Alimentation : inégalités au menu [Dossier] / Philippe Debongnie in Alter Echos, 504 (Juillet-août 2022)

Public ISBD [article]  inAlter Echos > 504 (Juillet-août 2022) . - p. 14-33 Titre : Alimentation : inégalités au menu [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Debongnie, Illustrateur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-33 Langues : Français (fre) Résumé : «Dis-moi quelle quantité de viande tu manges, je te dirai qui tu es.» Ce titre de l’un des articles de notre dossier pourrait, en le modifiant un peu, s’appliquer à tous les «papiers» qui composent notre dossier consacré à l’alimentation. Car, plus que jamais, ce qu’on mange dit beaucoup de ce que nous sommes, que ce soit au niveau de nos convictions, de notre âge et, surtout, de notre appartenance socioéconomique. Dans notre article sur la viande, une chercheuse définit ainsi le profil de la personne cherchant à réduire ou à éliminer sa consommation carnée: «Une jeune femme urbaine, plutôt diplômée et athée, de gauche…». Mais il n’y a pas que la viande qui peut constituer un marqueur social. Le pain, lui aussi, a son importance. Jusqu’en 2004, le prix maximum du pain blanc de ménage et du demi-gris était fixé par l’État. Depuis lors, alors que le système a été libéralisé, le prix du pain a augmenté de 10%. Une augmentation pas si énorme mais qui n’est pas passée inaperçue pour un aliment qui, s’il ne représente plus que 0,9% des dépenses d’une famille belge moyenne – alors que vers 1800, il en représentait 50 à 60% – reste un «fait social total», car le pain est un objet pétri d’histoire, de culture, de politique, de psychologie, d’économie, de folklore, de gastronomie… («Pour une bouchée de pain») À parler de fait social, notre plat pays en abrite un autre: le Lunch Garden. Temple de la restauration à bas prix via des «classiques» de l’alimentation de cantine (vol-au-vent, moules frites, steak haché…), le Lunch Garden est aussi et surtout un lieu de socialisation pour un public – souvent âgé – à petits moyens… Reportage à Jambes, qui abrite l’autoproclamé «meilleur lunch de Wallonie» («Le dernier plaisir communiste»). Enfin, il y a la malbouffe touchant les plus jeunes, principalement via leurs boîtes à tartines. Ce qu’elles contiennent en dit en effet long sur les conditions de vie et la précarité des bambins et de leurs familles alors que, de l’autre côté de la balance, les recommandations en faveur de collations «saines» se multiplient («Cachez ces chips dans les boîtes à tartines»). Il faut dire que les conséquences de cette malbouffe peuvent être sérieuses: l’obésité infantile est devenue un problème réel auquel Clairs Vallons, un centre spécialisé qui accueille une quarantaine d’enfants par an, tente de répondre en misant sur un credo: déculpabiliser, comprendre la souffrance, rassurer («Obésité infantile: en finir avec la culpabilisation»). Car le risque est toujours là: comment promouvoir une meilleure alimentation sans stigmatiser? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105059 [article] Alimentation : inégalités au menu [Dossier] [texte imprimé] / Philippe Debongnie, Illustrateur . - 2022 . - p. 14-33. Langues : Français (fre) in Alter Echos > 504 (Juillet-août 2022) . - p. 14-33 Résumé : «Dis-moi quelle quantité de viande tu manges, je te dirai qui tu es.» Ce titre de l’un des articles de notre dossier pourrait, en le modifiant un peu, s’appliquer à tous les «papiers» qui composent notre dossier consacré à l’alimentation. Car, plus que jamais, ce qu’on mange dit beaucoup de ce que nous sommes, que ce soit au niveau de nos convictions, de notre âge et, surtout, de notre appartenance socioéconomique. Dans notre article sur la viande, une chercheuse définit ainsi le profil de la personne cherchant à réduire ou à éliminer sa consommation carnée: «Une jeune femme urbaine, plutôt diplômée et athée, de gauche…». Mais il n’y a pas que la viande qui peut constituer un marqueur social. Le pain, lui aussi, a son importance. Jusqu’en 2004, le prix maximum du pain blanc de ménage et du demi-gris était fixé par l’État. Depuis lors, alors que le système a été libéralisé, le prix du pain a augmenté de 10%. Une augmentation pas si énorme mais qui n’est pas passée inaperçue pour un aliment qui, s’il ne représente plus que 0,9% des dépenses d’une famille belge moyenne – alors que vers 1800, il en représentait 50 à 60% – reste un «fait social total», car le pain est un objet pétri d’histoire, de culture, de politique, de psychologie, d’économie, de folklore, de gastronomie… («Pour une bouchée de pain») À parler de fait social, notre plat pays en abrite un autre: le Lunch Garden. Temple de la restauration à bas prix via des «classiques» de l’alimentation de cantine (vol-au-vent, moules frites, steak haché…), le Lunch Garden est aussi et surtout un lieu de socialisation pour un public – souvent âgé – à petits moyens… Reportage à Jambes, qui abrite l’autoproclamé «meilleur lunch de Wallonie» («Le dernier plaisir communiste»). Enfin, il y a la malbouffe touchant les plus jeunes, principalement via leurs boîtes à tartines. Ce qu’elles contiennent en dit en effet long sur les conditions de vie et la précarité des bambins et de leurs familles alors que, de l’autre côté de la balance, les recommandations en faveur de collations «saines» se multiplient («Cachez ces chips dans les boîtes à tartines»). Il faut dire que les conséquences de cette malbouffe peuvent être sérieuses: l’obésité infantile est devenue un problème réel auquel Clairs Vallons, un centre spécialisé qui accueille une quarantaine d’enfants par an, tente de répondre en misant sur un credo: déculpabiliser, comprendre la souffrance, rassurer («Obésité infantile: en finir avec la culpabilisation»). Car le risque est toujours là: comment promouvoir une meilleure alimentation sans stigmatiser? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105059

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Contraception : l'affaire est dans le slip [Dossier] / Philippe Debongnie in Alter Echos, 481 (Février 2020)

Public ISBD [article]  inAlter Echos > 481 (Février 2020) . - p. 14-33 Titre : Contraception : l'affaire est dans le slip [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Debongnie, Illustrateur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 14-33 Langues : Français (fre) Mots-clés : Contraception Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84404 [article] Contraception : l'affaire est dans le slip [Dossier] [texte imprimé] / Philippe Debongnie, Illustrateur . - 2020 . - p. 14-33. Langues : Français (fre) in Alter Echos > 481 (Février 2020) . - p. 14-33 Mots-clés : Contraception Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84404

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L'école en luttes [Dossier] / Philippe Debongnie in Alter Echos, 505 (Septembre 2022)

Public ISBD [article]  inAlter Echos > 505 (Septembre 2022) . - p. 14-42 Titre : L'école en luttes [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Debongnie ; Fédération wallonie-Bruxelles, Collectivité éditrice Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-42 Langues : Français (fre) Mots-clés : Inégalités scolaires -- Belgique Résumé : Les constats sont connus et reconnus. Plutôt que de résorber les inégalités sociales, l’école en Fédération Wallonie-Bruxelles les amplifie et les transforme en inégalités scolaires. De quoi la reléguer aux derniers bancs de la classe parmi les pays de l’OCDE. Mais cette fois, Alter Échos a voulu changer de lunettes. En mettant la focale sur ceux qui tentent d’infléchir la courbe, de changer l’école. Ce sont des directions qui insufflent des valeurs et parviennent à mettre en place des projets innovants au sein de l’école, devenue le «cœur de toutes les attentes de la société» (Lire «Direction, un levier malmené»). Il y a des enseignants, «Isolés face aux inégalités», mais qui se forment à d’autres manières d’enseigner pour mieux inclure les élèves moins favorisés. Premiers concernés, les élèves eux-mêmes parviennent parfois à reprendre la main sur leur destin scolaire (Lire «Élèves: la grève en ultime recours»). Leurs parents, face au manque de démocratie à l’école, peinent souvent à se faire entendre a fortiori en milieu populaire. Mais des collectifs et comités se créent, qui militent pour plus d’égalité à l’école (Lire «Inégalités scolaires: les mamans au front»). Enfin, les écoles de devoirs, lieux tiers entre l’école et la maison, sont «fréquemment invoquées comme solutions potentielles pour répondre aux problèmes d’échec scolaire», au risque d’en faire les «roues de secours de l’enseignement». (Lire «Les écoles de devoirs mises à l’épreuve»). Toutes et tous ont fait leur rentrée ce 29 août, une rentrée marquée par plusieurs mesures du Pacte d’excellence – «des réformes dont on a besoin pour s’attaquer structurellement aux inégalités entre élèves et entre écoles», insiste la ministre de l’Enseignement, Caroline Désir (lire son interview). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105716 [article] L'école en luttes [Dossier] [texte imprimé] / Philippe Debongnie ; Fédération wallonie-Bruxelles, Collectivité éditrice . - 2022 . - p. 14-42. Langues : Français (fre) in Alter Echos > 505 (Septembre 2022) . - p. 14-42 Mots-clés : Inégalités scolaires -- Belgique Résumé : Les constats sont connus et reconnus. Plutôt que de résorber les inégalités sociales, l’école en Fédération Wallonie-Bruxelles les amplifie et les transforme en inégalités scolaires. De quoi la reléguer aux derniers bancs de la classe parmi les pays de l’OCDE. Mais cette fois, Alter Échos a voulu changer de lunettes. En mettant la focale sur ceux qui tentent d’infléchir la courbe, de changer l’école. Ce sont des directions qui insufflent des valeurs et parviennent à mettre en place des projets innovants au sein de l’école, devenue le «cœur de toutes les attentes de la société» (Lire «Direction, un levier malmené»). Il y a des enseignants, «Isolés face aux inégalités», mais qui se forment à d’autres manières d’enseigner pour mieux inclure les élèves moins favorisés. Premiers concernés, les élèves eux-mêmes parviennent parfois à reprendre la main sur leur destin scolaire (Lire «Élèves: la grève en ultime recours»). Leurs parents, face au manque de démocratie à l’école, peinent souvent à se faire entendre a fortiori en milieu populaire. Mais des collectifs et comités se créent, qui militent pour plus d’égalité à l’école (Lire «Inégalités scolaires: les mamans au front»). Enfin, les écoles de devoirs, lieux tiers entre l’école et la maison, sont «fréquemment invoquées comme solutions potentielles pour répondre aux problèmes d’échec scolaire», au risque d’en faire les «roues de secours de l’enseignement». (Lire «Les écoles de devoirs mises à l’épreuve»). Toutes et tous ont fait leur rentrée ce 29 août, une rentrée marquée par plusieurs mesures du Pacte d’excellence – «des réformes dont on a besoin pour s’attaquer structurellement aux inégalités entre élèves et entre écoles», insiste la ministre de l’Enseignement, Caroline Désir (lire son interview). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105716

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Participation : la jeunesse triée au sort [Dossier] / Pluralité d'auteurs in Alter Echos, 512 (septembre 2023)

Public ISBD [article]  inAlter Echos > 512 (septembre 2023) . - p. 16-33 Titre : Participation : la jeunesse triée au sort [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Pluralité d'auteurs ; Philippe Debongnie, Illustrateur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 16-33 Note générale : Dossier de 5 articles Langues : Français (fre) Mots-clés : Participation sociale  Participation politique  Jeunesse  Citoyenneté Résumé : "C'est devenu une sorte de mantra à destination des jeunes : participer. Participer à la société, au jeu politique, à la culture, aux luttes contre le changement climatique. Aujourd'hui, on leur en demande beaucoup et, quand ils ne "participent" pas assez, on réfléchit à ce qu'on pourrait mettre en place pour qu'ils le fassent plus... Pourtant, c'est oublier que nous ne sommes pas tous égaux à ce sujet. Souvent, celles et ceux qui s'engagent et "participent" sont issus de milieux favorisés. Et pour les autres, ceux issus des milieux populaires, il n'est pas toujours évident de trouver sa place ("Entre jeunes militants écologistes et populaires, des monts encore à trouver", p.25). Outre l'écologie, d'autres lieux peinent également à impliquer les plus fragiles : le bénévolat ou le volontariat ("S'engager comme bénévole, une affaire de privilégiés?", p. 22). Ou encore l'école, où les établissement à pédagogie active/Freinet/Montessori, censés favoriser une plus grande participation de leurs élèves, sont souvent réservés aux plus nantis ("Participer à l'école, une utopie?", p. 32). Pourtant, des exemples de participation des jeunes plus fragiles existent, comme à Anderlecht, dans le Brabant wallon ou près de Namur ("Jeunes dans les quartiers : l'important c'est de participer", p. 28). Le stand-up, la musique ou le sport sont autant de voies où la participation devient également possible ("Un engagement très artistique", p. 18)." Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113010 [article] Participation : la jeunesse triée au sort [Dossier] [texte imprimé] / Pluralité d'auteurs ; Philippe Debongnie, Illustrateur . - 2023 . - p. 16-33. Dossier de 5 articles Langues : Français (fre) in Alter Echos > 512 (septembre 2023) . - p. 16-33 Mots-clés : Participation sociale  Participation politique  Jeunesse  Citoyenneté Résumé : "C'est devenu une sorte de mantra à destination des jeunes : participer. Participer à la société, au jeu politique, à la culture, aux luttes contre le changement climatique. Aujourd'hui, on leur en demande beaucoup et, quand ils ne "participent" pas assez, on réfléchit à ce qu'on pourrait mettre en place pour qu'ils le fassent plus... Pourtant, c'est oublier que nous ne sommes pas tous égaux à ce sujet. Souvent, celles et ceux qui s'engagent et "participent" sont issus de milieux favorisés. Et pour les autres, ceux issus des milieux populaires, il n'est pas toujours évident de trouver sa place ("Entre jeunes militants écologistes et populaires, des monts encore à trouver", p.25). Outre l'écologie, d'autres lieux peinent également à impliquer les plus fragiles : le bénévolat ou le volontariat ("S'engager comme bénévole, une affaire de privilégiés?", p. 22). Ou encore l'école, où les établissement à pédagogie active/Freinet/Montessori, censés favoriser une plus grande participation de leurs élèves, sont souvent réservés aux plus nantis ("Participer à l'école, une utopie?", p. 32). Pourtant, des exemples de participation des jeunes plus fragiles existent, comme à Anderlecht, dans le Brabant wallon ou près de Namur ("Jeunes dans les quartiers : l'important c'est de participer", p. 28). Le stand-up, la musique ou le sport sont autant de voies où la participation devient également possible ("Un engagement très artistique", p. 18)." Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113010

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Santé mentale et exclusion sociale : à la folie, pas du tout ! / Philippe Debongnie in Alter Echos, 478 (Novembre 2019)

Public ISBD [article]  inAlter Echos > 478 (Novembre 2019) . - p. 14-29 Titre : Santé mentale et exclusion sociale : à la folie, pas du tout ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Debongnie Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 14-29 Langues : Français (fre) Mots-clés : Exclusion sociale  Santé mentale  Souffrance psychique Résumé : Souffrance psychosociale, troubles psychologiques ou psychiatriques… Les travailleurs sociaux des CPAS font état d’une augmentation des problématiques de santé mentale chez leurs bénéficiaires. Face à ces personnes en détresse, ils se sentent dépourvus. Mais on observe aussi sur le terrain que les procédures, compliquées et lourdes à porter, aggravent encore la vulnérabilité des usagers [...]. Le constat est le même pour les demandeurs d’asile frappés également par un double traumatisme : le parcours d’exil suivi de la violence des procédures. Et, là aussi, les services d’accompagnement peinent à suivre [...]. Parmi les exclus de la santé mentale, on compte aussi les enfants et les jeunes en détresse psychologique, public fragile s’il en est. L’aide à la jeunesse a décidé de suspendre la couverture des frais alors même que leur placement à l’hôpital a été décidé par… l’aide à la jeunesse [...]. De quoi faire tourner la tête… À Titeca pendant ce temps-là, on tente le défi de la réinsertion sociale de patients soumis à la loi sur l’internement… Mais nombre d’entre eux confient préférer encore la prison que les quatre murs de l’hôpital [...]. Une histoire de fous ? Un peu, beaucoup. Note de contenu : • "La procédure d’asile est en soi traumatisante" / Martine Vandemeulebroucke • Frais hospitaliers / Cédric Vallet • J’irai dormir chez "fous" / Pierre Vangrootloon • Souffrances psychiques / Marinette Mormont • 24 heures avec… le Justibus / Manon Legrand Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84407 [article] Santé mentale et exclusion sociale : à la folie, pas du tout ! [texte imprimé] / Philippe Debongnie . - 2019 . - p. 14-29. Langues : Français (fre) in Alter Echos > 478 (Novembre 2019) . - p. 14-29 Mots-clés : Exclusion sociale  Santé mentale  Souffrance psychique Résumé : Souffrance psychosociale, troubles psychologiques ou psychiatriques… Les travailleurs sociaux des CPAS font état d’une augmentation des problématiques de santé mentale chez leurs bénéficiaires. Face à ces personnes en détresse, ils se sentent dépourvus. Mais on observe aussi sur le terrain que les procédures, compliquées et lourdes à porter, aggravent encore la vulnérabilité des usagers [...]. Le constat est le même pour les demandeurs d’asile frappés également par un double traumatisme : le parcours d’exil suivi de la violence des procédures. Et, là aussi, les services d’accompagnement peinent à suivre [...]. Parmi les exclus de la santé mentale, on compte aussi les enfants et les jeunes en détresse psychologique, public fragile s’il en est. L’aide à la jeunesse a décidé de suspendre la couverture des frais alors même que leur placement à l’hôpital a été décidé par… l’aide à la jeunesse [...]. De quoi faire tourner la tête… À Titeca pendant ce temps-là, on tente le défi de la réinsertion sociale de patients soumis à la loi sur l’internement… Mais nombre d’entre eux confient préférer encore la prison que les quatre murs de l’hôpital [...]. Une histoire de fous ? Un peu, beaucoup. Note de contenu : • "La procédure d’asile est en soi traumatisante" / Martine Vandemeulebroucke • Frais hospitaliers / Cédric Vallet • J’irai dormir chez "fous" / Pierre Vangrootloon • Souffrances psychiques / Marinette Mormont • 24 heures avec… le Justibus / Manon Legrand Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=84407

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