Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Détail de l'auteur
Auteur P. Rouch |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Performance et risque de blessures au golf. Étude du moment moteur dû aux efforts au sol / M. Bourgain in Journal de traumatologie du sport, Vol. 35, n°1 (Mars 2018)
[article]
Titre : Performance et risque de blessures au golf. Étude du moment moteur dû aux efforts au sol Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Bourgain ; C. Sauret ; P. Rouch Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 56 Langues : Français (fre) Mots-clés : Golf Plaies et blessures Performance sportive Résumé : Introduction
Le golf est considéré comme un sport à faible impact. D'un côté, certains chirurgiens recommandent sa pratique comme activité après une opération totale de hanche (Swanson, 2009) ou pour traiter certaines lombalgies (Ribaud, 2013). D'un autre côté, le swing de golf est un mouvement à forte dynamique nécessitant l'ensemble du corps (Marta, 2012) pouvant conduire à des blessures (McHardy, 2006). Une pratique optimale consiste à générer un moment moteur maximum, utile au swing, en réduisant les autres contributions afin d'éviter de surcharger inutilement les articulations. Ainsi, l'objectif de cette étude était de comparer la capacité à produire un moment moteur lors du swing de golf.
Matériel et méthode
Deux golfeurs amateurs (h =12 et 7, droitiers) et deux golfeurs professionnels (depuis 2 mois et 9 ans, droitiers) ont participé à cette étude. Le protocole a été approuvé par un comité d'éthique indépendant et chaque volontaire a donné son consentement éclairé par écrit avant le début des expérimentations. Après un échauffement, chaque sujet a réalisé 20 swings à l'aide de son propre driver dans une salle d'analyse du mouvement. Chaque swing a été mesuré à l'aide d'un radar dédié (TrackMan 3, TrackMan golf) mesurant et simulant les caractéristiques de vol de la balle. Chaque volontaire a été équipé de 88 marqueurs réfléchissant, 6 marqueurs supplémentaires ont été utilisés : 4 sur le club et 2 alignés initialement avec la balle afin d'identifier l'instant de l'impact. La mesure en 3 dimensions de la position des marqueurs a été effectuée à l'aide d'un système optoélectronique (Vicon, Oxford Metrics, 200 Hz, Nexus software). Les efforts au sol ont été mesurés de façon synchronisée avec les mesures cinématiques à l'aide de deux plateformes de force (OR6, AMTI, 1200 Hz), recouvertes par du gazon synthétique. Deux swings par golfeurs ont été pris en compte : le meilleur et le moins bon en terme de distance parcourue. Les 3 marqueurs du manche du club ont été utilisés pour déterminer le plan de swing. Les actions mécaniques du sol sur les pieds ont été exprimées au centre de gravité et projetées suivant la normale au plan de swing afin de déterminer le moment moteur. Ce dernier est décomposé en ses différentes contributions (moments libres induits par les efforts horizontaux et verticaux).
Résultats/discussion
Le moment moteur est généré à la fois par les efforts verticaux et horizontaux, pour tous les golfeurs, le moment libre étant négligeable. Une augmentation de la distance parcourue s'accompagne d'une augmentation du pic de moment moteur maximum. Toutefois, le moment moteur moyen généré pendant le swing ne conduit pas nécessairement à une meilleure performance. Le moment moteur à l'impact, pour au moins un des deux swings considérés, est négatif pour trois des quatre golfeurs, signifiant que ces joueurs ralentissent leur club avant l'impact. Ainsi, leurs articulations sont soumises à des efforts parasites en terme de performance qui pourraient conduire à des blessures.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56890
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°1 (Mars 2018) . - p. 56[article] Performance et risque de blessures au golf. Étude du moment moteur dû aux efforts au sol [texte imprimé] / M. Bourgain ; C. Sauret ; P. Rouch . - 2018 . - p. 56.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°1 (Mars 2018) . - p. 56
Mots-clés : Golf Plaies et blessures Performance sportive Résumé : Introduction
Le golf est considéré comme un sport à faible impact. D'un côté, certains chirurgiens recommandent sa pratique comme activité après une opération totale de hanche (Swanson, 2009) ou pour traiter certaines lombalgies (Ribaud, 2013). D'un autre côté, le swing de golf est un mouvement à forte dynamique nécessitant l'ensemble du corps (Marta, 2012) pouvant conduire à des blessures (McHardy, 2006). Une pratique optimale consiste à générer un moment moteur maximum, utile au swing, en réduisant les autres contributions afin d'éviter de surcharger inutilement les articulations. Ainsi, l'objectif de cette étude était de comparer la capacité à produire un moment moteur lors du swing de golf.
Matériel et méthode
Deux golfeurs amateurs (h =12 et 7, droitiers) et deux golfeurs professionnels (depuis 2 mois et 9 ans, droitiers) ont participé à cette étude. Le protocole a été approuvé par un comité d'éthique indépendant et chaque volontaire a donné son consentement éclairé par écrit avant le début des expérimentations. Après un échauffement, chaque sujet a réalisé 20 swings à l'aide de son propre driver dans une salle d'analyse du mouvement. Chaque swing a été mesuré à l'aide d'un radar dédié (TrackMan 3, TrackMan golf) mesurant et simulant les caractéristiques de vol de la balle. Chaque volontaire a été équipé de 88 marqueurs réfléchissant, 6 marqueurs supplémentaires ont été utilisés : 4 sur le club et 2 alignés initialement avec la balle afin d'identifier l'instant de l'impact. La mesure en 3 dimensions de la position des marqueurs a été effectuée à l'aide d'un système optoélectronique (Vicon, Oxford Metrics, 200 Hz, Nexus software). Les efforts au sol ont été mesurés de façon synchronisée avec les mesures cinématiques à l'aide de deux plateformes de force (OR6, AMTI, 1200 Hz), recouvertes par du gazon synthétique. Deux swings par golfeurs ont été pris en compte : le meilleur et le moins bon en terme de distance parcourue. Les 3 marqueurs du manche du club ont été utilisés pour déterminer le plan de swing. Les actions mécaniques du sol sur les pieds ont été exprimées au centre de gravité et projetées suivant la normale au plan de swing afin de déterminer le moment moteur. Ce dernier est décomposé en ses différentes contributions (moments libres induits par les efforts horizontaux et verticaux).
Résultats/discussion
Le moment moteur est généré à la fois par les efforts verticaux et horizontaux, pour tous les golfeurs, le moment libre étant négligeable. Une augmentation de la distance parcourue s'accompagne d'une augmentation du pic de moment moteur maximum. Toutefois, le moment moteur moyen généré pendant le swing ne conduit pas nécessairement à une meilleure performance. Le moment moteur à l'impact, pour au moins un des deux swings considérés, est négatif pour trois des quatre golfeurs, signifiant que ces joueurs ralentissent leur club avant l'impact. Ainsi, leurs articulations sont soumises à des efforts parasites en terme de performance qui pourraient conduire à des blessures.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=56890 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPhysiology, biomechanics and injuries in table tennis: A systematic review / C. Ferrandez in Science & sports, Vol.36 n°2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Physiology, biomechanics and injuries in table tennis: A systematic review Titre original : Physiologie, biomécanique et blessures au tennis de table : une revue systématique Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Ferrandez ; T. Marsan ; Y. Poulet ; P. Rouch ; P. Thoreux ; C. Sauret Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 95-104 Note générale : Doi : 10.1016/j.scispo.2020.04.007 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Tennis de table Revue de la littérature Physiologie Biomécanique Épidémiologie Résumé : Objectifs
Le tennis de table est un sport très pratiqué, souvent décrit comme un sport de réaction. De ce fait, les joueurs ont besoin de beaucoup pratiquer, ce qui peut les exposer à des blessures. Pour l’optimisation de l’entraînement, tout en réduisant le risque de blessure, les connaissances de la physiologie, de la biomécanique et de l’épidémiologie du tennis de table sont primordiales.
Méthode
Dans ce but, une revue systématique de la littérature a été effectuée au travers de trois bases de données. Globalement, la physiologie du tennis de table est complexe à cause d’efforts intenses et intermittents. Il reste alors des challenges techniques à relever pour quantifier précisément cette physiologie. De plus, certains changements dans le règlement tendent à faire évoluer les exigences physiologiques du tennis de table.
Résultats
Les résultats en neurophysiologie tendent à définir le tennis de table comme un sport d’anticipation plutôt qu’un sport de réaction et des compétences oculomotrices plus élevées ont été trouvées en comparaison à la population moyenne. En ce qui concerne la biomécanique, quelques rares études ont été réalisées mais aucune n’a étudié les contributions d’énergie mécanique dans l’ensemble du corps, ce qui permettrait notamment de mieux comprendre l’effet de la puissance des membres inférieurs sur la vitesse de la raquette et de la balle.
Conclusion
Finalement, les études épidémiologiques manquent de détails sur le diagnostic et la localisation des blessures. Ces données pourraient être de grand intérêt pour améliorer les soins médicaux et la surveillance de l’entraînement.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93212
in Science & sports > Vol.36 n°2 (Avril 2021) . - p. 95-104[article] Physiology, biomechanics and injuries in table tennis: A systematic review = Physiologie, biomécanique et blessures au tennis de table : une revue systématique [texte imprimé] / C. Ferrandez ; T. Marsan ; Y. Poulet ; P. Rouch ; P. Thoreux ; C. Sauret . - 2021 . - p. 95-104.
Doi : 10.1016/j.scispo.2020.04.007
Langues : Anglais (eng)
in Science & sports > Vol.36 n°2 (Avril 2021) . - p. 95-104
Mots-clés : Tennis de table Revue de la littérature Physiologie Biomécanique Épidémiologie Résumé : Objectifs
Le tennis de table est un sport très pratiqué, souvent décrit comme un sport de réaction. De ce fait, les joueurs ont besoin de beaucoup pratiquer, ce qui peut les exposer à des blessures. Pour l’optimisation de l’entraînement, tout en réduisant le risque de blessure, les connaissances de la physiologie, de la biomécanique et de l’épidémiologie du tennis de table sont primordiales.
Méthode
Dans ce but, une revue systématique de la littérature a été effectuée au travers de trois bases de données. Globalement, la physiologie du tennis de table est complexe à cause d’efforts intenses et intermittents. Il reste alors des challenges techniques à relever pour quantifier précisément cette physiologie. De plus, certains changements dans le règlement tendent à faire évoluer les exigences physiologiques du tennis de table.
Résultats
Les résultats en neurophysiologie tendent à définir le tennis de table comme un sport d’anticipation plutôt qu’un sport de réaction et des compétences oculomotrices plus élevées ont été trouvées en comparaison à la population moyenne. En ce qui concerne la biomécanique, quelques rares études ont été réalisées mais aucune n’a étudié les contributions d’énergie mécanique dans l’ensemble du corps, ce qui permettrait notamment de mieux comprendre l’effet de la puissance des membres inférieurs sur la vitesse de la raquette et de la balle.
Conclusion
Finalement, les études épidémiologiques manquent de détails sur le diagnostic et la localisation des blessures. Ces données pourraient être de grand intérêt pour améliorer les soins médicaux et la surveillance de l’entraînement.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=93212 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt