Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 10 juillet : de 9h à 11h
Réouverture dès ce lundi 19 août.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
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[article]
Titre : |
Auteur de crime Victime de trauma |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Morane Garcia |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p. 77-84 |
Note générale : |
Issu du dossier "Accompagner les victimes de traumatismes" |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Relation travailleur social et usager Relation travailleur social-usager Educateurs -- Pratique Crime Meurtre Passage à l'acte |
Résumé : |
Ma première expérience en tant qu’éducatrice de la Protection judiciaire de la jeunesse (pjj) se déroule au sein d’un centre éducatif fermé (cef) du secteur associatif habilité. Il s’agit de mon lieu de stage de professionnalisation et ce sera aussi mon terrain de recherche principal pour la rédaction de mon mémoire : j’ai choisi d’écrire ce mémoire sur le thème du traumatisme suite à un passage à l’acte violent.
C’est lors de cette expérience que je rencontre Joris. Ce jeune, non connu de la justice, est placé pour des faits de tentative de meurtre sur sa sœur et je perçois rapidement la singularité de cette prise en charge. Lors d’un temps informel, Joris me parle de ce qu’il ressent de son passage à l’acte : « Ça m’a traumatisé […] pendant les ateliers cuisine, je n’arrivais pas à prendre un couteau. »
Je m’interroge suite à ses propos. En effet, j’avais conscience que l’événement subi par la victime pouvait entraîner des transformations plus ou moins profondes, mais je ne pensais pas que l’auteur lui-même pouvait être victime de son propre acte et dépassé par sa violence.
Je comprends à ce moment-là, le sens et l’importance de la note de la pjj du 10 février 2017. Dans cette circulaire, il est notamment rappelé que « l’institution se doit de garantir un panel de réponses éducatives différenciées et personnalisées les plus à même de soutenir l’évolution de chaque jeune pris en charge ». Je ressens que je vais devoir mettre en place des stratégies éducatives afin de travailler autour des faits tout en prenant en compte son traumatisme… |
Note de contenu : |
L’acte criminel : un événement traumatique ?
Notion de responsabilisation
Manifestations psychiques et physiques comme symptômes du trauma
Mécanismes de défense
Préalable au processus de désistance : le dépassement du trauma |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=106503 |
in Les Cahiers dynamiques > 80 (Novembre 2022) . - p. 77-84
[article] Auteur de crime Victime de trauma [texte imprimé] / Morane Garcia . - 2022 . - p. 77-84. Issu du dossier "Accompagner les victimes de traumatismes" Langues : Français ( fre) in Les Cahiers dynamiques > 80 (Novembre 2022) . - p. 77-84
Mots-clés : |
Relation travailleur social et usager Relation travailleur social-usager Educateurs -- Pratique Crime Meurtre Passage à l'acte |
Résumé : |
Ma première expérience en tant qu’éducatrice de la Protection judiciaire de la jeunesse (pjj) se déroule au sein d’un centre éducatif fermé (cef) du secteur associatif habilité. Il s’agit de mon lieu de stage de professionnalisation et ce sera aussi mon terrain de recherche principal pour la rédaction de mon mémoire : j’ai choisi d’écrire ce mémoire sur le thème du traumatisme suite à un passage à l’acte violent.
C’est lors de cette expérience que je rencontre Joris. Ce jeune, non connu de la justice, est placé pour des faits de tentative de meurtre sur sa sœur et je perçois rapidement la singularité de cette prise en charge. Lors d’un temps informel, Joris me parle de ce qu’il ressent de son passage à l’acte : « Ça m’a traumatisé […] pendant les ateliers cuisine, je n’arrivais pas à prendre un couteau. »
Je m’interroge suite à ses propos. En effet, j’avais conscience que l’événement subi par la victime pouvait entraîner des transformations plus ou moins profondes, mais je ne pensais pas que l’auteur lui-même pouvait être victime de son propre acte et dépassé par sa violence.
Je comprends à ce moment-là, le sens et l’importance de la note de la pjj du 10 février 2017. Dans cette circulaire, il est notamment rappelé que « l’institution se doit de garantir un panel de réponses éducatives différenciées et personnalisées les plus à même de soutenir l’évolution de chaque jeune pris en charge ». Je ressens que je vais devoir mettre en place des stratégies éducatives afin de travailler autour des faits tout en prenant en compte son traumatisme… |
Note de contenu : |
L’acte criminel : un événement traumatique ?
Notion de responsabilisation
Manifestations psychiques et physiques comme symptômes du trauma
Mécanismes de défense
Préalable au processus de désistance : le dépassement du trauma |
Permalink : |
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[article]
Titre : |
Gwenola Ricordeau : "La punition de certains auteurs de féminicides n’a pas fait baisser leur nombre" |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Pierre Jassogne, Intervieweur ; Gwénola Ricordeau, Personne interviewée |
Année de publication : |
2019 |
Article en page(s) : |
p. 52-54 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Droit de la femme Féminicide Femme Genre Inégalité des sexes Justice Meurtre Prison Victime Violence conjugale |
Résumé : |
Avec "Pour elles toutes – Femmes contre la prison" (Lux Éditeur, 2019), Gwenola Ricordeau, professeure assistante en justice criminelle à la California State University, réalise un petit miracle, celui de faire converger luttes féministes et luttes pour l’abolition du système pénal et de la prison, deux mouvements souvent présentés comme antagonistes. Son dernier essai explore les formes de protection que les femmes peuvent attendre ou pas du système pénal, en mettant en lumière les manières dont celui-ci affecte leur existence, qu’elles soient incarcérées ou qu’elles aient des proches en prison. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=84421 |
in Alter Echos > 478 (Novembre 2019) . - p. 52-54
[article] Gwenola Ricordeau : "La punition de certains auteurs de féminicides n’a pas fait baisser leur nombre" [texte imprimé] / Pierre Jassogne, Intervieweur ; Gwénola Ricordeau, Personne interviewée . - 2019 . - p. 52-54. Langues : Français ( fre) in Alter Echos > 478 (Novembre 2019) . - p. 52-54
Mots-clés : |
Droit de la femme Féminicide Femme Genre Inégalité des sexes Justice Meurtre Prison Victime Violence conjugale |
Résumé : |
Avec "Pour elles toutes – Femmes contre la prison" (Lux Éditeur, 2019), Gwenola Ricordeau, professeure assistante en justice criminelle à la California State University, réalise un petit miracle, celui de faire converger luttes féministes et luttes pour l’abolition du système pénal et de la prison, deux mouvements souvent présentés comme antagonistes. Son dernier essai explore les formes de protection que les femmes peuvent attendre ou pas du système pénal, en mettant en lumière les manières dont celui-ci affecte leur existence, qu’elles soient incarcérées ou qu’elles aient des proches en prison. |
Permalink : |
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