Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Réouverture dès ce lundi 19 août.
Lundi : 8h-18h30
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Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Réouverture dès ce lundi 19 août.
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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Introjection'
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Question de dyspraxie ou dyspraxie en question ? / Daniel Courberand in Thérapie psychomotrice et recherches, 165 (2011)
[article]
Titre : Question de dyspraxie ou dyspraxie en question ? Auteurs : Daniel Courberand Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 28-59 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dyspraxie Altérité Geste corporel Manque Identification (psychologie) Autorité Neurone Comportement d'imitation Introjection Résumé : Nous aborderons ici l’ensemble des problèmes liés à cette question d’actualité grinçante qu’est la dyspraxie pour les psychomotriciens : Nous verrons comment les différentes modélisations actuelles de la dyspraxie, bien que très pertinentes, n’en sont pas moins insuffisamment étayées par des théorisations assez éloignées de la question de la gestualité. Nous développerons donc, grâce aux travaux neuroscientifiques les plus avancés, les fondements neurobiologiques les plus récents pouvant rendre compte du geste et de l’importance de « l’autre » dans l’organisation gestuelle. Nous éclairerons, par le matériau mythologique, tout le processus psychodynamique, psychocorporel de l’avènement de la gestualité et des praxies chez l’enfant, notamment la question de « l’autre et du manque ». Et enfin nous envisagerons les conséquences psychosociales de l’émergence d’un concept de « dyspraxie » qui ne peut malheureusement s’appuyer sur les liens pourtant très forts entre les aspects neurobiologiques et psychanalytiques de ce symptôme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98569
in Thérapie psychomotrice et recherches > 165 (2011) . - p. 28-59[article] Question de dyspraxie ou dyspraxie en question ? [] / Daniel Courberand . - 2011 . - p. 28-59.
Langues : Français (fre)
in Thérapie psychomotrice et recherches > 165 (2011) . - p. 28-59
Mots-clés : Dyspraxie Altérité Geste corporel Manque Identification (psychologie) Autorité Neurone Comportement d'imitation Introjection Résumé : Nous aborderons ici l’ensemble des problèmes liés à cette question d’actualité grinçante qu’est la dyspraxie pour les psychomotriciens : Nous verrons comment les différentes modélisations actuelles de la dyspraxie, bien que très pertinentes, n’en sont pas moins insuffisamment étayées par des théorisations assez éloignées de la question de la gestualité. Nous développerons donc, grâce aux travaux neuroscientifiques les plus avancés, les fondements neurobiologiques les plus récents pouvant rendre compte du geste et de l’importance de « l’autre » dans l’organisation gestuelle. Nous éclairerons, par le matériau mythologique, tout le processus psychodynamique, psychocorporel de l’avènement de la gestualité et des praxies chez l’enfant, notamment la question de « l’autre et du manque ». Et enfin nous envisagerons les conséquences psychosociales de l’émergence d’un concept de « dyspraxie » qui ne peut malheureusement s’appuyer sur les liens pourtant très forts entre les aspects neurobiologiques et psychanalytiques de ce symptôme. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98569 Réservation
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Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue CESA - Roux CESA - Roux Disponible
DisponibleLa transmission à l'épreuve des symbolisations / Serge Tisseron in Santé mentale, 275 (février 2023)
[article]
Titre : La transmission à l'épreuve des symbolisations Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Tisseron Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 32-36 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Le transgénérationnel dans les soins". Langues : Français (fre) Mots-clés : Introjection Transmission psychique Famille Relations intergénérations Symbolisme Transfert psychologique Traumatisme psychologique Troubles de stress post-traumatique Résumé : Une transmission a d’autant plus de chances de réussir qu’elle associe les trois moyens de symbolisation dont dispose l’être humain : des mots, des images et l’ensemble des gestes et mimiques correspondantes. C’est à cette condition qu’elle peut créer du lien et nourrir la mémoire. Mais c’est loin d’être toujours le cas...
La question de ce qu’on a appelé les « transmissions psychiques » a surgi dans les années 1950. Des médecins constatèrent alors que certains enfants nés de parents déportés présentaient des symptômes qui évoquaient ceux que leurs parents avaient pu vivre en déportation : amaigrissement, insécurité, terreurs… Pourtant, apparemment, ces derniers s’étaient bien tirés d’affaire. Ils avaient un métier, une famille, un réseau d’amis… Tout se passait comme si le vécu de la déportation était passé dans la tête de leurs enfants ! Et comme les parents paraissaient avoir à peu près dépassé leurs traumatismes, l’idée vint que des contenus psychiques inconscients puissent passer d’une génération à l’autre par une sorte de « transmission d’in- conscient à inconscient ». Cette hypo- thèse, on le voit, renouait avec un certain fatalisme des croyances traditionnelles. Bien sûr, on ne parlait pas de « fatum » ou de « destin », mais « d’inconscient », et pourtant, l’idée sous-jacente à cette nouvelle croyance était la même : ni les parents, ni les enfants n’y pouvaient rien, les traumatismes vécus par une génération « passaient » dans le psy- chisme des suivantes, inchangés.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109387
in Santé mentale > 275 (février 2023) . - p. 32-36[article] La transmission à l'épreuve des symbolisations [texte imprimé] / Serge Tisseron . - 2023 . - p. 32-36.
Cet article fait partie du dossier " Le transgénérationnel dans les soins".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 275 (février 2023) . - p. 32-36
Mots-clés : Introjection Transmission psychique Famille Relations intergénérations Symbolisme Transfert psychologique Traumatisme psychologique Troubles de stress post-traumatique Résumé : Une transmission a d’autant plus de chances de réussir qu’elle associe les trois moyens de symbolisation dont dispose l’être humain : des mots, des images et l’ensemble des gestes et mimiques correspondantes. C’est à cette condition qu’elle peut créer du lien et nourrir la mémoire. Mais c’est loin d’être toujours le cas...
La question de ce qu’on a appelé les « transmissions psychiques » a surgi dans les années 1950. Des médecins constatèrent alors que certains enfants nés de parents déportés présentaient des symptômes qui évoquaient ceux que leurs parents avaient pu vivre en déportation : amaigrissement, insécurité, terreurs… Pourtant, apparemment, ces derniers s’étaient bien tirés d’affaire. Ils avaient un métier, une famille, un réseau d’amis… Tout se passait comme si le vécu de la déportation était passé dans la tête de leurs enfants ! Et comme les parents paraissaient avoir à peu près dépassé leurs traumatismes, l’idée vint que des contenus psychiques inconscients puissent passer d’une génération à l’autre par une sorte de « transmission d’in- conscient à inconscient ». Cette hypo- thèse, on le voit, renouait avec un certain fatalisme des croyances traditionnelles. Bien sûr, on ne parlait pas de « fatum » ou de « destin », mais « d’inconscient », et pourtant, l’idée sous-jacente à cette nouvelle croyance était la même : ni les parents, ni les enfants n’y pouvaient rien, les traumatismes vécus par une génération « passaient » dans le psy- chisme des suivantes, inchangés.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109387 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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