Centre de Documentation Campus Montignies
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Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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8 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Surentraînement'
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Hyperthyroïdie chez un sportif : aux frontières du surentraînement / J.-F. Brun in Science & sports, Volume 29 numéro 2 (Avril 2014)
[article]
Titre : Hyperthyroïdie chez un sportif : aux frontières du surentraînement Titre original : Hyperthyroidism in an athlete: On the edge of overtraining Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-F. Brun, Auteur ; C. Boegner, Auteur ; C. Fédou, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.95-100 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hyperthyroïdie Maladie de Basedow Overreaching Surentraînement Triathlon Résumé : Introduction
Nous rapportons l’observation d’un homme de 38ans, maître nageur et triathlète, traité depuis quatre ans pour maladie de Basedow ayant récidivé à trois reprises. Il pratique 8 à 12h de sport par semaine.
Synthèse des faits
Le questionnaire SFMS retient une diminution de performance avec 35 items positifs sur 54, donc un score très élevé. L’enquête diététique dénombre 3233 kcal/24h dont 1,8g/kg par jour de protides. Il pèse 67,1kg, dont 59,3kg de masse maigre et 12 % de masse grasse. Un test d’effort triangulaire montre une VO2-max à 58,2mL/min par kilogramme (147 % de la norme théorique) avec seuil ventilatoire à 55 % de cette VO2-max, mais avant son hyperthyroïdie ces valeurs auraient été 25 % plus élevées. En fait l’hyperthyroïdie est parfaitement contrôlée selon les critères usuels avec 25mg/j de carbimazole, mais ce « parfait équilibre » est ressenti chez ce sportif comme comportant un état de tachycardie relative qui le gêne fortement dans sa pratique sportive et ses entraînements.
Conclusion
Cette observation montre que la normalisation d’une hyperthyroïdie selon les critères usuels laisse persister chez un sportif une hypersympathicotonie qui crée l’équivalent de la dysfonction sympathique de l’overreaching.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=31099
in Science & sports > Volume 29 numéro 2 (Avril 2014) . - p.95-100[article] Hyperthyroïdie chez un sportif : aux frontières du surentraînement = Hyperthyroidism in an athlete: On the edge of overtraining [texte imprimé] / J.-F. Brun, Auteur ; C. Boegner, Auteur ; C. Fédou, Auteur . - 2014 . - p.95-100.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 29 numéro 2 (Avril 2014) . - p.95-100
Mots-clés : Hyperthyroïdie Maladie de Basedow Overreaching Surentraînement Triathlon Résumé : Introduction
Nous rapportons l’observation d’un homme de 38ans, maître nageur et triathlète, traité depuis quatre ans pour maladie de Basedow ayant récidivé à trois reprises. Il pratique 8 à 12h de sport par semaine.
Synthèse des faits
Le questionnaire SFMS retient une diminution de performance avec 35 items positifs sur 54, donc un score très élevé. L’enquête diététique dénombre 3233 kcal/24h dont 1,8g/kg par jour de protides. Il pèse 67,1kg, dont 59,3kg de masse maigre et 12 % de masse grasse. Un test d’effort triangulaire montre une VO2-max à 58,2mL/min par kilogramme (147 % de la norme théorique) avec seuil ventilatoire à 55 % de cette VO2-max, mais avant son hyperthyroïdie ces valeurs auraient été 25 % plus élevées. En fait l’hyperthyroïdie est parfaitement contrôlée selon les critères usuels avec 25mg/j de carbimazole, mais ce « parfait équilibre » est ressenti chez ce sportif comme comportant un état de tachycardie relative qui le gêne fortement dans sa pratique sportive et ses entraînements.
Conclusion
Cette observation montre que la normalisation d’une hyperthyroïdie selon les critères usuels laisse persister chez un sportif une hypersympathicotonie qui crée l’équivalent de la dysfonction sympathique de l’overreaching.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=31099 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtIncrease of circulating cfDNA by chronic training or overtraining in human and rat and its possible mechanisms / L.J. Yin in Science & sports, Vol.37 N°1 (février 2022)
[article]
Titre : Increase of circulating cfDNA by chronic training or overtraining in human and rat and its possible mechanisms Titre original : Augmentation de l’ADNc circulant par de hautes charges de travail à l’entraînement ou surentraînement chez l’homme et le rat et ses mécanismes possibles Type de document : texte imprimé Auteurs : L.J. Yin ; Z.C. Guo ; T.Y. Wang ; X.H. Wang Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 58-67 Note générale : https://doi : 10.1016/j.scispo.2021.01.005 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : cfDNA Entraînement à charge élevée Surentraînement Stress oxydatif Microlésions musculaires Résumé : Objectif
Cette étude a été conçue pour étudier les changements de l’ADN libre circulant (cfDNA) chez des boxeurs et des rats soumis à une charge élevée chronique et à un état de surentraînement ainsi que ses mécanismes possibles, après avoir établi une méthode sensible et simple pour détecter l’ADNc circulant.
Méthodes
Treize boxeurs mâles ont suivi un entraînement à charge élevée, comprenant des entraînements à haute intensité et à volume élevé sur 3 semaines avec un intervalle de 4 semaines, tandis que les rats femelles ont suivi un entraînement à charge élevée ou un surentraînement expérimental, avec 10 rats chaque groupe, comparés à 10 rats sédentaires. Des échantillons sanguins de tous les participants ont été prélevés avant le début de la formation et 36h après la dernière session d’entraînement. Nous avons développé une technique originale de PCR en temps réel pour doser le cfDNA. Les marqueurs d’entraînement à charge élevée et le surentraînement, comprenant la testostérone, le cortisol (corticostérone chez le rat), l’Hb, la créatine kinase (CK), l’azotémie (BUN), et les marqueurs de stress oxydatif tel que la glutathion peroxydase (GSH-Px), le malonaldéhyde (MDA), ainsi que la performance à l’exercice ont été déterminés.
Résultats
(1) Nous confirmons que notre PCR en temps réel ciblant Alu ou le gène homogène Alu détecte le cfDNA de façon simple et avec une bonne sensibilité; (2) Les niveaux de cfDNA sont augmentés chez les rats soumis à l’entraînement à charge élevée et au surentraînement d’environ respectivement 2,0 et 4,5 fois, avec une plus grande augmentation en cas de surentraînement chez les rats. (3) Des niveaux plus que quadruplés d’ADNcf ont également été observés chez les boxeurs ayant subi un entraînement à charge élevée, sans que l’on puisse mettre en évidence une différence entre les entraînements à haute intensité et à volume élevé.
Conclusion
Cette étude indique tout d’abord que l’ADNcf pourrait constituer un biomarqueur pour l’entraînement chronique et le surentraînement chez l’homme et le rat, et que l’augmentation de cfDNA résultant de l’entraînement chronique ou du surentraînement semblerait résulter du stress oxydatif et des microlésions du muscle. Nous proposons en outre une PCR quantitative simple et sensible mesurant Alu ou le gène homogène Alu chez l’homme et chez le rat pour quantifier l’ADNc circulant.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101952
in Science & sports > Vol.37 N°1 (février 2022) . - p. 58-67[article] Increase of circulating cfDNA by chronic training or overtraining in human and rat and its possible mechanisms = Augmentation de l’ADNc circulant par de hautes charges de travail à l’entraînement ou surentraînement chez l’homme et le rat et ses mécanismes possibles [texte imprimé] / L.J. Yin ; Z.C. Guo ; T.Y. Wang ; X.H. Wang . - 2022 . - p. 58-67.
https://doi : 10.1016/j.scispo.2021.01.005
Langues : Anglais (eng)
in Science & sports > Vol.37 N°1 (février 2022) . - p. 58-67
Mots-clés : cfDNA Entraînement à charge élevée Surentraînement Stress oxydatif Microlésions musculaires Résumé : Objectif
Cette étude a été conçue pour étudier les changements de l’ADN libre circulant (cfDNA) chez des boxeurs et des rats soumis à une charge élevée chronique et à un état de surentraînement ainsi que ses mécanismes possibles, après avoir établi une méthode sensible et simple pour détecter l’ADNc circulant.
Méthodes
Treize boxeurs mâles ont suivi un entraînement à charge élevée, comprenant des entraînements à haute intensité et à volume élevé sur 3 semaines avec un intervalle de 4 semaines, tandis que les rats femelles ont suivi un entraînement à charge élevée ou un surentraînement expérimental, avec 10 rats chaque groupe, comparés à 10 rats sédentaires. Des échantillons sanguins de tous les participants ont été prélevés avant le début de la formation et 36h après la dernière session d’entraînement. Nous avons développé une technique originale de PCR en temps réel pour doser le cfDNA. Les marqueurs d’entraînement à charge élevée et le surentraînement, comprenant la testostérone, le cortisol (corticostérone chez le rat), l’Hb, la créatine kinase (CK), l’azotémie (BUN), et les marqueurs de stress oxydatif tel que la glutathion peroxydase (GSH-Px), le malonaldéhyde (MDA), ainsi que la performance à l’exercice ont été déterminés.
Résultats
(1) Nous confirmons que notre PCR en temps réel ciblant Alu ou le gène homogène Alu détecte le cfDNA de façon simple et avec une bonne sensibilité; (2) Les niveaux de cfDNA sont augmentés chez les rats soumis à l’entraînement à charge élevée et au surentraînement d’environ respectivement 2,0 et 4,5 fois, avec une plus grande augmentation en cas de surentraînement chez les rats. (3) Des niveaux plus que quadruplés d’ADNcf ont également été observés chez les boxeurs ayant subi un entraînement à charge élevée, sans que l’on puisse mettre en évidence une différence entre les entraînements à haute intensité et à volume élevé.
Conclusion
Cette étude indique tout d’abord que l’ADNcf pourrait constituer un biomarqueur pour l’entraînement chronique et le surentraînement chez l’homme et le rat, et que l’augmentation de cfDNA résultant de l’entraînement chronique ou du surentraînement semblerait résulter du stress oxydatif et des microlésions du muscle. Nous proposons en outre une PCR quantitative simple et sensible mesurant Alu ou le gène homogène Alu chez l’homme et chez le rat pour quantifier l’ADNc circulant.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101952 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtSyndrome de surentraînement chez le sportif : étude épidémioclinique et facteurs de risque / M. Sghir in Science & sports, Vol. 36, n°1 (Février 2021)
[article]
Titre : Syndrome de surentraînement chez le sportif : étude épidémioclinique et facteurs de risque Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Sghir ; A. Chaieb ; A. Ksibi ; A. Haj Salah ; N. Dammak ; W. Kessomtini Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 37-44 Note générale : Doi : 10.1016/j.scispo.2020.11.001 Langues : Français (fre) Mots-clés : Surentraînement Prévalence Facteur de risque Sportif Résumé : Objectifs
Déterminer la prévalence du syndrome de surentraînement dans une population de sportifs et d’étudier les facteurs de risque.
Matériels et méthodes
Étude transversale, réalisée sur une période de 6 mois (novembre 2017–avril 2018), sur une population de sportifs (football, handball, athlétisme, basketball, gymnastique et karaté) de différents niveaux. Un questionnaire mis au point et validé par la Société française de médecine du sport (SFMS), complété par un panel de questions subsidiaires, a été rempli par les sportifs. Lorsque le score est supérieur ou égal à 20, il était considéré comme positif.
Résultats
Nous avons colligé 151 sportifs : 59 footballeurs, 53 handballeurs, 21 athlètes, 8 gymnastes, 5 joueurs de karaté et 5 joueurs de basketball. Une nette prédominance masculine a été notée dans notre population avec un sex ratio (H/F) de 3,19. L’âge médian était de 22 ans [19–26]. Le niveau de pratique sportive dans notre population était : international dans 6 % des cas, national dans 48,3 % des cas, régional dans 41,6 % des cas, départ dans 1,3 % des cas et loisir dans 4 % des cas. La médiane d’heures d’entraînement était de 32h/mois. Elle était plus importante chez les gymnastes (44h/mois) et les basketballeurs (40h/mois). La prévalence du syndrome de surentraînement était de 35,1 avec un IC 95 % [27,4 %–42,7 %]. Le score médian du questionnaire de surentraînement a été de 14 [7–22]. Nous avons retrouvé une relation statistiquement significative (p<0,05) entre présence d’un surentraînement et les facteurs suivants : le niveau de pratique, le nombre d’heures d’entraînement hors la discipline principale, l’antécédent de blessure ou maladie au cours des six derniers mois, la survenue d’un évènement perturbant la vie personnelle ou familiale de sportif, la notion d’un stage en altitude et les troubles menstruels.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92837
in Science & sports > Vol. 36, n°1 (Février 2021) . - p. 37-44[article] Syndrome de surentraînement chez le sportif : étude épidémioclinique et facteurs de risque [texte imprimé] / M. Sghir ; A. Chaieb ; A. Ksibi ; A. Haj Salah ; N. Dammak ; W. Kessomtini . - 2021 . - p. 37-44.
Doi : 10.1016/j.scispo.2020.11.001
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Vol. 36, n°1 (Février 2021) . - p. 37-44
Mots-clés : Surentraînement Prévalence Facteur de risque Sportif Résumé : Objectifs
Déterminer la prévalence du syndrome de surentraînement dans une population de sportifs et d’étudier les facteurs de risque.
Matériels et méthodes
Étude transversale, réalisée sur une période de 6 mois (novembre 2017–avril 2018), sur une population de sportifs (football, handball, athlétisme, basketball, gymnastique et karaté) de différents niveaux. Un questionnaire mis au point et validé par la Société française de médecine du sport (SFMS), complété par un panel de questions subsidiaires, a été rempli par les sportifs. Lorsque le score est supérieur ou égal à 20, il était considéré comme positif.
Résultats
Nous avons colligé 151 sportifs : 59 footballeurs, 53 handballeurs, 21 athlètes, 8 gymnastes, 5 joueurs de karaté et 5 joueurs de basketball. Une nette prédominance masculine a été notée dans notre population avec un sex ratio (H/F) de 3,19. L’âge médian était de 22 ans [19–26]. Le niveau de pratique sportive dans notre population était : international dans 6 % des cas, national dans 48,3 % des cas, régional dans 41,6 % des cas, départ dans 1,3 % des cas et loisir dans 4 % des cas. La médiane d’heures d’entraînement était de 32h/mois. Elle était plus importante chez les gymnastes (44h/mois) et les basketballeurs (40h/mois). La prévalence du syndrome de surentraînement était de 35,1 avec un IC 95 % [27,4 %–42,7 %]. Le score médian du questionnaire de surentraînement a été de 14 [7–22]. Nous avons retrouvé une relation statistiquement significative (p<0,05) entre présence d’un surentraînement et les facteurs suivants : le niveau de pratique, le nombre d’heures d’entraînement hors la discipline principale, l’antécédent de blessure ou maladie au cours des six derniers mois, la survenue d’un évènement perturbant la vie personnelle ou familiale de sportif, la notion d’un stage en altitude et les troubles menstruels.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92837 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtVariables subjectives et objectives liées au syndrome de surentraînement chez des footballeuses / S; Baghaei in Science & sports, Vol.36 N°5-6 (Septembre - Octobre 2022)
[article]
Titre : Variables subjectives et objectives liées au syndrome de surentraînement chez des footballeuses : une étude longitudinale Type de document : texte imprimé Auteurs : S; Baghaei ; V. Tadibi ; E. Amiri Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 459-467 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.scispo.2021.05.005 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cortisol Fatigue Charge d’entraînement Surentraînement Continuum entraînement–surentraînement Résumé : Objectifs
Le but de cette étude était d’étudier les variations ainsi que les corrélations de variables subjectives et objectives liées au surentraînement chez des footballeuses durant toute une saison sportive.
Méthodes
Durant cette étude longitudinale, nous avons mesuré les concentrations de cortisol et les scores du questionnaire de la Société française de médecine du sport (SFMS) chez douze footballeuses au début, à mi-parcours et à la fin de la saison sportive. Nous avons aussi mesuré durant sept jours consécutifs en début, mi- et fin de saison le rythme cardiaque au repos, la durée de sommeil, ainsi que des scores basés sur l’échelle de Likert à propos de la qualité du sommeil, de la sensation de fatigue, de la motivation à s’entraîner, de l’appétit, de l’esprit de compétitivité, et des courbatures musculaires.
Résultats
Les résultats ont montrés une augmentation significative du cortisol entre le début et la fin de saison (p=0,009), ainsi qu’une augmentation des scores du questionnaire SFMS entre le début et la mi-saison (p=0,009), entre la mi- et la fin de saison (p=0,0001) ainsi qu’entre le début et la fin de saison (p=0,0001). Les scores SFMS-Q étaient respectivement égal à 7,58, 10,8 et 21,08 au début, milieu et fin de saison. De façon similaire, le rythme cardiaque au repos augmenta entre le début et la mi-saison (p=0,006), entre la mi- et la fin de saison (p=0,0001), et entre le début et la fin de saison (p=0,0001). De plus, tous les scores basés sur l’échelle de Likert ont diminués significativement entre le début et la fin de saison (p<0,05).
Conclusion
Ces résultats indiquent une variation de la réponse à l’entraînement en direction des syndromes de surentraînement au cours d’une saison sportive entière chez des footballeuses. Ces résultats démontrent la complémentarité des marqueurs objectifs et subjectifs des syndromes de surentraînements. Ces résultats soutiennent l’importance d’un design expérimental longitudinal pour estimer de façon précise les changements de réponse des athlètes face aux modifications de la charge d’entraînement.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105694
in Science & sports > Vol.36 N°5-6 (Septembre - Octobre 2022) . - p. 459-467[article] Variables subjectives et objectives liées au syndrome de surentraînement chez des footballeuses : une étude longitudinale [texte imprimé] / S; Baghaei ; V. Tadibi ; E. Amiri . - 2022 . - p. 459-467.
https://doi.org/10.1016/j.scispo.2021.05.005
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Vol.36 N°5-6 (Septembre - Octobre 2022) . - p. 459-467
Mots-clés : Cortisol Fatigue Charge d’entraînement Surentraînement Continuum entraînement–surentraînement Résumé : Objectifs
Le but de cette étude était d’étudier les variations ainsi que les corrélations de variables subjectives et objectives liées au surentraînement chez des footballeuses durant toute une saison sportive.
Méthodes
Durant cette étude longitudinale, nous avons mesuré les concentrations de cortisol et les scores du questionnaire de la Société française de médecine du sport (SFMS) chez douze footballeuses au début, à mi-parcours et à la fin de la saison sportive. Nous avons aussi mesuré durant sept jours consécutifs en début, mi- et fin de saison le rythme cardiaque au repos, la durée de sommeil, ainsi que des scores basés sur l’échelle de Likert à propos de la qualité du sommeil, de la sensation de fatigue, de la motivation à s’entraîner, de l’appétit, de l’esprit de compétitivité, et des courbatures musculaires.
Résultats
Les résultats ont montrés une augmentation significative du cortisol entre le début et la fin de saison (p=0,009), ainsi qu’une augmentation des scores du questionnaire SFMS entre le début et la mi-saison (p=0,009), entre la mi- et la fin de saison (p=0,0001) ainsi qu’entre le début et la fin de saison (p=0,0001). Les scores SFMS-Q étaient respectivement égal à 7,58, 10,8 et 21,08 au début, milieu et fin de saison. De façon similaire, le rythme cardiaque au repos augmenta entre le début et la mi-saison (p=0,006), entre la mi- et la fin de saison (p=0,0001), et entre le début et la fin de saison (p=0,0001). De plus, tous les scores basés sur l’échelle de Likert ont diminués significativement entre le début et la fin de saison (p<0,05).
Conclusion
Ces résultats indiquent une variation de la réponse à l’entraînement en direction des syndromes de surentraînement au cours d’une saison sportive entière chez des footballeuses. Ces résultats démontrent la complémentarité des marqueurs objectifs et subjectifs des syndromes de surentraînements. Ces résultats soutiennent l’importance d’un design expérimental longitudinal pour estimer de façon précise les changements de réponse des athlètes face aux modifications de la charge d’entraînement.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105694 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtOvertraining syndrome : la piste de la suractivité ? in Science & sports, Volume 23 numéro 6 (01/12/2008)
[article]
Titre : Overtraining syndrome : la piste de la suractivité ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2008 Article en page(s) : pp.310-312 Langues : Français (fre) Mots-clés : surentraînement questionnaire dépense énergétique nutrition protéines Résumé : Introduction
Le surentraînement est multifactoriel. Nous avons voulu évaluer l’importance respective de la suractivité et des déséquilibres de l’apport alimentaire.
Synthèse des faits
Une comparaison de 17 footballeurs avec sept surentraînés avérés montre que les deux groupes se différencient par la dépense énergétique (DE) de l’activité sportive (1573 ± 378,6 kcal/j contre 804,7 ± 184,7 kcal/j) tandis que l’alimentation ne montre pas de différence significative.
Conclusion
Dans cet échantillon de sujets, l’alimentation présente des anomalies dans les deux groupes, et ce qui caractérise les overtraining syndromes est bien une activité physique supérieure. La suractivité est bien un des facteurs centraux de ce syndrome, qui mérite donc tout de même un peu son nom de « surentraînement ».Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21519
in Science & sports > Volume 23 numéro 6 (01/12/2008) . - pp.310-312[article] Overtraining syndrome : la piste de la suractivité ? [texte imprimé] . - 2008 . - pp.310-312.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 23 numéro 6 (01/12/2008) . - pp.310-312
Mots-clés : surentraînement questionnaire dépense énergétique nutrition protéines Résumé : Introduction
Le surentraînement est multifactoriel. Nous avons voulu évaluer l’importance respective de la suractivité et des déséquilibres de l’apport alimentaire.
Synthèse des faits
Une comparaison de 17 footballeurs avec sept surentraînés avérés montre que les deux groupes se différencient par la dépense énergétique (DE) de l’activité sportive (1573 ± 378,6 kcal/j contre 804,7 ± 184,7 kcal/j) tandis que l’alimentation ne montre pas de différence significative.
Conclusion
Dans cet échantillon de sujets, l’alimentation présente des anomalies dans les deux groupes, et ce qui caractérise les overtraining syndromes est bien une activité physique supérieure. La suractivité est bien un des facteurs centraux de ce syndrome, qui mérite donc tout de même un peu son nom de « surentraînement ».Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21519 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtPrésentation clinique, biologique et ergométrique de six cas d’overtraining syndrome in Science & sports, Volume 24 numéro 1 (01/02/2009)
PermalinkProfil hormonal des sportifs / Martine Duclos in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 547 (décembre 2022)
PermalinkEn tout, l'excès nuit. Même en sport! / Pascale Piérard in Bodytalk, 144 (Décembre 2021)
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