Centre de Documentation Campus Montignies
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Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé ce vendredi 17 mai.
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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Effondrement psychique'
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Le positionnement collectif face au paranoïaque / Laurent Layet in Santé mentale, 243 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Le positionnement collectif face au paranoïaque Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Layet, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 28-32 Note générale : Fait partie du dossier : "Actualités de la paranoïa" Langues : Français (fre) Mots-clés : Attitude du personnel soignant Clinique Dangerosité Effondrement psychique Insight Paranoïa Processus psychique Projection Facteur de risque Evaluation Résumé : Comprendre les rouages de la pensée du sujet paranoïaque permet d’éviter de s’enliser dans un face-à-face stérile. Ainsi, vouloir « prouver » au patient qu’il délire en le confrontant à la réalité est aussi improductif que dangereux pour la relation de soin.
Se positionner face à un patient paranoïaque, conserver une attitude soignante, rester thérapeutique en toutes circonstances nécessite de solides bases cliniques et une compréhension de son fonctionnement psychique. Au-delà des notions théoriques, l’auteur propose aux équipes soignantes des repères pour ces prises en charge délicates au quotidien. En effet, une activité délirante, une organisation de la personnalité ou plus simplement une réaction transitoire à des facteurs environnementaux rendent compte de décisions spécifiques dans les équipes de soins.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83872
in Santé mentale > 243 (Décembre 2019) . - p. 28-32[article] Le positionnement collectif face au paranoïaque [texte imprimé] / Laurent Layet, Auteur . - 2019 . - p. 28-32.
Fait partie du dossier : "Actualités de la paranoïa"
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 243 (Décembre 2019) . - p. 28-32
Mots-clés : Attitude du personnel soignant Clinique Dangerosité Effondrement psychique Insight Paranoïa Processus psychique Projection Facteur de risque Evaluation Résumé : Comprendre les rouages de la pensée du sujet paranoïaque permet d’éviter de s’enliser dans un face-à-face stérile. Ainsi, vouloir « prouver » au patient qu’il délire en le confrontant à la réalité est aussi improductif que dangereux pour la relation de soin.
Se positionner face à un patient paranoïaque, conserver une attitude soignante, rester thérapeutique en toutes circonstances nécessite de solides bases cliniques et une compréhension de son fonctionnement psychique. Au-delà des notions théoriques, l’auteur propose aux équipes soignantes des repères pour ces prises en charge délicates au quotidien. En effet, une activité délirante, une organisation de la personnalité ou plus simplement une réaction transitoire à des facteurs environnementaux rendent compte de décisions spécifiques dans les équipes de soins.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83872 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Quand la parole de l’autre nous saisit / Priscille De Thé in Santé mentale, 284 (janvier 2024)
[article]
Titre : Quand la parole de l’autre nous saisit Type de document : texte imprimé Auteurs : Priscille De Thé Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 60-65 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ". Langues : Français (fre) Mots-clés : Effondrement psychique Éprouvé corporel Contre transfert Relation thérapeutique Souffrance psychique Traumatisme psychique Résumé : À l'écoute de la souffrance extrême, comme celle de la torture, les cliniciens doivent observer une certaine « hygiène soignante » faite de vigilance et de douceur et penser leur propre écologie du soin.
Le traumatisme est souvent la conséquence, ou le signe, d’une réaction impossible – une parole, un cri, un geste – qui n’a pas pu avoir lieu au moment d’un évènement traumatique. Lorsque la personne victime tente d’exprimer son vécu auprès d’un professionnel, ce dernier est parfois saisi à son tour. Comment faire, en tant que soignant, quand on est arrêté, figé par le récit de cet autre, par son corps, et par son silence parfois ? Comment trouver une autre voie, quand la parole de l’autre nous saisit ? Comment rester ? Est-il vraiment possible d’aller bien, en tant que soignants avec cet excès d’émotions ? Faudrait-il, parfois, partir ? Il n’y a bien sûr pas de réponse universelle.
Mon propos se base sur ma pratique de psychologue clinicienne à Parcours d’exil (1) où j’ai d’abord accueilli des personnes souffrant d’états de stress post-traumatiques sévères liés à la torture et l’exil, avec mes collègues médecins et ostéopathes. Puis l’association a développé Résonances (2), une plateforme dédiée aux professionnels qui accompagnent les personnes en demande d’asile. Depuis deux ans, mes missions se sont déplacées : je soutiens par téléphone et en visio des intervenants confrontés quotidiennement à des souffrances extrêmes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115617
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 60-65[article] Quand la parole de l’autre nous saisit [texte imprimé] / Priscille De Thé . - 2024 . - p. 60-65.
Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 60-65
Mots-clés : Effondrement psychique Éprouvé corporel Contre transfert Relation thérapeutique Souffrance psychique Traumatisme psychique Résumé : À l'écoute de la souffrance extrême, comme celle de la torture, les cliniciens doivent observer une certaine « hygiène soignante » faite de vigilance et de douceur et penser leur propre écologie du soin.
Le traumatisme est souvent la conséquence, ou le signe, d’une réaction impossible – une parole, un cri, un geste – qui n’a pas pu avoir lieu au moment d’un évènement traumatique. Lorsque la personne victime tente d’exprimer son vécu auprès d’un professionnel, ce dernier est parfois saisi à son tour. Comment faire, en tant que soignant, quand on est arrêté, figé par le récit de cet autre, par son corps, et par son silence parfois ? Comment trouver une autre voie, quand la parole de l’autre nous saisit ? Comment rester ? Est-il vraiment possible d’aller bien, en tant que soignants avec cet excès d’émotions ? Faudrait-il, parfois, partir ? Il n’y a bien sûr pas de réponse universelle.
Mon propos se base sur ma pratique de psychologue clinicienne à Parcours d’exil (1) où j’ai d’abord accueilli des personnes souffrant d’états de stress post-traumatiques sévères liés à la torture et l’exil, avec mes collègues médecins et ostéopathes. Puis l’association a développé Résonances (2), une plateforme dédiée aux professionnels qui accompagnent les personnes en demande d’asile. Depuis deux ans, mes missions se sont déplacées : je soutiens par téléphone et en visio des intervenants confrontés quotidiennement à des souffrances extrêmes.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115617 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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