Centre de Documentation Campus Montignies
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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé '159.964 Psychanalyse'
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Lacan, la voix de l'inconscient in Philosophie magazine, 52 ([01/09/2011])
[article]
Titre : Lacan, la voix de l'inconscient Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 64-79 + 16 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : 929 Lacan, Jacques 159.964 Psychanalyse Résumé : « Je ne fais aucune philosophie, je m'en méfie au contraire comme de la peste », dit-il, frondeur. Et pourtant… Singulier personnage que Jacques Lacan, disparu il y a trente ans. Psychiatre de formation, extravagant dans tous ses faits et gestes, il est d'abord l'homme qui a réinventé la psychanalyse. En pratique, il conduit des séances (très) courtes, et en théorie, il opère un spectaculaire retour à l'oeuvre de Freud. Génie subversif pour les uns, gourou réactionnaire pour les autres, il détonne par ses formules fracassantes et ses concepts novateurs. Qu'il rénove la notion de sujet, comme le montre Jean-Pierre Cléro, ou qu'il propose une éthique du désir, Lacan bouscule la philosophie. En conclusion de ce dossier, deux éminents connaisseurs, Élisabeth Roudinesco et Alain Badiou, reviennent sur la trajectoire et l'actualité de cette figure iconoclaste. Note de contenu : 3 articles composent ce dossier
- Lacan Par Cédric Enjalbert
« Je suis celui qui a lu Freud.» Figure de la psychanalyse française, de naturel comédien, Jacques Lacan n'est pas lacanien. «Moi, je suis freudien» ne cesse d'affirmer ce fondateur d'école qui fédère l'avant-garde intellectuelle d'après-guerre, autour de sa figure extravagante et charismatique. Détenteur d'une parole ésotérique nourrie de philosophie, de linguistique et de mathématiques, il s'impose comme le sous-pape de la psychanalyse, un après-Freud flamboyant, qui réalise un retour au père des psys, sans jamais se retourner. Ce fou de vitesse, qui révolutionne les canons de la psychanalyse avec ses séances courtes, travaille obstinément à élucider l'inconscient, au risque d'y laisser la raison. Il avoue : «Je suis en retard sur chaque chose que je dois développer avant de disparaître et j'ai du mal à avancer.»
- Cet obscur objet du désir Par Philippe Nassif
Pour Lacan, lecteur de Freud, l'inconscient parle, et c'est le langage qui est au coeur de l'analyse.
C'est encore le langage qui nous a permis d'être en prise avec le réel et l'imaginaire. Selon lui, nous sommes mus par nos désirs qui, pourtant, se dérobent sans cesse…
Inconscient / Réel, symbolique, imaginaire / L’Autre / Nom-du-Père // L’objet a // Jouissance / Amour // Ethique
- Alain Badiou, Élisabeth Roudinesco : Choisis ton Lacan ! Propos recueillis par Martin Duru et Martin Legros
L'historienne Élisabeth Roudinesco et le philosophe Alain Badiou ont connu Jacques Lacan et font preuve d'une même admiration à son égard, trente ans après sa mort. Mais ils n'ont pas la même vision de son oeuvre.
Signe que ce penseur aux multiples visages reste très actuel.
+ Livret n°52 : Écrits : fonction et champ de la parole et du langage en psychanalyse : extraits, 16 p.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101690
in Philosophie magazine > 52 [01/09/2011] . - p. 64-79 + 16 p.[article] Lacan, la voix de l'inconscient [texte imprimé] . - 2011 . - p. 64-79 + 16 p.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 52 [01/09/2011] . - p. 64-79 + 16 p.
Mots-clés : 929 Lacan, Jacques 159.964 Psychanalyse Résumé : « Je ne fais aucune philosophie, je m'en méfie au contraire comme de la peste », dit-il, frondeur. Et pourtant… Singulier personnage que Jacques Lacan, disparu il y a trente ans. Psychiatre de formation, extravagant dans tous ses faits et gestes, il est d'abord l'homme qui a réinventé la psychanalyse. En pratique, il conduit des séances (très) courtes, et en théorie, il opère un spectaculaire retour à l'oeuvre de Freud. Génie subversif pour les uns, gourou réactionnaire pour les autres, il détonne par ses formules fracassantes et ses concepts novateurs. Qu'il rénove la notion de sujet, comme le montre Jean-Pierre Cléro, ou qu'il propose une éthique du désir, Lacan bouscule la philosophie. En conclusion de ce dossier, deux éminents connaisseurs, Élisabeth Roudinesco et Alain Badiou, reviennent sur la trajectoire et l'actualité de cette figure iconoclaste. Note de contenu : 3 articles composent ce dossier
- Lacan Par Cédric Enjalbert
« Je suis celui qui a lu Freud.» Figure de la psychanalyse française, de naturel comédien, Jacques Lacan n'est pas lacanien. «Moi, je suis freudien» ne cesse d'affirmer ce fondateur d'école qui fédère l'avant-garde intellectuelle d'après-guerre, autour de sa figure extravagante et charismatique. Détenteur d'une parole ésotérique nourrie de philosophie, de linguistique et de mathématiques, il s'impose comme le sous-pape de la psychanalyse, un après-Freud flamboyant, qui réalise un retour au père des psys, sans jamais se retourner. Ce fou de vitesse, qui révolutionne les canons de la psychanalyse avec ses séances courtes, travaille obstinément à élucider l'inconscient, au risque d'y laisser la raison. Il avoue : «Je suis en retard sur chaque chose que je dois développer avant de disparaître et j'ai du mal à avancer.»
- Cet obscur objet du désir Par Philippe Nassif
Pour Lacan, lecteur de Freud, l'inconscient parle, et c'est le langage qui est au coeur de l'analyse.
C'est encore le langage qui nous a permis d'être en prise avec le réel et l'imaginaire. Selon lui, nous sommes mus par nos désirs qui, pourtant, se dérobent sans cesse…
Inconscient / Réel, symbolique, imaginaire / L’Autre / Nom-du-Père // L’objet a // Jouissance / Amour // Ethique
- Alain Badiou, Élisabeth Roudinesco : Choisis ton Lacan ! Propos recueillis par Martin Duru et Martin Legros
L'historienne Élisabeth Roudinesco et le philosophe Alain Badiou ont connu Jacques Lacan et font preuve d'une même admiration à son égard, trente ans après sa mort. Mais ils n'ont pas la même vision de son oeuvre.
Signe que ce penseur aux multiples visages reste très actuel.
+ Livret n°52 : Écrits : fonction et champ de la parole et du langage en psychanalyse : extraits, 16 p.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101690 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtSe connaître soi-même. Est-ce bien nécessaire? in Philosophie magazine, 55 (Décembre 2011-janvier 2012)
[article]
Titre : Se connaître soi-même. Est-ce bien nécessaire? : dossier Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 42-63 Langues : Français (fre) Mots-clés : 159.9 Psychologie 159.964 Psychanalyse 316.35 Groupes / Identités / Communautés Résumé : Dossier : Se connaître soi-même. Est-ce bien nécessaire?
Gravé il y a plus de 2 500 ans au fronton du temple de Delphes, le précepte « Connais-toi toi-même » s’est imposé comme l’aiguillon de la pensée occidentale. Mais, à s’obséder de soi, on en vient à manquer son prochain, l’inconnu, la liberté. Pour ne pas rester bloqués dans l’impasse du narcissisme, certains philosophes invitent à jeter les miroirs, fuir les divans des psychanalystes et retrouver le goût de l’action. D’autres en appellent à une idée plus vaste et plus ouverte du moi – l’enjeu est alors de s’explorer comme une terra incognita ou de s’éprouver dans le rapport à l’autre. Et s’il fallait s’excentrer pour mieux se trouver ?
Note de contenu : Articles :
* L’impasse du narcissisme Par Michel Eltchaninoff
* Le moi, ce grand mystère inutile Par Alexandre Lacroix
La quête de la connaissance de soi est vouée à l’échec. Nous resterons à jamais une énigme pour nous-mêmes et seul notre état civil prouve que nous existons. Tels sont les arguments qu’avance, en malicieux démystificateur, le philosophe Clément Rosset.
* Michel Onfray. « Nous sommes ce que nous faisons de nous » Par Martin Duru
En s’attaquant à l’inconscient freudien, le philosophe Michel Onfray entend réaffirmer l’idéal antique de la libre sculpture de soi. Il rappelle la prééminence des actes sur la parole. Explications.
* De l’intime à l’extime Par Catherine Portevin
Écrit-on pour se connaître ou au contraire pour s’éviter ? L’écrivain Laurent Mauvignier préfère ne pas répondre à la question, afin de mieux se confronter à l’opacité de l’existence.
* Les 10 sens d’une formule magique Par Michel Eltchaninoff
« Connais-toi toi-même », ou gnothi seauton en grec : la maxime est fameuse mais sa signification, plus de deux mille ans avant Freud, incertaine. C’est pourquoi, à chaque époque, les philosophes ont livré de nouvelles intérprétations de cette sentence de vie.
* « Avancer vers une terre étrangère » Par Martin Legros
La psychanalyse vise moins la connaissance que le dessaisissement du moi, rappelle le psychanalyste et écrivain Jean-Bertrand Pontalis. L’enjeu ? Entendre la voix de celui que nous avons été avant de venir à la parole.
* La possibilité d’un « il » Par Cédric Enjalbert
Pour l’écrivain et psychanalyste Michel Schneider, il s’agit bien dans l’écriture de parler de soi mais seulement à la troisième personne. On n’écrit jamais sur ce que l’on sait, mais on dévoile ce que l’on aurait préféré éviter de dire.
* La corne acérée du taureau Par Martin Legros
Se jeter à l’extérieur ou plonger à l’intérieur ? De Hannah Arendt à Paul Ricœur, une troisième voie, médiane, se fait jour : se connaître, c’est d’abord savoir se raconter.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101732
in Philosophie magazine > 55 (Décembre 2011-janvier 2012) . - p. 42-63[article] Se connaître soi-même. Est-ce bien nécessaire? : dossier [texte imprimé] . - 2011 . - p. 42-63.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 55 (Décembre 2011-janvier 2012) . - p. 42-63
Mots-clés : 159.9 Psychologie 159.964 Psychanalyse 316.35 Groupes / Identités / Communautés Résumé : Dossier : Se connaître soi-même. Est-ce bien nécessaire?
Gravé il y a plus de 2 500 ans au fronton du temple de Delphes, le précepte « Connais-toi toi-même » s’est imposé comme l’aiguillon de la pensée occidentale. Mais, à s’obséder de soi, on en vient à manquer son prochain, l’inconnu, la liberté. Pour ne pas rester bloqués dans l’impasse du narcissisme, certains philosophes invitent à jeter les miroirs, fuir les divans des psychanalystes et retrouver le goût de l’action. D’autres en appellent à une idée plus vaste et plus ouverte du moi – l’enjeu est alors de s’explorer comme une terra incognita ou de s’éprouver dans le rapport à l’autre. Et s’il fallait s’excentrer pour mieux se trouver ?
Note de contenu : Articles :
* L’impasse du narcissisme Par Michel Eltchaninoff
* Le moi, ce grand mystère inutile Par Alexandre Lacroix
La quête de la connaissance de soi est vouée à l’échec. Nous resterons à jamais une énigme pour nous-mêmes et seul notre état civil prouve que nous existons. Tels sont les arguments qu’avance, en malicieux démystificateur, le philosophe Clément Rosset.
* Michel Onfray. « Nous sommes ce que nous faisons de nous » Par Martin Duru
En s’attaquant à l’inconscient freudien, le philosophe Michel Onfray entend réaffirmer l’idéal antique de la libre sculpture de soi. Il rappelle la prééminence des actes sur la parole. Explications.
* De l’intime à l’extime Par Catherine Portevin
Écrit-on pour se connaître ou au contraire pour s’éviter ? L’écrivain Laurent Mauvignier préfère ne pas répondre à la question, afin de mieux se confronter à l’opacité de l’existence.
* Les 10 sens d’une formule magique Par Michel Eltchaninoff
« Connais-toi toi-même », ou gnothi seauton en grec : la maxime est fameuse mais sa signification, plus de deux mille ans avant Freud, incertaine. C’est pourquoi, à chaque époque, les philosophes ont livré de nouvelles intérprétations de cette sentence de vie.
* « Avancer vers une terre étrangère » Par Martin Legros
La psychanalyse vise moins la connaissance que le dessaisissement du moi, rappelle le psychanalyste et écrivain Jean-Bertrand Pontalis. L’enjeu ? Entendre la voix de celui que nous avons été avant de venir à la parole.
* La possibilité d’un « il » Par Cédric Enjalbert
Pour l’écrivain et psychanalyste Michel Schneider, il s’agit bien dans l’écriture de parler de soi mais seulement à la troisième personne. On n’écrit jamais sur ce que l’on sait, mais on dévoile ce que l’on aurait préféré éviter de dire.
* La corne acérée du taureau Par Martin Legros
Se jeter à l’extérieur ou plonger à l’intérieur ? De Hannah Arendt à Paul Ricœur, une troisième voie, médiane, se fait jour : se connaître, c’est d’abord savoir se raconter.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101732 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt