Centre de Documentation Campus Montignies
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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'dérivé méthoxylé'
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Exploration biochimique de la médullosurrénale / Bruno Baudin in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 544 (juillet 2022)
[article]
Titre : Exploration biochimique de la médullosurrénale Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Baudin Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 36-41 Note générale : https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00247-7 Langues : Français (fre) Mots-clés : catécholamine chromatographie liquide haute performance dérivé méthoxylé phéochromocytome spectrométrie de masse Résumé : Les catécholamines (adrénaline et noradrénaline) sont des hormones régulant la pression artérielle et des neuromédiateurs du système nerveux autonome sympathique. Elles sont sécrétées en excès par les tumeurs chromaffines de la médullosurrénale (phéochromocytomes) ou de ganglions sympathiques (paragangliomes). Les catécholamines ainsi que leurs métabolites (dérivés méthoxylés, acide vanillylmandélique et acide homovanillique) et la dopamine sont dosés dans le plasma et les urines par des méthodes basées sur leur séparation par chromatographie liquide haute performance (CLHP) et de plus en plus détectées par spectrométrie de masse en tandem (MS/MS). Les conditions pré-analytiques sont strictes étant donné que l’on ne doit pas stimuler la sécrétion des catécho- lamines. Les recommandations actuelles demandent de doser en premier lieu les dérivés méthoxylés (ou métanéphrines) totaux plasmatiques ou urinaires, alors que la CLHP-MS/MS est capable de doser séparément les formes libres plasmatiques et urinaires. La chromogranine A permet un criblage plus aisé mais n’est encore guère disponible. Le diagnostic positif et le suivi thérapeutique de ces tumeurs parfois cancéreuses nécessitent tout l’arsenal analytique allant des dérivés méthoxylés aux catécholamines elles-mêmes. Note de contenu : Issu du dossier "Biochimie de la surrénale" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104962
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 544 (juillet 2022) . - p. 36-41[article] Exploration biochimique de la médullosurrénale [texte imprimé] / Bruno Baudin . - 2022 . - p. 36-41.
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00247-7
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 544 (juillet 2022) . - p. 36-41
Mots-clés : catécholamine chromatographie liquide haute performance dérivé méthoxylé phéochromocytome spectrométrie de masse Résumé : Les catécholamines (adrénaline et noradrénaline) sont des hormones régulant la pression artérielle et des neuromédiateurs du système nerveux autonome sympathique. Elles sont sécrétées en excès par les tumeurs chromaffines de la médullosurrénale (phéochromocytomes) ou de ganglions sympathiques (paragangliomes). Les catécholamines ainsi que leurs métabolites (dérivés méthoxylés, acide vanillylmandélique et acide homovanillique) et la dopamine sont dosés dans le plasma et les urines par des méthodes basées sur leur séparation par chromatographie liquide haute performance (CLHP) et de plus en plus détectées par spectrométrie de masse en tandem (MS/MS). Les conditions pré-analytiques sont strictes étant donné que l’on ne doit pas stimuler la sécrétion des catécho- lamines. Les recommandations actuelles demandent de doser en premier lieu les dérivés méthoxylés (ou métanéphrines) totaux plasmatiques ou urinaires, alors que la CLHP-MS/MS est capable de doser séparément les formes libres plasmatiques et urinaires. La chromogranine A permet un criblage plus aisé mais n’est encore guère disponible. Le diagnostic positif et le suivi thérapeutique de ces tumeurs parfois cancéreuses nécessitent tout l’arsenal analytique allant des dérivés méthoxylés aux catécholamines elles-mêmes. Note de contenu : Issu du dossier "Biochimie de la surrénale" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104962 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponiblePhéochromocytomes et paragangliomes / Stéphanie Baron in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 544 (juillet 2022)
[article]
Titre : Phéochromocytomes et paragangliomes Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphanie Baron ; Laurence Chardon ; Laurence Amar Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 47-54 Note générale : https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00249-0 Langues : Français (fre) Mots-clés : dérivé méthoxylé métanéphrine paragangliome phéochromocytome surrénale Résumé : Les phéochromocytomes et paragangliomes (PPGL) sont des tumeurs neuroendocrines, très rares, sécrétant des catécholamines (adrénaline, noradrénaline, dopamine), souvent de manière paroxystique, spontanée ou provoquée. Cette sécrétion est responsable d’une symptomatologie associant le plus souvent une hypertension artérielle à la triade céphalées-sueurs- palpitations. Le diagnostic biologique de ces tumeurs sécrétantes est basé sur la mesure des dérivés méthoxylés des catécholamines : métanéphrine et normétanéphrine respectivement, pour l’adrénaline et la noradrénaline, désignés sous le terme générique de métanéphrines (au pluriel). Leur mesure est réalisée soit sur les urines des 24 heures (dérivés libres ou dérivés totaux après hydrolyse acide) soit sur le sang pour la mesure des métanéphrines libres plasmatiques. Même si ces dernières ne sont pas référencées à la nomenclature des actes de biologie médicale, elles constituent le meilleur outil diagnostique avec une sensibilité et une spécificité supérieures à 95 %. Il existe malgré tout de rares faux positifs qui sont liés soit à des interférences analytiques (quasi disparues avec le déploiement de la LC-MS/MS), soit à des interférences pharmacologiques, liées à l’utilisation de molécules interférant avec le métabolisme des catécholamines ou des conditions de prélèvement stimulant le système nerveux sympathique. Tout traitement susceptible d’augmenter la concentration des catécholamines est à proscrire. L’imagerie (conventionnelle et fonctionnelle) fait partie intégrante de la prise en charge, tant pour confirmer des mesures biologiques faiblement positives que pour localiser la ou les éventuelle(s) tumeur(s). Le traitement est chirurgical quand il est possible. Enfin, la majorité des PPGL étant héréditaires, le diagnostic génétique fait aussi partie intégrante du diagnostic. Note de contenu : Issu du dossier "Biochimie de la surrénale" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104964
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 544 (juillet 2022) . - p. 47-54[article] Phéochromocytomes et paragangliomes [texte imprimé] / Stéphanie Baron ; Laurence Chardon ; Laurence Amar . - 2022 . - p. 47-54.
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00249-0
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 544 (juillet 2022) . - p. 47-54
Mots-clés : dérivé méthoxylé métanéphrine paragangliome phéochromocytome surrénale Résumé : Les phéochromocytomes et paragangliomes (PPGL) sont des tumeurs neuroendocrines, très rares, sécrétant des catécholamines (adrénaline, noradrénaline, dopamine), souvent de manière paroxystique, spontanée ou provoquée. Cette sécrétion est responsable d’une symptomatologie associant le plus souvent une hypertension artérielle à la triade céphalées-sueurs- palpitations. Le diagnostic biologique de ces tumeurs sécrétantes est basé sur la mesure des dérivés méthoxylés des catécholamines : métanéphrine et normétanéphrine respectivement, pour l’adrénaline et la noradrénaline, désignés sous le terme générique de métanéphrines (au pluriel). Leur mesure est réalisée soit sur les urines des 24 heures (dérivés libres ou dérivés totaux après hydrolyse acide) soit sur le sang pour la mesure des métanéphrines libres plasmatiques. Même si ces dernières ne sont pas référencées à la nomenclature des actes de biologie médicale, elles constituent le meilleur outil diagnostique avec une sensibilité et une spécificité supérieures à 95 %. Il existe malgré tout de rares faux positifs qui sont liés soit à des interférences analytiques (quasi disparues avec le déploiement de la LC-MS/MS), soit à des interférences pharmacologiques, liées à l’utilisation de molécules interférant avec le métabolisme des catécholamines ou des conditions de prélèvement stimulant le système nerveux sympathique. Tout traitement susceptible d’augmenter la concentration des catécholamines est à proscrire. L’imagerie (conventionnelle et fonctionnelle) fait partie intégrante de la prise en charge, tant pour confirmer des mesures biologiques faiblement positives que pour localiser la ou les éventuelle(s) tumeur(s). Le traitement est chirurgical quand il est possible. Enfin, la majorité des PPGL étant héréditaires, le diagnostic génétique fait aussi partie intégrante du diagnostic. Note de contenu : Issu du dossier "Biochimie de la surrénale" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104964 Réservation
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