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Aplasie du fémur / F. Launay in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2010)
[article]
Titre : Aplasie du fémur Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Launay ; J.-L. Jouve ; G. Bollini Année de publication : 2010 Article en page(s) : 15-228-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Aplasie Fémur Malformation Allongement Coxa vara Résumé : L'aplasie du fémur est une malformation congénitale allant du simple raccourcissement fémoral à l'absence quasi complète du segment osseux en passant par un fémur discontinu. Il s'y associe le plus souvent des positions vicieuses et des instabilités de la hanche et du genou. Il est nécessaire de faire un bilan radioclinique complet dès la première consultation afin d'analyser les différentes attitudes vicieuses, afin de rechercher une zone de pseudarthrose de la région trochantérienne, et afin d'évaluer l'inégalité de longueur des membres inférieurs. Il faut ensuite évaluer l'inégalité de longueur finale en sachant que le pourcentage d'inégalité entre les deux membres reste stable tout au long de la croissance. La prise en charge thérapeutique dépend non seulement des résultats de l'évaluation radioclinique mais aussi des desiderata de la famille. En effet, il n'existe pas une seule prise en charge mais une prise en charge à la carte pour chaque patient. Le traitement peut être une simple compensation d'inégalité de longueur par une semelle en cas d'inégalité mineure, ou alors être un programme chirurgical beaucoup plus lourd associant des gestes de corrections des parties molles à la hanche et au genou et un ou plusieurs programmes d'allongement osseux. Dans certains cas, les possibilités de reconstruction sont même dépassées, et il faut envisager une amputation associée à un appareillage permettant la marche. Note de contenu : Introduction
Classifications des aplasies du fémur
Classification d'Aitken
Classification d'Amstutz
Classification de Fixsen
Classification de Bouyala et Rigault
Classification de Hamanashi
Classification de Gillepsie
Classification de Paley
Description
Moyens thérapeutiques
Stabilisation
Prothétisation
Égalisation
Stratégie thérapeutique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44083
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 15-228-A-10 [Tome 6][article] Aplasie du fémur [texte imprimé] / F. Launay ; J.-L. Jouve ; G. Bollini . - 2010 . - 15-228-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 15-228-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Aplasie Fémur Malformation Allongement Coxa vara Résumé : L'aplasie du fémur est une malformation congénitale allant du simple raccourcissement fémoral à l'absence quasi complète du segment osseux en passant par un fémur discontinu. Il s'y associe le plus souvent des positions vicieuses et des instabilités de la hanche et du genou. Il est nécessaire de faire un bilan radioclinique complet dès la première consultation afin d'analyser les différentes attitudes vicieuses, afin de rechercher une zone de pseudarthrose de la région trochantérienne, et afin d'évaluer l'inégalité de longueur des membres inférieurs. Il faut ensuite évaluer l'inégalité de longueur finale en sachant que le pourcentage d'inégalité entre les deux membres reste stable tout au long de la croissance. La prise en charge thérapeutique dépend non seulement des résultats de l'évaluation radioclinique mais aussi des desiderata de la famille. En effet, il n'existe pas une seule prise en charge mais une prise en charge à la carte pour chaque patient. Le traitement peut être une simple compensation d'inégalité de longueur par une semelle en cas d'inégalité mineure, ou alors être un programme chirurgical beaucoup plus lourd associant des gestes de corrections des parties molles à la hanche et au genou et un ou plusieurs programmes d'allongement osseux. Dans certains cas, les possibilités de reconstruction sont même dépassées, et il faut envisager une amputation associée à un appareillage permettant la marche. Note de contenu : Introduction
Classifications des aplasies du fémur
Classification d'Aitken
Classification d'Amstutz
Classification de Fixsen
Classification de Bouyala et Rigault
Classification de Hamanashi
Classification de Gillepsie
Classification de Paley
Description
Moyens thérapeutiques
Stabilisation
Prothétisation
Égalisation
Stratégie thérapeutique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44083 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Inégalité de longueur des membres inférieurs : cause, diagnostic, prévision et traitement / J. Caton in EMC : Appareil locomoteur, (03/12/2008)
[article]
Titre : Inégalité de longueur des membres inférieurs : cause, diagnostic, prévision et traitement Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Caton ; F. Chotel ; P. Chatelain Année de publication : 2008 Article en page(s) : 15-330-A-10 [Tome 6] Note générale : Archivé en décembre 2017. Langues : Français (fre) Mots-clés : Inégalité de longueur des membres inférieurs Croissance Épiphysiodèse Raccourcissement Allongement Appareillage Résumé : Les inégalités de longueur des membres inférieurs ont représenté l'un des domaines les plus complexes de la chirurgie orthopédique, qu'il s'agisse d'orthopédie pédiatrique ou de chirurgie de l'adulte. Cette fréquence va aujourd'hui en diminuant mais pour envisager les causes, l'importance, le traitement des inégalités de longueur, il est nécessaire de connaître la croissance normale qui se déroule en deux phases : la croissance foetale et la croissance postnatale, celle-ci comportant elle-même trois phases distinctes : la première enfance, de la naissance à 4 ans, l'enfance de 5 à 11 ans et la phase pubertaire qui s'étend du démarrage de la maturation sexuelle à la fin de la croissance, avec atteinte de la taille finale. Cette croissance est régulée par différents facteurs. Deux facteurs sont essentiels dans la croissance des membres, le cartilage de croissance et le périoste. La croissance doit être surveillée notamment par des courbes de croissance qui tiennent compte de l'âge osseux et de l'âge civil. Ces courbes de croissance permettront d'évaluer et de faire le pronostic d'une inégalité de longueur survenant en cours de croissance. Les inégalités peuvent être statiques, stables dans le temps ou progressives, un arrêt de croissance d'un segment de membres étant toujours lié à la destruction du cartilage de croissance afférent. Enfin, sur le plan étiologique, les inégalités de longueur des membres inférieurs peuvent être constitutionnelles ou acquises. L'examen est clinique et radiologique, permettant de faire une prévision et d'établir un plan de traitement. Celui-ci peut comporter différentes séquences thérapeutiques, épiphysiodèse, raccourcissement en fin de croissance ou allongement. Les techniques habituelles d'allongement sont réalisées par fixateur externe mais actuellement, il existe d'autres possibilités par clou centromédullaire d'allongement. Les indications sont fonction du type d'inégalité de longueur, de son importance, de l'âge du patient, de la localisation de l'inégalité de longueur. Les grandes inégalités de longueur comportent l'utilisation de ces différentes techniques. Traiter une inégalité de longueur c'est donc faire un diagnostic, un pronostic et un plan de traitement adaptés à la pathologie, à la situation, à l'âge du patient. Le traitement s'adresse essentiellement aux inégalités de longueur comprises entre 2 et 20 cm. Note de contenu : Introduction - Généralités
Phases de croissance
Facteurs nutritionnels
Facteurs hormonaux et facteurs de croissance
Facteurs génétiques
Environnement
Croissance corporelle squelettique
Croissance normale des membres
De la naissance à la fin de croissance
Surveillance de la croissance
Croissance et courbes de croissance des membres
Croissance et âge osseux
Causes des inégalités de longueur des membres inférieurs
Inégalités de longueur « constitutionnelles »
Inégalités de longueur acquises
Examen d'une inégalité de longueur des membres inférieurs
Période néonatale
Entre 1 à 5 ans
Autour de la puberté
Traitement des inégalités de longueur des membres inférieurs
Dimensions actuelles du problème et ses perspectives
Traitement orthopédique des inégalités de longueur des membres inférieurs
Traitement chirurgical des inégalités de longueur des membres inférieursPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44087
in EMC : Appareil locomoteur > (03/12/2008) . - 15-330-A-10 [Tome 6][article] Inégalité de longueur des membres inférieurs : cause, diagnostic, prévision et traitement [texte imprimé] / J. Caton ; F. Chotel ; P. Chatelain . - 2008 . - 15-330-A-10 [Tome 6].
Archivé en décembre 2017.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (03/12/2008) . - 15-330-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Inégalité de longueur des membres inférieurs Croissance Épiphysiodèse Raccourcissement Allongement Appareillage Résumé : Les inégalités de longueur des membres inférieurs ont représenté l'un des domaines les plus complexes de la chirurgie orthopédique, qu'il s'agisse d'orthopédie pédiatrique ou de chirurgie de l'adulte. Cette fréquence va aujourd'hui en diminuant mais pour envisager les causes, l'importance, le traitement des inégalités de longueur, il est nécessaire de connaître la croissance normale qui se déroule en deux phases : la croissance foetale et la croissance postnatale, celle-ci comportant elle-même trois phases distinctes : la première enfance, de la naissance à 4 ans, l'enfance de 5 à 11 ans et la phase pubertaire qui s'étend du démarrage de la maturation sexuelle à la fin de la croissance, avec atteinte de la taille finale. Cette croissance est régulée par différents facteurs. Deux facteurs sont essentiels dans la croissance des membres, le cartilage de croissance et le périoste. La croissance doit être surveillée notamment par des courbes de croissance qui tiennent compte de l'âge osseux et de l'âge civil. Ces courbes de croissance permettront d'évaluer et de faire le pronostic d'une inégalité de longueur survenant en cours de croissance. Les inégalités peuvent être statiques, stables dans le temps ou progressives, un arrêt de croissance d'un segment de membres étant toujours lié à la destruction du cartilage de croissance afférent. Enfin, sur le plan étiologique, les inégalités de longueur des membres inférieurs peuvent être constitutionnelles ou acquises. L'examen est clinique et radiologique, permettant de faire une prévision et d'établir un plan de traitement. Celui-ci peut comporter différentes séquences thérapeutiques, épiphysiodèse, raccourcissement en fin de croissance ou allongement. Les techniques habituelles d'allongement sont réalisées par fixateur externe mais actuellement, il existe d'autres possibilités par clou centromédullaire d'allongement. Les indications sont fonction du type d'inégalité de longueur, de son importance, de l'âge du patient, de la localisation de l'inégalité de longueur. Les grandes inégalités de longueur comportent l'utilisation de ces différentes techniques. Traiter une inégalité de longueur c'est donc faire un diagnostic, un pronostic et un plan de traitement adaptés à la pathologie, à la situation, à l'âge du patient. Le traitement s'adresse essentiellement aux inégalités de longueur comprises entre 2 et 20 cm. Note de contenu : Introduction - Généralités
Phases de croissance
Facteurs nutritionnels
Facteurs hormonaux et facteurs de croissance
Facteurs génétiques
Environnement
Croissance corporelle squelettique
Croissance normale des membres
De la naissance à la fin de croissance
Surveillance de la croissance
Croissance et courbes de croissance des membres
Croissance et âge osseux
Causes des inégalités de longueur des membres inférieurs
Inégalités de longueur « constitutionnelles »
Inégalités de longueur acquises
Examen d'une inégalité de longueur des membres inférieurs
Période néonatale
Entre 1 à 5 ans
Autour de la puberté
Traitement des inégalités de longueur des membres inférieurs
Dimensions actuelles du problème et ses perspectives
Traitement orthopédique des inégalités de longueur des membres inférieurs
Traitement chirurgical des inégalités de longueur des membres inférieursPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44087 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Inégalités de longueur des membres inférieurs : cause, diagnostic, prévision et traitement / J. Griffet in EMC : Appareil locomoteur, Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017)
[article]
Titre : Inégalités de longueur des membres inférieurs : cause, diagnostic, prévision et traitement Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Griffet ; A. Fassier Année de publication : 2017 Article en page(s) : 15-330-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Inégalité longueur Membre inférieur Épiphysiodèse Allongement Fixateur externe Clou centromédullaire Résumé : Le diagnostic d'une inégalité de longueur des membres inférieurs, différence de longueur réelle des segments osseux, est aisé. La description est indissociable de celle des axes et de l'appréciation de la mobilité et de la stabilité articulaires des articulations voisines. L'étiologie est un élément essentiel pour établir le pronostic, choisir le traitement. Il existe des anomalies congénitales ou constitutionnelles, des anomalies acquises (traumatiques, infectieuses, vasculaires, neurologiques et séquellaires des maladies de la hanche). Le diagnostic clinique, avec un examen debout, puis couché, précise les anomalies des axes et les mobilités et stabilité articulaires. Les mesures radiologiques par une radiographie des membres inférieurs en entier de face permettent la mesure, en tenant compte de l'agrandissement, si le patient ne présente pas d'attitude vicieuse en flessum et est capable de positionner ses rotules bien de face. La mesure radiologique des axes affine la description. L'inégalité est évolutive et prévisible dans les malformations congénitales au pourcentage constant. En cas d'accélérations temporaires de croissance post-traumatiques ou postinfections, l'inégalité ne sera pas évolutive. En cas de destruction complète du cartilage de conjugaison, l'augmentation de l'anisomélie correspond à la croissance résiduelle de la physe controlatérale. La détermination de l'âge osseux est un critère important pour replacer cette inégalité dans la croissance. Plusieurs méthodes et logiciels existent. Le traitement est au début orthopédique avec des compensations. Puis il faudra choisir entre une orthèse ou une prothèse dans les inégalités congénitales sévères, un raccourcissement progressif (épiphysiodèse) ou exceptionnellement extemporané ou, le plus souvent, un allongement progressif par fixateur externe ou mieux par clou centromédullaire motorisé. Les complications sont fréquentes, parfois sans conséquence, mais aussi redoutables entraînant des séquelles, en fonction de l'étiologie, de la technique et de l'expérience de l'équipe. Les allongements de membre représentent une prise en charge difficile, mûrement réfléchie et réalisée avec une équipe entraînée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54317
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017) . - 15-330-A-10 [Tome 6][article] Inégalités de longueur des membres inférieurs : cause, diagnostic, prévision et traitement [texte imprimé] / J. Griffet ; A. Fassier . - 2017 . - 15-330-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017) . - 15-330-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Inégalité longueur Membre inférieur Épiphysiodèse Allongement Fixateur externe Clou centromédullaire Résumé : Le diagnostic d'une inégalité de longueur des membres inférieurs, différence de longueur réelle des segments osseux, est aisé. La description est indissociable de celle des axes et de l'appréciation de la mobilité et de la stabilité articulaires des articulations voisines. L'étiologie est un élément essentiel pour établir le pronostic, choisir le traitement. Il existe des anomalies congénitales ou constitutionnelles, des anomalies acquises (traumatiques, infectieuses, vasculaires, neurologiques et séquellaires des maladies de la hanche). Le diagnostic clinique, avec un examen debout, puis couché, précise les anomalies des axes et les mobilités et stabilité articulaires. Les mesures radiologiques par une radiographie des membres inférieurs en entier de face permettent la mesure, en tenant compte de l'agrandissement, si le patient ne présente pas d'attitude vicieuse en flessum et est capable de positionner ses rotules bien de face. La mesure radiologique des axes affine la description. L'inégalité est évolutive et prévisible dans les malformations congénitales au pourcentage constant. En cas d'accélérations temporaires de croissance post-traumatiques ou postinfections, l'inégalité ne sera pas évolutive. En cas de destruction complète du cartilage de conjugaison, l'augmentation de l'anisomélie correspond à la croissance résiduelle de la physe controlatérale. La détermination de l'âge osseux est un critère important pour replacer cette inégalité dans la croissance. Plusieurs méthodes et logiciels existent. Le traitement est au début orthopédique avec des compensations. Puis il faudra choisir entre une orthèse ou une prothèse dans les inégalités congénitales sévères, un raccourcissement progressif (épiphysiodèse) ou exceptionnellement extemporané ou, le plus souvent, un allongement progressif par fixateur externe ou mieux par clou centromédullaire motorisé. Les complications sont fréquentes, parfois sans conséquence, mais aussi redoutables entraînant des séquelles, en fonction de l'étiologie, de la technique et de l'expérience de l'équipe. Les allongements de membre représentent une prise en charge difficile, mûrement réfléchie et réalisée avec une équipe entraînée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54317 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Un regard plus nuancé dans le débat relatif aux pensions / Lieze Sohier in Revue belge de sécurité sociale, 2/16 (2e trimestre 2016)
[article]
Titre : Un regard plus nuancé dans le débat relatif aux pensions : Un tiers des travailleurs âgés belges et néerlandais perçoivent le travail comme un choix non volontaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Lieze Sohier ; Luc Van Ootegem ; Elsy Verhofstad Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 213-228 Langues : Français (fre) Mots-clés : personne âgée travail âge pension allongement Pays-Bas- Belgique retraite évolution statistiques choix bien-être Résumé : Nous avons été inondés au cours des dernières années de messages négatifs concer-
nant la soutenabilité financière du régime de pensions. En raison de l’augmentation
de l’espérance de vie et dans le contexte d’une politique d’allongement des carrières,
les pouvoirs publics néerlandais, puis belges, ont limité les possibilités de départ en
retraite anticipé. Il s’agit là d’un exercice délicat car le départ à la retraite anticipé est
devenu une norme sociale pour de très nombreux travailleurs et employeurs (Wise,
2010). L’Enquête nationale sur les Pensions de Delta Lloyd indique que de très
nombreux travailleurs comptent partir à la retraite avant leur 65e anniversaire. L’âge
moyen de départ à la retraite souhaité se situe à 61 ans (Delta Lloyd, 2014). Dif-
férentes études montrent qu’eux aussi, les employeurs ne sont pas très enthousiastes
à l’idée d’investir dans le maintien des travailleurs plus âgés, et ce pour différents
motifs (tels que la productivité, les coûts salariaux, les formations, etc.). 27 pour
cent seulement des employeurs européens encouragent leurs travailleurs âgés à rester
au travail jusqu’à l’âge de départ en retraite officiel (Conen, Henkens et Schippers,
2012). Deux tiers environ des employeurs dans cette étude n’ont jamais pris de me-
sures pour engager des travailleurs âgés ou pour les garder. (...)Note de contenu : TABLE DES MATIÈRES
UN REGARD PLUS NUANCE DANS LE DÉBAT RELATIF AUX PENSIONS : UN TIERS
DES TRAVAILLEURS AGES BELGES ET NÉERLANDAIS PERÇOIVENT LE TRAVAIL
COMME UN CHOIX NON VOLONTAIRE
1. INTRODUCTION
213
2.
LES SENIORS TRAVAILLENT JUSQU’À UN AGE PLUS AVANCE AUX
PAYS-BAS QU’EN BELGIQUE
215
3.
BIEN-ÊTRE ET LIBRE CHOIX
217
4.
LES TRAVAILLEURS NON VOLONTAIRES : AMPLEUR DU PHÉNOMÈNE
ET ÉVOLUTION AU FIL DU TEMPS
219
5.
PERTE DE SATISFACTION DES ACTIFS NON VOLONTAIRES
222
6.
DISCUSSION
223
BIBLIOGRAPHIE
225En ligne : https://socialsecurity.belgium.be/sites/default/files/03-rbss-02-2016-un-regard- [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=48517
in Revue belge de sécurité sociale > 2/16 (2e trimestre 2016) . - p. 213-228[article] Un regard plus nuancé dans le débat relatif aux pensions : Un tiers des travailleurs âgés belges et néerlandais perçoivent le travail comme un choix non volontaire [texte imprimé] / Lieze Sohier ; Luc Van Ootegem ; Elsy Verhofstad . - 2016 . - p. 213-228.
Langues : Français (fre)
in Revue belge de sécurité sociale > 2/16 (2e trimestre 2016) . - p. 213-228
Mots-clés : personne âgée travail âge pension allongement Pays-Bas- Belgique retraite évolution statistiques choix bien-être Résumé : Nous avons été inondés au cours des dernières années de messages négatifs concer-
nant la soutenabilité financière du régime de pensions. En raison de l’augmentation
de l’espérance de vie et dans le contexte d’une politique d’allongement des carrières,
les pouvoirs publics néerlandais, puis belges, ont limité les possibilités de départ en
retraite anticipé. Il s’agit là d’un exercice délicat car le départ à la retraite anticipé est
devenu une norme sociale pour de très nombreux travailleurs et employeurs (Wise,
2010). L’Enquête nationale sur les Pensions de Delta Lloyd indique que de très
nombreux travailleurs comptent partir à la retraite avant leur 65e anniversaire. L’âge
moyen de départ à la retraite souhaité se situe à 61 ans (Delta Lloyd, 2014). Dif-
férentes études montrent qu’eux aussi, les employeurs ne sont pas très enthousiastes
à l’idée d’investir dans le maintien des travailleurs plus âgés, et ce pour différents
motifs (tels que la productivité, les coûts salariaux, les formations, etc.). 27 pour
cent seulement des employeurs européens encouragent leurs travailleurs âgés à rester
au travail jusqu’à l’âge de départ en retraite officiel (Conen, Henkens et Schippers,
2012). Deux tiers environ des employeurs dans cette étude n’ont jamais pris de me-
sures pour engager des travailleurs âgés ou pour les garder. (...)Note de contenu : TABLE DES MATIÈRES
UN REGARD PLUS NUANCE DANS LE DÉBAT RELATIF AUX PENSIONS : UN TIERS
DES TRAVAILLEURS AGES BELGES ET NÉERLANDAIS PERÇOIVENT LE TRAVAIL
COMME UN CHOIX NON VOLONTAIRE
1. INTRODUCTION
213
2.
LES SENIORS TRAVAILLENT JUSQU’À UN AGE PLUS AVANCE AUX
PAYS-BAS QU’EN BELGIQUE
215
3.
BIEN-ÊTRE ET LIBRE CHOIX
217
4.
LES TRAVAILLEURS NON VOLONTAIRES : AMPLEUR DU PHÉNOMÈNE
ET ÉVOLUTION AU FIL DU TEMPS
219
5.
PERTE DE SATISFACTION DES ACTIFS NON VOLONTAIRES
222
6.
DISCUSSION
223
BIBLIOGRAPHIE
225En ligne : https://socialsecurity.belgium.be/sites/default/files/03-rbss-02-2016-un-regard- [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=48517 Réservation
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