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Abandonnisme, paranoïdie et identité instable, témoins de la sortie des appartenances / Bernard Fourez in Thérapie familiale, 4/14 ([09/03/2015])  

Public ISBD [article]  inThérapie familiale > 4/14 [09/03/2015] . - 353-373 Titre : Abandonnisme, paranoïdie et identité instable, témoins de la sortie des appartenances Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Fourez, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 353-373 Langues : Français (fre) Mots-clés : APPARTENANCE : CONCEPT  IDENTITÉ // INDIVIDUALISME  ABANDON, BORDERLINE // SOCIÉTÉ  ABANDONNISME Résumé : La sortie des appartenances a appuyé certains traits psychiques et relationnels qui composent la personnalité contemporaine. L’auteur en décrit leurs fondements et leur mise en œuvre et montre qu’ils ressortissent au tableau clinique du borderline. Note de contenu : Plan de l'article Identité et culture d’appartenance Appartenances et hétéronomie Opération psychique de l’appartenance Identité en culture individualisante Hypermodernité Autonomie et relation : de la transcendance à l’immanence, de l’éternité à l’instantanéité Intériorité sociale Intériorité sociale, incorporation de l’individu de droit Déconnexion du tout Dépendance subie, dépendance agie : compulsion relationnelle La culture contemporaine pourrait-elle être le terreau de l’abandonnisme et du fonctionnement borderline ? Abandonnisme : perte précoce de dépendance ? Non à l’apprendre à dire non L’agitation : culturelle ou pulsionnelle ? Hypothèse conclusive : le borderline, figure extrême de l’individu sorti des appartenances ? En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=TF_144_0353 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34853 [article] Abandonnisme, paranoïdie et identité instable, témoins de la sortie des appartenances [texte imprimé] / Bernard Fourez, Auteur . - 2015 . - 353-373. Langues : Français (fre) in Thérapie familiale > 4/14 [09/03/2015] . - 353-373 Mots-clés : APPARTENANCE : CONCEPT  IDENTITÉ // INDIVIDUALISME  ABANDON, BORDERLINE // SOCIÉTÉ  ABANDONNISME Résumé : La sortie des appartenances a appuyé certains traits psychiques et relationnels qui composent la personnalité contemporaine. L’auteur en décrit leurs fondements et leur mise en œuvre et montre qu’ils ressortissent au tableau clinique du borderline. Note de contenu : Plan de l'article Identité et culture d’appartenance Appartenances et hétéronomie Opération psychique de l’appartenance Identité en culture individualisante Hypermodernité Autonomie et relation : de la transcendance à l’immanence, de l’éternité à l’instantanéité Intériorité sociale Intériorité sociale, incorporation de l’individu de droit Déconnexion du tout Dépendance subie, dépendance agie : compulsion relationnelle La culture contemporaine pourrait-elle être le terreau de l’abandonnisme et du fonctionnement borderline ? Abandonnisme : perte précoce de dépendance ? Non à l’apprendre à dire non L’agitation : culturelle ou pulsionnelle ? Hypothèse conclusive : le borderline, figure extrême de l’individu sorti des appartenances ? En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=TF_144_0353 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34853

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Identité et appartenance. Le systémicien à l’entrecroisement du personnel et de l’interpersonnel dans les liens humains / Michel Delage in Thérapie familiale, 4/14 ([09/03/2015])  

Public ISBD [article]  inThérapie familiale > 4/14 [09/03/2015] . - 375 - 395 Titre : Identité et appartenance. Le systémicien à l’entrecroisement du personnel et de l’interpersonnel dans les liens humains Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Delage, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 375 - 395 Langues : Français (fre) Mots-clés : IDENTITÉ // APPARTENANCE  SYSTÉMIQUE  IDENTITÉ : CONCEPT Résumé : L’identité est un paradoxe où se conjuguent l’unique et le multiple. L’examen des différentes dimensions de l’identité consiste à la considérer d’un point de vue de l’action, du point de vue de la narration et du rapport dialogique entre l’individu et ses appartenances. Ce dernier point de vue oblige en même temps à préciser une articulation entre nature et culture. L’identité est à l’interface entre l’espace social et l’espace du soi. Dans l’espace social, certaines invariances définissent des appartenances primaires, tandis que des appartenances secondaires introduisent la possibilité de changement. Cela suppose une certaine flexibilité entre les deux types d’appartenance, c’est l’espace du soi qui permet cette flexibilité. L’espace du soi est étudié d’un point de vue développemental. La manière dont il se construit dans les interactions précoces conduit à considérer quatre éléments socles : l’image du corps, la qualité des attachements, le sexe, la filiation. Aujourd’hui, ces différents éléments sont plus ou moins déstabilisés par les variations du contexte culturel. Il en résulte des fragilités identitaires. Les thérapeutes familiaux sont souvent conduits à aborder ces fragilités et à viser des consolidations à travers les liens intersubjectifs. En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=TF_144_0375 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34854 [article] Identité et appartenance. Le systémicien à l’entrecroisement du personnel et de l’interpersonnel dans les liens humains [texte imprimé] / Michel Delage, Auteur . - 2015 . - 375 - 395. Langues : Français (fre) in Thérapie familiale > 4/14 [09/03/2015] . - 375 - 395 Mots-clés : IDENTITÉ // APPARTENANCE  SYSTÉMIQUE  IDENTITÉ : CONCEPT Résumé : L’identité est un paradoxe où se conjuguent l’unique et le multiple. L’examen des différentes dimensions de l’identité consiste à la considérer d’un point de vue de l’action, du point de vue de la narration et du rapport dialogique entre l’individu et ses appartenances. Ce dernier point de vue oblige en même temps à préciser une articulation entre nature et culture. L’identité est à l’interface entre l’espace social et l’espace du soi. Dans l’espace social, certaines invariances définissent des appartenances primaires, tandis que des appartenances secondaires introduisent la possibilité de changement. Cela suppose une certaine flexibilité entre les deux types d’appartenance, c’est l’espace du soi qui permet cette flexibilité. L’espace du soi est étudié d’un point de vue développemental. La manière dont il se construit dans les interactions précoces conduit à considérer quatre éléments socles : l’image du corps, la qualité des attachements, le sexe, la filiation. Aujourd’hui, ces différents éléments sont plus ou moins déstabilisés par les variations du contexte culturel. Il en résulte des fragilités identitaires. Les thérapeutes familiaux sont souvent conduits à aborder ces fragilités et à viser des consolidations à travers les liens intersubjectifs. En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=TF_144_0375 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34854

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Migration et pays d’accueil, une danse entre réalité et préjugés, entre identique et différence / Geneviève Platteau in Thérapie familiale, 4/14 ([09/03/2015])  

Public ISBD [article]  inThérapie familiale > 4/14 [09/03/2015] . - 397-407 Titre : Migration et pays d’accueil, une danse entre réalité et préjugés, entre identique et différence Type de document : texte imprimé Auteurs : Geneviève Platteau, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 397-407 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT // ÉMIGRATION  APPARTENANCE  IDENTITÉ  FAMILLES ÉMIGRÉES : JEUNES  RÉCITS  TÉMOIGNAGES Résumé : Dans cet article, j’aborde les problèmes posés par l’émigration chez des jeunes adolescents en quête d’identité. L’adolescent, par ses passages à l’acte, réinterroge l’histoire familiale, ses appartenances et ses loyautés. Il provoque un conflit familial tiraillé entre tradition et modernité, entre un « identique » sécurisant et un « différent » plus angoissant. La famille doit se repositionner dans sa lignée traditionnelle et dans ses transmissions ; sans le « portage » du groupe, elle se sent isolée, démunie. Le jeune vit un sentiment de solitude, interpellant le soignant dans une recherche d’identification, réunissant du « semblable » et du « différent ». La transmission culturelle interroge l’articulation entre le changement et la continuité. Le « préjugé » est nécessaire car il protège de la différence qui fait peur, tandis que le sentiment d’appartenance sécurise tout individu. La fonction du passage à l’acte du jeune repositionne le système dans son histoire. Quelle est la place de l’intervenant dans ces contextes ? comment donner une place égale à la famille, au jeune, au contexte ? Note de contenu : Plan de l'article Introduction Appartenance et identité « Alban » (12 ans) une situation de « double appartenance Les valeurs des pays du Sud « Salomon » ou comment s’affirmer face au père qui a renié sa culture, et adopté la culture occidentale ? Les valeurs occidentales « Danielle », ou l’adoption de la culture occidentale Les préjugés L’adolescence Les jeunes des familles émigrées « Marvin », et sa loyauté à ses appartenances Conclusions Quelle est la fonction de la rencontre thérapeutique ? En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=TF_144_0397 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34855 [article] Migration et pays d’accueil, une danse entre réalité et préjugés, entre identique et différence [texte imprimé] / Geneviève Platteau, Auteur . - 2015 . - 397-407. Langues : Français (fre) in Thérapie familiale > 4/14 [09/03/2015] . - 397-407 Mots-clés : ADOLESCENT // ÉMIGRATION  APPARTENANCE  IDENTITÉ  FAMILLES ÉMIGRÉES : JEUNES  RÉCITS  TÉMOIGNAGES Résumé : Dans cet article, j’aborde les problèmes posés par l’émigration chez des jeunes adolescents en quête d’identité. L’adolescent, par ses passages à l’acte, réinterroge l’histoire familiale, ses appartenances et ses loyautés. Il provoque un conflit familial tiraillé entre tradition et modernité, entre un « identique » sécurisant et un « différent » plus angoissant. La famille doit se repositionner dans sa lignée traditionnelle et dans ses transmissions ; sans le « portage » du groupe, elle se sent isolée, démunie. Le jeune vit un sentiment de solitude, interpellant le soignant dans une recherche d’identification, réunissant du « semblable » et du « différent ». La transmission culturelle interroge l’articulation entre le changement et la continuité. Le « préjugé » est nécessaire car il protège de la différence qui fait peur, tandis que le sentiment d’appartenance sécurise tout individu. La fonction du passage à l’acte du jeune repositionne le système dans son histoire. Quelle est la place de l’intervenant dans ces contextes ? comment donner une place égale à la famille, au jeune, au contexte ? Note de contenu : Plan de l'article Introduction Appartenance et identité « Alban » (12 ans) une situation de « double appartenance Les valeurs des pays du Sud « Salomon » ou comment s’affirmer face au père qui a renié sa culture, et adopté la culture occidentale ? Les valeurs occidentales « Danielle », ou l’adoption de la culture occidentale Les préjugés L’adolescence Les jeunes des familles émigrées « Marvin », et sa loyauté à ses appartenances Conclusions Quelle est la fonction de la rencontre thérapeutique ? En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=TF_144_0397 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34855

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Le deuil : trop ou trop peu d’appartenance(s) ? Perspective de l’approche narrative / Charlotte Crettenand in Thérapie familiale, 4/14 ([09/03/2015])  

Public ISBD [article]  inThérapie familiale > 4/14 [09/03/2015] . - 429 - 437 Titre : Le deuil : trop ou trop peu d’appartenance(s) ? Perspective de l’approche narrative Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Crettenand, Auteur ; Rodolphe Soulignac, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 429 - 437 Langues : Français (fre) Mots-clés : DEUIL : CONCEPT  PSYCHOLOGIE Résumé : La manière officielle d’envisager le processus de deuil est contenue dans des phrases telles que : « il faut l’oublier », « tourner la page », « aller de l’avant », « dire au revoir »... Ces énoncés suggèrent que ce qui fait souffrir dans le deuil, c’est le trop d’appartenances, la difficulté à se détacher, à se libérer de ces liens qui nous font souffrir. La « psychologie populaire » nous apprend au contraire que beaucoup de gens font leur deuil en investissant une relation très forte avec la personne décédée. Ce qui les aide, c’est justement le maintien de l’appartenance et non pas sa dissolution. L’approche narrative envisage le processus de deuil comme une occasion de dire « bonjour à nouveau » plutôt qu’une obligation de dire « au revoir ». En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=TF_144_0429 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34856 [article] Le deuil : trop ou trop peu d’appartenance(s) ? Perspective de l’approche narrative [texte imprimé] / Charlotte Crettenand, Auteur ; Rodolphe Soulignac, Auteur . - 2015 . - 429 - 437. Langues : Français (fre) in Thérapie familiale > 4/14 [09/03/2015] . - 429 - 437 Mots-clés : DEUIL : CONCEPT  PSYCHOLOGIE Résumé : La manière officielle d’envisager le processus de deuil est contenue dans des phrases telles que : « il faut l’oublier », « tourner la page », « aller de l’avant », « dire au revoir »... Ces énoncés suggèrent que ce qui fait souffrir dans le deuil, c’est le trop d’appartenances, la difficulté à se détacher, à se libérer de ces liens qui nous font souffrir. La « psychologie populaire » nous apprend au contraire que beaucoup de gens font leur deuil en investissant une relation très forte avec la personne décédée. Ce qui les aide, c’est justement le maintien de l’appartenance et non pas sa dissolution. L’approche narrative envisage le processus de deuil comme une occasion de dire « bonjour à nouveau » plutôt qu’une obligation de dire « au revoir ». En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=TF_144_0429 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34856

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Difficultés d’autonomisation du jeune adulte. Devenir « Tanguy » comme solution aux exigences paradoxales d’une culture de l’auto-engendrement et de l’auto-entreprise ? / Isabelle Duret in Thérapie familiale, 4/14 ([09/03/2015])  

Public ISBD [article]  inThérapie familiale > 4/14 [09/03/2015] . - 451-461 Titre : Difficultés d’autonomisation du jeune adulte. Devenir « Tanguy » comme solution aux exigences paradoxales d’une culture de l’auto-engendrement et de l’auto-entreprise ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Duret, Auteur ; Sandra Legendre, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 451-461 Langues : Français (fre) Mots-clés : AUTONOMIE : ADULTE // PARENTS : DIFFICULTÉS Résumé : Dans une société de responsabilité de soi, un adulte est un individu qui doit impérativement se trouver un projet et agir par lui-même et pour lui-même. Voilà le cadre culturel dans lequel apparaissent depuis quelques années les « Tanguy », c’est-à-dire ces jeunes adultes qui tardent à s’autonomiser. Les auteurs défendent l’idée que ceux-ci manifestent, comme agi par une certaine sagesse du corps, un rééquilibrage vis-à-vis de leur besoin d’appartenance en regard des impératifs culturels contemporains. En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=TF_144_0451 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34857 [article] Difficultés d’autonomisation du jeune adulte. Devenir « Tanguy » comme solution aux exigences paradoxales d’une culture de l’auto-engendrement et de l’auto-entreprise ? [texte imprimé] / Isabelle Duret, Auteur ; Sandra Legendre, Auteur . - 2015 . - 451-461. Langues : Français (fre) in Thérapie familiale > 4/14 [09/03/2015] . - 451-461 Mots-clés : AUTONOMIE : ADULTE // PARENTS : DIFFICULTÉS Résumé : Dans une société de responsabilité de soi, un adulte est un individu qui doit impérativement se trouver un projet et agir par lui-même et pour lui-même. Voilà le cadre culturel dans lequel apparaissent depuis quelques années les « Tanguy », c’est-à-dire ces jeunes adultes qui tardent à s’autonomiser. Les auteurs défendent l’idée que ceux-ci manifestent, comme agi par une certaine sagesse du corps, un rééquilibrage vis-à-vis de leur besoin d’appartenance en regard des impératifs culturels contemporains. En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=TF_144_0451 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34857

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Appartenance et identité chez des préadolescents handicapés : le rôle du groupe des pairs / Margherita Merucci in Thérapie familiale, 4/14 ([09/03/2015])  

Public ISBD [article]  inThérapie familiale > 4/14 [09/03/2015] . - 475-482 Titre : Appartenance et identité chez des préadolescents handicapés : le rôle du groupe des pairs Type de document : texte imprimé Auteurs : Margherita Merucci, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 475-482 Langues : Français (fre) Mots-clés : HANDICAP : ENFANTS // APPARTENANCE ,IDENTITE Résumé : L’appartenance et l’identité se déclinent de façon particulière dans des contextes de handicap de naissance, car la différence avec la personne handicapée s’impose avec une telle force qu’il devient très difficile pour les parents et les autres membres de la famille de se reconnaître en elle. Le travail autour de l’appartenance devient alors prioritaire pour les professionnels. Ces difficultés se réactualisent à l’adolescence. Nous posons la question de l’appartenance et de l’identité à partir de notre expérience clinique en milieu institutionnel avec des groupes de filles et de garçons (11-14 ans) et nous analysons le retentissement de cette expérience dans le milieu familial. Nous partons de l’hypothèse que le groupe de pairs se configure comme un espace où les pré-adolescents peuvent découvrir leurs appartenances multiples (appartenance de genre, de génération, au milieu familial) à partir des sensations corporelles et des émotions partagées. Le passage par l’expérience de l’appartenance à ce groupe de pairs s’avère un outil incontournable dans le tricotage et dans la transformation des liens qui les unissent entre eux et à leurs proches en vue d’une affirmation de leur identité de « jeune adulte dépendant ». Note de contenu : Plan de l'article Le contexte théorique de l’expérience Le contexte pratique de l’expérience Le groupe des filles Le groupe des garçons Conclusion En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=TF_144_0475 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34858 [article] Appartenance et identité chez des préadolescents handicapés : le rôle du groupe des pairs [texte imprimé] / Margherita Merucci, Auteur . - 2015 . - 475-482. Langues : Français (fre) in Thérapie familiale > 4/14 [09/03/2015] . - 475-482 Mots-clés : HANDICAP : ENFANTS // APPARTENANCE ,IDENTITE Résumé : L’appartenance et l’identité se déclinent de façon particulière dans des contextes de handicap de naissance, car la différence avec la personne handicapée s’impose avec une telle force qu’il devient très difficile pour les parents et les autres membres de la famille de se reconnaître en elle. Le travail autour de l’appartenance devient alors prioritaire pour les professionnels. Ces difficultés se réactualisent à l’adolescence. Nous posons la question de l’appartenance et de l’identité à partir de notre expérience clinique en milieu institutionnel avec des groupes de filles et de garçons (11-14 ans) et nous analysons le retentissement de cette expérience dans le milieu familial. Nous partons de l’hypothèse que le groupe de pairs se configure comme un espace où les pré-adolescents peuvent découvrir leurs appartenances multiples (appartenance de genre, de génération, au milieu familial) à partir des sensations corporelles et des émotions partagées. Le passage par l’expérience de l’appartenance à ce groupe de pairs s’avère un outil incontournable dans le tricotage et dans la transformation des liens qui les unissent entre eux et à leurs proches en vue d’une affirmation de leur identité de « jeune adulte dépendant ». Note de contenu : Plan de l'article Le contexte théorique de l’expérience Le contexte pratique de l’expérience Le groupe des filles Le groupe des garçons Conclusion En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=TF_144_0475 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34858

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La thérapie familiale aujourd’hui : avec ou sans la famille ? Question d’épistémologie, de cadre et de setting / Michèle Cauletin in Thérapie familiale, 4/14 ([09/03/2015])  

Public ISBD [article]  inThérapie familiale > 4/14 [09/03/2015] . - 497-517 Titre : La thérapie familiale aujourd’hui : avec ou sans la famille ? Question d’épistémologie, de cadre et de setting Type de document : texte imprimé Auteurs : Michèle Cauletin, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 497-517 Langues : Français (fre) Mots-clés : THÉRAPIE FAMILIALE : EVOLUTION Résumé : L’évolution sociétale contemporaine transforme profondément et rapidement les contreforts juridiques et culturels de l’assise familiale ainsi que les modes de vivre ensemble. La clinique quotidienne permet de percevoir comment l’évolution des symptômes et des dynamiques familiales, issues du tissage entre dynamiques transgénérationnelles et changements sociaux, reflète ces mutations en cours. Comment le thérapeute peut-il prendre en compte cette dimension psycho-sociale et proposer les formes d’intervention les plus adaptées possibles aux besoins et problématiques des familles ? Nous appuyant sur l’épistémologie systémique et sur une éthique du soin, nous envisagerons la construction progressive de dispositifs thérapeutiques associant de façon modulable les membres d’une même famille, (éventuellement) des référents extra-familiaux, voire institutionnels tout en travaillant sur l’évolution du cadre d’intervention comme support privilégié du processus thérapeutique. Nous illustrerons comment, et sous quelles conditions, ce travail « à géométrie variable », peut soutenir la structuration et la différenciation des places, parfois malmenées au sein des familles, par les formes contemporaines d’investissement de la parentalité, dont les grands remaniements viennent, entre autres, interroger l’exercice de la fonction paternelle. Note de contenu : Plan de l'article Préambule Le contexte institutionnel : présentation d’IRIS Fondation et missions Le cadre collectif posé et ses fondements L’évolution de la modélisation du cadre thérapeutique par l’ajustement progressif des formes de setting La fragilisation sociétale de l’organisation familiale et l’impact des formes de réponse professionnelles La prise en compte des aspects environnementaux dans la clinique quotidienne L’impact des formes de réponse professionnelle dans l’évolution des problématiques Les formes d’évolution du setting comme tentative de prise en compte des aspects contemporains et singuliers de toute demande Ce que notre clinique nous donne à voir et à penser… quelques illustrations De la différenciation progressive de dispositifs thérapeutiques à géométrie variable comme véhicule de différenciation pour les « familles » contemporaines et pour les thérapeutes Conclusion En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=TF_144_0497 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34859 [article] La thérapie familiale aujourd’hui : avec ou sans la famille ? Question d’épistémologie, de cadre et de setting [texte imprimé] / Michèle Cauletin, Auteur . - 2015 . - 497-517. Langues : Français (fre) in Thérapie familiale > 4/14 [09/03/2015] . - 497-517 Mots-clés : THÉRAPIE FAMILIALE : EVOLUTION Résumé : L’évolution sociétale contemporaine transforme profondément et rapidement les contreforts juridiques et culturels de l’assise familiale ainsi que les modes de vivre ensemble. La clinique quotidienne permet de percevoir comment l’évolution des symptômes et des dynamiques familiales, issues du tissage entre dynamiques transgénérationnelles et changements sociaux, reflète ces mutations en cours. Comment le thérapeute peut-il prendre en compte cette dimension psycho-sociale et proposer les formes d’intervention les plus adaptées possibles aux besoins et problématiques des familles ? Nous appuyant sur l’épistémologie systémique et sur une éthique du soin, nous envisagerons la construction progressive de dispositifs thérapeutiques associant de façon modulable les membres d’une même famille, (éventuellement) des référents extra-familiaux, voire institutionnels tout en travaillant sur l’évolution du cadre d’intervention comme support privilégié du processus thérapeutique. Nous illustrerons comment, et sous quelles conditions, ce travail « à géométrie variable », peut soutenir la structuration et la différenciation des places, parfois malmenées au sein des familles, par les formes contemporaines d’investissement de la parentalité, dont les grands remaniements viennent, entre autres, interroger l’exercice de la fonction paternelle. Note de contenu : Plan de l'article Préambule Le contexte institutionnel : présentation d’IRIS Fondation et missions Le cadre collectif posé et ses fondements L’évolution de la modélisation du cadre thérapeutique par l’ajustement progressif des formes de setting La fragilisation sociétale de l’organisation familiale et l’impact des formes de réponse professionnelles La prise en compte des aspects environnementaux dans la clinique quotidienne L’impact des formes de réponse professionnelle dans l’évolution des problématiques Les formes d’évolution du setting comme tentative de prise en compte des aspects contemporains et singuliers de toute demande Ce que notre clinique nous donne à voir et à penser… quelques illustrations De la différenciation progressive de dispositifs thérapeutiques à géométrie variable comme véhicule de différenciation pour les « familles » contemporaines et pour les thérapeutes Conclusion En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=TF_144_0497 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34859

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