[article] 
inKinésithérapie, la revue > Vol. 18, n° 200-201 (Août 2018) . - p. 65-73

Titre :	Kinésithérapie la Revue 2001-2016 : évaluation qualitative
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Michel Gedda
Année de publication :	2018
Article en page(s) :	p. 65-73
Note générale :	Doi : 10.1016/j.kine.2018.06.004
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Édition  Exercice  Formation  Information  Pédagogie  Profession  Qualité  Recherche  Science
Résumé :	Michel Gedda a, ⁎, b, c a Instituts de formation en masso-kinésithérapie et ergothérapie de Berck-sur-Mer, France b Laboratoire ER3S (Atelier SHERPAS), Unité de recherche pluridisciplinaire Sport, Santé, Société, Université d?Artois, France c Kinésithérapie la Revue, France ⁎Correspondance. Résumé Introduction L?objectif de cette étude était d?évaluer la qualité éditoriale selon les critères recommandés par la Haute Autorité de Santé (HAS) de la revue « Kinésithérapie la Revue » (ISSN 1779-0123) (KR) entre novembre/décembre 2001 et décembre 2016. Matériel et méthode Tous les numéros parus durant cette période ont été inclus et parcourus. Les 19 critères de la HAS ont été évalués grâce à la pondération suivante : 1 point si le critère est complètement satisfait ; 0,5 point si le critère est partiellement satisfait ; 0 point si le critère n?est pas satisfait. Résultats Au total, 181 numéros ont été inclus. L?évaluation révèle que 10 critères sont complètement satisfaits ; 2 ne le sont que partiellement et 7 ne sont pas satisfaits. Le score obtenu est 11 sur 19. Discussion Les insuffisances qualitatives observées relèvent essentiellement d?un défaut de communication. Elles occultent les réels efforts réalisés pour améliorer la qualité éditoriale de la revue. D?autres critères de qualité sont envisageables. Conclusion L?amélioration de la qualité éditoriale des revues médicales requiert une prise de conscience par les rédacteurs et les lecteurs. Celle-ci passe par une meilleure connaissance des critères, dispositifs et services de bonne pratique à enseigner dès la formation initiale de chaque profession de santé.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=60333

[article] Kinésithérapie la Revue 2001-2016 : évaluation qualitative [texte imprimé] / Michel Gedda . - 2018 . - p. 65-73.
Doi : 10.1016/j.kine.2018.06.004
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > Vol. 18, n° 200-201 (Août 2018) . - p. 65-73

Mots-clés :	Édition  Exercice  Formation  Information  Pédagogie  Profession  Qualité  Recherche  Science
Résumé :	Michel Gedda a, ⁎, b, c a Instituts de formation en masso-kinésithérapie et ergothérapie de Berck-sur-Mer, France b Laboratoire ER3S (Atelier SHERPAS), Unité de recherche pluridisciplinaire Sport, Santé, Société, Université d?Artois, France c Kinésithérapie la Revue, France ⁎Correspondance. Résumé Introduction L?objectif de cette étude était d?évaluer la qualité éditoriale selon les critères recommandés par la Haute Autorité de Santé (HAS) de la revue « Kinésithérapie la Revue » (ISSN 1779-0123) (KR) entre novembre/décembre 2001 et décembre 2016. Matériel et méthode Tous les numéros parus durant cette période ont été inclus et parcourus. Les 19 critères de la HAS ont été évalués grâce à la pondération suivante : 1 point si le critère est complètement satisfait ; 0,5 point si le critère est partiellement satisfait ; 0 point si le critère n?est pas satisfait. Résultats Au total, 181 numéros ont été inclus. L?évaluation révèle que 10 critères sont complètement satisfaits ; 2 ne le sont que partiellement et 7 ne sont pas satisfaits. Le score obtenu est 11 sur 19. Discussion Les insuffisances qualitatives observées relèvent essentiellement d?un défaut de communication. Elles occultent les réels efforts réalisés pour améliorer la qualité éditoriale de la revue. D?autres critères de qualité sont envisageables. Conclusion L?amélioration de la qualité éditoriale des revues médicales requiert une prise de conscience par les rédacteurs et les lecteurs. Celle-ci passe par une meilleure connaissance des critères, dispositifs et services de bonne pratique à enseigner dès la formation initiale de chaque profession de santé.
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