Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur F. Chotel |
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Inégalité de longueur des membres inférieurs : cause, diagnostic, prévision et traitement / J. Caton in EMC : Appareil locomoteur, (03/12/2008)
[article]
Titre : Inégalité de longueur des membres inférieurs : cause, diagnostic, prévision et traitement Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Caton ; F. Chotel ; P. Chatelain Année de publication : 2008 Article en page(s) : 15-330-A-10 [Tome 6] Note générale : Archivé en décembre 2017. Langues : Français (fre) Mots-clés : Inégalité de longueur des membres inférieurs Croissance Épiphysiodèse Raccourcissement Allongement Appareillage Résumé : Les inégalités de longueur des membres inférieurs ont représenté l'un des domaines les plus complexes de la chirurgie orthopédique, qu'il s'agisse d'orthopédie pédiatrique ou de chirurgie de l'adulte. Cette fréquence va aujourd'hui en diminuant mais pour envisager les causes, l'importance, le traitement des inégalités de longueur, il est nécessaire de connaître la croissance normale qui se déroule en deux phases : la croissance foetale et la croissance postnatale, celle-ci comportant elle-même trois phases distinctes : la première enfance, de la naissance à 4 ans, l'enfance de 5 à 11 ans et la phase pubertaire qui s'étend du démarrage de la maturation sexuelle à la fin de la croissance, avec atteinte de la taille finale. Cette croissance est régulée par différents facteurs. Deux facteurs sont essentiels dans la croissance des membres, le cartilage de croissance et le périoste. La croissance doit être surveillée notamment par des courbes de croissance qui tiennent compte de l'âge osseux et de l'âge civil. Ces courbes de croissance permettront d'évaluer et de faire le pronostic d'une inégalité de longueur survenant en cours de croissance. Les inégalités peuvent être statiques, stables dans le temps ou progressives, un arrêt de croissance d'un segment de membres étant toujours lié à la destruction du cartilage de croissance afférent. Enfin, sur le plan étiologique, les inégalités de longueur des membres inférieurs peuvent être constitutionnelles ou acquises. L'examen est clinique et radiologique, permettant de faire une prévision et d'établir un plan de traitement. Celui-ci peut comporter différentes séquences thérapeutiques, épiphysiodèse, raccourcissement en fin de croissance ou allongement. Les techniques habituelles d'allongement sont réalisées par fixateur externe mais actuellement, il existe d'autres possibilités par clou centromédullaire d'allongement. Les indications sont fonction du type d'inégalité de longueur, de son importance, de l'âge du patient, de la localisation de l'inégalité de longueur. Les grandes inégalités de longueur comportent l'utilisation de ces différentes techniques. Traiter une inégalité de longueur c'est donc faire un diagnostic, un pronostic et un plan de traitement adaptés à la pathologie, à la situation, à l'âge du patient. Le traitement s'adresse essentiellement aux inégalités de longueur comprises entre 2 et 20 cm. Note de contenu : Introduction - Généralités
Phases de croissance
Facteurs nutritionnels
Facteurs hormonaux et facteurs de croissance
Facteurs génétiques
Environnement
Croissance corporelle squelettique
Croissance normale des membres
De la naissance à la fin de croissance
Surveillance de la croissance
Croissance et courbes de croissance des membres
Croissance et âge osseux
Causes des inégalités de longueur des membres inférieurs
Inégalités de longueur « constitutionnelles »
Inégalités de longueur acquises
Examen d'une inégalité de longueur des membres inférieurs
Période néonatale
Entre 1 à 5 ans
Autour de la puberté
Traitement des inégalités de longueur des membres inférieurs
Dimensions actuelles du problème et ses perspectives
Traitement orthopédique des inégalités de longueur des membres inférieurs
Traitement chirurgical des inégalités de longueur des membres inférieursPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44087
in EMC : Appareil locomoteur > (03/12/2008) . - 15-330-A-10 [Tome 6][article] Inégalité de longueur des membres inférieurs : cause, diagnostic, prévision et traitement [texte imprimé] / J. Caton ; F. Chotel ; P. Chatelain . - 2008 . - 15-330-A-10 [Tome 6].
Archivé en décembre 2017.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (03/12/2008) . - 15-330-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Inégalité de longueur des membres inférieurs Croissance Épiphysiodèse Raccourcissement Allongement Appareillage Résumé : Les inégalités de longueur des membres inférieurs ont représenté l'un des domaines les plus complexes de la chirurgie orthopédique, qu'il s'agisse d'orthopédie pédiatrique ou de chirurgie de l'adulte. Cette fréquence va aujourd'hui en diminuant mais pour envisager les causes, l'importance, le traitement des inégalités de longueur, il est nécessaire de connaître la croissance normale qui se déroule en deux phases : la croissance foetale et la croissance postnatale, celle-ci comportant elle-même trois phases distinctes : la première enfance, de la naissance à 4 ans, l'enfance de 5 à 11 ans et la phase pubertaire qui s'étend du démarrage de la maturation sexuelle à la fin de la croissance, avec atteinte de la taille finale. Cette croissance est régulée par différents facteurs. Deux facteurs sont essentiels dans la croissance des membres, le cartilage de croissance et le périoste. La croissance doit être surveillée notamment par des courbes de croissance qui tiennent compte de l'âge osseux et de l'âge civil. Ces courbes de croissance permettront d'évaluer et de faire le pronostic d'une inégalité de longueur survenant en cours de croissance. Les inégalités peuvent être statiques, stables dans le temps ou progressives, un arrêt de croissance d'un segment de membres étant toujours lié à la destruction du cartilage de croissance afférent. Enfin, sur le plan étiologique, les inégalités de longueur des membres inférieurs peuvent être constitutionnelles ou acquises. L'examen est clinique et radiologique, permettant de faire une prévision et d'établir un plan de traitement. Celui-ci peut comporter différentes séquences thérapeutiques, épiphysiodèse, raccourcissement en fin de croissance ou allongement. Les techniques habituelles d'allongement sont réalisées par fixateur externe mais actuellement, il existe d'autres possibilités par clou centromédullaire d'allongement. Les indications sont fonction du type d'inégalité de longueur, de son importance, de l'âge du patient, de la localisation de l'inégalité de longueur. Les grandes inégalités de longueur comportent l'utilisation de ces différentes techniques. Traiter une inégalité de longueur c'est donc faire un diagnostic, un pronostic et un plan de traitement adaptés à la pathologie, à la situation, à l'âge du patient. Le traitement s'adresse essentiellement aux inégalités de longueur comprises entre 2 et 20 cm. Note de contenu : Introduction - Généralités
Phases de croissance
Facteurs nutritionnels
Facteurs hormonaux et facteurs de croissance
Facteurs génétiques
Environnement
Croissance corporelle squelettique
Croissance normale des membres
De la naissance à la fin de croissance
Surveillance de la croissance
Croissance et courbes de croissance des membres
Croissance et âge osseux
Causes des inégalités de longueur des membres inférieurs
Inégalités de longueur « constitutionnelles »
Inégalités de longueur acquises
Examen d'une inégalité de longueur des membres inférieurs
Période néonatale
Entre 1 à 5 ans
Autour de la puberté
Traitement des inégalités de longueur des membres inférieurs
Dimensions actuelles du problème et ses perspectives
Traitement orthopédique des inégalités de longueur des membres inférieurs
Traitement chirurgical des inégalités de longueur des membres inférieursPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44087 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Lésions ligamentaires du genou de l'enfant (aiguë et chronique) / F. Chotel in EMC : Appareil locomoteur, Vol.37 n°4 (Novembre 2023)
[article]
Titre : Lésions ligamentaires du genou de l'enfant (aiguë et chronique) Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Chotel ; A. Josse ; L. Geoffroy ; F. Accadbled Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 14-080-A-30 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ligament croisé antérieur Enfant Reconstruction Technique Genou Avulsion cartilagineuse Entorse Trouble de croissance Résumé : Le genou est l'articulation la plus exposée à la pratique sportive de l'enfant. La fréquence et l'apparente bénignité des atteintes périphériques ne doivent pas faire oublier les nombreux pièges. L'hémarthrose post-traumatique témoigne souvent de lésions articulaires sérieuses. La faible fiabilité de l'examen clinique dans ce contexte justifie la réalisation d'une imagerie par résonance magnétique. Cette imagerie permet le diagnostic d'avulsion purement cartilagineuses du pivot chez les plus jeunes (moins de 9 ans) et d'évaluer les lésions méniscoligamentaires souvent associées à la rupture du ligament croisé antérieur (LCA). À côté des lésions méniscales dites classiques, émergent des lésions dites nouvelles (ramp et racines) qui touchent l'adolescent dans presque un tiers des cas de rupture intraligamentaire du LCA. Il semble que le jeune enfant ne soit pas à la même enseigne que l'adolescent. En cas d'atteinte du LCA plutôt par avulsion osseuse ou cartilagineuse, on observe moins de lésions associées, et la réinsertion arthroscopique assure des résultats satisfaisants malgré le risque d'arthrofibrose. En cas de lésion intraligamentaire (du LCA), la tolérance semble meilleure, avec moins d'instabilité. Le traitement conservateur garde alors une place, à condition d'être strict sur les critères d'éligibilité, le protocole neuromusculaire et d'assurer un suivit rapproché. Chez le préadolescent et l'adolescent, l'incidence des lésions intraligamentaires du LCA a explosé en quelques décennies. La place de la reconstruction ligamentaire avec réparation des lésions méniscales est primordiale, car l'instabilité prédomine. Le risque d'épiphysiodèse par blessure de la physe, bien que faible dans les équipes expérimentées, est maximal à l'approche de la fermeture de celle-ci. La technique devra être rigoureuse, et une parfaite maîtrise de la réparation méniscale est recommandée. Les options techniques de reconstruction sont propres à chaque école, et aucune n'a prouvé une quelconque supériorité. La reprise sportive après reconstruction du LCA de l'enfant doit être différée, en raison d'une ligamentisation ralentie, comparée à l'adulte. Les travaux récents et prospectifs soulignent le risque majeur de nouvelle blessure (rerupture et rupture du LCA controlatéral). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114734
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.37 n°4 (Novembre 2023) . - p. 14-080-A-30 [Tome 3][article] Lésions ligamentaires du genou de l'enfant (aiguë et chronique) [texte imprimé] / F. Chotel ; A. Josse ; L. Geoffroy ; F. Accadbled . - 2023 . - p. 14-080-A-30 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.37 n°4 (Novembre 2023) . - p. 14-080-A-30 [Tome 3]
Mots-clés : Ligament croisé antérieur Enfant Reconstruction Technique Genou Avulsion cartilagineuse Entorse Trouble de croissance Résumé : Le genou est l'articulation la plus exposée à la pratique sportive de l'enfant. La fréquence et l'apparente bénignité des atteintes périphériques ne doivent pas faire oublier les nombreux pièges. L'hémarthrose post-traumatique témoigne souvent de lésions articulaires sérieuses. La faible fiabilité de l'examen clinique dans ce contexte justifie la réalisation d'une imagerie par résonance magnétique. Cette imagerie permet le diagnostic d'avulsion purement cartilagineuses du pivot chez les plus jeunes (moins de 9 ans) et d'évaluer les lésions méniscoligamentaires souvent associées à la rupture du ligament croisé antérieur (LCA). À côté des lésions méniscales dites classiques, émergent des lésions dites nouvelles (ramp et racines) qui touchent l'adolescent dans presque un tiers des cas de rupture intraligamentaire du LCA. Il semble que le jeune enfant ne soit pas à la même enseigne que l'adolescent. En cas d'atteinte du LCA plutôt par avulsion osseuse ou cartilagineuse, on observe moins de lésions associées, et la réinsertion arthroscopique assure des résultats satisfaisants malgré le risque d'arthrofibrose. En cas de lésion intraligamentaire (du LCA), la tolérance semble meilleure, avec moins d'instabilité. Le traitement conservateur garde alors une place, à condition d'être strict sur les critères d'éligibilité, le protocole neuromusculaire et d'assurer un suivit rapproché. Chez le préadolescent et l'adolescent, l'incidence des lésions intraligamentaires du LCA a explosé en quelques décennies. La place de la reconstruction ligamentaire avec réparation des lésions méniscales est primordiale, car l'instabilité prédomine. Le risque d'épiphysiodèse par blessure de la physe, bien que faible dans les équipes expérimentées, est maximal à l'approche de la fermeture de celle-ci. La technique devra être rigoureuse, et une parfaite maîtrise de la réparation méniscale est recommandée. Les options techniques de reconstruction sont propres à chaque école, et aucune n'a prouvé une quelconque supériorité. La reprise sportive après reconstruction du LCA de l'enfant doit être différée, en raison d'une ligamentisation ralentie, comparée à l'adulte. Les travaux récents et prospectifs soulignent le risque majeur de nouvelle blessure (rerupture et rupture du LCA controlatéral). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=114734 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Lésions ligamentaires du genou de l'enfant (aiguës et chroniques) / F. Chotel in EMC : Appareil locomoteur, (Mars 2013)
[article]
Titre : Lésions ligamentaires du genou de l'enfant (aiguës et chroniques) Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Chotel ; M. Chaker ; J. Bérard Année de publication : 2013 Article en page(s) : 14-080-A-30 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ligament croisé antérieur de l'enfant Reconstruction du ligament croisé antérieur chez l'enfant Entorse du genou chez l'enfant Cartilage de croissance Résumé : Les entorses du genou de l'enfant ont vu leur épidémiologie se modifier en trois décennies avec une proportion considérable d'accidents sportifs. La fréquence et l'apparente bénignité des atteintes périphériques ne doivent pas faire oublier certains pièges et sous-estimer les lésions associées. Les avulsions osseuses du ligament croisé antérieur (LCA) restent très classiques chez le jeune enfant, néanmoins les ruptures intraligamentaires du LCA sont en constante augmentation. L'hémarthrose post-traumatique témoigne souvent de lésions articulaires graves mais a des causes beaucoup plus variées que chez l'adulte ; la faible fiabilité de l'examen clinique justifie la réalisation d'une imagerie par résonance magnétique, examen de choix pour un diagnostic lésionnel précis. L'avulsion osseuse déplacée de l'éminence tibiale requiert une intervention chirurgicale pour remise en tension du ligament croisé et limiter le risque de laxité résiduelle à terme. La rupture intraligamentaire du LCA de l'enfant s'accompagne en phase aiguë de 50 % de lésions méniscales associées (plutôt latérales que médiales). Ces lésions ont un fort potentiel de cicatrisation si l'enfant n'est pas exposé aux épisodes d'instabilité récidivants. Le choix d'un traitement conservateur de principe de la rupture du LCA de l'enfant est dangereux car il ne semble pas modifier l'histoire naturelle : il conduit souvent à l'instabilité, aux lésions méniscales médiales, puis à un processus dégénératif accéléré. La laxité articulaire importante, la faible observance et l'activité sportive désordonnée en sont les principaux facteurs explicatifs. Différer la reconstruction du LCA en fin de croissance, lorsque l'enfant est à quelques mois de la maturité de son genou, est une option qui semble raisonnable. Toutefois, cela ne doit pas amener à intervenir trop tôt par une technique d'adulte au risque de s'exposer à un trouble de croissance. Par ailleurs, les techniques spécifiques de reconstruction du LCA pour l'enfant sont bien maîtrisées et donnent des résultats aussi fiables que ceux des techniques pour adultes avec un risque minime de trouble de croissance en des mains entraînées. Note de contenu : Introduction
Épidémiologie
Données générales et spécificités de l'enfant
Particularités anatomiques
Genou en croissance
Hyperlaxité articulaire de l'enfant
Limites de l'évaluation
Démarche diagnostique en phase aiguë
Épidémiologie et approche clinique
Examen radiographique
Examen d'imagerie par résonance magnétique en cas d'hémarthrose
Entorses périphériques
Diagnostic et ses pièges
Traitement
Séquelles et complications
Fractures de l'éminence tibiale antérieure
Mécanisme traumatique
Radiographies et classifications
Traitement
Complications
Rupture intraligamentaire du ligament croisé antérieur
Épidémiologie et anatomopathologie
Traitement en urgence de l'entorse grave
Laxité antérieure chronique du genou
Limites du traitement conservateur de principe
Option du traitement conservateur dit « d'attente »
Reconstruction ligamentaire précoce avant maturation osseuse
Indications thérapeutiques
Lésions du ligament croisé postérieur
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43938
in EMC : Appareil locomoteur > (Mars 2013) . - 14-080-A-30 [Tome 3][article] Lésions ligamentaires du genou de l'enfant (aiguës et chroniques) [texte imprimé] / F. Chotel ; M. Chaker ; J. Bérard . - 2013 . - 14-080-A-30 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mars 2013) . - 14-080-A-30 [Tome 3]
Mots-clés : Ligament croisé antérieur de l'enfant Reconstruction du ligament croisé antérieur chez l'enfant Entorse du genou chez l'enfant Cartilage de croissance Résumé : Les entorses du genou de l'enfant ont vu leur épidémiologie se modifier en trois décennies avec une proportion considérable d'accidents sportifs. La fréquence et l'apparente bénignité des atteintes périphériques ne doivent pas faire oublier certains pièges et sous-estimer les lésions associées. Les avulsions osseuses du ligament croisé antérieur (LCA) restent très classiques chez le jeune enfant, néanmoins les ruptures intraligamentaires du LCA sont en constante augmentation. L'hémarthrose post-traumatique témoigne souvent de lésions articulaires graves mais a des causes beaucoup plus variées que chez l'adulte ; la faible fiabilité de l'examen clinique justifie la réalisation d'une imagerie par résonance magnétique, examen de choix pour un diagnostic lésionnel précis. L'avulsion osseuse déplacée de l'éminence tibiale requiert une intervention chirurgicale pour remise en tension du ligament croisé et limiter le risque de laxité résiduelle à terme. La rupture intraligamentaire du LCA de l'enfant s'accompagne en phase aiguë de 50 % de lésions méniscales associées (plutôt latérales que médiales). Ces lésions ont un fort potentiel de cicatrisation si l'enfant n'est pas exposé aux épisodes d'instabilité récidivants. Le choix d'un traitement conservateur de principe de la rupture du LCA de l'enfant est dangereux car il ne semble pas modifier l'histoire naturelle : il conduit souvent à l'instabilité, aux lésions méniscales médiales, puis à un processus dégénératif accéléré. La laxité articulaire importante, la faible observance et l'activité sportive désordonnée en sont les principaux facteurs explicatifs. Différer la reconstruction du LCA en fin de croissance, lorsque l'enfant est à quelques mois de la maturité de son genou, est une option qui semble raisonnable. Toutefois, cela ne doit pas amener à intervenir trop tôt par une technique d'adulte au risque de s'exposer à un trouble de croissance. Par ailleurs, les techniques spécifiques de reconstruction du LCA pour l'enfant sont bien maîtrisées et donnent des résultats aussi fiables que ceux des techniques pour adultes avec un risque minime de trouble de croissance en des mains entraînées. Note de contenu : Introduction
Épidémiologie
Données générales et spécificités de l'enfant
Particularités anatomiques
Genou en croissance
Hyperlaxité articulaire de l'enfant
Limites de l'évaluation
Démarche diagnostique en phase aiguë
Épidémiologie et approche clinique
Examen radiographique
Examen d'imagerie par résonance magnétique en cas d'hémarthrose
Entorses périphériques
Diagnostic et ses pièges
Traitement
Séquelles et complications
Fractures de l'éminence tibiale antérieure
Mécanisme traumatique
Radiographies et classifications
Traitement
Complications
Rupture intraligamentaire du ligament croisé antérieur
Épidémiologie et anatomopathologie
Traitement en urgence de l'entorse grave
Laxité antérieure chronique du genou
Limites du traitement conservateur de principe
Option du traitement conservateur dit « d'attente »
Reconstruction ligamentaire précoce avant maturation osseuse
Indications thérapeutiques
Lésions du ligament croisé postérieur
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43938 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Ostéochondrite disséquante des condyles fémoraux / C. Courtin in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 3 (Juillet 2016)
[article]
Titre : Ostéochondrite disséquante des condyles fémoraux Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Courtin ; F. Chotel ; E. Servien ; Philippe Neyret ; S. Lustig Année de publication : 2016 Article en page(s) : 14-028-A-20 [Tome 2] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéochondrite disséquante du genou Greffes en mosaïque Greffes de chondrocytes Allogreffes ostéocartilagineuses Matrices Résumé : L'ostéochondrite disséquante des condyles fémoraux est une affection rare. Elle atteint principalement le jeune garçon et le jeune adulte. Son étiologie est certainement multifactorielle, les facteurs mécaniques microtraumatiques étant probablement au premier plan. C'est une affection arthrogène quand la cicatrisation n'a pas été acquise. Il existe une forme juvénile ayant une capacité de cicatrisation, qui peut relever d'un traitement conservateur, et une forme de l'adulte où la chirurgie est le plus souvent nécessaire. La chirurgie vise à obtenir la cicatrisation de la lésion ostéochondrale grâce à une stimulation médullaire ou une greffe osseuse et une ostéosynthèse si le fragment est instable. Lorsque le fragment est détaché et qu'il existe une perte de substance ostéocartilagineuse, le challenge est de reconstruire le defect. De nombreuses techniques sont possibles : autogreffes en « mosaïque », allogreffes, greffes de chondrocytes, poussées par l'essor des biomatériaux, mais dont le recul est encore faible. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44380
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 3 (Juillet 2016) . - 14-028-A-20 [Tome 2][article] Ostéochondrite disséquante des condyles fémoraux [texte imprimé] / C. Courtin ; F. Chotel ; E. Servien ; Philippe Neyret ; S. Lustig . - 2016 . - 14-028-A-20 [Tome 2].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 3 (Juillet 2016) . - 14-028-A-20 [Tome 2]
Mots-clés : Ostéochondrite disséquante du genou Greffes en mosaïque Greffes de chondrocytes Allogreffes ostéocartilagineuses Matrices Résumé : L'ostéochondrite disséquante des condyles fémoraux est une affection rare. Elle atteint principalement le jeune garçon et le jeune adulte. Son étiologie est certainement multifactorielle, les facteurs mécaniques microtraumatiques étant probablement au premier plan. C'est une affection arthrogène quand la cicatrisation n'a pas été acquise. Il existe une forme juvénile ayant une capacité de cicatrisation, qui peut relever d'un traitement conservateur, et une forme de l'adulte où la chirurgie est le plus souvent nécessaire. La chirurgie vise à obtenir la cicatrisation de la lésion ostéochondrale grâce à une stimulation médullaire ou une greffe osseuse et une ostéosynthèse si le fragment est instable. Lorsque le fragment est détaché et qu'il existe une perte de substance ostéocartilagineuse, le challenge est de reconstruire le defect. De nombreuses techniques sont possibles : autogreffes en « mosaïque », allogreffes, greffes de chondrocytes, poussées par l'essor des biomatériaux, mais dont le recul est encore faible. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44380 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire