Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Bryan Zamorano |
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Évaluation d’un nouvel automate de biologie délocalisée pour doser l’hémoglobine, l’HemoCue® Hb801 / Bryan Zamorano in Annales de Biologie Clinique, Vol.82 n°1 (janvier-février 2024)
[article]
Titre : Évaluation d’un nouvel automate de biologie délocalisée pour doser l’hémoglobine, l’HemoCue® Hb801 Type de document : texte imprimé Auteurs : Bryan Zamorano ; Yolla Sakr ; Frédérique Galopin-Dubois Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 103-111 Note générale : https://doi.org/10.1684/abc.2024.1868 Langues : Français (fre) Mots-clés : biologie clinique, biologie délocalisée, hématologie, HemoCue, hémoglobine Résumé : L’utilisation d’appareils portatifs de mesure de l’hémoglobine est très répandue. Dans ce cadre, la société HemoCue® a mis sur le marché un nouvel appareil, l’Hb801. Celui-ci utilise une méthode de mesure par absorbance sur sang total et non la méthode de mesure par azidemethémoglobine, utilisée par les anciens appareils d’HemoCue. Nous avons évalué ce nouvel équipement sur sang veineux EDTA. L’automate est léger, compact, nécessite un volume de 10 μL de sang et rend son résultat en moins d’une seconde. La répétabilité et la fidélité intermédiaire sont proches des valeurs attendues selon Ricos et al., avec des coefficients de variations respectivement pour un niveau bas d’hémoglobine : 2,1 % et 1,9 %, pour un niveau moyen : 0,8 % et 1,5 % et pour un niveau haut : 1,5 % et 1,3 %. La comparaison à notre méthode de référence au laboratoire (XN-10 Sysmex®) et à l’HemoCue® Hb201+ a été réalisée sur 96 échantillons. Elle a montré un léger biais de surestimation de 0,42 g/dL en moyenne (SD 0,34) avec le XN-10 et de 0,17 g/dL (SD 0,41) avec l’Hb201+. Des performances cliniquement acceptables (variation de moins d’un 1 g/dL par rapport à l’hémoglobine de référence) ont été trouvées pour 93,8 % des échantillons. Au final cet appareil nous semble adapté à la mesure de l’hémoglobine en biologie délocalisée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117346
in Annales de Biologie Clinique > Vol.82 n°1 (janvier-février 2024) . - p. 103-111[article] Évaluation d’un nouvel automate de biologie délocalisée pour doser l’hémoglobine, l’HemoCue® Hb801 [texte imprimé] / Bryan Zamorano ; Yolla Sakr ; Frédérique Galopin-Dubois . - 2024 . - p. 103-111.
https://doi.org/10.1684/abc.2024.1868
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol.82 n°1 (janvier-février 2024) . - p. 103-111
Mots-clés : biologie clinique, biologie délocalisée, hématologie, HemoCue, hémoglobine Résumé : L’utilisation d’appareils portatifs de mesure de l’hémoglobine est très répandue. Dans ce cadre, la société HemoCue® a mis sur le marché un nouvel appareil, l’Hb801. Celui-ci utilise une méthode de mesure par absorbance sur sang total et non la méthode de mesure par azidemethémoglobine, utilisée par les anciens appareils d’HemoCue. Nous avons évalué ce nouvel équipement sur sang veineux EDTA. L’automate est léger, compact, nécessite un volume de 10 μL de sang et rend son résultat en moins d’une seconde. La répétabilité et la fidélité intermédiaire sont proches des valeurs attendues selon Ricos et al., avec des coefficients de variations respectivement pour un niveau bas d’hémoglobine : 2,1 % et 1,9 %, pour un niveau moyen : 0,8 % et 1,5 % et pour un niveau haut : 1,5 % et 1,3 %. La comparaison à notre méthode de référence au laboratoire (XN-10 Sysmex®) et à l’HemoCue® Hb201+ a été réalisée sur 96 échantillons. Elle a montré un léger biais de surestimation de 0,42 g/dL en moyenne (SD 0,34) avec le XN-10 et de 0,17 g/dL (SD 0,41) avec l’Hb201+. Des performances cliniquement acceptables (variation de moins d’un 1 g/dL par rapport à l’hémoglobine de référence) ont été trouvées pour 93,8 % des échantillons. Au final cet appareil nous semble adapté à la mesure de l’hémoglobine en biologie délocalisée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117346 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtInterprétation des immunodots, myosite et sclérodermie systémique / Bryan Zamorano in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 545 (septembre 2022)
[article]
Titre : Interprétation des immunodots, myosite et sclérodermie systémique Type de document : texte imprimé Auteurs : Bryan Zamorano ; Houda Atik ; Yves Renaudineau ; Françoise Fortenfant ; Chloé Bost Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 49-58 Note générale : https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00283-0 Langues : Français (fre) Mots-clés : autoanticorps immunodot myosite recommandation sclérodermie systémique Résumé : L’identification des autoanticorps associés aux maladies auto-immunes est un challenge croissant en termes de diagnostic ou de pronostic. En effet, ces anticorps font partie des critères et score de diagnostic et certains sont associés à des formes cliniques particulières impactant le pronostic.
Compte tenu du nombre d’autoanticorps qui peuvent être associés à une maladie auto-immune, des techniques multiparamétriques permettant d’identifier un panel d’autoanticorps ont été développées. Parmi ces techniques, l’immunodot a permis de répondre en partie à cette demande mais plusieurs études ont pointé son manque de spécificité dans les diagnostics de myosite et de sclérodermie systémique.
Deux études rétrospectives menées au centre hospitalier universitaire de Toulouse portant sur les autoanticorps des myosites et des sclérodermies illustrent parfaitement le manque de spécificité de ces techniques et proposent des solutions pour y remédier, dont la confrontation avec l’aspect en immunofluorescence indirecte ou par l’établissement de nouveaux seuils de positivité.
Au final, par leur simplicité de mise en place et leur coût, les techniques d’immunodot occupent une place de choix dans l’identification des autoanticorps. Leur interprétation biologique doit cependant prendre en compte leur manque de spécificité.Note de contenu : Issu du dossier "Difficultés techniques et d'interprétation en biologie" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106203
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 545 (septembre 2022) . - p. 49-58[article] Interprétation des immunodots, myosite et sclérodermie systémique [texte imprimé] / Bryan Zamorano ; Houda Atik ; Yves Renaudineau ; Françoise Fortenfant ; Chloé Bost . - 2022 . - p. 49-58.
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00283-0
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 545 (septembre 2022) . - p. 49-58
Mots-clés : autoanticorps immunodot myosite recommandation sclérodermie systémique Résumé : L’identification des autoanticorps associés aux maladies auto-immunes est un challenge croissant en termes de diagnostic ou de pronostic. En effet, ces anticorps font partie des critères et score de diagnostic et certains sont associés à des formes cliniques particulières impactant le pronostic.
Compte tenu du nombre d’autoanticorps qui peuvent être associés à une maladie auto-immune, des techniques multiparamétriques permettant d’identifier un panel d’autoanticorps ont été développées. Parmi ces techniques, l’immunodot a permis de répondre en partie à cette demande mais plusieurs études ont pointé son manque de spécificité dans les diagnostics de myosite et de sclérodermie systémique.
Deux études rétrospectives menées au centre hospitalier universitaire de Toulouse portant sur les autoanticorps des myosites et des sclérodermies illustrent parfaitement le manque de spécificité de ces techniques et proposent des solutions pour y remédier, dont la confrontation avec l’aspect en immunofluorescence indirecte ou par l’établissement de nouveaux seuils de positivité.
Au final, par leur simplicité de mise en place et leur coût, les techniques d’immunodot occupent une place de choix dans l’identification des autoanticorps. Leur interprétation biologique doit cependant prendre en compte leur manque de spécificité.Note de contenu : Issu du dossier "Difficultés techniques et d'interprétation en biologie" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106203 Réservation
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