Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
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Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Kinésithérapie scientifique . HS Déc. 2008Mention de date : décembre 2008 Paru le : 01/12/2008 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierAnalyse de la posture, du mouvement, et rééducation / Serge Mesure in Kinésithérapie scientifique, HS Déc. 2008 (décembre 2008)
[article]
Titre : Analyse de la posture, du mouvement, et rééducation Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Mesure Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 41-51 Langues : Français (fre) Mots-clés : Posture Mouvement corporel Scoliose Maladie Parkinson Résumé : Dans la plupart des actes moteurs, la posture et le mouvement sont coordonnés afin d'atteindre le but de la tâche fixée. La posture est la base sur laquelle nos mouvements sont organisés et exécutés. C’est la posture qui fournit l'appui mécanique nécessaire pour effectuer des mouvements, et la rigidité dynamique qui doit être ajustée pour fournir au mouvement le soutien approprié. En outre, l'équilibre doit être maintenu pendant l'exécution du mouvement. La posture sert aussi de référence aux organisations du mouvement. Ainsi, dans tout acte moteur, la première étape consiste à choisir les segments corporels qui seront employés comme base de référence égocentrique afin que le mouvement puisse être exécuté. La difficulté d’interprétation de ces contrôles, c’est l'intégration complexe qui se produit entre les niveaux sensoriels, représentatifs et moteurs. Davantage de recherche dans ce domaine devrait permettre de nouveaux concepts sur l'organisation de l'activité motrice coordonnée chez les enfants en bas âge et les adultes et pour des sujets normaux ou pathologiques. Nous avons pris deux exemples dans ce texte illustrant ces propos de recherche ; la maladie de Parkinson (PD) et la scoliose idiopathique de l’adolescente (AIS). La stratégie adoptée par les patients parkinsoniens, qui bloquent la tête sur le tronc afin de réduire au minimum le nombre de degrés de liberté à contrôler simultanément pendant le mouvement, peut être considérée comme une stratégie de simplification, concernant sélectivement la perpendiculaire au sens du déplacement. Une stratégie semblable a été déjà décrite chez les enfants ou des adultes dans des conditions difficiles de locomotion. Indépendamment de cette stratégie adoptée, le contrôle de l'équilibre locomoteur implique de limiter les oscillations angulaires principales, particulièrement dans le plan latéral. Pour cette pathologie cela est réalisé par une stratégie simplifiée consistant à bloquer la tête sur le tronc. La vision principale référence est rentabilisée par cette stratégie spécifique avec une réduction des oscillations du tronc. L’initiation du pas, passage du statique au dynamique, a montré des asymétries dans les forces de réaction au sol pour des pathologies différentes (paralysie cérébrale, gonarthrose et hémiplégie), mais aucune pathologie orthopédique spinale n'a été étudiée. Les stratégies dynamiques utilisées par des sujets scoliotiques ont montré des dispositifs biomécaniques fonctionnels permettant une gestion optimale de l'énergie mécanique. Cette production motrice règle par un programme central ces stratégies spécifiques en fonction de la progression de la déformation du tronc. Ce protocole qui fait la transition entre l’état statique à l’état dynamique démontre qu'il est possible d'envisager les programmes de réadaptation qui comportent des ajustements appropriés au comportement dynamique du sujet pendant le mouvement. La posture et le mouvement sont associés aux phénomènes d’apprentissage et aux différentes étapes constituant le geste et doivent être les bases des processus rééducatifs de tous ces patients. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15849
in Kinésithérapie scientifique > HS Déc. 2008 (décembre 2008) . - p. 41-51[article] Analyse de la posture, du mouvement, et rééducation [texte imprimé] / Serge Mesure . - 2008 . - p. 41-51.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > HS Déc. 2008 (décembre 2008) . - p. 41-51
Mots-clés : Posture Mouvement corporel Scoliose Maladie Parkinson Résumé : Dans la plupart des actes moteurs, la posture et le mouvement sont coordonnés afin d'atteindre le but de la tâche fixée. La posture est la base sur laquelle nos mouvements sont organisés et exécutés. C’est la posture qui fournit l'appui mécanique nécessaire pour effectuer des mouvements, et la rigidité dynamique qui doit être ajustée pour fournir au mouvement le soutien approprié. En outre, l'équilibre doit être maintenu pendant l'exécution du mouvement. La posture sert aussi de référence aux organisations du mouvement. Ainsi, dans tout acte moteur, la première étape consiste à choisir les segments corporels qui seront employés comme base de référence égocentrique afin que le mouvement puisse être exécuté. La difficulté d’interprétation de ces contrôles, c’est l'intégration complexe qui se produit entre les niveaux sensoriels, représentatifs et moteurs. Davantage de recherche dans ce domaine devrait permettre de nouveaux concepts sur l'organisation de l'activité motrice coordonnée chez les enfants en bas âge et les adultes et pour des sujets normaux ou pathologiques. Nous avons pris deux exemples dans ce texte illustrant ces propos de recherche ; la maladie de Parkinson (PD) et la scoliose idiopathique de l’adolescente (AIS). La stratégie adoptée par les patients parkinsoniens, qui bloquent la tête sur le tronc afin de réduire au minimum le nombre de degrés de liberté à contrôler simultanément pendant le mouvement, peut être considérée comme une stratégie de simplification, concernant sélectivement la perpendiculaire au sens du déplacement. Une stratégie semblable a été déjà décrite chez les enfants ou des adultes dans des conditions difficiles de locomotion. Indépendamment de cette stratégie adoptée, le contrôle de l'équilibre locomoteur implique de limiter les oscillations angulaires principales, particulièrement dans le plan latéral. Pour cette pathologie cela est réalisé par une stratégie simplifiée consistant à bloquer la tête sur le tronc. La vision principale référence est rentabilisée par cette stratégie spécifique avec une réduction des oscillations du tronc. L’initiation du pas, passage du statique au dynamique, a montré des asymétries dans les forces de réaction au sol pour des pathologies différentes (paralysie cérébrale, gonarthrose et hémiplégie), mais aucune pathologie orthopédique spinale n'a été étudiée. Les stratégies dynamiques utilisées par des sujets scoliotiques ont montré des dispositifs biomécaniques fonctionnels permettant une gestion optimale de l'énergie mécanique. Cette production motrice règle par un programme central ces stratégies spécifiques en fonction de la progression de la déformation du tronc. Ce protocole qui fait la transition entre l’état statique à l’état dynamique démontre qu'il est possible d'envisager les programmes de réadaptation qui comportent des ajustements appropriés au comportement dynamique du sujet pendant le mouvement. La posture et le mouvement sont associés aux phénomènes d’apprentissage et aux différentes étapes constituant le geste et doivent être les bases des processus rééducatifs de tous ces patients. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15849 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtDystrophie musculaire d’Emery-Dreifuss / Valérie DECOSTRE in Kinésithérapie scientifique, HS Déc. 2008 (décembre 2008)
[article]
Titre : Dystrophie musculaire d’Emery-Dreifuss : physiopathologie et essai thérapeutique sur un modèle animal Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie DECOSTRE Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 53-56 Langues : Français (fre) Mots-clés : Myopathie Dystrophie musculaire Physiopathologie Kinésithérapie Résumé : Les laminopathies sont des maladies humaines héréditaires causées par des mutations du gène LMNA codant les lamines A et C, deux protéines ubiquitaires localisées au niveau de l’enveloppe nucléaire. Les diverses mutations sont responsables du développement de pathologies affectant soit un tissu spécifique, à savoir le muscle strié (squelettique et cardiaque), le tissu adipeux, osseux ou nerveux périphérique, soit de multiples tissus comme dans les syndromes de vieillissement prématuré. Afin de comprendre les mécanismes physiopathologiques par lesquels des mutations du gène LMNA provoquent des laminopathies des muscles striés, comme la dystrophie musculaire d’Emery-Dreifuss (EDMD), un modèle murin qui reproduit des mutations identifiées dans des familles présentant une EDMD typique a été développé. Les connaissances actuelles concernant ces souris KI-LmnaH222P/H222Psont présentées. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15891
in Kinésithérapie scientifique > HS Déc. 2008 (décembre 2008) . - p. 53-56[article] Dystrophie musculaire d’Emery-Dreifuss : physiopathologie et essai thérapeutique sur un modèle animal [texte imprimé] / Valérie DECOSTRE . - 2008 . - p. 53-56.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > HS Déc. 2008 (décembre 2008) . - p. 53-56
Mots-clés : Myopathie Dystrophie musculaire Physiopathologie Kinésithérapie Résumé : Les laminopathies sont des maladies humaines héréditaires causées par des mutations du gène LMNA codant les lamines A et C, deux protéines ubiquitaires localisées au niveau de l’enveloppe nucléaire. Les diverses mutations sont responsables du développement de pathologies affectant soit un tissu spécifique, à savoir le muscle strié (squelettique et cardiaque), le tissu adipeux, osseux ou nerveux périphérique, soit de multiples tissus comme dans les syndromes de vieillissement prématuré. Afin de comprendre les mécanismes physiopathologiques par lesquels des mutations du gène LMNA provoquent des laminopathies des muscles striés, comme la dystrophie musculaire d’Emery-Dreifuss (EDMD), un modèle murin qui reproduit des mutations identifiées dans des familles présentant une EDMD typique a été développé. Les connaissances actuelles concernant ces souris KI-LmnaH222P/H222Psont présentées. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15891 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtEntraînement en force et lutte contre la sarcopénie de la personne âgée / Pierre Portero in Kinésithérapie scientifique, HS Déc. 2008 (décembre 2008)
[article]
Titre : Entraînement en force et lutte contre la sarcopénie de la personne âgée Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Portero ; Annabelle COUILLANDRE Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 25-30 Langues : Français (fre) Mots-clés : Techniques d'exercices physiques Appareil locomoteur Personne âgée Vieillissement Musculation Résumé : L’une des conséquences les plus sérieuses du vieillissement est la sarcopénie. Celle-ci décrit la diminution lente et progressive de la masse musculaire lors de l’avancée en âge. Elle se caractérise par l’altération de la quantité et de la qualité du muscle aboutissant à une diminution progressive de la force et à un ralentissement du mouvement. L’amyotrophie progressive et la perte de force semblent être liées à l’atrophie et à la perte de fibres musculaires, associée à la perte d’unités motrices. Les performances musculaires sont donc globalement affectées et la fatigabilité accrue. Alors que les origines de la sarcopénie sont mal connues, l’aspect multifactoriel des conséquences est bien documenté. La qualité de vie est affectée par la diminution de la force et de l’endurance musculaire, et la difficulté accrue à être physiquement actif. Étant donné l’importance des problèmes de santé publique associés à la sarcopénie, il semble primordial de développer et d’évaluer des stratégies thérapeutiques afin d’atténuer, prévenir ou inverser les effets de l’âge sur la fonte musculaire et la diminution des capacités locomotrices. L’impact positif d’un programme d’entraînement en force chez les personnes âgées est connu. La masse et les performances musculaires sont augmentées avec de nombreux effets fonctionnels associés. L’entraînement en force chez les personnes âgées améliore la fonction locomotrice, l’équilibre, l’autonomie ; réduit le risque de chutes et la difficulté à réaliser les activités de la vie quotidienne ; améliore la dépense énergétique et facilite la participation spontanée aux activités physiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15901
in Kinésithérapie scientifique > HS Déc. 2008 (décembre 2008) . - p. 25-30[article] Entraînement en force et lutte contre la sarcopénie de la personne âgée [texte imprimé] / Pierre Portero ; Annabelle COUILLANDRE . - 2008 . - p. 25-30.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > HS Déc. 2008 (décembre 2008) . - p. 25-30
Mots-clés : Techniques d'exercices physiques Appareil locomoteur Personne âgée Vieillissement Musculation Résumé : L’une des conséquences les plus sérieuses du vieillissement est la sarcopénie. Celle-ci décrit la diminution lente et progressive de la masse musculaire lors de l’avancée en âge. Elle se caractérise par l’altération de la quantité et de la qualité du muscle aboutissant à une diminution progressive de la force et à un ralentissement du mouvement. L’amyotrophie progressive et la perte de force semblent être liées à l’atrophie et à la perte de fibres musculaires, associée à la perte d’unités motrices. Les performances musculaires sont donc globalement affectées et la fatigabilité accrue. Alors que les origines de la sarcopénie sont mal connues, l’aspect multifactoriel des conséquences est bien documenté. La qualité de vie est affectée par la diminution de la force et de l’endurance musculaire, et la difficulté accrue à être physiquement actif. Étant donné l’importance des problèmes de santé publique associés à la sarcopénie, il semble primordial de développer et d’évaluer des stratégies thérapeutiques afin d’atténuer, prévenir ou inverser les effets de l’âge sur la fonte musculaire et la diminution des capacités locomotrices. L’impact positif d’un programme d’entraînement en force chez les personnes âgées est connu. La masse et les performances musculaires sont augmentées avec de nombreux effets fonctionnels associés. L’entraînement en force chez les personnes âgées améliore la fonction locomotrice, l’équilibre, l’autonomie ; réduit le risque de chutes et la difficulté à réaliser les activités de la vie quotidienne ; améliore la dépense énergétique et facilite la participation spontanée aux activités physiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15901 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLa pratique basée sur la preuve / Jean-Philippe Regnaux in Kinésithérapie scientifique, HS Déc. 2008 (décembre 2008)
[article]
Titre : La pratique basée sur la preuve : mise au point sur les techniques de réentraînement à la marche chez les patients cérébro-lésés Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Regnaux Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 9-16 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hémiplégie Processus apprentissage Motricité Résumé : Objectif : les récentes techniques de rééducation des patients cérébraux-lésés fondent leurs justifications sur les bénéfices de l’entraînement et les principes d’apprentissage. Le but de ce travail est de répondre aux questions suivantes [1] : en quoi consiste la pratique basée sur la preuve ou “Evidence Based Practice”[2] ? Quels sont les fondements des techniques de rééducation à la marche par aide mécanisée [3] ? Quels sont les paramètres qui peuvent modifier les effets de cette forme d’entraînement [4] ? Quelles sont les nouvelles voies ?
Résultats : les principes théoriques de l’apprentissage et du contrôle moteur, les travaux sur la récupération motrice dans le modèle animal, et les résultats des études évaluant la récupération de la locomotion chez des personnes après AVC ont abouti à de nouvelles conceptions de la rééducation. Des paramètres d’entraînement ou des critères d’exécution des techniques semblent se dégager de la littérature pour améliorer l’efficacité des traitements robotisés de la marche. À côté de l’entraînement sur tapis roulant, d’autres techniques en cours d’évaluation sont proposées pour stimuler l’activité locomotrice. Il s’agit, entre autres, de la rééducation à la marche sur un rythme musical, la stimulation électrique fonctionnelle pendant la marche sur tapis roulant ou dans une orthèse robotisée, l’interaction entre l’aide robotisée et la réalité virtuelle et, enfin, la contrainte de la jambe non parétique au cours de la marche.
Conclusions : les résultats obtenus chez des sujets adultes valides et à partir du modèle animal établissent que la pratique intensive et orientée d’une tâche motrice permet d’augmenter les performances motrices par un phénomène d’apprentissage. Les progrès sont maintenus après l’arrêt de l’entraînement (rétention). Enfin, “restreindre” l’usage du membre inférieur non hémiplégique après lésion du système nerveux central (SNC) pourrait améliorer significativement les performances motrices et fonctionnelles des patients. Ceci peut être obtenu par un entraînement moteur intensif associé à un blocage des mouvements de compensation.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15969
in Kinésithérapie scientifique > HS Déc. 2008 (décembre 2008) . - p. 9-16[article] La pratique basée sur la preuve : mise au point sur les techniques de réentraînement à la marche chez les patients cérébro-lésés [texte imprimé] / Jean-Philippe Regnaux . - 2008 . - p. 9-16.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > HS Déc. 2008 (décembre 2008) . - p. 9-16
Mots-clés : Hémiplégie Processus apprentissage Motricité Résumé : Objectif : les récentes techniques de rééducation des patients cérébraux-lésés fondent leurs justifications sur les bénéfices de l’entraînement et les principes d’apprentissage. Le but de ce travail est de répondre aux questions suivantes [1] : en quoi consiste la pratique basée sur la preuve ou “Evidence Based Practice”[2] ? Quels sont les fondements des techniques de rééducation à la marche par aide mécanisée [3] ? Quels sont les paramètres qui peuvent modifier les effets de cette forme d’entraînement [4] ? Quelles sont les nouvelles voies ?
Résultats : les principes théoriques de l’apprentissage et du contrôle moteur, les travaux sur la récupération motrice dans le modèle animal, et les résultats des études évaluant la récupération de la locomotion chez des personnes après AVC ont abouti à de nouvelles conceptions de la rééducation. Des paramètres d’entraînement ou des critères d’exécution des techniques semblent se dégager de la littérature pour améliorer l’efficacité des traitements robotisés de la marche. À côté de l’entraînement sur tapis roulant, d’autres techniques en cours d’évaluation sont proposées pour stimuler l’activité locomotrice. Il s’agit, entre autres, de la rééducation à la marche sur un rythme musical, la stimulation électrique fonctionnelle pendant la marche sur tapis roulant ou dans une orthèse robotisée, l’interaction entre l’aide robotisée et la réalité virtuelle et, enfin, la contrainte de la jambe non parétique au cours de la marche.
Conclusions : les résultats obtenus chez des sujets adultes valides et à partir du modèle animal établissent que la pratique intensive et orientée d’une tâche motrice permet d’augmenter les performances motrices par un phénomène d’apprentissage. Les progrès sont maintenus après l’arrêt de l’entraînement (rétention). Enfin, “restreindre” l’usage du membre inférieur non hémiplégique après lésion du système nerveux central (SNC) pourrait améliorer significativement les performances motrices et fonctionnelles des patients. Ceci peut être obtenu par un entraînement moteur intensif associé à un blocage des mouvements de compensation.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15969 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtRecommandation pour les étirements / Peter McNAIR in Kinésithérapie scientifique, HS Déc. 2008 (décembre 2008)
[article]
Titre : Recommandation pour les étirements Type de document : texte imprimé Auteurs : Peter McNAIR Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 3-7 Langues : Français (fre) Mots-clés : Etirement musculaire Raideur Recommandation Résumé : Les étirements améliorent non seulement l’amplitude de mouvement, mais ils réduisent la tension dans les muscles quelles que soient la longueur, et donc influencent la raideur. Ces diminutions de tension surviennent dans les tendons, les éléments contractiles et le tissu conjonctif qui sert de soutien au muscle. La contribution relative de ces tissus à la diminution de tension n’est pas connue. Des études ont généralement constaté que les éléments contractiles du muscle inactif sont moins raides que les tendons. Toutefois, lorsque le muscle est activé, la tension dans les éléments contractiles peut atteindre des niveaux semblables à ceux enregistrés dans le tendon. Lorsque les muscles sont étirés pour un niveau d’amplitude articulaire correspondant à environ 80 % de l’amplitude maximale, ils deviennent souvent actifs. Il semble probable qu’une grande partie des gains obtenus en début de mouvement sont plutôt liés à une diminution de l’activité musculaire qu’à des modifications structurelles du muscle. Les adaptations structurelles sont plus susceptibles d’être observées après plusieurs semaines de stretching. La prescription idéale pour les étirements reste inconnue. Les données actuelles suggèrent que les étirements doivent être maintenus pendant 20-30 secondes, que le premier étirement produit le plus de gain, et que les premiers étirements devraient être réalisés lentement afin de réduire la contrainte dans les tissus. Il existe certaines données prouvant que le type d’étirement (statique ou dynamique) peut influencer le degré d’augmentation de l’amplitude de mouvement et de réduction de la raideur. Les étirements statiques sont plus efficaces pour augmenter l’amplitude du mouvement alors que les étirements dynamiques le sont plus pour diminuer la raideur. Qu’il s’agisse de faire des étirements dans le cadre sportif ou non, il faut tenir compte du type de sport pratiqué, de l’amplitude du mouvement et de la raideur de l’individu. Si une personne a une amplitude articulaire suffisamment grande, il y a moins de nécessité à pratiquer des étirements. Dans les sports où il y a des activités musculaires concentriques et où les cycles étirement-raccourcissement ne sont pas mis en jeu, la nécessité à étirer est moindre par rapport aux sports qui nécessitent un grand nombre de sauts et d’atterrissages. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=16097
in Kinésithérapie scientifique > HS Déc. 2008 (décembre 2008) . - p. 3-7[article] Recommandation pour les étirements [texte imprimé] / Peter McNAIR . - 2008 . - p. 3-7.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > HS Déc. 2008 (décembre 2008) . - p. 3-7
Mots-clés : Etirement musculaire Raideur Recommandation Résumé : Les étirements améliorent non seulement l’amplitude de mouvement, mais ils réduisent la tension dans les muscles quelles que soient la longueur, et donc influencent la raideur. Ces diminutions de tension surviennent dans les tendons, les éléments contractiles et le tissu conjonctif qui sert de soutien au muscle. La contribution relative de ces tissus à la diminution de tension n’est pas connue. Des études ont généralement constaté que les éléments contractiles du muscle inactif sont moins raides que les tendons. Toutefois, lorsque le muscle est activé, la tension dans les éléments contractiles peut atteindre des niveaux semblables à ceux enregistrés dans le tendon. Lorsque les muscles sont étirés pour un niveau d’amplitude articulaire correspondant à environ 80 % de l’amplitude maximale, ils deviennent souvent actifs. Il semble probable qu’une grande partie des gains obtenus en début de mouvement sont plutôt liés à une diminution de l’activité musculaire qu’à des modifications structurelles du muscle. Les adaptations structurelles sont plus susceptibles d’être observées après plusieurs semaines de stretching. La prescription idéale pour les étirements reste inconnue. Les données actuelles suggèrent que les étirements doivent être maintenus pendant 20-30 secondes, que le premier étirement produit le plus de gain, et que les premiers étirements devraient être réalisés lentement afin de réduire la contrainte dans les tissus. Il existe certaines données prouvant que le type d’étirement (statique ou dynamique) peut influencer le degré d’augmentation de l’amplitude de mouvement et de réduction de la raideur. Les étirements statiques sont plus efficaces pour augmenter l’amplitude du mouvement alors que les étirements dynamiques le sont plus pour diminuer la raideur. Qu’il s’agisse de faire des étirements dans le cadre sportif ou non, il faut tenir compte du type de sport pratiqué, de l’amplitude du mouvement et de la raideur de l’individu. Si une personne a une amplitude articulaire suffisamment grande, il y a moins de nécessité à pratiquer des étirements. Dans les sports où il y a des activités musculaires concentriques et où les cycles étirement-raccourcissement ne sont pas mis en jeu, la nécessité à étirer est moindre par rapport aux sports qui nécessitent un grand nombre de sauts et d’atterrissages. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=16097 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtValidité et fiabilité des moyens d’évaluation du rachis cervical / Jeanne Bertuit in Kinésithérapie scientifique, HS Déc. 2008 (décembre 2008)
[article]
Titre : Validité et fiabilité des moyens d’évaluation du rachis cervical : revue critique de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : Jeanne Bertuit ; Bernard Van GEYT ; V. FEIPEL Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 31-37 Langues : Français (fre) Mots-clés : Validité Evaluation Rachis cervical Rachis Résumé : Une méta-analyse des travaux publiés entre 2000 et 2006 a permis d’évaluer la validité et la fiabilité des moyens d’évaluation fonctionnelle du rachis cervical. Peu de tests ont été évalués en termes de qualité méthodologique. Les outils les plus acceptables sont pour la plupart des instruments de laboratoire disponibles en centre de recherche (évaluation cinématique tridimensionnelle).Beaucoup de tests ont récolté des avis divergents (tests de mobilité ou neurologique). Quant aux autres tests, ils se révèlent de qualité inacceptable ou n’ont pas été étudiés. La majorité des tests manque de standardisation et présente des biais plus ou moins importants. Notre étude a cependant mis en évidence que les échelles fonctionnelles spécifiques présentent une validité et une fiabilité appropriées à l’utilisation clinique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=16143
in Kinésithérapie scientifique > HS Déc. 2008 (décembre 2008) . - p. 31-37[article] Validité et fiabilité des moyens d’évaluation du rachis cervical : revue critique de la littérature [texte imprimé] / Jeanne Bertuit ; Bernard Van GEYT ; V. FEIPEL . - 2008 . - p. 31-37.
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in Kinésithérapie scientifique > HS Déc. 2008 (décembre 2008) . - p. 31-37
Mots-clés : Validité Evaluation Rachis cervical Rachis Résumé : Une méta-analyse des travaux publiés entre 2000 et 2006 a permis d’évaluer la validité et la fiabilité des moyens d’évaluation fonctionnelle du rachis cervical. Peu de tests ont été évalués en termes de qualité méthodologique. Les outils les plus acceptables sont pour la plupart des instruments de laboratoire disponibles en centre de recherche (évaluation cinématique tridimensionnelle).Beaucoup de tests ont récolté des avis divergents (tests de mobilité ou neurologique). Quant aux autres tests, ils se révèlent de qualité inacceptable ou n’ont pas été étudiés. La majorité des tests manque de standardisation et présente des biais plus ou moins importants. Notre étude a cependant mis en évidence que les échelles fonctionnelles spécifiques présentent une validité et une fiabilité appropriées à l’utilisation clinique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=16143 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtVieillissement, hormones, et entraînement physique / Danielle Gomez-Merino in Kinésithérapie scientifique, HS Déc. 2008 (décembre 2008)
[article]
Titre : Vieillissement, hormones, et entraînement physique Type de document : texte imprimé Auteurs : Danielle Gomez-Merino Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 17-23 Langues : Français (fre) Mots-clés : Vieillissement Hormone Techniques d'exercices physiques Résumé : Le vieillissement s'accompagne de modifications hormonales comme la diminution de la production de la plupart des hormones anaboliques (hormone de croissance - GH, et insulin-like growth factor- IGF-1 ; testostérone, et DHEA(S), son précurseur surrénalien) et la diminution de la sensibilité à l'insuline manifestée par une intolérance au glucose. Le vieillissement est également associé à une modification de la composition corporelle impliquant une diminution de la masse musculaire et osseuse et une augmentation de la masse grasse. La pratique régulière d'une activité physique permet d'influencer favorablement les modifications du statut hormonal liées à l'âge et la composition corporelle. Chez le sujet âgé, les réponses hormonales sont diminuées à l'exercice mais elles restent stimulables. Bien que l'entraînement modifie peu les concentrations plasmatiques de repos des hormones anaboliques, il a été montré, en particulier chez la femme âgée, que ces concentrations sont positivement corrélées au niveau d'activité physique, à l'aptitude cardio-vasculaire, et à la fonction musculaire. De plus, il est bien établi que l'exercice physique améliore la sensibilité à l'insuline et la tolérance au glucose, et réduit le risque cardio-vasculaire. La participation régulière de la personne âgée à des programmes d'entraînement incluant des sessions d'exercice en aérobie et en force présente des bénéfices pour la santé en terme de prévention/diminution à la fois vis-à-vis des maladies chroniques type diabète, maladies coronariennes, obésité, que dans l'amélioration de la masse et de la fonction musculaires, et enfin dans le gain de la densité osseuse. Les bénéfices associés à la pratique de l'exercice peuvent améliorer significativement la qualité de vie de la personne âgée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107468
in Kinésithérapie scientifique > HS Déc. 2008 (décembre 2008) . - p. 17-23[article] Vieillissement, hormones, et entraînement physique [texte imprimé] / Danielle Gomez-Merino . - 2008 . - p. 17-23.
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in Kinésithérapie scientifique > HS Déc. 2008 (décembre 2008) . - p. 17-23
Mots-clés : Vieillissement Hormone Techniques d'exercices physiques Résumé : Le vieillissement s'accompagne de modifications hormonales comme la diminution de la production de la plupart des hormones anaboliques (hormone de croissance - GH, et insulin-like growth factor- IGF-1 ; testostérone, et DHEA(S), son précurseur surrénalien) et la diminution de la sensibilité à l'insuline manifestée par une intolérance au glucose. Le vieillissement est également associé à une modification de la composition corporelle impliquant une diminution de la masse musculaire et osseuse et une augmentation de la masse grasse. La pratique régulière d'une activité physique permet d'influencer favorablement les modifications du statut hormonal liées à l'âge et la composition corporelle. Chez le sujet âgé, les réponses hormonales sont diminuées à l'exercice mais elles restent stimulables. Bien que l'entraînement modifie peu les concentrations plasmatiques de repos des hormones anaboliques, il a été montré, en particulier chez la femme âgée, que ces concentrations sont positivement corrélées au niveau d'activité physique, à l'aptitude cardio-vasculaire, et à la fonction musculaire. De plus, il est bien établi que l'exercice physique améliore la sensibilité à l'insuline et la tolérance au glucose, et réduit le risque cardio-vasculaire. La participation régulière de la personne âgée à des programmes d'entraînement incluant des sessions d'exercice en aérobie et en force présente des bénéfices pour la santé en terme de prévention/diminution à la fois vis-à-vis des maladies chroniques type diabète, maladies coronariennes, obésité, que dans l'amélioration de la masse et de la fonction musculaires, et enfin dans le gain de la densité osseuse. Les bénéfices associés à la pratique de l'exercice peuvent améliorer significativement la qualité de vie de la personne âgée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=107468 Exemplaires (1)
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