonomie, l'engagement, la prise d'habitude et la participation sociale. L'ergothérapeute affirme progressivement une posture d’accompagnateur de la personne qui est en perpétuel remaniement et transformation dans son parcours de vie, et où la pathologie et la déficience ne seraient qu'un des facteurs à considérer. Reste à l'ergothérapeute de trouver une place pour cette façon d'exercer dans un environnement sanitaire et social en pleine mutation. Différent de ses aïeuls en matière d'engagement professionnel, de développement de ses compétences et de prise de responsabilité, l'ergothérapeute du futur devra néanmoins participer à l'achèvement du processus de professionnalisation de l'ergothérapie et prendre une part plus active dans la défense des valeurs qu'il porte en lui au niveau sociétal. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=40934 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtL'étoffe de nos corps / Noëlle Portets in Le Sociographe, 49 (mars 2015)
[article]
Titre : L'étoffe de nos corps Type de document : texte imprimé Auteurs : Noëlle Portets, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 20-28 Langues : Français (fre) Mots-clés : devenir genre hétéronormalité politique des sexes Résumé : e genre est un outil qui donne à penser. Venant ainsi mettre en questions les assises relationnelles, sociopolitiques, des sujets humains, il reprend des « évidences ». Il conduit plutôt à rencontrer la complexité des vies humaines, en situation. Qui suis-je ?, autrement dit, qui puis-je devenir ?,est la question que rencontre chacun dès l’enfance. Les travailleurs sociaux, les institutions, accompagnant des passages de ces vies singulières et tenant de la pluralité, ne peuvent se soustraire au questionnement ouvert par le genre.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=35225
in Le Sociographe > 49 (mars 2015) . - 20-28[article] L'étoffe de nos corps [texte imprimé] / Noëlle Portets, Auteur . - 2015 . - 20-28.
Langues : Français (fre)
in Le Sociographe > 49 (mars 2015) . - 20-28
Mots-clés : devenir genre hétéronormalité politique des sexes Résumé : e genre est un outil qui donne à penser. Venant ainsi mettre en questions les assises relationnelles, sociopolitiques, des sujets humains, il reprend des « évidences ». Il conduit plutôt à rencontrer la complexité des vies humaines, en situation. Qui suis-je ?, autrement dit, qui puis-je devenir ?,est la question que rencontre chacun dès l’enfance. Les travailleurs sociaux, les institutions, accompagnant des passages de ces vies singulières et tenant de la pluralité, ne peuvent se soustraire au questionnement ouvert par le genre.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=35225 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleCognitive and behavioural post-traumatic impairments: What is the specificity of a brain injury ? A study within the ESPARR cohort / S. NASH in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°9-10 (Décembre 2014)
[article]
Titre : Cognitive and behavioural post-traumatic impairments: What is the specificity of a brain injury ? A study within the ESPARR cohort Titre original : Troubles cognitifs et comportementaux post-traumatiques : quelle est la spécificité du traumatisme crânien ? Étude au sein de la cohorte ESPARR Type de document : texte imprimé Auteurs : S. NASH, Auteur ; Jacques Luauté, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.600-617 Langues : Français (fre) Mots-clés : Traumatic brain injury ESPARR Neurobehavioral Rating Scale Revised Outcome Motor vehicle accident Traumatisme crânien Devenir Accident de la voie publique Résumé : Objective
The variety and extent of impairments occurring after traumatic brain injury vary according to the nature and severity of the lesions. In order to better understand their interactions and long-term outcome, we have studied and compared the cognitive and neurobehavioral profile one year post onset of patients with and without traumatic brain injury in a cohort of motor vehicle accident victims.
Method
The study population is composed of 207 seriously injured persons from the ESPARR cohort. This cohort, which has been followed up in time, consists in 1168 motor vehicle accident victims (aged 16 years or more) with injuries with all degrees of severity. Inclusion criteria were: living in Rhone county, victim of a traffic accident having involved at least one wheel-conducted vehicle and having occurred in Rhone county, alive at the time of arrival in hospital and having presented in one of the different ER facilities of the county. The cohort's representativeness regarding social and geographic criteria and the specificities of the accidents were ensured by the specific targeting of recruitment. Deficits and impairments were assessed one year after the accident using the Neurobehavioral Rating Scale - Revised and the Trail-Making Test. Within our seriously injured group, based on the Glasgow Score, the presence of neurological deficits, aggravation of neurological condition in the first 72hours and/or abnormal cerebral imaging, we identified three categories: (i) moderate/severe traumatic brain injury (n=48), (ii) mild traumatic brain injury (n=89), and (iii) severely injured but without traumatic brain injury (n=70).
Results
The most frequently observed symptoms were anxiety, irritability, memory and attention impairments, depressive mood and emotional lability. While depressive mood and irritability were observed with similar frequency in all three groups, memory and attention impairments, anxiety and reduced initiative were more specific to traumatic brain injury whereas executive disorders were associated with moderate/severe traumatic brain injury.
Discussion-Conclusion
The presence and the initial severity of a traumatic brain injury condition the nature and frequency of residual effects after one year. Some impairments such as irritability, which is generally associated with traumatic brain injury, do not appear to be specific to this population, nor does depressive mood. Substantial interactions between cognitive, affective and neurobehavioral disorders have been highlighted.
Objectif
La diversité et l’étendue des déficits observés après un traumatisme crânien varient suivant la nature des lésions et leur gravité. Afin de mieux en comprendre les interactions et leurs conséquences à long terme, nous avons étudié et comparé le profil cognitif et neuro-comportemental d’une cohorte de victimes d’accidents de la voie publique avec et sans traumatisme crânien, un an après l’accident.
Méthode
La population d’étude est constituée de 207 blessés graves de la cohorte ESPARR. Cette cohorte, qui a été suivie dans le temps, est composée de 1168 accidentés de la route dans le Rhône âgés de 16ans et plus et de toutes gravités, inclus selon certains critères : résidant dans le Rhône, victime d’un accident de la circulation impliquant au moins un véhicule à roues, ayant eu lieu dans le Rhône, vivant au moment de son arrivée à l’hôpital, et se présentant dans l’un des différents services d’urgences du Rhône. La représentativité de cette cohorte en termes de critères sociogéographiques et de caractéristiques de l’accident a été assurée par la nature spécifique du recrutement. Les plaintes et déficiences cognitivo-comportementales ont été évaluées un an après l’accident avec la Neurobehavioral Rating Scale-Revised et le Trail Making Test. Nous avons distingué, dans notre population d’étude de blessés graves, trois catégories de patients : les traumatisés crâniens modérés/graves (n=48), les traumatisés crâniens légers (n=89) et les blessés graves sans traumatisme crânien (n=70), basées sur le score de Glasgow, la présence de déficits neurologiques, d’une aggravation de l’état neurologique dans les 72heures et/ou d’une imagerie cérébrale anormale.
Résultats
Les symptômes les plus fréquemment observés étaient l’anxiété, l’irritabilité, les troubles mnésiques et attentionnels, la dépression et la labilité de l’humeur. L’humeur dépressive et l’irritabilité sont relevées aussi fréquemment dans les trois groupes. Les troubles de mémoire, d’attention, l’anxiété et la diminution des initiatives sont plus spécifiques au traumatisme crânien et les troubles exécutifs sont typiques d’un traumatisme crânien modéré/grave.
Discussion-Conclusion
La présence et la sévérité initiale du TC conditionnent la nature et la fréquence des séquelles à un an d’évolution. Certains troubles comme l’irritabilité, habituellement associée à un traumatisme crânien, n’apparaissent pas comme spécifiques à cette population, tout comme l’humeur dépressive. Ainsi, les interactions entre troubles cognitifs, émotivo-affectifs et neuro-comportementaux sont mises en avant.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34544
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°9-10 (Décembre 2014) . - p.600-617[article] Cognitive and behavioural post-traumatic impairments: What is the specificity of a brain injury ? A study within the ESPARR cohort = Troubles cognitifs et comportementaux post-traumatiques : quelle est la spécificité du traumatisme crânien ? Étude au sein de la cohorte ESPARR [texte imprimé] / S. NASH, Auteur ; Jacques Luauté, Auteur . - 2014 . - p.600-617.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°9-10 (Décembre 2014) . - p.600-617
Mots-clés : Traumatic brain injury ESPARR Neurobehavioral Rating Scale Revised Outcome Motor vehicle accident Traumatisme crânien Devenir Accident de la voie publique Résumé : Objective
The variety and extent of impairments occurring after traumatic brain injury vary according to the nature and severity of the lesions. In order to better understand their interactions and long-term outcome, we have studied and compared the cognitive and neurobehavioral profile one year post onset of patients with and without traumatic brain injury in a cohort of motor vehicle accident victims.
Method
The study population is composed of 207 seriously injured persons from the ESPARR cohort. This cohort, which has been followed up in time, consists in 1168 motor vehicle accident victims (aged 16 years or more) with injuries with all degrees of severity. Inclusion criteria were: living in Rhone county, victim of a traffic accident having involved at least one wheel-conducted vehicle and having occurred in Rhone county, alive at the time of arrival in hospital and having presented in one of the different ER facilities of the county. The cohort's representativeness regarding social and geographic criteria and the specificities of the accidents were ensured by the specific targeting of recruitment. Deficits and impairments were assessed one year after the accident using the Neurobehavioral Rating Scale - Revised and the Trail-Making Test. Within our seriously injured group, based on the Glasgow Score, the presence of neurological deficits, aggravation of neurological condition in the first 72hours and/or abnormal cerebral imaging, we identified three categories: (i) moderate/severe traumatic brain injury (n=48), (ii) mild traumatic brain injury (n=89), and (iii) severely injured but without traumatic brain injury (n=70).
Results
The most frequently observed symptoms were anxiety, irritability, memory and attention impairments, depressive mood and emotional lability. While depressive mood and irritability were observed with similar frequency in all three groups, memory and attention impairments, anxiety and reduced initiative were more specific to traumatic brain injury whereas executive disorders were associated with moderate/severe traumatic brain injury.
Discussion-Conclusion
The presence and the initial severity of a traumatic brain injury condition the nature and frequency of residual effects after one year. Some impairments such as irritability, which is generally associated with traumatic brain injury, do not appear to be specific to this population, nor does depressive mood. Substantial interactions between cognitive, affective and neurobehavioral disorders have been highlighted.
Objectif
La diversité et l’étendue des déficits observés après un traumatisme crânien varient suivant la nature des lésions et leur gravité. Afin de mieux en comprendre les interactions et leurs conséquences à long terme, nous avons étudié et comparé le profil cognitif et neuro-comportemental d’une cohorte de victimes d’accidents de la voie publique avec et sans traumatisme crânien, un an après l’accident.
Méthode
La population d’étude est constituée de 207 blessés graves de la cohorte ESPARR. Cette cohorte, qui a été suivie dans le temps, est composée de 1168 accidentés de la route dans le Rhône âgés de 16ans et plus et de toutes gravités, inclus selon certains critères : résidant dans le Rhône, victime d’un accident de la circulation impliquant au moins un véhicule à roues, ayant eu lieu dans le Rhône, vivant au moment de son arrivée à l’hôpital, et se présentant dans l’un des différents services d’urgences du Rhône. La représentativité de cette cohorte en termes de critères sociogéographiques et de caractéristiques de l’accident a été assurée par la nature spécifique du recrutement. Les plaintes et déficiences cognitivo-comportementales ont été évaluées un an après l’accident avec la Neurobehavioral Rating Scale-Revised et le Trail Making Test. Nous avons distingué, dans notre population d’étude de blessés graves, trois catégories de patients : les traumatisés crâniens modérés/graves (n=48), les traumatisés crâniens légers (n=89) et les blessés graves sans traumatisme crânien (n=70), basées sur le score de Glasgow, la présence de déficits neurologiques, d’une aggravation de l’état neurologique dans les 72heures et/ou d’une imagerie cérébrale anormale.
Résultats
Les symptômes les plus fréquemment observés étaient l’anxiété, l’irritabilité, les troubles mnésiques et attentionnels, la dépression et la labilité de l’humeur. L’humeur dépressive et l’irritabilité sont relevées aussi fréquemment dans les trois groupes. Les troubles de mémoire, d’attention, l’anxiété et la diminution des initiatives sont plus spécifiques au traumatisme crânien et les troubles exécutifs sont typiques d’un traumatisme crânien modéré/grave.
Discussion-Conclusion
La présence et la sévérité initiale du TC conditionnent la nature et la fréquence des séquelles à un an d’évolution. Certains troubles comme l’irritabilité, habituellement associée à un traumatisme crânien, n’apparaissent pas comme spécifiques à cette population, tout comme l’humeur dépressive. Ainsi, les interactions entre troubles cognitifs, émotivo-affectifs et neuro-comportementaux sont mises en avant.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34544 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt