Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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Mention de date : Août 2010
Paru le : 04/08/2010
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Dépouillements
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[article]
Titre : |
Tumeurs primitives des nerfs périphériques |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
G. Chick, Auteur |
Année de publication : |
2010 |
Article en page(s) : |
15-007-A-10 [Tome 6] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Tumeur nerveuse Nerf périphérique Neurofibromatose Schwannome Neurofibrome Neurolipofibrome |
Résumé : |
Les tumeurs des nerfs périphériques sont des lésions rares, développées aux dépens des éléments constitutifs du nerf. Elles peuvent être isolées ou multiples dans le cadre des neurofibromatoses, maladies à support génétique. Le diagnostic de tumeur nerveuse doit être évoqué systématiquement devant une tuméfaction ou une douleur sur le trajet d'un nerf que la percussion réveille. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) est l'examen complémentaire de choix. Il faut distinguer les tumeurs nerveuses extirpables des lésions inextirpables. Les premières refoulent les groupes fasciculaires sans les pénétrer et peuvent donc être énucléées sans interrompre la continuité nerveuse. Il s'agit de schwannomes le plus souvent avec un pronostic excellent. La persistance de symptômes doit inciter à une nouvelle exploration à la recherche d'autres tumeurs passées inaperçues sur le même site opératoire. À l'opposé, les tumeurs inextirpables (neurofibrome solitaire, hémangiome de la gaine de Schwann, neurofibrolipome) infiltrent l'ensemble des éléments constitutifs du nerf et leur exérèse complète est impossible sans altérer les fibres nerveuses. Une épineurotomie à visée décompressive (avec biopsie interfasciculaire) permet le plus souvent d'atténuer les symptômes. Leur réapparition doit faire suspecter une récidive, voire une potentielle dégénérescence dans le cadre de la maladie de von Recklinghausen. Le diagnostic de tumeurs multiples repose sur l'interrogatoire et l'examen clinique. Certains examens complémentaires comme la lampe à fente et l'IRM cérébrale sont indispensables pour classer les neurofibromatoses (intérêt pronostique). Leur évolution imprévisible et l'existence de formes de passage nécessitent une surveillance prolongée. À la limite du diagnostic différentiel, les pseudokystes mucoïdes sont des tumeurs nerveuses rares et bénignes dont l'origine reste une énigme. Le succès du traitement chirurgical dépend d'un diagnostic précoce avant l'altération des fibres nerveuses par la compression. Le risque de récidive impose un suivi prolongé. Les tumeurs malignes, exceptionnelles, sont de pronostic redoutable et nécessitent une prise en charge multidisciplinaire. Elles surviennent dans 50 % des cas dans un contexte évocateur (maladie de von Recklinghausen). La chirurgie des tumeurs nerveuses doit être réservée à des opérateurs expérimentés car on voit trop souvent des patients adressés secondairement avec des séquelles souvent définitives. |
Note de contenu : |
Introduction
Tumeurs bénignes des nerfs périphériques
Tumeur isolée bénigne des nerfs périphériques
Tumeurs multiples des nerfs périphériques
Pseudokyste mucoïde des nerfs périphériques
Tumeur maligne primitive des enveloppes nerveuses périphériques
« Malignant peripheral nerve sheath tumor » isolée
« Malignant peripheral nerve sheath tumor » et neurofibromatose
Conclusion |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=44065 |
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2010) . - 15-007-A-10 [Tome 6]
[article] Tumeurs primitives des nerfs périphériques [texte imprimé] / G. Chick, Auteur . - 2010 . - 15-007-A-10 [Tome 6]. Langues : Français ( fre) in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2010) . - 15-007-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : |
Tumeur nerveuse Nerf périphérique Neurofibromatose Schwannome Neurofibrome Neurolipofibrome |
Résumé : |
Les tumeurs des nerfs périphériques sont des lésions rares, développées aux dépens des éléments constitutifs du nerf. Elles peuvent être isolées ou multiples dans le cadre des neurofibromatoses, maladies à support génétique. Le diagnostic de tumeur nerveuse doit être évoqué systématiquement devant une tuméfaction ou une douleur sur le trajet d'un nerf que la percussion réveille. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) est l'examen complémentaire de choix. Il faut distinguer les tumeurs nerveuses extirpables des lésions inextirpables. Les premières refoulent les groupes fasciculaires sans les pénétrer et peuvent donc être énucléées sans interrompre la continuité nerveuse. Il s'agit de schwannomes le plus souvent avec un pronostic excellent. La persistance de symptômes doit inciter à une nouvelle exploration à la recherche d'autres tumeurs passées inaperçues sur le même site opératoire. À l'opposé, les tumeurs inextirpables (neurofibrome solitaire, hémangiome de la gaine de Schwann, neurofibrolipome) infiltrent l'ensemble des éléments constitutifs du nerf et leur exérèse complète est impossible sans altérer les fibres nerveuses. Une épineurotomie à visée décompressive (avec biopsie interfasciculaire) permet le plus souvent d'atténuer les symptômes. Leur réapparition doit faire suspecter une récidive, voire une potentielle dégénérescence dans le cadre de la maladie de von Recklinghausen. Le diagnostic de tumeurs multiples repose sur l'interrogatoire et l'examen clinique. Certains examens complémentaires comme la lampe à fente et l'IRM cérébrale sont indispensables pour classer les neurofibromatoses (intérêt pronostique). Leur évolution imprévisible et l'existence de formes de passage nécessitent une surveillance prolongée. À la limite du diagnostic différentiel, les pseudokystes mucoïdes sont des tumeurs nerveuses rares et bénignes dont l'origine reste une énigme. Le succès du traitement chirurgical dépend d'un diagnostic précoce avant l'altération des fibres nerveuses par la compression. Le risque de récidive impose un suivi prolongé. Les tumeurs malignes, exceptionnelles, sont de pronostic redoutable et nécessitent une prise en charge multidisciplinaire. Elles surviennent dans 50 % des cas dans un contexte évocateur (maladie de von Recklinghausen). La chirurgie des tumeurs nerveuses doit être réservée à des opérateurs expérimentés car on voit trop souvent des patients adressés secondairement avec des séquelles souvent définitives. |
Note de contenu : |
Introduction
Tumeurs bénignes des nerfs périphériques
Tumeur isolée bénigne des nerfs périphériques
Tumeurs multiples des nerfs périphériques
Pseudokyste mucoïde des nerfs périphériques
Tumeur maligne primitive des enveloppes nerveuses périphériques
« Malignant peripheral nerve sheath tumor » isolée
« Malignant peripheral nerve sheath tumor » et neurofibromatose
Conclusion |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=44065 |
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Exemplaires
[article]
Titre : |
Classification des malformations congénitales des membres |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
S. Manouvrier-Hanu ; A. Mézel |
Année de publication : |
2010 |
Article en page(s) : |
15-200-C-10 [Tome 6] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Malformation congénitale des membres Préaxial Postaxial Polydactylie Syndactylie Brachydactylie |
Résumé : |
Les malformations congénitales des membres ont une prévalence estimée aux environs de 1,5 ‰ chez le nouveau-né et plus du double parmi les décès néonataux. Elles sont très variées et sont observées soit de manière isolée, soit intégrées dans de nombreux syndromes malformatifs. Environ un tiers d'entre elles a une origine génétique. La découverte des diverses voies de signalisation présidant au développement normal du bourgeon de membre, et d'un certain nombre de gènes qui y sont impliqués, permet de mieux comprendre la genèse de ces malformations. Néanmoins, leur classification n'est pas aisée et ne peut être basée sur leur éventuelle cause génétique, en raison de la variabilité d'expression et de l'hétérogénéité génétique. Une classification descriptive reste donc la plus adaptée. Celle-ci distingue les anomalies réductionnelles (ou défaut de formation), les défauts de différenciation (anomalies de fusion/séparation), les duplications (structures surnuméraires) et les brachydactylies. |
Note de contenu : |
Introduction
Défauts de formation ou anomalies déficitaires
Absence totale de membre : amélie
Anomalies déficitaires transverses
Anomalies déficitaires longitudinales
Anomalies déficitaires transverses intercalaires
Défauts de différenciation ou anomalies de fusion/séparation
Synostoses congénitales proximales et moyennes
Syndactylies
Fusions secondaires
Duplications ou structures surnuméraires
Duplications proximales
Duplications des segments moyens
Duplications distales
Brachydactylies
Type A
Type B
Type C
Type D
Type E
Conclusion |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=44077 |
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2010) . - 15-200-C-10 [Tome 6]
[article] Classification des malformations congénitales des membres [texte imprimé] / S. Manouvrier-Hanu ; A. Mézel . - 2010 . - 15-200-C-10 [Tome 6]. Langues : Français ( fre) in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2010) . - 15-200-C-10 [Tome 6]
Mots-clés : |
Malformation congénitale des membres Préaxial Postaxial Polydactylie Syndactylie Brachydactylie |
Résumé : |
Les malformations congénitales des membres ont une prévalence estimée aux environs de 1,5 ‰ chez le nouveau-né et plus du double parmi les décès néonataux. Elles sont très variées et sont observées soit de manière isolée, soit intégrées dans de nombreux syndromes malformatifs. Environ un tiers d'entre elles a une origine génétique. La découverte des diverses voies de signalisation présidant au développement normal du bourgeon de membre, et d'un certain nombre de gènes qui y sont impliqués, permet de mieux comprendre la genèse de ces malformations. Néanmoins, leur classification n'est pas aisée et ne peut être basée sur leur éventuelle cause génétique, en raison de la variabilité d'expression et de l'hétérogénéité génétique. Une classification descriptive reste donc la plus adaptée. Celle-ci distingue les anomalies réductionnelles (ou défaut de formation), les défauts de différenciation (anomalies de fusion/séparation), les duplications (structures surnuméraires) et les brachydactylies. |
Note de contenu : |
Introduction
Défauts de formation ou anomalies déficitaires
Absence totale de membre : amélie
Anomalies déficitaires transverses
Anomalies déficitaires longitudinales
Anomalies déficitaires transverses intercalaires
Défauts de différenciation ou anomalies de fusion/séparation
Synostoses congénitales proximales et moyennes
Syndactylies
Fusions secondaires
Duplications ou structures surnuméraires
Duplications proximales
Duplications des segments moyens
Duplications distales
Brachydactylies
Type A
Type B
Type C
Type D
Type E
Conclusion |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=44077 |
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Exemplaires