Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Laurence Chardon |
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Mesure du débit de filtration glomérulaire par méthode de référence / Laurence Chardon in Annales de Biologie Clinique, Vol. 77, n° 4 (Juillet-août 2019)
[article]
Titre : Mesure du débit de filtration glomérulaire par méthode de référence Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence Chardon ; Thierry Hannedouche ; Jean-Michel Halimi ; Christophe Mariat ; Chantal Barin-Le Guellec ; Laurence Dubourg ; Francis Guinard Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.371-374 Langues : Français (fre) Mots-clés : Recommandations Taux de filtration glomérulaire Résumé : Les techniques de mesure directe du débit de filtration glomérulaire (DFG) sont considérées comme les méthodes de référence d’évaluation de la fonction rénale. Suite au retrait par l’ANSM de la spécialité Proinuline Serb®, l’iohexol reste le plus approprié pour remplacer l’inuline en tant que marqueur pour la détermination du DFG (le 99Tc-DTPA étant peu utilisé). Le dosage se fait par chromatographie liquide haute performance (HPLC) couplée à une détection ultra-violet (UV) ou par spectrométrie de masse. La clairance plasmatique du iohexol est le protocole de choix. Les protocoles à échantillon unique prédominent, mais les protocoles à échantillons multiples peuvent être plus précis dans des situations spécifiques. Dans certains cas, des protocoles de clairance urinaire doivent être utilisés. Les recommandations nationales et internationales suggèrent d’utiliser une mesure du DFG comme test de confirmation dans les cas où le DFG estimé par la créatinine est inapproprié, c’est-à-dire les situations cliniques caractérisées par une altération importante de la masse musculaire ou du volume de distribution. Les indications retenues par le groupe de travail ont été gradées selon le niveau de recommandations. Les indications indispensables sont le bilan d’un individu candidat à un don de rein, la transplantation rénale à au moins 1 an de greffe, les traitements à marge thérapeutique étroite (anticoagulant, chimiothérapie) chez les patients avec estimation inappropriée du DFG par la créatinine et la recherche clinique en particulier dans les études sur la progression de l’insuffisance rénale chronique ou le démarrage de la dialyse. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=80018
in Annales de Biologie Clinique > Vol. 77, n° 4 (Juillet-août 2019) . - p.371-374[article] Mesure du débit de filtration glomérulaire par méthode de référence [texte imprimé] / Laurence Chardon ; Thierry Hannedouche ; Jean-Michel Halimi ; Christophe Mariat ; Chantal Barin-Le Guellec ; Laurence Dubourg ; Francis Guinard . - 2019 . - p.371-374.
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol. 77, n° 4 (Juillet-août 2019) . - p.371-374
Mots-clés : Recommandations Taux de filtration glomérulaire Résumé : Les techniques de mesure directe du débit de filtration glomérulaire (DFG) sont considérées comme les méthodes de référence d’évaluation de la fonction rénale. Suite au retrait par l’ANSM de la spécialité Proinuline Serb®, l’iohexol reste le plus approprié pour remplacer l’inuline en tant que marqueur pour la détermination du DFG (le 99Tc-DTPA étant peu utilisé). Le dosage se fait par chromatographie liquide haute performance (HPLC) couplée à une détection ultra-violet (UV) ou par spectrométrie de masse. La clairance plasmatique du iohexol est le protocole de choix. Les protocoles à échantillon unique prédominent, mais les protocoles à échantillons multiples peuvent être plus précis dans des situations spécifiques. Dans certains cas, des protocoles de clairance urinaire doivent être utilisés. Les recommandations nationales et internationales suggèrent d’utiliser une mesure du DFG comme test de confirmation dans les cas où le DFG estimé par la créatinine est inapproprié, c’est-à-dire les situations cliniques caractérisées par une altération importante de la masse musculaire ou du volume de distribution. Les indications retenues par le groupe de travail ont été gradées selon le niveau de recommandations. Les indications indispensables sont le bilan d’un individu candidat à un don de rein, la transplantation rénale à au moins 1 an de greffe, les traitements à marge thérapeutique étroite (anticoagulant, chimiothérapie) chez les patients avec estimation inappropriée du DFG par la créatinine et la recherche clinique en particulier dans les études sur la progression de l’insuffisance rénale chronique ou le démarrage de la dialyse. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=80018 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponiblePhéochromocytomes et paragangliomes / Stéphanie Baron in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 544 (juillet 2022)
[article]
Titre : Phéochromocytomes et paragangliomes Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphanie Baron ; Laurence Chardon ; Laurence Amar Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 47-54 Note générale : https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00249-0 Langues : Français (fre) Mots-clés : dérivé méthoxylé métanéphrine paragangliome phéochromocytome surrénale Résumé : Les phéochromocytomes et paragangliomes (PPGL) sont des tumeurs neuroendocrines, très rares, sécrétant des catécholamines (adrénaline, noradrénaline, dopamine), souvent de manière paroxystique, spontanée ou provoquée. Cette sécrétion est responsable d’une symptomatologie associant le plus souvent une hypertension artérielle à la triade céphalées-sueurs- palpitations. Le diagnostic biologique de ces tumeurs sécrétantes est basé sur la mesure des dérivés méthoxylés des catécholamines : métanéphrine et normétanéphrine respectivement, pour l’adrénaline et la noradrénaline, désignés sous le terme générique de métanéphrines (au pluriel). Leur mesure est réalisée soit sur les urines des 24 heures (dérivés libres ou dérivés totaux après hydrolyse acide) soit sur le sang pour la mesure des métanéphrines libres plasmatiques. Même si ces dernières ne sont pas référencées à la nomenclature des actes de biologie médicale, elles constituent le meilleur outil diagnostique avec une sensibilité et une spécificité supérieures à 95 %. Il existe malgré tout de rares faux positifs qui sont liés soit à des interférences analytiques (quasi disparues avec le déploiement de la LC-MS/MS), soit à des interférences pharmacologiques, liées à l’utilisation de molécules interférant avec le métabolisme des catécholamines ou des conditions de prélèvement stimulant le système nerveux sympathique. Tout traitement susceptible d’augmenter la concentration des catécholamines est à proscrire. L’imagerie (conventionnelle et fonctionnelle) fait partie intégrante de la prise en charge, tant pour confirmer des mesures biologiques faiblement positives que pour localiser la ou les éventuelle(s) tumeur(s). Le traitement est chirurgical quand il est possible. Enfin, la majorité des PPGL étant héréditaires, le diagnostic génétique fait aussi partie intégrante du diagnostic. Note de contenu : Issu du dossier "Biochimie de la surrénale" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104964
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 544 (juillet 2022) . - p. 47-54[article] Phéochromocytomes et paragangliomes [texte imprimé] / Stéphanie Baron ; Laurence Chardon ; Laurence Amar . - 2022 . - p. 47-54.
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00249-0
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 544 (juillet 2022) . - p. 47-54
Mots-clés : dérivé méthoxylé métanéphrine paragangliome phéochromocytome surrénale Résumé : Les phéochromocytomes et paragangliomes (PPGL) sont des tumeurs neuroendocrines, très rares, sécrétant des catécholamines (adrénaline, noradrénaline, dopamine), souvent de manière paroxystique, spontanée ou provoquée. Cette sécrétion est responsable d’une symptomatologie associant le plus souvent une hypertension artérielle à la triade céphalées-sueurs- palpitations. Le diagnostic biologique de ces tumeurs sécrétantes est basé sur la mesure des dérivés méthoxylés des catécholamines : métanéphrine et normétanéphrine respectivement, pour l’adrénaline et la noradrénaline, désignés sous le terme générique de métanéphrines (au pluriel). Leur mesure est réalisée soit sur les urines des 24 heures (dérivés libres ou dérivés totaux après hydrolyse acide) soit sur le sang pour la mesure des métanéphrines libres plasmatiques. Même si ces dernières ne sont pas référencées à la nomenclature des actes de biologie médicale, elles constituent le meilleur outil diagnostique avec une sensibilité et une spécificité supérieures à 95 %. Il existe malgré tout de rares faux positifs qui sont liés soit à des interférences analytiques (quasi disparues avec le déploiement de la LC-MS/MS), soit à des interférences pharmacologiques, liées à l’utilisation de molécules interférant avec le métabolisme des catécholamines ou des conditions de prélèvement stimulant le système nerveux sympathique. Tout traitement susceptible d’augmenter la concentration des catécholamines est à proscrire. L’imagerie (conventionnelle et fonctionnelle) fait partie intégrante de la prise en charge, tant pour confirmer des mesures biologiques faiblement positives que pour localiser la ou les éventuelle(s) tumeur(s). Le traitement est chirurgical quand il est possible. Enfin, la majorité des PPGL étant héréditaires, le diagnostic génétique fait aussi partie intégrante du diagnostic. Note de contenu : Issu du dossier "Biochimie de la surrénale" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104964 Réservation
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