Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 10 juillet : de 9h à 11h
Réouverture dès ce lundi 19 août.
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Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
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Fractures des plateaux tibiaux : fractures récentes / D. Chauveaux in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2002)
[article]
Titre : Fractures des plateaux tibiaux : fractures récentes Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Chauveaux ; V. Souillac ; J.-C. Le Huec Année de publication : 2002 Article en page(s) : 14-082-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : fractures articulaire tibia Résumé : Les fractures des plateaux tibiaux restent un problème fréquent de traumatologie. Leur traitement doit assurer la restauration de la qualité fonctionnelle du genou et le respect de l'équilibre statique du membre inférieur.
Si l'approche de ces fractures articulaires reste guidée en France depuis 1960 par les travaux de Duparc et Ficat, leur diagnostic et leurs classifications bénéficient grandement de la pratique accrue du scanner et leur traitement, chirurgical pour les formes peu déplacées, du développement des techniques d'abord mini-invasives.Note de contenu : Résumé
Rappels anatomiques et biomécanique
Physiopathologie et mécanisme fracturaire
Classification
Fractures unitubérositaires
Fractures spinotubérositaires
Fractures bitubérositaires
Diagnostic
Clinique
Examens radiologiques
Traitement
Principes
Méthodes
Indications
Complications
Précoces
Tardives
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43941
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2002) . - 14-082-A-10 [Tome 3][article] Fractures des plateaux tibiaux : fractures récentes [texte imprimé] / D. Chauveaux ; V. Souillac ; J.-C. Le Huec . - 2002 . - 14-082-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2002) . - 14-082-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : fractures articulaire tibia Résumé : Les fractures des plateaux tibiaux restent un problème fréquent de traumatologie. Leur traitement doit assurer la restauration de la qualité fonctionnelle du genou et le respect de l'équilibre statique du membre inférieur.
Si l'approche de ces fractures articulaires reste guidée en France depuis 1960 par les travaux de Duparc et Ficat, leur diagnostic et leurs classifications bénéficient grandement de la pratique accrue du scanner et leur traitement, chirurgical pour les formes peu déplacées, du développement des techniques d'abord mini-invasives.Note de contenu : Résumé
Rappels anatomiques et biomécanique
Physiopathologie et mécanisme fracturaire
Classification
Fractures unitubérositaires
Fractures spinotubérositaires
Fractures bitubérositaires
Diagnostic
Clinique
Examens radiologiques
Traitement
Principes
Méthodes
Indications
Complications
Précoces
Tardives
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43941 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fractures et pseudarthroses isolées du scaphoïde carpien / F.-A. Lecoq in EMC : Appareil locomoteur, Vol.38 N°2 (Mai 2024)
[article]
Titre : Fractures et pseudarthroses isolées du scaphoïde carpien Type de document : texte imprimé Auteurs : F.-A. Lecoq ; C. Chaves ; Y. Kerjean ; P. Bellemère Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 14-046-B-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Scaphoïde Poignet Carpe Fractures Pseudarthrose Greffes Résumé : Le scaphoïde est l'os du carpe présentant la plus haute incidence de fractures et de pseudarthroses du fait de sa topographie, de sa vascularisation, de ses particularités biomécaniques et de ses rapports avec les articulations radiocarpienne et médiocarpienne. Devant un traumatisme du poignet, un examen clinique et des examens complémentaires sont nécessaires pour affirmer le caractère récent d'une fracture, pour apprécier son déplacement et pour repérer un retard ou une absence de consolidation (pseudarthrose), une nécrose avasculaire et d'éventuelles complications dégénératives. La principale complication de ces fractures est la pseudarthrose, qui évolue à moyen ou long terme vers une arthrose en l'absence de traitement. La nécessité d'avoir une bonne réduction articulaire et les difficultés de consolidation osseuse du scaphoïde expliquent l'importance du traitement chirurgical dans la prise en charge de ces fractures. Néanmoins, le traitement orthopédique conserve tout son intérêt dans les fractures non déplacées, du fait de sa simplicité et de sa fiabilité, tout en limitant le risque de complications. Un sevrage tabagique complet doit être associé à toute prise en charge des fractures et pseudarthroses du scaphoïde, car il reste le principal facteur pronostique modifiable de la consolidation osseuse. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117603
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°2 (Mai 2024) . - p. 14-046-B-10 [Tome 3][article] Fractures et pseudarthroses isolées du scaphoïde carpien [texte imprimé] / F.-A. Lecoq ; C. Chaves ; Y. Kerjean ; P. Bellemère . - 2024 . - p. 14-046-B-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.38 N°2 (Mai 2024) . - p. 14-046-B-10 [Tome 3]
Mots-clés : Scaphoïde Poignet Carpe Fractures Pseudarthrose Greffes Résumé : Le scaphoïde est l'os du carpe présentant la plus haute incidence de fractures et de pseudarthroses du fait de sa topographie, de sa vascularisation, de ses particularités biomécaniques et de ses rapports avec les articulations radiocarpienne et médiocarpienne. Devant un traumatisme du poignet, un examen clinique et des examens complémentaires sont nécessaires pour affirmer le caractère récent d'une fracture, pour apprécier son déplacement et pour repérer un retard ou une absence de consolidation (pseudarthrose), une nécrose avasculaire et d'éventuelles complications dégénératives. La principale complication de ces fractures est la pseudarthrose, qui évolue à moyen ou long terme vers une arthrose en l'absence de traitement. La nécessité d'avoir une bonne réduction articulaire et les difficultés de consolidation osseuse du scaphoïde expliquent l'importance du traitement chirurgical dans la prise en charge de ces fractures. Néanmoins, le traitement orthopédique conserve tout son intérêt dans les fractures non déplacées, du fait de sa simplicité et de sa fiabilité, tout en limitant le risque de complications. Un sevrage tabagique complet doit être associé à toute prise en charge des fractures et pseudarthroses du scaphoïde, car il reste le principal facteur pronostique modifiable de la consolidation osseuse. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117603 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Les fractures du fémur distal au-delà de 80 ans: à propos d’une étude multicentrique d’une série rétrospective et d’une série prospective / CHANTELOT C. in La revue de gériatrie, Tome 40 - N°6 (Juin 2015)
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[article]
Titre : Les fractures du fémur distal au-delà de 80 ans: à propos d’une étude multicentrique d’une série rétrospective et d’une série prospective Titre original : Distal femoral fractures after 80 years old: a multicentric study about prospective and retrospective series Type de document : texte imprimé Auteurs : CHANTELOT C., Auteur ; Germain DUMONT, Auteur ; Mathieu Ehlinger, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.327-333 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fémur distal fractures ostéosynthèse prothèse totale genou Résumé : Introduction: De par leur fréquence chez le sujet âgé,les fractures de l’extrémité supérieure du fémur ont fait l’objet de nombreuses études et publications, qui ont conduit à une certaine optimisation de leur prise en charge. Les fractures de l’extrémité distale représentent également une lésion grave et difficile à prendre en charge et nécessitent également une réflexion quant aux modalités de prise en charge.
Patients et méthodes: Une étude multicentrique a étudié les données d’une série rétrospective de janvier 2001 à décembre 2010 et d’une série prospective du 1er juin 2011 au 31 mai 2012 regroupant les fractures du fémur distal chez les patients âgés de plus de 80 ans.
Résultats: Ces fractures atteignaient une population majoritairement féminine, à l’autonomie dégradée. Elles étaient le plus souvent extra-articulaires et faisaient suite à un traumatisme de faible énergie. Le traitement était le plus souvent chirurgical par ostéosynthèse. Celui-ci donnait des résultats supérieurs au traitement orthopédique en termes de survie et de fonction. On notait une perte d’autonomie importante à 1 an, le score de Parker moyen n’atteignant que 2,6, près de la moitié des patients vivant au domicile avaient dû déménager vers une institution et le taux de patients grabataires était multiplié par 2.
Discussion: Au même titre que les fractures de l’extrémité proximale du fémur, les fractures de l’extrémité distale représentent une lésion grave chez le sujet âgé, tant sur le plan de la survie que de la fonction. Les résultats des techniques actuelles donnent des résultats inférieurs au traitement par arthroplastie des fractures de l’extrémité proximale.En ligne : http://www.revuedegeriatrie.fr/index.php Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=39122
in La revue de gériatrie > Tome 40 - N°6 (Juin 2015) . - p.327-333[article] Les fractures du fémur distal au-delà de 80 ans: à propos d’une étude multicentrique d’une série rétrospective et d’une série prospective = Distal femoral fractures after 80 years old: a multicentric study about prospective and retrospective series [texte imprimé] / CHANTELOT C., Auteur ; Germain DUMONT, Auteur ; Mathieu Ehlinger, Auteur . - 2015 . - p.327-333.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 40 - N°6 (Juin 2015) . - p.327-333
Mots-clés : Fémur distal fractures ostéosynthèse prothèse totale genou Résumé : Introduction: De par leur fréquence chez le sujet âgé,les fractures de l’extrémité supérieure du fémur ont fait l’objet de nombreuses études et publications, qui ont conduit à une certaine optimisation de leur prise en charge. Les fractures de l’extrémité distale représentent également une lésion grave et difficile à prendre en charge et nécessitent également une réflexion quant aux modalités de prise en charge.
Patients et méthodes: Une étude multicentrique a étudié les données d’une série rétrospective de janvier 2001 à décembre 2010 et d’une série prospective du 1er juin 2011 au 31 mai 2012 regroupant les fractures du fémur distal chez les patients âgés de plus de 80 ans.
Résultats: Ces fractures atteignaient une population majoritairement féminine, à l’autonomie dégradée. Elles étaient le plus souvent extra-articulaires et faisaient suite à un traumatisme de faible énergie. Le traitement était le plus souvent chirurgical par ostéosynthèse. Celui-ci donnait des résultats supérieurs au traitement orthopédique en termes de survie et de fonction. On notait une perte d’autonomie importante à 1 an, le score de Parker moyen n’atteignant que 2,6, près de la moitié des patients vivant au domicile avaient dû déménager vers une institution et le taux de patients grabataires était multiplié par 2.
Discussion: Au même titre que les fractures de l’extrémité proximale du fémur, les fractures de l’extrémité distale représentent une lésion grave chez le sujet âgé, tant sur le plan de la survie que de la fonction. Les résultats des techniques actuelles donnent des résultats inférieurs au traitement par arthroplastie des fractures de l’extrémité proximale.En ligne : http://www.revuedegeriatrie.fr/index.php Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=39122 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtMétacarpiens traumatiques in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Novembre 2008)
[article]
Titre : Métacarpiens traumatiques Type de document : texte imprimé Année de publication : 2008 Article en page(s) : 26-220-B-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fractures Métacarpiens Rééducation Mobilisation immédiate Orthèses Électrostimulation Résumé : Les fractures des métacarpiens sont parmi les plus fréquentes du membre supérieur. Seulement 25 % de ces fractures relèvent d'un traitement chirurgical. Ces fractures consolident bien et ont bonne réputation, ce qui entraîne parfois un abus d'immobilisation dans le cas de traitement orthopédique ou une absence de prescription de rééducation dans le cas d'un traitement chirurgical. Dans les deux cas, des séquelles démesurées par rapport à l'atteinte initiale peuvent retentir sur la fonction de la main. Guidé par la hantise de la raideur, un consensus sur deux grands types de traitement initial se dégage : la mobilisation protégée active immédiate, dans le cas de fractures pas ou peu déplacées et stables, et l'ostéosynthèse minutieuse dans le cas de fractures déplacées, comminutives et/ou instables. L'ostéosynthèse est toujours réalisée dans l'optique d'une mobilisation protégée postopératoire immédiate pour éviter que le patient ne s'enferme dans le cercle vicieux : douleur-immobilisme qui débouche sur la raideur. La rééducation doit débuter immédiatement par les consignes de contrôle de l'oedème et de la douleur qui conditionne la reprise du mouvement actif. Les techniques de rééducation s'appuient sur la mobilisation protégée, la confection d'orthèses spécifiques, le recours éventuel au travail électroactif pour prévenir la formation d'adhérences des tendons extenseurs au dos de la main. La rééducation des fractures des métacarpiens peut se diviser en trois phases : phase 1 : du premier au quatrième jour post-traumatique/postopératoire ; phase 2 : du quatrième jour à un mois, un mois et demi post-traumatique/postopératoire ; phase 3 : de j30-45 à la reprise des activités professionnelles et ou sportives. Ces chiffres sont seulement indicatifs. Certains sujets, en fonction de leurs activités professionnelles et même sportives, n'arrêtent pas leur activité. Un défi pour la réalisation d'orthèses adaptées à cette activité ! Note de contenu : Introduction
Rappel des notions sur lesquelles se fonde la rééducation
Arches métacarpiennes
Incidence d'une perturbation de l'architecture des arches de la main sur la fonction
Raideur : relation entre l'oedème, la lésion des parties molles, l'immobilisation et la raideur
Cicatrisation des fractures : première intention, deuxième intention
Classification des fractures des métacarpiens
Méthodes de traitement médical/chirurgical
Examen kinésithérapique
Examen radiographique
Examen clinique initial
Éducation du patient
Évaluations successives
Examen final
Traitement kinésithérapique des fractures des métacarpiens
Principes guidant la rééducation
Phase 1
Phase 2
Phase 3
Spécificité de la rééducation en fonction de la localisation de la fracture et du métacarpien fracturé
Fractures de métacarpiens et sport
Complications
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43563
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Novembre 2008) . - 26-220-B-11[article] Métacarpiens traumatiques [texte imprimé] . - 2008 . - 26-220-B-11.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Novembre 2008) . - 26-220-B-11
Mots-clés : Fractures Métacarpiens Rééducation Mobilisation immédiate Orthèses Électrostimulation Résumé : Les fractures des métacarpiens sont parmi les plus fréquentes du membre supérieur. Seulement 25 % de ces fractures relèvent d'un traitement chirurgical. Ces fractures consolident bien et ont bonne réputation, ce qui entraîne parfois un abus d'immobilisation dans le cas de traitement orthopédique ou une absence de prescription de rééducation dans le cas d'un traitement chirurgical. Dans les deux cas, des séquelles démesurées par rapport à l'atteinte initiale peuvent retentir sur la fonction de la main. Guidé par la hantise de la raideur, un consensus sur deux grands types de traitement initial se dégage : la mobilisation protégée active immédiate, dans le cas de fractures pas ou peu déplacées et stables, et l'ostéosynthèse minutieuse dans le cas de fractures déplacées, comminutives et/ou instables. L'ostéosynthèse est toujours réalisée dans l'optique d'une mobilisation protégée postopératoire immédiate pour éviter que le patient ne s'enferme dans le cercle vicieux : douleur-immobilisme qui débouche sur la raideur. La rééducation doit débuter immédiatement par les consignes de contrôle de l'oedème et de la douleur qui conditionne la reprise du mouvement actif. Les techniques de rééducation s'appuient sur la mobilisation protégée, la confection d'orthèses spécifiques, le recours éventuel au travail électroactif pour prévenir la formation d'adhérences des tendons extenseurs au dos de la main. La rééducation des fractures des métacarpiens peut se diviser en trois phases : phase 1 : du premier au quatrième jour post-traumatique/postopératoire ; phase 2 : du quatrième jour à un mois, un mois et demi post-traumatique/postopératoire ; phase 3 : de j30-45 à la reprise des activités professionnelles et ou sportives. Ces chiffres sont seulement indicatifs. Certains sujets, en fonction de leurs activités professionnelles et même sportives, n'arrêtent pas leur activité. Un défi pour la réalisation d'orthèses adaptées à cette activité ! Note de contenu : Introduction
Rappel des notions sur lesquelles se fonde la rééducation
Arches métacarpiennes
Incidence d'une perturbation de l'architecture des arches de la main sur la fonction
Raideur : relation entre l'oedème, la lésion des parties molles, l'immobilisation et la raideur
Cicatrisation des fractures : première intention, deuxième intention
Classification des fractures des métacarpiens
Méthodes de traitement médical/chirurgical
Examen kinésithérapique
Examen radiographique
Examen clinique initial
Éducation du patient
Évaluations successives
Examen final
Traitement kinésithérapique des fractures des métacarpiens
Principes guidant la rééducation
Phase 1
Phase 2
Phase 3
Spécificité de la rééducation en fonction de la localisation de la fracture et du métacarpien fracturé
Fractures de métacarpiens et sport
Complications
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43563 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
[article]
Titre : Ostéodystrophie rénale Type de document : texte imprimé Auteurs : M.H. Lafage-Proust, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : 14-275-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéodystrophie rénale Remodelage osseux Hyperparathyroïdie secondaire Fractures Insuffisance rénale chronique Résumé : L'ostéodystrophie rénale (ODR) est une ostéopathie métabolique diffuse en rapport avec l'insuffisance rénale chronique, qui inclut diverses lésions histologiques. Elle comprend des troubles du remodelage (haut niveau de remodelage, lié à l'hyperparathyroïdie secondaire [HPT II], et bas niveau de remodelage avec l'ostéomalacie [OM] et l'ostéopathie adynamique, l'ostéopathie mixe combinant une OM et des lésions d'HPT II) et une perte osseuse. L'ODR se développe du fait des troubles métaboliques qui compliquent l'urémie chronique et impliquent l'hypocalcémie, la rétention de phosphate, la diminution de la synthèse rénale de calcitriol, l'acidose, l'inflammation chronique et les troubles de la nutrition auxquels s'ajoutent des complications iatrogènes. Les manifestations cliniques et biologiques telles que les douleurs osseuses et les fractures dont l'incidence est accrue dans l'insuffisance rénale chronique (IRC), ou l'hypercalcémie sont peu spécifiques d'un type histologique. Le diagnostic repose sur l'histologie avec étude histomorphométrique d'une biopsie osseuse de crête iliaque et, en l'absence de biopsie, sur les concentrations sériques de parathormone. L'utilisation des marqueurs biologiques du remodelage osseux tels que les phosphatases alcalines osseuses est proposée. Le traitement repose sur la chélation du phosphate alimentaire, la vitamine D (naturelle ou dérivés 1--hydroxylés), et les agonistes des récepteurs sensibles au calcium des glandes parathyroïdes, la parathyroïdectomie n'étant réservée qu'aux HPT II réfractaires. Note de contenu : Introduction
Rappels sur le remodelage osseux
Lésions osseuses au cours de l'insuffisance rénale chronique
Troubles du remodelage et de la minéralisation
Réduction de la masse osseuse ou « ostéoporose »
Signes cliniques
Fractures
Autres signes
Moyens d'explorations du statut osseux
Radiographies
Indications de la biopsie osseuse
Dosages biologiques
Densitométrie osseuse
Traitement
Traitement de l'hyperparathyroïdie secondaire
Traitement de l'ostéomalacie
Traitement de l'ostéopathie adynamique
Traitement de la perte osseuse et des fractures
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44004
in EMC : Appareil locomoteur > (Juillet 2008) . - 14-275-A-10 [Tome 5][article] Ostéodystrophie rénale [texte imprimé] / M.H. Lafage-Proust, Auteur . - 2008 . - 14-275-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Juillet 2008) . - 14-275-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Ostéodystrophie rénale Remodelage osseux Hyperparathyroïdie secondaire Fractures Insuffisance rénale chronique Résumé : L'ostéodystrophie rénale (ODR) est une ostéopathie métabolique diffuse en rapport avec l'insuffisance rénale chronique, qui inclut diverses lésions histologiques. Elle comprend des troubles du remodelage (haut niveau de remodelage, lié à l'hyperparathyroïdie secondaire [HPT II], et bas niveau de remodelage avec l'ostéomalacie [OM] et l'ostéopathie adynamique, l'ostéopathie mixe combinant une OM et des lésions d'HPT II) et une perte osseuse. L'ODR se développe du fait des troubles métaboliques qui compliquent l'urémie chronique et impliquent l'hypocalcémie, la rétention de phosphate, la diminution de la synthèse rénale de calcitriol, l'acidose, l'inflammation chronique et les troubles de la nutrition auxquels s'ajoutent des complications iatrogènes. Les manifestations cliniques et biologiques telles que les douleurs osseuses et les fractures dont l'incidence est accrue dans l'insuffisance rénale chronique (IRC), ou l'hypercalcémie sont peu spécifiques d'un type histologique. Le diagnostic repose sur l'histologie avec étude histomorphométrique d'une biopsie osseuse de crête iliaque et, en l'absence de biopsie, sur les concentrations sériques de parathormone. L'utilisation des marqueurs biologiques du remodelage osseux tels que les phosphatases alcalines osseuses est proposée. Le traitement repose sur la chélation du phosphate alimentaire, la vitamine D (naturelle ou dérivés 1--hydroxylés), et les agonistes des récepteurs sensibles au calcium des glandes parathyroïdes, la parathyroïdectomie n'étant réservée qu'aux HPT II réfractaires. Note de contenu : Introduction
Rappels sur le remodelage osseux
Lésions osseuses au cours de l'insuffisance rénale chronique
Troubles du remodelage et de la minéralisation
Réduction de la masse osseuse ou « ostéoporose »
Signes cliniques
Fractures
Autres signes
Moyens d'explorations du statut osseux
Radiographies
Indications de la biopsie osseuse
Dosages biologiques
Densitométrie osseuse
Traitement
Traitement de l'hyperparathyroïdie secondaire
Traitement de l'ostéomalacie
Traitement de l'ostéopathie adynamique
Traitement de la perte osseuse et des fractures
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44004 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire PermalinkPermalinkComplications vasculaires et osseuses des diabètes / Aurélien Mary in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 502 ([01/05/2018])
PermalinkOstéoporoses : généralités, stratégie diagnostique / J. Paccou in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°1 (février 2022)
PermalinkOstéosynthèse du tibia de chat / Alexandre Caron in Le Point vétérinaire Expert Canin, 386 (juin 2018)
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