Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Réouverture dès ce lundi 19 août.
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Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
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3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Filiation -- Aspect psychologique'
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Et le silence fut : origines et filiation chez l’enfant adopté / Mélissa Bocquillon in Enfances & psy, 96 (juillet 2023)
[article]
Titre : Et le silence fut : origines et filiation chez l’enfant adopté Type de document : texte imprimé Auteurs : Mélissa Bocquillon Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 89-98 Note générale : Issu du dossier "Silences" Langues : Français (fre) Mots-clés : Adoption -- Aspect psychologique Silence Filiation -- Aspect psychologique Secret familial naissance sous le secret Roman familial Héritage générationnel généalogie Mémoire généalogique Identité familiale Résumé : Si le langage structure la pensée, le silence a une part fondatrice dans la plénitude de la parole ; le silence participe à la construction psychique du sujet mais il peut aussi devenir une entrave, un frein à l’identité narrative. Ainsi, le secret familial, l’amnésie, le silence, le non-dit, correspondent à l’énigme de la naissance de l’enfant adopté, à son histoire originelle. L’affiliation filiative à l’œuvre dans l’adoption peut se concevoir comme l’exigence d’un travail psychique nécessaire aux transmissions et aux héritages générationnels afin de permettre à chacun la construction de sa propre identité, l’élaboration de sa subjectivité et de son destin. Nous aborderons la question du silence dans sa dimension organisatrice mais aussi bouleversante – quelle part prend le silence dans le développement psychique de l’individu et son corollaire sur la transmission inter- et trans-générationnelle ? Si la parole est fondatrice et fait surgir le visible en le dévoilant, le silence se réduit-il à ce qui n’est pas ou ne peut pas être, pris dans les filets de la négation ? Nous étayerons notre propos à partir du contexte de l’adoption, plus particulièrement des consultations de dossier ; processus « révélateur », parfois réparateur sur les origines et l’histoire familiale. Note de contenu :
L’adoption ; silence sur l’origine
Le désaveu psychique, une filiation à bas bruit
Enjeux de reconnaissance
Roman familial
Transmission et héritage tacite
L’identité narrativeEn ligne : https://doi.org/10.3917/ep.096.0089 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111653
in Enfances & psy > 96 (juillet 2023) . - p. 89-98[article] Et le silence fut : origines et filiation chez l’enfant adopté [texte imprimé] / Mélissa Bocquillon . - 2023 . - p. 89-98.
Issu du dossier "Silences"
Langues : Français (fre)
in Enfances & psy > 96 (juillet 2023) . - p. 89-98
Mots-clés : Adoption -- Aspect psychologique Silence Filiation -- Aspect psychologique Secret familial naissance sous le secret Roman familial Héritage générationnel généalogie Mémoire généalogique Identité familiale Résumé : Si le langage structure la pensée, le silence a une part fondatrice dans la plénitude de la parole ; le silence participe à la construction psychique du sujet mais il peut aussi devenir une entrave, un frein à l’identité narrative. Ainsi, le secret familial, l’amnésie, le silence, le non-dit, correspondent à l’énigme de la naissance de l’enfant adopté, à son histoire originelle. L’affiliation filiative à l’œuvre dans l’adoption peut se concevoir comme l’exigence d’un travail psychique nécessaire aux transmissions et aux héritages générationnels afin de permettre à chacun la construction de sa propre identité, l’élaboration de sa subjectivité et de son destin. Nous aborderons la question du silence dans sa dimension organisatrice mais aussi bouleversante – quelle part prend le silence dans le développement psychique de l’individu et son corollaire sur la transmission inter- et trans-générationnelle ? Si la parole est fondatrice et fait surgir le visible en le dévoilant, le silence se réduit-il à ce qui n’est pas ou ne peut pas être, pris dans les filets de la négation ? Nous étayerons notre propos à partir du contexte de l’adoption, plus particulièrement des consultations de dossier ; processus « révélateur », parfois réparateur sur les origines et l’histoire familiale. Note de contenu :
L’adoption ; silence sur l’origine
Le désaveu psychique, une filiation à bas bruit
Enjeux de reconnaissance
Roman familial
Transmission et héritage tacite
L’identité narrativeEn ligne : https://doi.org/10.3917/ep.096.0089 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111653 Réservation
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Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleClinique de l’inceste Le silence des mots est un aveu des plus graves / Samuel Lemitre in Enfances & psy, 96 (juillet 2023)
[article]
Titre : Clinique de l’inceste Le silence des mots est un aveu des plus graves Type de document : texte imprimé Auteurs : Samuel Lemitre Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 99-110 Note générale : Issu du dossier " Silences" Langues : Français (fre) Mots-clés : Inceste -- Aspect psychologique Silence Secret -- Aspect psychologique Agression sexuelle Pédophilie Filiation -- Aspect psychologique Attachement chez l'enfant Traumatisme psychique -- Chez l'enfant Résumé : L’inceste est un trouble grave de la filiation qui entraîne un véritable chaos générationnel. Il se caractérise par une sexualisation atypique du lien à l’enfant qui désorganise l’attachement, aliène la tendresse et attaque l’identité subjective. Certains parlent de crime généalogique ou de crime contre l’humanisation dont les conséquences sont graves et impactent la santé physique et psychique des victimes durant la vie entière. Les anthropologues parlent d’un phénomène d’invisibilisation du sujet, l’inceste ne suscitant aucun intérêt scientifique, et ce, malgré les premières études de prévalence qui en font une réalité traumatique épidémique. Le discours anthropologique fait émerger un autre néologisme, celui de silenciation, mécanisme d’emprise par lequel les auteurs génèrent chez les enfants un conditionnement par la peur qui bloque les capacités de parole et de mentalisation du traumatisme. En clinique li (Lifespan Integration), la réponse de stress majeur déclenché par l’activation de mémoires traumatiques permet de situer le trouble de l’inceste dans le cadre des modèles neurobiologiques du stress, de la communication et de l’attachement. Cette approche offre l’intérêt de dégager le trouble de ses enjeux idéologiques et moraux pour l’appréhender comme un nouveau paradigme d’étude des mécanismes de traumatisation complexe. Note de contenu :
Le traumatisme ne fait pas silence
Ces traumas qui font silence
Les configurations du silence
Typologie des victimes d’incesteEn ligne : https://doi.org/10.3917/ep.096.0099 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111654
in Enfances & psy > 96 (juillet 2023) . - p. 99-110[article] Clinique de l’inceste Le silence des mots est un aveu des plus graves [texte imprimé] / Samuel Lemitre . - 2023 . - p. 99-110.
Issu du dossier " Silences"
Langues : Français (fre)
in Enfances & psy > 96 (juillet 2023) . - p. 99-110
Mots-clés : Inceste -- Aspect psychologique Silence Secret -- Aspect psychologique Agression sexuelle Pédophilie Filiation -- Aspect psychologique Attachement chez l'enfant Traumatisme psychique -- Chez l'enfant Résumé : L’inceste est un trouble grave de la filiation qui entraîne un véritable chaos générationnel. Il se caractérise par une sexualisation atypique du lien à l’enfant qui désorganise l’attachement, aliène la tendresse et attaque l’identité subjective. Certains parlent de crime généalogique ou de crime contre l’humanisation dont les conséquences sont graves et impactent la santé physique et psychique des victimes durant la vie entière. Les anthropologues parlent d’un phénomène d’invisibilisation du sujet, l’inceste ne suscitant aucun intérêt scientifique, et ce, malgré les premières études de prévalence qui en font une réalité traumatique épidémique. Le discours anthropologique fait émerger un autre néologisme, celui de silenciation, mécanisme d’emprise par lequel les auteurs génèrent chez les enfants un conditionnement par la peur qui bloque les capacités de parole et de mentalisation du traumatisme. En clinique li (Lifespan Integration), la réponse de stress majeur déclenché par l’activation de mémoires traumatiques permet de situer le trouble de l’inceste dans le cadre des modèles neurobiologiques du stress, de la communication et de l’attachement. Cette approche offre l’intérêt de dégager le trouble de ses enjeux idéologiques et moraux pour l’appréhender comme un nouveau paradigme d’étude des mécanismes de traumatisation complexe. Note de contenu :
Le traumatisme ne fait pas silence
Ces traumas qui font silence
Les configurations du silence
Typologie des victimes d’incesteEn ligne : https://doi.org/10.3917/ep.096.0099 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111654 Réservation
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DisponibleJeunes sans-logement: une histoire de liens fragiles [Dossier] / Annabelle Locks in Eduquer [Périodique électronique], 170 (mai 2022)
[article]
Titre : Jeunes sans-logement: une histoire de liens fragiles [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Annabelle Locks Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-24 Langues : Français (fre) Mots-clés : Errance : jeunes MENA (Mineurs étrangers non accompagnés) sans-abrisme : enfants SDF (Sans Domicile Fixe) filles Sans-abrisme -- Belgique Filiation -- Aspect psychologique jeunes LGTBQI Homosexualité, lesbianisme et bisexualité Errance précarité étudiante logements précaires Résumé : Quand un·e jeune est en errance, c'est toute la société qui a failli. Alors que le nombre de jeunes sans-logement est en augmentation à Bruxelles, nous avons souhaité nous interroger sur les parcours, le quotidien, le rapport aux institutions de ces jeunes. Pour ce nouveau dossier d'Eduquer, qui fait suite au n°167 sur les familles mal-logées, nous avons rencontré ces filles et ces garçons de moins de 25 ans, ainsi que des associations de terrain, afin de mettre en lumière ce phénomène étudié depuis peu. Bonne lecture! Un dossier réalisé par Annabelle Locks, étudiante à la FOPES (Faculté ouverte de politique économique et sociale) Note de contenu : L’errance chez les jeunes: une désaffiliation
à géométrie variable p 14
Au quotidien: comment survivre à l’errance? p 16
Les filles mineures en errance, un sujet
encore peu étudié en Belgique p 19
Leur place n’est pas à la rue! p 22En ligne : https://ligue-enseignement.be/sites/default/files/2022-07/Eduquer-170.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110291
in Eduquer [Périodique électronique] > 170 (mai 2022) . - p. 14-24[article] Jeunes sans-logement: une histoire de liens fragiles [Dossier] [texte imprimé] / Annabelle Locks . - 2022 . - p. 14-24.
Langues : Français (fre)
in Eduquer [Périodique électronique] > 170 (mai 2022) . - p. 14-24
Mots-clés : Errance : jeunes MENA (Mineurs étrangers non accompagnés) sans-abrisme : enfants SDF (Sans Domicile Fixe) filles Sans-abrisme -- Belgique Filiation -- Aspect psychologique jeunes LGTBQI Homosexualité, lesbianisme et bisexualité Errance précarité étudiante logements précaires Résumé : Quand un·e jeune est en errance, c'est toute la société qui a failli. Alors que le nombre de jeunes sans-logement est en augmentation à Bruxelles, nous avons souhaité nous interroger sur les parcours, le quotidien, le rapport aux institutions de ces jeunes. Pour ce nouveau dossier d'Eduquer, qui fait suite au n°167 sur les familles mal-logées, nous avons rencontré ces filles et ces garçons de moins de 25 ans, ainsi que des associations de terrain, afin de mettre en lumière ce phénomène étudié depuis peu. Bonne lecture! Un dossier réalisé par Annabelle Locks, étudiante à la FOPES (Faculté ouverte de politique économique et sociale) Note de contenu : L’errance chez les jeunes: une désaffiliation
à géométrie variable p 14
Au quotidien: comment survivre à l’errance? p 16
Les filles mineures en errance, un sujet
encore peu étudié en Belgique p 19
Leur place n’est pas à la rue! p 22En ligne : https://ligue-enseignement.be/sites/default/files/2022-07/Eduquer-170.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110291 Exemplaires
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