[article] 
inSoins psychiatrie > 332 (Janvier-février 2021) . - p. 17-21

Titre :	La question des émotions au cœur du lien thérapeutique
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Stéphane Tregouet
Année de publication :	2021
Article en page(s) :	p. 17-21
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	clinique psychiatrique  Relations entre professionnels de santé et patients  Soins infirmiers en psychiatrie  postures professionnelles  Émotions
Résumé :	Au sein de la relation soignant-soigné, la question de la charge émotionnelle et des tensions psychiques internes occupe une place centrale. Si le désir de soigner pousse à la rencontre avec le patient, toute une “croissance” professionnelle est à construire afin d’apprendre à se relier à ses émotions et aux affects qui accompagnent les situations de soins. Ce “pas de côté” autorise la pensée soignante. L’évitement de cette acceptation peut conduire le soignant vers une économie psychique, vers une posture trop cadrante, au risque de ne pas accueillir la souffrance du patient. Enfin, l’idéologie managériale, si présente à l’hôpital aujourd’hui, représente un frein à la capacité à penser la clinique
Note de contenu :	Cet article fait partie du dossier " Engagement et posture soignante"
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=92659

[article] La question des émotions au cœur du lien thérapeutique [texte imprimé] / Stéphane Tregouet . - 2021 . - p. 17-21.
Langues : Français (fre)
in Soins psychiatrie > 332 (Janvier-février 2021) . - p. 17-21

Mots-clés :	clinique psychiatrique  Relations entre professionnels de santé et patients  Soins infirmiers en psychiatrie  postures professionnelles  Émotions
Résumé :	Au sein de la relation soignant-soigné, la question de la charge émotionnelle et des tensions psychiques internes occupe une place centrale. Si le désir de soigner pousse à la rencontre avec le patient, toute une “croissance” professionnelle est à construire afin d’apprendre à se relier à ses émotions et aux affects qui accompagnent les situations de soins. Ce “pas de côté” autorise la pensée soignante. L’évitement de cette acceptation peut conduire le soignant vers une économie psychique, vers une posture trop cadrante, au risque de ne pas accueillir la souffrance du patient. Enfin, l’idéologie managériale, si présente à l’hôpital aujourd’hui, représente un frein à la capacité à penser la clinique
Note de contenu :	Cet article fait partie du dossier " Engagement et posture soignante"
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=92659