Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 10 juillet : de 9h à 11h
Réouverture dès ce lundi 19 août.
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Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
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8 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'syndrome du canal carpien'
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Syndrome du canal carpien in Equilibre, 41 (Février 2010)
[article]
Titre : Syndrome du canal carpien : poignet pas au point... Type de document : texte imprimé Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 9 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome du canal carpien poignet Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17885
in Equilibre > 41 (Février 2010) . - p. 9[article] Syndrome du canal carpien : poignet pas au point... [texte imprimé] . - 2010 . - p. 9.
Langues : Français (fre)
in Equilibre > 41 (Février 2010) . - p. 9
Mots-clés : Syndrome du canal carpien poignet Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17885 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtSyndrome du canal carpien : thérapie manuelle avec désensibilisation ou chirurgie ? / J.-M. Feron in Minerva [périodique éléctronique], Vol. 15, n° 7 (Septembre 2016)
[article]
Titre : Syndrome du canal carpien : thérapie manuelle avec désensibilisation ou chirurgie ? Type de document : document électronique Auteurs : J.-M. Feron Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 161-165 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome du canal carpien Medecine manuelle Désensibilisation Chirurgie Résumé : Cette étude aux limites méthodologiques réelles montre un avantage de la thérapie manuelle avec désensibilisation tant sur la douleur que sur les capacités fonctionnelles à court et moyen terme chez des femmes avec SCC modéré à sévère versus chirurgie, mais ne montre pas de différence à long terme. Ce type de thérapie manuelle mérite une attention particulière, mais d’autres études sont nécessaires pour vérifier la place de cette technique par rapport aux techniques chirurgicales de référence. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2055 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86511
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 15, n° 7 (Septembre 2016) . - p. 161-165[article] Syndrome du canal carpien : thérapie manuelle avec désensibilisation ou chirurgie ? [document électronique] / J.-M. Feron . - 2016 . - p. 161-165.
Langues : Français (fre)
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 15, n° 7 (Septembre 2016) . - p. 161-165
Mots-clés : Syndrome du canal carpien Medecine manuelle Désensibilisation Chirurgie Résumé : Cette étude aux limites méthodologiques réelles montre un avantage de la thérapie manuelle avec désensibilisation tant sur la douleur que sur les capacités fonctionnelles à court et moyen terme chez des femmes avec SCC modéré à sévère versus chirurgie, mais ne montre pas de différence à long terme. Ce type de thérapie manuelle mérite une attention particulière, mais d’autres études sont nécessaires pour vérifier la place de cette technique par rapport aux techniques chirurgicales de référence. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2055 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86511 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Dextrose 5%, une alternative à l’injection de corticostéroïdes dans le traitement du syndrome du canal carpien ? / O. Van Overschelde in Minerva [périodique éléctronique], Vol. 19, n° 3 (Avril 2020)
[article]
Titre : Dextrose 5%, une alternative à l’injection de corticostéroïdes dans le traitement du syndrome du canal carpien ? Type de document : document électronique Auteurs : O. Van Overschelde ; M. De Jonghe Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 31-34 Note générale : DOI: 10.1002/ana.25332 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hormones corticosurrénaliennes Infiltration Mesure de la douleur Syndrome du canal carpien Thérapeutique Résumé : Question clinique :
Pour le traitement non chirurgical d’un syndrome du canal carpien d’intensité moyenne, est-il plus efficace de procéder à une injection péri-neurale de corticostéroïdes ou de dextrose 5% ?En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2204 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86395
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 19, n° 3 (Avril 2020) . - p. 31-34[article] Dextrose 5%, une alternative à l’injection de corticostéroïdes dans le traitement du syndrome du canal carpien ? [document électronique] / O. Van Overschelde ; M. De Jonghe . - 2020 . - p. 31-34.
DOI: 10.1002/ana.25332
Langues : Français (fre)
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 19, n° 3 (Avril 2020) . - p. 31-34
Mots-clés : Hormones corticosurrénaliennes Infiltration Mesure de la douleur Syndrome du canal carpien Thérapeutique Résumé : Question clinique :
Pour le traitement non chirurgical d’un syndrome du canal carpien d’intensité moyenne, est-il plus efficace de procéder à une injection péri-neurale de corticostéroïdes ou de dextrose 5% ?En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2204 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86395 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Étude pilote dite observationnelle sur l'analyse de la masso-kinésithérapie chez les patients atteints du syndrome du canal carpien léger ou modéré / Julien Gueneau in Kinésithérapie scientifique, 620 (Mai 2020)
[article]
Titre : Étude pilote dite observationnelle sur l'analyse de la masso-kinésithérapie chez les patients atteints du syndrome du canal carpien léger ou modéré Type de document : texte imprimé Auteurs : Julien Gueneau, Auteur ; Claude Santos, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 29-33 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome du canal carpien Résumé : Le syndrome du canal carpien (SCC) est un sujet courant dans notre société, il toucherait environ entre 3 à 10 % de la population générale. Il est défini comme une neuropathie périphérique faisant partie des syndromes canalaires dont il est le plus fréquent. Celui-ci regroupe différents symptômes tels que des douleurs dans le membre supérieur atteint, des fourmillements, une perte de force de la pince, voire de la poigne. Les signes seront majoritairement localisés au niveau de la main par la compression distale du nerf médian. Elle est souvent déterminée par un rapport trop étroit entre le contenu correspondant aux 9 tendons fléchisseurs et le contenant représenté par les os du carpe et le rétinaculum des fléchisseurs . La population cible est constituée principalement par des femmes ayant une cinquantaine d’années qui réalisent un mouvement répété dans leur quotidien. Le plus commun est celui d’un travail sur ordinateur. Ce phénomène s’explique par l’augmentation de la pression dans le canal qui passera de 3 à 5 mmHg en position neutre à une valeur avoisinant les 30 mmHg lors du positionnement sur le clavier.Cette altération contenant/contenu diminuera le débit sanguin qui aura pour conséquence une augmentation de la stase veineuse. Ce phénomène augmentera la vulnérabilité du nerf dans ses composantes physiologiques et mécaniques (glissement et extensibilité).Au quotidien, nous avons besoin de l’ensemble des caractéristiques du nerf pour réaliser les différents mouvements où l’ensemble des structures sont sollicitées. Si le nerf devient vulnérable, des lésions seront possibles. Ces atteintes seront d’abord centralisées au niveau des cellules de Schwann diminuant la vitesse de conduction dans les stades légers, voire modérés (perte de sensibilité), puis au niveau de l’axone pour les stades dits plus sévères (perte de sensibilité avec perte de force). D’un point de vue clinique général, une phase inflammatoire sera signalée par le patient via des douleurs nocturnes, une hyperthermie [5].Pour traiter ce syndrome, il existe différents soins selon le stade de gravité, déterminé par le neurologue grâce à l’exploitation des données de l’électroneuromyogramme (ENMG) ou par l’utilisation de tests clinique (Phalen, Tinel...) .Selon la vitesse de conduction du nerf et le temps de latence de l’information, un degré de gravité sera évoqué. Pour un stade dit léger, voire modéré un traitement conservateur est désigné en première intention selon la Haute Autorité de Santé (HAS) se basant sur la revue de Cochrane en 2012 [2]. Ce traitement est représenté par l’injection de corticoïdes, l’attelle et la kinésithérapie. Si les deux premiers sont montrés comme efficaces à court terme dans cette revue, le dernier semble plus controversé.
Pourtant, le traitement kinésithérapique pourrait s’avérer avantageux pour les patients. Il reste non invasif, contrairement à la chirurgie, évitant certaines complications après opération (environ 10 % des opérés [4]). Cette pratique s’inscrit au coeur du plan de santé en rendant acteur le patient de ses soins par la mise en place d’une éducation thérapeutique. Ce concept de responsabiliser le patient est de plus en plus recherché par les thérapeutes, les organismes de la santé et les patients sur leur droit à l’information [7].
Un point supplémentaire, sur le plan économique, le passage vers la kinésithérapie pourrait améliorer la gestion des dépenses de santé si elle s’avère efficace en première intention. En effet, elle éviterait le coût de l’acte chirurgical qui prend en compte l’intervention, la journée d’hospitalisation, les soins infirmiers voire les soins kinésithérapiques post-intervention.
Ces atouts ont apporté des perspectives d’études supplémentaires, après la synthèse dans la revue de Cochrane publié en 2012 [2]. L’impact de la kinésithérapie manuelle a été étudié chez les personnes atteintes d’un SCC d’origine idiopathique.
Il en ressort qu’un gain de force de la pince de 17 % a été relevé dans l’étude de Günay et Alp publiée en 2015 [8]. Le protocole était constitué exclusivement de mobilisations articulaires. L’étude de Fernandez-de-las-Penas et al. en 2017 [9] par un traitement plus global composé de massages, de mobilisations du poignet et des cervicales apporte un gain de la force de pince (25 %). Son protocole avec une évaluation jusqu’à 12 mois amène une vision intéressante sur les moyen et long termes.
L’étude de Wolny et al. en 2017 [10], a montré l’impact par l’utilisation de la neurodynamique sliding et tensioning dans l’impact de la douleur de manière significative par rapport à la physiothérapie. Nous pouvons voir que le traitement est riche en techniques qui peuvent être administrées les unes avec les autres.
Cette globalité est représentative de nos séances. En effet, lors d’une séance en kinésithérapie, nous n’utilisons pas une seule, mais une multitude de techniques afin d’essayer de potentialiser le résultat. C’est dans cette optique qu’un protocole a été créé en reprenant les idées de ces 3 études. L’objectif est de montrer si l’association de différentes techniques manuelles kinésithérapiques peut-elle être une solution de choix en première intention chez les patients atteints d’un syndrome du SCC léger, voire modéré ?Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86109
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 29-33[article] Étude pilote dite observationnelle sur l'analyse de la masso-kinésithérapie chez les patients atteints du syndrome du canal carpien léger ou modéré [texte imprimé] / Julien Gueneau, Auteur ; Claude Santos, Auteur . - 2020 . - p. 29-33.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 620 (Mai 2020) . - p. 29-33
Mots-clés : Syndrome du canal carpien Résumé : Le syndrome du canal carpien (SCC) est un sujet courant dans notre société, il toucherait environ entre 3 à 10 % de la population générale. Il est défini comme une neuropathie périphérique faisant partie des syndromes canalaires dont il est le plus fréquent. Celui-ci regroupe différents symptômes tels que des douleurs dans le membre supérieur atteint, des fourmillements, une perte de force de la pince, voire de la poigne. Les signes seront majoritairement localisés au niveau de la main par la compression distale du nerf médian. Elle est souvent déterminée par un rapport trop étroit entre le contenu correspondant aux 9 tendons fléchisseurs et le contenant représenté par les os du carpe et le rétinaculum des fléchisseurs . La population cible est constituée principalement par des femmes ayant une cinquantaine d’années qui réalisent un mouvement répété dans leur quotidien. Le plus commun est celui d’un travail sur ordinateur. Ce phénomène s’explique par l’augmentation de la pression dans le canal qui passera de 3 à 5 mmHg en position neutre à une valeur avoisinant les 30 mmHg lors du positionnement sur le clavier.Cette altération contenant/contenu diminuera le débit sanguin qui aura pour conséquence une augmentation de la stase veineuse. Ce phénomène augmentera la vulnérabilité du nerf dans ses composantes physiologiques et mécaniques (glissement et extensibilité).Au quotidien, nous avons besoin de l’ensemble des caractéristiques du nerf pour réaliser les différents mouvements où l’ensemble des structures sont sollicitées. Si le nerf devient vulnérable, des lésions seront possibles. Ces atteintes seront d’abord centralisées au niveau des cellules de Schwann diminuant la vitesse de conduction dans les stades légers, voire modérés (perte de sensibilité), puis au niveau de l’axone pour les stades dits plus sévères (perte de sensibilité avec perte de force). D’un point de vue clinique général, une phase inflammatoire sera signalée par le patient via des douleurs nocturnes, une hyperthermie [5].Pour traiter ce syndrome, il existe différents soins selon le stade de gravité, déterminé par le neurologue grâce à l’exploitation des données de l’électroneuromyogramme (ENMG) ou par l’utilisation de tests clinique (Phalen, Tinel...) .Selon la vitesse de conduction du nerf et le temps de latence de l’information, un degré de gravité sera évoqué. Pour un stade dit léger, voire modéré un traitement conservateur est désigné en première intention selon la Haute Autorité de Santé (HAS) se basant sur la revue de Cochrane en 2012 [2]. Ce traitement est représenté par l’injection de corticoïdes, l’attelle et la kinésithérapie. Si les deux premiers sont montrés comme efficaces à court terme dans cette revue, le dernier semble plus controversé.
Pourtant, le traitement kinésithérapique pourrait s’avérer avantageux pour les patients. Il reste non invasif, contrairement à la chirurgie, évitant certaines complications après opération (environ 10 % des opérés [4]). Cette pratique s’inscrit au coeur du plan de santé en rendant acteur le patient de ses soins par la mise en place d’une éducation thérapeutique. Ce concept de responsabiliser le patient est de plus en plus recherché par les thérapeutes, les organismes de la santé et les patients sur leur droit à l’information [7].
Un point supplémentaire, sur le plan économique, le passage vers la kinésithérapie pourrait améliorer la gestion des dépenses de santé si elle s’avère efficace en première intention. En effet, elle éviterait le coût de l’acte chirurgical qui prend en compte l’intervention, la journée d’hospitalisation, les soins infirmiers voire les soins kinésithérapiques post-intervention.
Ces atouts ont apporté des perspectives d’études supplémentaires, après la synthèse dans la revue de Cochrane publié en 2012 [2]. L’impact de la kinésithérapie manuelle a été étudié chez les personnes atteintes d’un SCC d’origine idiopathique.
Il en ressort qu’un gain de force de la pince de 17 % a été relevé dans l’étude de Günay et Alp publiée en 2015 [8]. Le protocole était constitué exclusivement de mobilisations articulaires. L’étude de Fernandez-de-las-Penas et al. en 2017 [9] par un traitement plus global composé de massages, de mobilisations du poignet et des cervicales apporte un gain de la force de pince (25 %). Son protocole avec une évaluation jusqu’à 12 mois amène une vision intéressante sur les moyen et long termes.
L’étude de Wolny et al. en 2017 [10], a montré l’impact par l’utilisation de la neurodynamique sliding et tensioning dans l’impact de la douleur de manière significative par rapport à la physiothérapie. Nous pouvons voir que le traitement est riche en techniques qui peuvent être administrées les unes avec les autres.
Cette globalité est représentative de nos séances. En effet, lors d’une séance en kinésithérapie, nous n’utilisons pas une seule, mais une multitude de techniques afin d’essayer de potentialiser le résultat. C’est dans cette optique qu’un protocole a été créé en reprenant les idées de ces 3 études. L’objectif est de montrer si l’association de différentes techniques manuelles kinésithérapiques peut-elle être une solution de choix en première intention chez les patients atteints d’un syndrome du SCC léger, voire modéré ?Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86109 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtAssociation entre les douleurs autour de l’épaule et les syndromes canalaires au membre supérieur. À propos d’une série de 209 cas / P. Cottias in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°2 (Juin 2020)
[article]
Titre : Association entre les douleurs autour de l’épaule et les syndromes canalaires au membre supérieur. À propos d’une série de 209 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Cottias, Auteur ; D. Biau, Auteur ; D. Leclerc, Auteur ; P. Anract, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 73-79 Langues : Français (fre) Mots-clés : canal carpien Syndrome du canal carpien Syndrome du tunnel ulnaire au coude Électromyographie Scapula Résumé : Introduction Le but de ce travail a été d’établir les rapports entre le syndrome des tunnels médian et ulnaire et les douleurs d’épaule, compte tenu de leur fréquence.
Matériel et méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective non randomisée de 596 neurolyses dont 209 cas présentaient une douleur de l’épaule. Deux sous-groupes ont été étudiés. Le groupe 1 était constitué de : 109 cas de douleurs du moignon de l’épaule antérieure ou externe (77 femmes et 32 hommes), et le groupe 2 était composé de : 100 cas de douleurs postérieures de l’épaule ou de la scapula (64 femmes et 36 hommes). L’âge moyen des patients était de 55 ans pour le groupe 1 versus 49 ans pour le groupe 2. Le motif de consultation initial était : un syndrome du canal carpien (66 % groupe 1, 32 % groupe 2) ; un syndrome du canal carpien et du tunnel ulnaire (16 % groupe 1, 17 % groupe 2) ; une tendinopathie de l’épaule (3 % groupe 1, 27 % groupe 2). Les douleurs étaient principalement nocturnes (88 %) et associées à des acroparesthésies des doigts (médio-ulnaires : 60 % dans le groupe 1 et 69 % dans le groupe 2). La majorité des patients ont eu un EMG qui montrait un syndrome du canal carpien (62 % groupe 1, 41 % groupe 2), un syndrome canalaire au niveau du tunnel ulnaire (6 % groupe 1, 17 % groupe 2) ou les deux associés (15 % groupe 1 et 13 % groupe 2) ou bien un examen normal (17 % groupe 1, 26 % groupe 2). Les patients ont été opérés en fonction de la clinique, de l’électromyogramme et du résultat du test infiltratif thérapeutique. Il a été pratiqué une neurolyse du médian (33 cas groupe 1, 5 cas groupe 2), du nerf ulnaire (4 cas groupe 1, 12 cas groupe 2) et des deux (72 cas dans le groupe 1, 83 cas dans le groupe 2). Les critères d’évaluation des résultats étaient l’atteinte clinique et/ou électromyographique et l’effet de la neurolyse sur la douleur atypique, à l’aide du logiciel R®.
Résultats
Nous avons constaté une corrélation significative entre les scapulalgies et l’atteinte cubitale au coude dans le groupe 2 et l’atteinte du nerf médian au canal carpien dans le groupe 1.
Discussion
La projection de la douleur cubitale n’a jamais été étudiée.
Conclusion
Le syndrome du nerf médian au poignet serait plus pourvoyeur de douleurs antérieures de l’épaule alors que le tunnel cubital au coude engendrerait plus de douleurs postérieures au niveau de la scapula.
Niveau de preuve
Étude rétrospective comparative, bicentrique, niveau de preuve : 3.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=88101
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°2 (Juin 2020) . - p. 73-79[article] Association entre les douleurs autour de l’épaule et les syndromes canalaires au membre supérieur. À propos d’une série de 209 cas [texte imprimé] / P. Cottias, Auteur ; D. Biau, Auteur ; D. Leclerc, Auteur ; P. Anract, Auteur . - 2020 . - p. 73-79.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°2 (Juin 2020) . - p. 73-79
Mots-clés : canal carpien Syndrome du canal carpien Syndrome du tunnel ulnaire au coude Électromyographie Scapula Résumé : Introduction Le but de ce travail a été d’établir les rapports entre le syndrome des tunnels médian et ulnaire et les douleurs d’épaule, compte tenu de leur fréquence.
Matériel et méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective non randomisée de 596 neurolyses dont 209 cas présentaient une douleur de l’épaule. Deux sous-groupes ont été étudiés. Le groupe 1 était constitué de : 109 cas de douleurs du moignon de l’épaule antérieure ou externe (77 femmes et 32 hommes), et le groupe 2 était composé de : 100 cas de douleurs postérieures de l’épaule ou de la scapula (64 femmes et 36 hommes). L’âge moyen des patients était de 55 ans pour le groupe 1 versus 49 ans pour le groupe 2. Le motif de consultation initial était : un syndrome du canal carpien (66 % groupe 1, 32 % groupe 2) ; un syndrome du canal carpien et du tunnel ulnaire (16 % groupe 1, 17 % groupe 2) ; une tendinopathie de l’épaule (3 % groupe 1, 27 % groupe 2). Les douleurs étaient principalement nocturnes (88 %) et associées à des acroparesthésies des doigts (médio-ulnaires : 60 % dans le groupe 1 et 69 % dans le groupe 2). La majorité des patients ont eu un EMG qui montrait un syndrome du canal carpien (62 % groupe 1, 41 % groupe 2), un syndrome canalaire au niveau du tunnel ulnaire (6 % groupe 1, 17 % groupe 2) ou les deux associés (15 % groupe 1 et 13 % groupe 2) ou bien un examen normal (17 % groupe 1, 26 % groupe 2). Les patients ont été opérés en fonction de la clinique, de l’électromyogramme et du résultat du test infiltratif thérapeutique. Il a été pratiqué une neurolyse du médian (33 cas groupe 1, 5 cas groupe 2), du nerf ulnaire (4 cas groupe 1, 12 cas groupe 2) et des deux (72 cas dans le groupe 1, 83 cas dans le groupe 2). Les critères d’évaluation des résultats étaient l’atteinte clinique et/ou électromyographique et l’effet de la neurolyse sur la douleur atypique, à l’aide du logiciel R®.
Résultats
Nous avons constaté une corrélation significative entre les scapulalgies et l’atteinte cubitale au coude dans le groupe 2 et l’atteinte du nerf médian au canal carpien dans le groupe 1.
Discussion
La projection de la douleur cubitale n’a jamais été étudiée.
Conclusion
Le syndrome du nerf médian au poignet serait plus pourvoyeur de douleurs antérieures de l’épaule alors que le tunnel cubital au coude engendrerait plus de douleurs postérieures au niveau de la scapula.
Niveau de preuve
Étude rétrospective comparative, bicentrique, niveau de preuve : 3.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=88101 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLes « nouvelles indications » du PRP / M. Kouassi in Journal de traumatologie du sport, Vol.41 N°1 (mars 2024)
PermalinkManifestations musculosquelettiques du diabète sucré / M.-A. Timsit in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2007)
PermalinkManifestations ostéoarticulaires de l'amylose / P. M'Bappé in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2007)
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