Peut-on devenir meilleur ? et si oui, comment ? [dossier] / Martin Legros in Philosophie magazine, 181 (juillet 2024)

Public ISBD [article]  inPhilosophie magazine > 181 (juillet 2024) . - p. 50-73 Titre : Peut-on devenir meilleur ? et si oui, comment ? [dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Martin Legros ; Clara Degiovanni, Intervieweur ; Louise Coquillat, Personne interviewée ; Alexandre Jardin ; Cédric Enjalbert, Intervieweur ; Alexandre Lacroix, Intervieweur ; Aymen Tahin ; Alexis Lavis, Personne interviewée ; Guillaume Martin, Personne interviewée ; Catherine Malabou, Personne interviewée Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 50-73 Langues : Français (fre) Mots-clés : Développement personnel  Résilience (philosophie)  Dépassement de soi  Réalisation de soi  Machisme  Méditation  Cyclisme -- Psychologie  Cyclisme -- Entraînement  vertu  Aristote  Kant, Emmanuel (1724-1804)  Mill, John Stuart (1806-1873) Résumé : Si nous sommes sincères, il est très difficile de contrer nos défauts et nos mauvaises habitudes. Certains traits de caractère nous accompagnent depuis l’enfance. Et pour ce qui est de nos penchants – pour un tel, ce sera la cigarette ou l’alcool, pour un autre, les accès de colère –, s’en débarrasser est un véritable défi. Mais renoncer, affirmer que nous ne sommes incapables de changer, n’est-ce pas nous enfermer un peu vite dans une immobilité désespérante ? La philosophie ne pourrait-elle pas ici renouer avec sa destination première et redevenir guide de vie ? Note de contenu : > Avec le réchauffement climatique et la crise politique actuelle, il nous est difficile de croire à un progrès collectif. Nous sommes néanmoins confiants dans la capacité à nous améliorer individuellement. De quoi reprendre espoir ? > Pour les témoins dont nous avons recueilli l’histoire, en tout cas, c’est la traversée du négatif – que ce soit la prison, la séparation, l’expérience de la rue ou les pressions politiques – qui a permis le dépassement de soi. > Et qu’en est-il du machisme ? Notre journaliste s’est rendu dans un cercle de parole réservé aux hommes, où l’on tente de se défaire du poids encombrant de la virilité. > Préférez-vous l’école des vertus proposée par Aristote, l’école des devoirs d’Emmanuel Kant ou encore l’école des conséquences chère à John Stuart Mill ? Ce sont en effet les trois grandes pistes fournies par les philosophes classiques pour opérer un travail sur soi. > Et du côté de l’Asie, comment le problème est-il abordé ? Entretien avec le philosophe Alexis Lavis, qui pratique depuis longtemps la méditation après avoir été champion d’escrime. > Améliorer ses performances, c’est l’obsession des sportifs de haut niveau. Au mépris de la grâce et de la poésie ? Le cycliste et philosophe Guillaume Martin en parle avec la philosophe spécialiste de l’anarchisme Catherine Malabou. > Pour poursuivre la réflexion de notre dossier, nous avons choisi de présenter des extraits du Hagakure. Écrits sur la Voie du samouraï, de Yamamoto Tsunemoto, texte qui promeut l’amélioration de soi tout au long de l’existence et l’acceptation de la mort. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118423 [article] Peut-on devenir meilleur ? et si oui, comment ? [dossier] [texte imprimé] / Martin Legros ; Clara Degiovanni, Intervieweur ; Louise Coquillat, Personne interviewée ; Alexandre Jardin ; Cédric Enjalbert, Intervieweur ; Alexandre Lacroix, Intervieweur ; Aymen Tahin ; Alexis Lavis, Personne interviewée ; Guillaume Martin, Personne interviewée ; Catherine Malabou, Personne interviewée . - 2024 . - p. 50-73. Langues : Français (fre) in Philosophie magazine > 181 (juillet 2024) . - p. 50-73 Mots-clés : Développement personnel  Résilience (philosophie)  Dépassement de soi  Réalisation de soi  Machisme  Méditation  Cyclisme -- Psychologie  Cyclisme -- Entraînement  vertu  Aristote  Kant, Emmanuel (1724-1804)  Mill, John Stuart (1806-1873) Résumé : Si nous sommes sincères, il est très difficile de contrer nos défauts et nos mauvaises habitudes. Certains traits de caractère nous accompagnent depuis l’enfance. Et pour ce qui est de nos penchants – pour un tel, ce sera la cigarette ou l’alcool, pour un autre, les accès de colère –, s’en débarrasser est un véritable défi. Mais renoncer, affirmer que nous ne sommes incapables de changer, n’est-ce pas nous enfermer un peu vite dans une immobilité désespérante ? La philosophie ne pourrait-elle pas ici renouer avec sa destination première et redevenir guide de vie ? Note de contenu : > Avec le réchauffement climatique et la crise politique actuelle, il nous est difficile de croire à un progrès collectif. Nous sommes néanmoins confiants dans la capacité à nous améliorer individuellement. De quoi reprendre espoir ? > Pour les témoins dont nous avons recueilli l’histoire, en tout cas, c’est la traversée du négatif – que ce soit la prison, la séparation, l’expérience de la rue ou les pressions politiques – qui a permis le dépassement de soi. > Et qu’en est-il du machisme ? Notre journaliste s’est rendu dans un cercle de parole réservé aux hommes, où l’on tente de se défaire du poids encombrant de la virilité. > Préférez-vous l’école des vertus proposée par Aristote, l’école des devoirs d’Emmanuel Kant ou encore l’école des conséquences chère à John Stuart Mill ? Ce sont en effet les trois grandes pistes fournies par les philosophes classiques pour opérer un travail sur soi. > Et du côté de l’Asie, comment le problème est-il abordé ? Entretien avec le philosophe Alexis Lavis, qui pratique depuis longtemps la méditation après avoir été champion d’escrime. > Améliorer ses performances, c’est l’obsession des sportifs de haut niveau. Au mépris de la grâce et de la poésie ? Le cycliste et philosophe Guillaume Martin en parle avec la philosophe spécialiste de l’anarchisme Catherine Malabou. > Pour poursuivre la réflexion de notre dossier, nous avons choisi de présenter des extraits du Hagakure. Écrits sur la Voie du samouraï, de Yamamoto Tsunemoto, texte qui promeut l’amélioration de soi tout au long de l’existence et l’acceptation de la mort. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=118423

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Y a-t-il un intérêt au dosage de la myoglobine en 2017 ? / A. Servonnet in Annales de Biologie Clinique, 76/02 (mars-avril 2018)

Public ISBD [article]  inAnnales de Biologie Clinique > 76/02 (mars-avril 2018) . - 137-141 Titre : Y a-t-il un intérêt au dosage de la myoglobine en 2017 ? Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Servonnet ; Clément Dubost ; Guillaume Martin ; et al. Année de publication : 2018 Article en page(s) : 137-141 Langues : Français (fre) Mots-clés : myoglobine  Dosage Résumé : Le biologiste doit jouer un rôle de conseil dans la bonne utilisation des examens de biologie médicale en évitant, entre autre, la prescription d’examens inutiles, obsolètes ou redondants. Afin d’évaluer la pertinence du maintien du dosage de la myoglobine au sein de notre catalogue d’examens, nous avons effectué une revue de la littérature sur l’intérêt de ce paramètre en 2017. Les indications du dosage de la myoglobine apparaissent assez limitées. Il n’est plus mentionné dans les recommandations européennes sur la prise en charge des syndromes coronariens aigus sans sus-décalage ST. Dans le cadre des rhabdomyolyses, le dosage de la myoglobine n’est ni un critère diagnostique ni un critère de suivi de l’efficacité et du monitorage de la thérapeutique. Son intérêt pour prédire la survenue d’une insuffisance rénale aiguë est discuté. Les systèmes de scores clinico-biologiques les plus récents (comme le score de McMahon) ne l’intègrent pas. Au vu de ces résultats, nous avons proposé à nos praticiens de supprimer le dosage de la myoglobine de notre catalogue des examens. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77436 [article] Y a-t-il un intérêt au dosage de la myoglobine en 2017 ? [texte imprimé] / A. Servonnet ; Clément Dubost ; Guillaume Martin ; et al. . - 2018 . - 137-141. Langues : Français (fre) in Annales de Biologie Clinique > 76/02 (mars-avril 2018) . - 137-141 Mots-clés : myoglobine  Dosage Résumé : Le biologiste doit jouer un rôle de conseil dans la bonne utilisation des examens de biologie médicale en évitant, entre autre, la prescription d’examens inutiles, obsolètes ou redondants. Afin d’évaluer la pertinence du maintien du dosage de la myoglobine au sein de notre catalogue d’examens, nous avons effectué une revue de la littérature sur l’intérêt de ce paramètre en 2017. Les indications du dosage de la myoglobine apparaissent assez limitées. Il n’est plus mentionné dans les recommandations européennes sur la prise en charge des syndromes coronariens aigus sans sus-décalage ST. Dans le cadre des rhabdomyolyses, le dosage de la myoglobine n’est ni un critère diagnostique ni un critère de suivi de l’efficacité et du monitorage de la thérapeutique. Son intérêt pour prédire la survenue d’une insuffisance rénale aiguë est discuté. Les systèmes de scores clinico-biologiques les plus récents (comme le score de McMahon) ne l’intègrent pas. Au vu de ces résultats, nous avons proposé à nos praticiens de supprimer le dosage de la myoglobine de notre catalogue des examens. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77436

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