Centre de Documentation Campus Montignies
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[article]
Titre : |
Autoanticorps anti ARN polymérase III, antigènes cibles et méthodes d’identification |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Sylvain Dubucquoi ; René-Louis Humbel |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p. 64-71 |
Note générale : |
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00285-4 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
autoanticorps anti-RP155 et -RP11 de la RNAP3 immunodot performance des tests sclérodermie systémique |
Résumé : |
Les ARN polymérases sont trois enzymes nucléaires essentielles à la transcription des ARNs. Elles sont composées de multiples sous-unités. Certaines d’entre-elles sont partagées ou présentent des homologies antigéniques entre les différentes ARN polymérases.
Les autoanticorps anti-ARN polymérases ont été décrits au début des années 1980 chez des patients souffrant de différentes connectivites. Au milieu des années 1990, il a toutefois été montré que les Ac anti-ARN polymérase III (ARA) étaient spécifiquement associés à la sclérodermie systémique de forme diffuse. Leur présence traduit une forme d’évolution rapide et sévère associant des complications particulières, parmi lesquelles la crise rénale hypertensive. L’identification d’Ac anti-ARA justifie donc une prise en charge particulière. Leur recherche et leur identification sont particulièrement utiles, notamment en début d’évolution de la maladie. Cette recherche ne peut toutefois être engagée que sur prescription spécifique, car les aspects de fluorescence sur cellules HEp2 ne sont pas évocateurs et les tests de dépistage d’Ac anti-ENA ne détectent pas cette spécificité. Si les tests dérivés de l’Elisa utilisent la cible antigénique principale, RPC155, décrite dans les années 2000, les immunodots associent à RPC155 la sous-unité RPC11 de la RNAP3. L'intérêt de combiner ces 2 sous-unités antigéniques dans l’approche immunodot sera discuté. |
Note de contenu : |
Issu du dossier "Difficultés techniques et d'interprétation en biologie" |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=106205 |
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 545 (septembre 2022) . - p. 64-71
[article] Autoanticorps anti ARN polymérase III, antigènes cibles et méthodes d’identification [texte imprimé] / Sylvain Dubucquoi ; René-Louis Humbel . - 2022 . - p. 64-71. https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00285-4 Langues : Français ( fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 545 (septembre 2022) . - p. 64-71
Mots-clés : |
autoanticorps anti-RP155 et -RP11 de la RNAP3 immunodot performance des tests sclérodermie systémique |
Résumé : |
Les ARN polymérases sont trois enzymes nucléaires essentielles à la transcription des ARNs. Elles sont composées de multiples sous-unités. Certaines d’entre-elles sont partagées ou présentent des homologies antigéniques entre les différentes ARN polymérases.
Les autoanticorps anti-ARN polymérases ont été décrits au début des années 1980 chez des patients souffrant de différentes connectivites. Au milieu des années 1990, il a toutefois été montré que les Ac anti-ARN polymérase III (ARA) étaient spécifiquement associés à la sclérodermie systémique de forme diffuse. Leur présence traduit une forme d’évolution rapide et sévère associant des complications particulières, parmi lesquelles la crise rénale hypertensive. L’identification d’Ac anti-ARA justifie donc une prise en charge particulière. Leur recherche et leur identification sont particulièrement utiles, notamment en début d’évolution de la maladie. Cette recherche ne peut toutefois être engagée que sur prescription spécifique, car les aspects de fluorescence sur cellules HEp2 ne sont pas évocateurs et les tests de dépistage d’Ac anti-ENA ne détectent pas cette spécificité. Si les tests dérivés de l’Elisa utilisent la cible antigénique principale, RPC155, décrite dans les années 2000, les immunodots associent à RPC155 la sous-unité RPC11 de la RNAP3. L'intérêt de combiner ces 2 sous-unités antigéniques dans l’approche immunodot sera discuté. |
Note de contenu : |
Issu du dossier "Difficultés techniques et d'interprétation en biologie" |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=106205 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
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[article]
Titre : |
Interprétation des immunodots, myosite et sclérodermie systémique |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Bryan Zamorano ; Houda Atik ; Yves Renaudineau ; Françoise Fortenfant ; Chloé Bost |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p. 49-58 |
Note générale : |
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00283-0 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
autoanticorps immunodot myosite recommandation sclérodermie systémique |
Résumé : |
L’identification des autoanticorps associés aux maladies auto-immunes est un challenge croissant en termes de diagnostic ou de pronostic. En effet, ces anticorps font partie des critères et score de diagnostic et certains sont associés à des formes cliniques particulières impactant le pronostic.
Compte tenu du nombre d’autoanticorps qui peuvent être associés à une maladie auto-immune, des techniques multiparamétriques permettant d’identifier un panel d’autoanticorps ont été développées. Parmi ces techniques, l’immunodot a permis de répondre en partie à cette demande mais plusieurs études ont pointé son manque de spécificité dans les diagnostics de myosite et de sclérodermie systémique.
Deux études rétrospectives menées au centre hospitalier universitaire de Toulouse portant sur les autoanticorps des myosites et des sclérodermies illustrent parfaitement le manque de spécificité de ces techniques et proposent des solutions pour y remédier, dont la confrontation avec l’aspect en immunofluorescence indirecte ou par l’établissement de nouveaux seuils de positivité.
Au final, par leur simplicité de mise en place et leur coût, les techniques d’immunodot occupent une place de choix dans l’identification des autoanticorps. Leur interprétation biologique doit cependant prendre en compte leur manque de spécificité. |
Note de contenu : |
Issu du dossier "Difficultés techniques et d'interprétation en biologie" |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=106203 |
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 545 (septembre 2022) . - p. 49-58
[article] Interprétation des immunodots, myosite et sclérodermie systémique [texte imprimé] / Bryan Zamorano ; Houda Atik ; Yves Renaudineau ; Françoise Fortenfant ; Chloé Bost . - 2022 . - p. 49-58. https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00283-0 Langues : Français ( fre) in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 545 (septembre 2022) . - p. 49-58
Mots-clés : |
autoanticorps immunodot myosite recommandation sclérodermie systémique |
Résumé : |
L’identification des autoanticorps associés aux maladies auto-immunes est un challenge croissant en termes de diagnostic ou de pronostic. En effet, ces anticorps font partie des critères et score de diagnostic et certains sont associés à des formes cliniques particulières impactant le pronostic.
Compte tenu du nombre d’autoanticorps qui peuvent être associés à une maladie auto-immune, des techniques multiparamétriques permettant d’identifier un panel d’autoanticorps ont été développées. Parmi ces techniques, l’immunodot a permis de répondre en partie à cette demande mais plusieurs études ont pointé son manque de spécificité dans les diagnostics de myosite et de sclérodermie systémique.
Deux études rétrospectives menées au centre hospitalier universitaire de Toulouse portant sur les autoanticorps des myosites et des sclérodermies illustrent parfaitement le manque de spécificité de ces techniques et proposent des solutions pour y remédier, dont la confrontation avec l’aspect en immunofluorescence indirecte ou par l’établissement de nouveaux seuils de positivité.
Au final, par leur simplicité de mise en place et leur coût, les techniques d’immunodot occupent une place de choix dans l’identification des autoanticorps. Leur interprétation biologique doit cependant prendre en compte leur manque de spécificité. |
Note de contenu : |
Issu du dossier "Difficultés techniques et d'interprétation en biologie" |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
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[article]
Titre : |
Techniques de détection des anticorps anti-mitochondries pour le diagnostic de cholangite biliaire primitive : étude dans une population sud-tunisienne |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Sabrina Mejdoub ; Zouhour Hamza ; Hend Hachicha ; Lassaad Chtourou ; Sameh Marrzouk ; Sawsan Feki ; Ameni Jerbi ; Semia Boukthir ; Zouhir Bahloul ; Nabil Tahri ; Hatem Masmoudi |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p. 423-429 |
Note générale : |
https://doi.org/10.1684/abc.2022.1761 |
Langues : |
Anglais (eng) |
Mots-clés : |
anticorps anti-mitochondries immunofluorescence indirecte immunodot cholangite biliaire primitive |
Résumé : |
Les anticorps anti-mitochondries (AAM) peuvent être recherchés par immunofluorescence indirecte (IFI) ou immunodot en utilisant les Ag M2 et M2-3E. Afin d’évaluer la concordance de ces tests et leur intérêt dans le diagnostic de cholangite biliaire primitive (CBP), nous avons comparé les résultats de recherche des AAM (IFI), anti-M2 et anti-M2-3E (immunodot) de 319 sérums. Selon les données cliniques disponibles, les patients avec au moins un marqueur positif ont été classés en deux groupes « CBP » et « non CBP ». Les résultats des trois marqueurs étaient concordants dans 296 cas (92,8 %). Au moins un marqueur était positif dans 82 cas. Dans le groupe « CBP » (n = 15), les trois marqueurs étaient positifs dans 14 cas. Dans 12 cas, le diagnostic était retenu sans recours à la biopsie hépatique. Dans le groupe « non CBP » (n = 15), les trois marqueurs étaient positifs dans neuf cas, mais les autres critères de CBP n’étaient pas remplis. L’IFI demeure la technique de première intention pour la recherche des AAM ; l’immunodot permet de confirmer la spécificité antigénique. L’interprétation, notamment des cas discordants, repose surtout sur le contexte clinique. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=107756 |
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80 N°5 (septembre 2022) . - p. 423-429
[article] Techniques de détection des anticorps anti-mitochondries pour le diagnostic de cholangite biliaire primitive : étude dans une population sud-tunisienne [texte imprimé] / Sabrina Mejdoub ; Zouhour Hamza ; Hend Hachicha ; Lassaad Chtourou ; Sameh Marrzouk ; Sawsan Feki ; Ameni Jerbi ; Semia Boukthir ; Zouhir Bahloul ; Nabil Tahri ; Hatem Masmoudi . - 2022 . - p. 423-429. https://doi.org/10.1684/abc.2022.1761 Langues : Anglais ( eng) in Annales de Biologie Clinique > Vol.80 N°5 (septembre 2022) . - p. 423-429
Mots-clés : |
anticorps anti-mitochondries immunofluorescence indirecte immunodot cholangite biliaire primitive |
Résumé : |
Les anticorps anti-mitochondries (AAM) peuvent être recherchés par immunofluorescence indirecte (IFI) ou immunodot en utilisant les Ag M2 et M2-3E. Afin d’évaluer la concordance de ces tests et leur intérêt dans le diagnostic de cholangite biliaire primitive (CBP), nous avons comparé les résultats de recherche des AAM (IFI), anti-M2 et anti-M2-3E (immunodot) de 319 sérums. Selon les données cliniques disponibles, les patients avec au moins un marqueur positif ont été classés en deux groupes « CBP » et « non CBP ». Les résultats des trois marqueurs étaient concordants dans 296 cas (92,8 %). Au moins un marqueur était positif dans 82 cas. Dans le groupe « CBP » (n = 15), les trois marqueurs étaient positifs dans 14 cas. Dans 12 cas, le diagnostic était retenu sans recours à la biopsie hépatique. Dans le groupe « non CBP » (n = 15), les trois marqueurs étaient positifs dans neuf cas, mais les autres critères de CBP n’étaient pas remplis. L’IFI demeure la technique de première intention pour la recherche des AAM ; l’immunodot permet de confirmer la spécificité antigénique. L’interprétation, notamment des cas discordants, repose surtout sur le contexte clinique. |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Disponible Disponible |
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[article] Autoimmunité Techniques de laboratoire utilisées en autoimmunité [texte imprimé] . - 2003 . - 23 - 38. in ABTL BVLT > 30/1 (2003) . - 23 - 38 | ![Autoimmunité Techniques de laboratoire utilisées en autoimmunité vignette](./images/vide.png) |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Empruntable sur demande auprès des documentalistes Disponible |