Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
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Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur LE TALLEC H. |
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Activité sportive et sclérose en plaques / KERDONCUFF V. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 49, n°1 (février 2006)
[article]
Titre : Activité sportive et sclérose en plaques Type de document : texte imprimé Auteurs : KERDONCUFF V. ; DURUFLE A. ; EDAN G. ; P. Gallien ; LASSALLE A. ; LE TALLEC H. ; Benoit Nicolas ; PETRILLI S. ; ROBINEAU S. Année de publication : 2006 Article en page(s) : p.32 - 36 Résumé : Introduction. - La sclérose en plaques est une maladie du système nerveux central touchant en particulier l'adulte jeune. Les manifestations cliniques de celle-ci sont très variables. Le but de ce travail est d'évaluer la pratique d'activités physiques et sportives chez ces patients et leurs influences sur la qualité de vie. Matériel et méthode. - Quarante-cinq patients atteints de sclérose en plaques sont interrogés sur leurs activités physiques et sportives. De plus,sont prises en compte les caractéristiques de leur maladie dont le niveau de handicap (EDSS),ainsi que leur qualité de vie (SEP-59). Résultats. - Quinze patients ont arrêté une activité physique à cause de la maladie,en particulier à cause de troubles de l'équilibre,de fatigue et de manque de force musculaire. Quinze patients ont une activité physique dont la principale motivation est le bien-être personnel. Leur EDSS moyen est de 4,2. La SEP-59 trouve un bien-être général significativement meilleur chez les patients ayant une activité physique. Discussion et conclusion. - L'activité physique semble améliorer la qualité de vie de patients ayant une qualité de vie déjà diminuée par rapport à la population générale. Sachant que la force musculaire est améliorée par l'exercice chez les patients ayant un EDSS inférieur à 6,il paraît intéressant de favoriser la poursuite ou la mise en place d'une activité physique régulière chez les patients atteints de sclérose en plaques.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13008
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 49, n°1 (février 2006) . - p.32 - 36[article] Activité sportive et sclérose en plaques [texte imprimé] / KERDONCUFF V. ; DURUFLE A. ; EDAN G. ; P. Gallien ; LASSALLE A. ; LE TALLEC H. ; Benoit Nicolas ; PETRILLI S. ; ROBINEAU S. . - 2006 . - p.32 - 36.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 49, n°1 (février 2006) . - p.32 - 36
Résumé : Introduction. - La sclérose en plaques est une maladie du système nerveux central touchant en particulier l'adulte jeune. Les manifestations cliniques de celle-ci sont très variables. Le but de ce travail est d'évaluer la pratique d'activités physiques et sportives chez ces patients et leurs influences sur la qualité de vie. Matériel et méthode. - Quarante-cinq patients atteints de sclérose en plaques sont interrogés sur leurs activités physiques et sportives. De plus,sont prises en compte les caractéristiques de leur maladie dont le niveau de handicap (EDSS),ainsi que leur qualité de vie (SEP-59). Résultats. - Quinze patients ont arrêté une activité physique à cause de la maladie,en particulier à cause de troubles de l'équilibre,de fatigue et de manque de force musculaire. Quinze patients ont une activité physique dont la principale motivation est le bien-être personnel. Leur EDSS moyen est de 4,2. La SEP-59 trouve un bien-être général significativement meilleur chez les patients ayant une activité physique. Discussion et conclusion. - L'activité physique semble améliorer la qualité de vie de patients ayant une qualité de vie déjà diminuée par rapport à la population générale. Sachant que la force musculaire est améliorée par l'exercice chez les patients ayant un EDSS inférieur à 6,il paraît intéressant de favoriser la poursuite ou la mise en place d'une activité physique régulière chez les patients atteints de sclérose en plaques.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtAssociation de maladie de Charcot-Marie-Tooth et de syringomyélie révélée par la survenue de troubles urinaires / LASSALLE A. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 48, n°3 (avril 2005)
[article]
Titre : Association de maladie de Charcot-Marie-Tooth et de syringomyélie révélée par la survenue de troubles urinaires Type de document : texte imprimé Auteurs : LASSALLE A. ; PLASSAT R. ; LE TALLEC H. ; E. Laboute ; KERDONCUFF V. ; P. Gallien ; DURUFLE A. Année de publication : 2005 Article en page(s) : p. 146-149 Langues : Français (fre) Mots-clés : Examen clinique Système nerveux [pathologie] Enfant Urodynamique Résumé : Objectif.-La maladie de Charcot-Marie-Tooth est une affection s'exprimant sous des formes cliniques et génétiques variées. Charcot-Marie-Tooth (CMT) et syringomyélie ne constituent pas une association classique. De même l'existence d'une symptomatologie urinaire révélatrice de syringomyélie est peu fréquente. Cas clinique.-Nous relatons ici le cas d'une enfant de 11 ans porteuse d'une forme CMT1A. La survenue d'un épisode moteur déficitaire brutal et spontanément résolutif d'un membre inférieur va permettre la découverte de signes urinaires d'apparition récente et la mise en évidence d'anomalies à l'examen clinique. Le bilan urodynamique réalisé retrouvera une hyperactivité du détrusor et l'imagerie par résonance magnétique une cavité syringomyélique du cône terminal T11-L1. Discussion.-L'analyse de la littérature retrouve la possibilité de signes urinaires précoces révélateurs de cavité syringomyélique. Un seul cas d'association Charcot-Marie-Tooth et de troubles urinaires est retrouvé. Il est expliqué par la formation de nerfs hypertrophiques en " bulbes d'oignons " liés à des cycles de démyélinisation et de remyélinisation, à l'origine de tableau de compression médullaire ou radiculaire. Il s'agit d'une description classique des maladies de Charcot-Marie-Tooth évoluées. Conclusion.-L'existence de signes urinaires dans la maladie de Charcot-Marie-Tooth est exceptionnelle. Le caractère inhabituel de cette symptomatologie doit donc alerter et orienter l'enquête étiologique sur une atteinte centrale associée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13040
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°3 (avril 2005) . - p. 146-149[article] Association de maladie de Charcot-Marie-Tooth et de syringomyélie révélée par la survenue de troubles urinaires [texte imprimé] / LASSALLE A. ; PLASSAT R. ; LE TALLEC H. ; E. Laboute ; KERDONCUFF V. ; P. Gallien ; DURUFLE A. . - 2005 . - p. 146-149.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°3 (avril 2005) . - p. 146-149
Mots-clés : Examen clinique Système nerveux [pathologie] Enfant Urodynamique Résumé : Objectif.-La maladie de Charcot-Marie-Tooth est une affection s'exprimant sous des formes cliniques et génétiques variées. Charcot-Marie-Tooth (CMT) et syringomyélie ne constituent pas une association classique. De même l'existence d'une symptomatologie urinaire révélatrice de syringomyélie est peu fréquente. Cas clinique.-Nous relatons ici le cas d'une enfant de 11 ans porteuse d'une forme CMT1A. La survenue d'un épisode moteur déficitaire brutal et spontanément résolutif d'un membre inférieur va permettre la découverte de signes urinaires d'apparition récente et la mise en évidence d'anomalies à l'examen clinique. Le bilan urodynamique réalisé retrouvera une hyperactivité du détrusor et l'imagerie par résonance magnétique une cavité syringomyélique du cône terminal T11-L1. Discussion.-L'analyse de la littérature retrouve la possibilité de signes urinaires précoces révélateurs de cavité syringomyélique. Un seul cas d'association Charcot-Marie-Tooth et de troubles urinaires est retrouvé. Il est expliqué par la formation de nerfs hypertrophiques en " bulbes d'oignons " liés à des cycles de démyélinisation et de remyélinisation, à l'origine de tableau de compression médullaire ou radiculaire. Il s'agit d'une description classique des maladies de Charcot-Marie-Tooth évoluées. Conclusion.-L'existence de signes urinaires dans la maladie de Charcot-Marie-Tooth est exceptionnelle. Le caractère inhabituel de cette symptomatologie doit donc alerter et orienter l'enquête étiologique sur une atteinte centrale associée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13040 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtComparaison entre la latence distale motrice du nerf pudendal, la topographie de la douleur périnéale et le résultat d'infiltrations. Analyse pour 53 patients / LE TALLEC H. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 50, n°2 (mars 2007)
[article]
Titre : Comparaison entre la latence distale motrice du nerf pudendal, la topographie de la douleur périnéale et le résultat d'infiltrations. Analyse pour 53 patients Type de document : texte imprimé Auteurs : LE TALLEC H., Auteur ; DUGAST J ; D. VEILLARD, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : P.65-69 Langues : Français (fre) Mots-clés : Périnée Infiltration Névralgie Neuropsychologie Résumé : Objectif : Étudier la valeur localisatrice de l'allongement de la latence distale motrice du nerf pudendal (LDMNP), par rapport au côté douloureux, dans les douleurs périnéales, ainsi que la valeur prédictive d'un allongement possible de cette latence sur le résultat d'infiltrations.
Matériel et méthodes : Dans le cadre de cette étude rétrospective, 53 patients, ayant consulté entre 2000 et 2004 pour une névralgie pudendale, ont été inclus. La LDMNP a été mesurée par la technique de Saint-Mark, par le même opérateur. Les critères d'évaluation de la latence ont été les suivants : allongement significatif à partir de 6 ms, différence considérée significative entre les deux côtés à partir de 2 ms. Les infiltrations ont été faites par voie périnéale (30 cas) ou transglutéale (huit cas). Le côté de l'infiltration était défini par le côté de la douleur. Les résultats ont été considérés comme bons en cas de disparition de la douleur supérieure à six mois. Une analyse statistique descriptive a été réalisée et le test exact de Fisher utilisé pour les comparaisons.
Résultats : Chez les 53 patients (42 femmes, 11 hommes ; âge moyen 62+12 ans), l'ancienneté de la douleur périnéale, calculée pour 47 patients, était en moyenne de 30 mois+47). Quarante-trois patients avaient une douleur unilatérale ; parmi eux 17 (40 %), avaient une latence augmentée des deux côtés, six (14 %) une latence augmentée du côté de la douleur et cinq (11 %) une latence augmentée du côté controlatéral. Les 15 autres patients ne présentaient pas d'augmentation de la LDMNP. Les douleurs étaient bilatérales chez dix patients. Parmi eux : quatre présentaient des latences augmentées des deux côtés, un uniquement à droite, un uniquement à gauche et quatre avaient des latences normales. Il n'a pas été trouvé de liaison significative entre, d'une part, l'allongement de la LDMNP et, d'autre part, ni l'ancienneté de la douleur ni le résultat des infiltrations, qu'elles aient été périnéales ou transglutéales.
Conclusion : La LDMNP peut être allongée sans correspondre à une neuropathie pudendale compressive et normale sans l'éliminer. La prise en charge des douleurs périnéales nous paraît devoir encore, actuellement, être guidée essentiellement par la clinique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13512
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 50, n°2 (mars 2007) . - P.65-69[article] Comparaison entre la latence distale motrice du nerf pudendal, la topographie de la douleur périnéale et le résultat d'infiltrations. Analyse pour 53 patients [texte imprimé] / LE TALLEC H., Auteur ; DUGAST J ; D. VEILLARD, Auteur . - 2007 . - P.65-69.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 50, n°2 (mars 2007) . - P.65-69
Mots-clés : Périnée Infiltration Névralgie Neuropsychologie Résumé : Objectif : Étudier la valeur localisatrice de l'allongement de la latence distale motrice du nerf pudendal (LDMNP), par rapport au côté douloureux, dans les douleurs périnéales, ainsi que la valeur prédictive d'un allongement possible de cette latence sur le résultat d'infiltrations.
Matériel et méthodes : Dans le cadre de cette étude rétrospective, 53 patients, ayant consulté entre 2000 et 2004 pour une névralgie pudendale, ont été inclus. La LDMNP a été mesurée par la technique de Saint-Mark, par le même opérateur. Les critères d'évaluation de la latence ont été les suivants : allongement significatif à partir de 6 ms, différence considérée significative entre les deux côtés à partir de 2 ms. Les infiltrations ont été faites par voie périnéale (30 cas) ou transglutéale (huit cas). Le côté de l'infiltration était défini par le côté de la douleur. Les résultats ont été considérés comme bons en cas de disparition de la douleur supérieure à six mois. Une analyse statistique descriptive a été réalisée et le test exact de Fisher utilisé pour les comparaisons.
Résultats : Chez les 53 patients (42 femmes, 11 hommes ; âge moyen 62+12 ans), l'ancienneté de la douleur périnéale, calculée pour 47 patients, était en moyenne de 30 mois+47). Quarante-trois patients avaient une douleur unilatérale ; parmi eux 17 (40 %), avaient une latence augmentée des deux côtés, six (14 %) une latence augmentée du côté de la douleur et cinq (11 %) une latence augmentée du côté controlatéral. Les 15 autres patients ne présentaient pas d'augmentation de la LDMNP. Les douleurs étaient bilatérales chez dix patients. Parmi eux : quatre présentaient des latences augmentées des deux côtés, un uniquement à droite, un uniquement à gauche et quatre avaient des latences normales. Il n'a pas été trouvé de liaison significative entre, d'une part, l'allongement de la LDMNP et, d'autre part, ni l'ancienneté de la douleur ni le résultat des infiltrations, qu'elles aient été périnéales ou transglutéales.
Conclusion : La LDMNP peut être allongée sans correspondre à une neuropathie pudendale compressive et normale sans l'éliminer. La prise en charge des douleurs périnéales nous paraît devoir encore, actuellement, être guidée essentiellement par la clinique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13512 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtInfluence des variations de la température sur la symptomatologie clinique dans la sclérose en plaques : étude épidémiologique / PETRILLI S. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 47, n°6 (août 2004)
[article]
Titre : Influence des variations de la température sur la symptomatologie clinique dans la sclérose en plaques : étude épidémiologique Type de document : texte imprimé Auteurs : PETRILLI S. ; DURUFLE A. ; P. Gallien ; KERDONCUFF V. ; LASSALLE A. ; LE TALLEC H. ; Benoit Nicolas ; ROBINEAU S. Année de publication : 2004 Article en page(s) : p.204-208 Mots-clés : Sclérose plaque Physiothérapie Epidémiologie Résumé : Introduction.-Les effets des modifications de température sont bien connus chez les personnes atteintes de sclérose en plaques (SEP). Ceux-ci sont variables en fonction des patients et peuvent avoir un retentissement net dans leur vie quotidienne. Souvent cette sensibilité, notamment au froid est utilisée comme moyen thérapeutique dans la prise en charge. Méthode.-Une étude épidémiologique a été réalisée sur une cohorte de 191 patients atteints de SEP vus en consultation dans le cadre de la clinique de la SEP de Rennes. Chaque patient a été interrogé sur l'influence de la chaleur et du froid sur leur symptomatologie clinique (fatigue, spasticité, troubles de la matche, vision) Les corrélations avec les caractéristiques cliniques principales de la SEP ont été recherchées. Population.-Cent quatre-vingt-onze patients, 129 femmes et 62 hommes d'un âge moyen de 47,6 + 10,0 ans ont été interrogés. Le score EDSS moyen était de 5,2 + 1,5 et l'évolution moyenne de la maladie de 13,5 + 10,0 ans. Résultats.-Cent quarante-sept patients soit 77 % ont rapporté une sensibilité à la température dont 104 une aggravation de la symptomatologie à la chaleur, et 82 une amélioration au froid. Paradoxalement 20 patients se disaient aggravés par le froid et 19 améliorés par la chaleur. Fatigue et marche étaient les deux éléments les plus sensibles aux fluctuations thermiques. Aucun profil clinique particulier ne pouvait être dégagé. Cinquante pour cent des patients utilisaient cette sensibilité à visée thérapeutique au quotidien. Discussion.-Une influence nette avec une variabilité individuelle de l'influence des variations de température sur la symptomatologie clinique est retrouvée. L'hypothèse la plus probable pour expliquer ce phénomène est celle d'une influence sur la conductivité nerveuse. La proposition d'une physiothérapie froide garde une place intéressante dans la prise en charge.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13233
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 47, n°6 (août 2004) . - p.204-208[article] Influence des variations de la température sur la symptomatologie clinique dans la sclérose en plaques : étude épidémiologique [texte imprimé] / PETRILLI S. ; DURUFLE A. ; P. Gallien ; KERDONCUFF V. ; LASSALLE A. ; LE TALLEC H. ; Benoit Nicolas ; ROBINEAU S. . - 2004 . - p.204-208.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 47, n°6 (août 2004) . - p.204-208
Mots-clés : Sclérose plaque Physiothérapie Epidémiologie Résumé : Introduction.-Les effets des modifications de température sont bien connus chez les personnes atteintes de sclérose en plaques (SEP). Ceux-ci sont variables en fonction des patients et peuvent avoir un retentissement net dans leur vie quotidienne. Souvent cette sensibilité, notamment au froid est utilisée comme moyen thérapeutique dans la prise en charge. Méthode.-Une étude épidémiologique a été réalisée sur une cohorte de 191 patients atteints de SEP vus en consultation dans le cadre de la clinique de la SEP de Rennes. Chaque patient a été interrogé sur l'influence de la chaleur et du froid sur leur symptomatologie clinique (fatigue, spasticité, troubles de la matche, vision) Les corrélations avec les caractéristiques cliniques principales de la SEP ont été recherchées. Population.-Cent quatre-vingt-onze patients, 129 femmes et 62 hommes d'un âge moyen de 47,6 + 10,0 ans ont été interrogés. Le score EDSS moyen était de 5,2 + 1,5 et l'évolution moyenne de la maladie de 13,5 + 10,0 ans. Résultats.-Cent quarante-sept patients soit 77 % ont rapporté une sensibilité à la température dont 104 une aggravation de la symptomatologie à la chaleur, et 82 une amélioration au froid. Paradoxalement 20 patients se disaient aggravés par le froid et 19 améliorés par la chaleur. Fatigue et marche étaient les deux éléments les plus sensibles aux fluctuations thermiques. Aucun profil clinique particulier ne pouvait être dégagé. Cinquante pour cent des patients utilisaient cette sensibilité à visée thérapeutique au quotidien. Discussion.-Une influence nette avec une variabilité individuelle de l'influence des variations de température sur la symptomatologie clinique est retrouvée. L'hypothèse la plus probable pour expliquer ce phénomène est celle d'une influence sur la conductivité nerveuse. La proposition d'une physiothérapie froide garde une place intéressante dans la prise en charge.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13233 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtIntérêt de la rééducation par biofeedback visuel sur plateforme de stabilométrie dans la prise en charge des troubles posturaux des hémiplégiques vasculaires / KERDONCUFF V. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 47, n°4 (mai 2004)
[article]
Titre : Intérêt de la rééducation par biofeedback visuel sur plateforme de stabilométrie dans la prise en charge des troubles posturaux des hémiplégiques vasculaires Type de document : texte imprimé Auteurs : KERDONCUFF V. ; ROBINEAU S. ; RAMANANTSITONTA J. ; PETRILLI S. ; Benoit Nicolas ; LE TALLEC H. ; LASSALLE A. ; P. Gallien ; DURUFLE A. Année de publication : 2004 Article en page(s) : p.169-176 Langues : Français (fre) Mots-clés : Biofeedback Hémiplégie Résumé : Objectifs.-Le but de ce travail est d'évaluer la place de la rééducation par biofeedback visuel dans la rééducation des troubles posturaux chez l'hémiplégique après accident vasculaire cérébral. Matériel et méthode.-Étude prospective randomisée visant à comparer la rééducation sur plateforme de stabilométrie et la rééducation classique. Le premier groupe bénéficie d'une prise en charge par biofeedback visuel associé à une prise en charge traditionnelle des troubles de l'équilibre et le second groupe seulement par rééducation traditionnelle. Les patients sont évalués au niveau clinique et sur plateforme de stabilométrie avant et après la prise en charge. La durée totale du protocole est de 21 jours. Résultats.-Vingt-cinq patients ont participé à cette étude. Quatorze patients ont bénéficié de la prise en charge classique et 13 du biofeedback visuel. Les deux groupes sont améliorés au niveau clinique. Les patients bénéficiant de la rééducation par biofeedback visuel ont une amélioration statistiquement plus importante du gain sur les scores fonctionnels ainsi qu'une amélioration de la surface et de la longueur du stabilogramme les yeux fermés. Discussion-conclusion.-Nos résultats confirment l'intérêt de la rééducation par biofeedback visuel. Cette technique semble améliorer l'intégration des informations proprioceptives avec un gain sur le plan fonctionnel. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13242
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 47, n°4 (mai 2004) . - p.169-176[article] Intérêt de la rééducation par biofeedback visuel sur plateforme de stabilométrie dans la prise en charge des troubles posturaux des hémiplégiques vasculaires [texte imprimé] / KERDONCUFF V. ; ROBINEAU S. ; RAMANANTSITONTA J. ; PETRILLI S. ; Benoit Nicolas ; LE TALLEC H. ; LASSALLE A. ; P. Gallien ; DURUFLE A. . - 2004 . - p.169-176.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 47, n°4 (mai 2004) . - p.169-176
Mots-clés : Biofeedback Hémiplégie Résumé : Objectifs.-Le but de ce travail est d'évaluer la place de la rééducation par biofeedback visuel dans la rééducation des troubles posturaux chez l'hémiplégique après accident vasculaire cérébral. Matériel et méthode.-Étude prospective randomisée visant à comparer la rééducation sur plateforme de stabilométrie et la rééducation classique. Le premier groupe bénéficie d'une prise en charge par biofeedback visuel associé à une prise en charge traditionnelle des troubles de l'équilibre et le second groupe seulement par rééducation traditionnelle. Les patients sont évalués au niveau clinique et sur plateforme de stabilométrie avant et après la prise en charge. La durée totale du protocole est de 21 jours. Résultats.-Vingt-cinq patients ont participé à cette étude. Quatorze patients ont bénéficié de la prise en charge classique et 13 du biofeedback visuel. Les deux groupes sont améliorés au niveau clinique. Les patients bénéficiant de la rééducation par biofeedback visuel ont une amélioration statistiquement plus importante du gain sur les scores fonctionnels ainsi qu'une amélioration de la surface et de la longueur du stabilogramme les yeux fermés. Discussion-conclusion.-Nos résultats confirment l'intérêt de la rééducation par biofeedback visuel. Cette technique semble améliorer l'intégration des informations proprioceptives avec un gain sur le plan fonctionnel. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13242 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtPrise en en charge rééducative de la maladie d'Elhers-Danlos / LE TALLEC H. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 49, n°2 (mars 2006)
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