Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur A. Radafy |
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Commotion cérébrale et étranglement dans le judo de haut niveau : 75 judokas / A. Radafy in Journal de traumatologie du sport, Volume 33 numéro 1 (Mars 2016)
[article]
Titre : Commotion cérébrale et étranglement dans le judo de haut niveau : 75 judokas Titre original : Concussion and strangulation in the high-level judo: 75 judokas Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Radafy ; B. Vesselle ; A. Frey Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.4-13 Langues : Français (fre) Mots-clés : commotion cérébrale étranglement judo perte de connaissance Résumé : Introduction
La commotion cérébrale est une altération transitoire des fonctions neurologiques faisant suite à un traumatisme crânio-cérébral. L’étranglement est une compression autour du cou. Ces phénomènes peuvent entraîner une perte de connaissance. L’objectif de cette étude était de définir la prévalence sur une population de judokas de haut niveau et d’étudier le délai de reprise. Nous voulions également comparer les symptômes post-critiques dans leur type, leur intensité et leur durée.
Méthodes
Un questionnaire portant sur le fait d’avoir été victime ou non de commotion cérébrale et/ou d’étranglement avec perte de connaissance, sur la présence ou non de symptômes post-critiques, leur durée et sur le délai de reprise sportive, était remis aux judokas.
Résultats
Soixante-quinze judokas ont répondu. Au cours de leurs années de pratique, 27 % déclaraient avoir été victimes de commotion cérébrale ; 71 % d’entre eux se souvenaient de symptômes post-commotionnels d’une durée moyenne de 1,9jours, avec un délai moyen de reprise de 5,4jours. Au total, 45 % déclaraient avoir été victimes d’étranglement avec perte de connaissance et une impossibilité de reprise immédiate dans 18 % des cas ; 25 % se souvenaient de symptômes post-étranglement d’une durée de 1 h 41 avec un délai de reprise de 9heures.
Conclusion
La commotion cérébrale a entraîné une incapacité à poursuivre la pratique sportive avec un délai de reprise variable selon le syndrome post-commotionnel. Une prise en charge standardisée puis adaptée dans un second temps présenterait un intérêt. Les conséquences de l’étranglement apparaissaient plus bénignes. Un phénomène vagal expliquait probablement la plupart des cas de perte de connaissance.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42892
in Journal de traumatologie du sport > Volume 33 numéro 1 (Mars 2016) . - p.4-13[article] Commotion cérébrale et étranglement dans le judo de haut niveau : 75 judokas = Concussion and strangulation in the high-level judo: 75 judokas [texte imprimé] / A. Radafy ; B. Vesselle ; A. Frey . - 2016 . - p.4-13.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Volume 33 numéro 1 (Mars 2016) . - p.4-13
Mots-clés : commotion cérébrale étranglement judo perte de connaissance Résumé : Introduction
La commotion cérébrale est une altération transitoire des fonctions neurologiques faisant suite à un traumatisme crânio-cérébral. L’étranglement est une compression autour du cou. Ces phénomènes peuvent entraîner une perte de connaissance. L’objectif de cette étude était de définir la prévalence sur une population de judokas de haut niveau et d’étudier le délai de reprise. Nous voulions également comparer les symptômes post-critiques dans leur type, leur intensité et leur durée.
Méthodes
Un questionnaire portant sur le fait d’avoir été victime ou non de commotion cérébrale et/ou d’étranglement avec perte de connaissance, sur la présence ou non de symptômes post-critiques, leur durée et sur le délai de reprise sportive, était remis aux judokas.
Résultats
Soixante-quinze judokas ont répondu. Au cours de leurs années de pratique, 27 % déclaraient avoir été victimes de commotion cérébrale ; 71 % d’entre eux se souvenaient de symptômes post-commotionnels d’une durée moyenne de 1,9jours, avec un délai moyen de reprise de 5,4jours. Au total, 45 % déclaraient avoir été victimes d’étranglement avec perte de connaissance et une impossibilité de reprise immédiate dans 18 % des cas ; 25 % se souvenaient de symptômes post-étranglement d’une durée de 1 h 41 avec un délai de reprise de 9heures.
Conclusion
La commotion cérébrale a entraîné une incapacité à poursuivre la pratique sportive avec un délai de reprise variable selon le syndrome post-commotionnel. Une prise en charge standardisée puis adaptée dans un second temps présenterait un intérêt. Les conséquences de l’étranglement apparaissaient plus bénignes. Un phénomène vagal expliquait probablement la plupart des cas de perte de connaissance.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42892 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtCorrélation entre neurotracker et syndrome post-commotionnel / A. Radafy in Journal de traumatologie du sport, Vol 40, n°2 (juin 2023)
[article]
Titre : Corrélation entre neurotracker et syndrome post-commotionnel Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Radafy ; et al. Année de publication : 2023 Article en page(s) : p.94-98 Langues : Français (fre) Mots-clés : Commotion, Neurotracker, Sport Résumé : Introduction
L’objectif de cette étude était d’analyser une éventuelle corrélation entre la performance réalisée au neurotracker et la durée du syndrome post-commotionnel sur une population plus importante. Puis, nous avons aussi étudié l’influence de l’apparition ou non de symptômes lors du neurotracker sur la performance réalisée et sur la durée du syndrome post-commotionnel.
Méthodes
Nous avons analysé rétrospectivement, sur une série de patients victimes de commotion, la corrélation de la performance au neurotracker lors de la 1re consultation post-commotion et la durée du syndrome post-commotionnel, et le fait de présenter ou non des symptômes lors du test avec la durée du syndrome post-commotionnel.
Résultats
Au total, 314 patients ont été inclus. Il existait une corrélation significative inverse entre la performance au neurotracker et la durée du syndrome post-commotionnel, R=?0,41 (p<0,001). Cette corrélation était de ?0,53 (p<0,001) chez les 126 patients ayant pu être vus à 48–72h. Les patients présentant des symptômes lors de la réalisation du test avaient significativement un syndrome post-commotionnel plus long, 53 [16,5–89,5] vs 14,3 [2–26,6] jours (p<0,001), et établissaient un moins bon score, 0,87 [0,64–1,1] vs 1,3 [0,9-1,7] (p<0,001).
Conclusion
Cette étude confirmait une corrélation entre le neurotracker et la sévérité du syndrome post-commotionnel. Afin de guider au mieux le délai de récupération, une consultation précoce est recommandée pour une prise en charge optimale.
Commotion, Neurotracker, SportPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111807
in Journal de traumatologie du sport > Vol 40, n°2 (juin 2023) . - p.94-98[article] Corrélation entre neurotracker et syndrome post-commotionnel [texte imprimé] / A. Radafy ; et al. . - 2023 . - p.94-98.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol 40, n°2 (juin 2023) . - p.94-98
Mots-clés : Commotion, Neurotracker, Sport Résumé : Introduction
L’objectif de cette étude était d’analyser une éventuelle corrélation entre la performance réalisée au neurotracker et la durée du syndrome post-commotionnel sur une population plus importante. Puis, nous avons aussi étudié l’influence de l’apparition ou non de symptômes lors du neurotracker sur la performance réalisée et sur la durée du syndrome post-commotionnel.
Méthodes
Nous avons analysé rétrospectivement, sur une série de patients victimes de commotion, la corrélation de la performance au neurotracker lors de la 1re consultation post-commotion et la durée du syndrome post-commotionnel, et le fait de présenter ou non des symptômes lors du test avec la durée du syndrome post-commotionnel.
Résultats
Au total, 314 patients ont été inclus. Il existait une corrélation significative inverse entre la performance au neurotracker et la durée du syndrome post-commotionnel, R=?0,41 (p<0,001). Cette corrélation était de ?0,53 (p<0,001) chez les 126 patients ayant pu être vus à 48–72h. Les patients présentant des symptômes lors de la réalisation du test avaient significativement un syndrome post-commotionnel plus long, 53 [16,5–89,5] vs 14,3 [2–26,6] jours (p<0,001), et établissaient un moins bon score, 0,87 [0,64–1,1] vs 1,3 [0,9-1,7] (p<0,001).
Conclusion
Cette étude confirmait une corrélation entre le neurotracker et la sévérité du syndrome post-commotionnel. Afin de guider au mieux le délai de récupération, une consultation précoce est recommandée pour une prise en charge optimale.
Commotion, Neurotracker, SportPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111807 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÉvaluation des tests présaison (Standardized Assessment of Concussion et Modified Balance Error Scoring System) à 48heures après commotion. À propos de 65 Rugbymen professionnels / F. Marty in Journal de traumatologie du sport, Vol. 34, n°3 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Évaluation des tests présaison (Standardized Assessment of Concussion et Modified Balance Error Scoring System) à 48heures après commotion. À propos de 65 Rugbymen professionnels Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Marty ; A. Radafy ; A. Fantou Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 155-160 Langues : Français (fre) Mots-clés : Commotion de l'encéphale M-BESS Rugby Syndrome post-commotionnel Résumé : Introduction
Dans le rugby professionnel, un protocole standardisé de prise en charge des commotions cérébrales a été établi, comprenant notamment des tests de présaison, une consultation à 48–72heures puis au retour au jeu. En présaison et à 48–72heures, une évaluation cognitive et de l’équilibre est réalisée.
Objectif
L’objectif de notre étude a été d’établir si les tests « SAC » et le « M-BESS » étaient suffisamment sensibles à 48–72heures après commotion et s’ils pouvaient aider le spécialiste à établir un pronostic.
Méthode
Nous avons réalisé au sein de clubs professionnels les tests de présaison, dont le M-BESS et SAC. Les joueurs commotionnés réalisaient à nouveau ces tests 48–72heures après l’évènement. Soixante-cinq joueurs professionnels ont été suivis jusqu’à disparition du syndrome post-commotionnel et au retour au jeu. La durée du syndrome post-commotionnel et le délai de retour au jeu ont été relevés. Nous avons comparé les résultats de chaque joueur en présaison et à 48–72heures, puis analysé si la différence entre les tests initiaux et ceux à 48–72heures était corrélée avec la durée du syndrome post-commotionnel ou le délai de retour au jeu.
Résultats
Aucune différence significative entre les scores obtenus en présaison et ceux à 48–72h à chacun des deux tests (T de Student). La différence de performance à la SAC n’est pas corrélée à la durée du SPC (p =0,051, corrélation de Pearson) ni avec le délai de retour au jeu (p =0,40). La différence de performance au M-BESS est corrélée avec la durée du SPC (p =0,009**, corrélation de −0,3) mais pas avec le délai de retour au jeu (p =0,14).
Conclusion
Sur notre population, les tests SAC et M-BESS ne permettent pas d’identifier les sujets à risque de syndrome post-commotionnel prolongé et donc d’aider le spécialiste à définir le délai du retour au jeu.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50145
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 155-160[article] Évaluation des tests présaison (Standardized Assessment of Concussion et Modified Balance Error Scoring System) à 48heures après commotion. À propos de 65 Rugbymen professionnels [texte imprimé] / F. Marty ; A. Radafy ; A. Fantou . - 2017 . - pp. 155-160.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 155-160
Mots-clés : Commotion de l'encéphale M-BESS Rugby Syndrome post-commotionnel Résumé : Introduction
Dans le rugby professionnel, un protocole standardisé de prise en charge des commotions cérébrales a été établi, comprenant notamment des tests de présaison, une consultation à 48–72heures puis au retour au jeu. En présaison et à 48–72heures, une évaluation cognitive et de l’équilibre est réalisée.
Objectif
L’objectif de notre étude a été d’établir si les tests « SAC » et le « M-BESS » étaient suffisamment sensibles à 48–72heures après commotion et s’ils pouvaient aider le spécialiste à établir un pronostic.
Méthode
Nous avons réalisé au sein de clubs professionnels les tests de présaison, dont le M-BESS et SAC. Les joueurs commotionnés réalisaient à nouveau ces tests 48–72heures après l’évènement. Soixante-cinq joueurs professionnels ont été suivis jusqu’à disparition du syndrome post-commotionnel et au retour au jeu. La durée du syndrome post-commotionnel et le délai de retour au jeu ont été relevés. Nous avons comparé les résultats de chaque joueur en présaison et à 48–72heures, puis analysé si la différence entre les tests initiaux et ceux à 48–72heures était corrélée avec la durée du syndrome post-commotionnel ou le délai de retour au jeu.
Résultats
Aucune différence significative entre les scores obtenus en présaison et ceux à 48–72h à chacun des deux tests (T de Student). La différence de performance à la SAC n’est pas corrélée à la durée du SPC (p =0,051, corrélation de Pearson) ni avec le délai de retour au jeu (p =0,40). La différence de performance au M-BESS est corrélée avec la durée du SPC (p =0,009**, corrélation de −0,3) mais pas avec le délai de retour au jeu (p =0,14).
Conclusion
Sur notre population, les tests SAC et M-BESS ne permettent pas d’identifier les sujets à risque de syndrome post-commotionnel prolongé et donc d’aider le spécialiste à définir le délai du retour au jeu.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50145 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtFacteurs de risque de syndrome post-commotionnel prolongé sur une population de 501 athlètes de haut niveau / A. Fantou in Journal de traumatologie du sport, Vol. 35, n°2 (Juin 2018)
[article]
Titre : Facteurs de risque de syndrome post-commotionnel prolongé sur une population de 501 athlètes de haut niveau Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Fantou ; F. Marty ; A. Radafy Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 98-103 Langues : Français (fre) Mots-clés : Commotion de l'encéphale Sport Syndrome post-commotionnel Résumé : Introduction
La commotion cérébrale, fréquemment retrouvée dans les sports de contact, est une altération des fonctions neurologiques consécutive à un impact transmis au cerveau. Au décours, apparaît un syndrome post-commotionnel de durée variable. L?objectif de cette étude est d?identifier les facteurs de risque de syndrome post-commotionnel prolongé, défini par la persistance de symptômes à 3 semaines post-commotion.
Méthodes
Dans cette étude, les sportifs ont été vus après la commotion et suivis jusqu?à disparition du syndrome post-commotionnel et retour au jeu. Nous avons évalué la durée du syndrome post-commotionnel selon l?âge, le sexe, la sortie immédiate ou non après la commotion, le nombre d?antécédents de commotion et la survenue de deux commotions lors d?un même match.
Résultats
Au total, 501 sportifs ont été inclus entre octobre 2010 et octobre 2017. Sur notre population, le syndrome post-commotionnel était significativement plus long chez les femmes : 47j versus 16j chez les hommes (p <0,05), chez les sportifs ayant plus de 3 antécédents de commotions cérébrales : 34j versus 19j (p <0,05) et chez les moins de 15 ans : 27j versus 21j (p <0,05). Le syndrome post-commotionnel des joueurs sortis immédiatement du terrain était de 15j, soit significativement moins long que celui des joueurs non sortis (19j).
Conclusion
Sur notre population, les facteurs de risque de syndrome post-commotionnel étaient le sexe féminin, les antécédents de commotions cérébrales, un âge inférieur à 15 ans et l?absence de sortie immédiate du terrain.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=58692
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°2 (Juin 2018) . - p. 98-103[article] Facteurs de risque de syndrome post-commotionnel prolongé sur une population de 501 athlètes de haut niveau [texte imprimé] / A. Fantou ; F. Marty ; A. Radafy . - 2018 . - p. 98-103.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°2 (Juin 2018) . - p. 98-103
Mots-clés : Commotion de l'encéphale Sport Syndrome post-commotionnel Résumé : Introduction
La commotion cérébrale, fréquemment retrouvée dans les sports de contact, est une altération des fonctions neurologiques consécutive à un impact transmis au cerveau. Au décours, apparaît un syndrome post-commotionnel de durée variable. L?objectif de cette étude est d?identifier les facteurs de risque de syndrome post-commotionnel prolongé, défini par la persistance de symptômes à 3 semaines post-commotion.
Méthodes
Dans cette étude, les sportifs ont été vus après la commotion et suivis jusqu?à disparition du syndrome post-commotionnel et retour au jeu. Nous avons évalué la durée du syndrome post-commotionnel selon l?âge, le sexe, la sortie immédiate ou non après la commotion, le nombre d?antécédents de commotion et la survenue de deux commotions lors d?un même match.
Résultats
Au total, 501 sportifs ont été inclus entre octobre 2010 et octobre 2017. Sur notre population, le syndrome post-commotionnel était significativement plus long chez les femmes : 47j versus 16j chez les hommes (p <0,05), chez les sportifs ayant plus de 3 antécédents de commotions cérébrales : 34j versus 19j (p <0,05) et chez les moins de 15 ans : 27j versus 21j (p <0,05). Le syndrome post-commotionnel des joueurs sortis immédiatement du terrain était de 15j, soit significativement moins long que celui des joueurs non sortis (19j).
Conclusion
Sur notre population, les facteurs de risque de syndrome post-commotionnel étaient le sexe féminin, les antécédents de commotions cérébrales, un âge inférieur à 15 ans et l?absence de sortie immédiate du terrain.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=58692 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtIncidence et mécanisme des commotions cérébrales dans le rugby professionnel : 2 clubs du top 14 / A. Radafy in Journal de traumatologie du sport, Vol. 35, n°2 (Juin 2018)
[article]
Titre : Incidence et mécanisme des commotions cérébrales dans le rugby professionnel : 2 clubs du top 14 Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Radafy ; A. Savigny ; S. Blanchard Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 75-81 Langues : Français (fre) Mots-clés : Commotion de l'encéphale Cohort Studies Études de cohortes Rugby Traumatismes cranioencéphaliques Résumé : Introduction
Au rugby, la prise en charge des commotions cérébrales, altération transitoire des fonctions neurologiques suite à un traumatisme crânien, est standardisée du terrain jusqu?au retour au jeu. Le consensus de Berlin d?octobre 2016 a établi un nouveau score « Sport Concussion Assessment Tool 5 » pour la consultation avec un spécialiste à 48h post-évènement. L?objectif est ici de définir l?incidence de la commotion dans le rugby professionnel et d?en connaître le mécanisme principal et les postes les plus à risque.
Méthodes
Nous avons suivi deux clubs professionnels, sur deux saisons, en recensant les cas de commotion. Pour chaque cas, nous avons noté les conditions de survenue, le poste du joueur et sa sortie immédiate ou non pour protocole commotion.
Résultats
Sur ces deux saisons, 43 cas de commotion cérébrale ont été recensés dont 41 survenus au cours de 134 matchs disputés. L?incidence est de 0,31 commotion par match, soit une commotion tous les trois matchs par effectif. Les postes les plus à risque sont les troisièmes (28 %) et premières lignes (26 %). Les commotions surviennent plus fréquemment chez le joueur plaqueur (67 %). Dans 72 % des cas, le joueur est sorti immédiatement pour protocole commotion.
Conclusion
La commotion cérébrale est un évènement non négligeable dans le rugby. Les protocoles établis et revus en consensus sont nécessaires afin d?être le plus discriminant possible pour la détection des cas. L?objectif est de protéger les joueurs sur le long terme des séquelles de commotions répétées, en particulier l?encéphalopathie chronique post-traumatique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=58689
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°2 (Juin 2018) . - p. 75-81[article] Incidence et mécanisme des commotions cérébrales dans le rugby professionnel : 2 clubs du top 14 [texte imprimé] / A. Radafy ; A. Savigny ; S. Blanchard . - 2018 . - p. 75-81.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°2 (Juin 2018) . - p. 75-81
Mots-clés : Commotion de l'encéphale Cohort Studies Études de cohortes Rugby Traumatismes cranioencéphaliques Résumé : Introduction
Au rugby, la prise en charge des commotions cérébrales, altération transitoire des fonctions neurologiques suite à un traumatisme crânien, est standardisée du terrain jusqu?au retour au jeu. Le consensus de Berlin d?octobre 2016 a établi un nouveau score « Sport Concussion Assessment Tool 5 » pour la consultation avec un spécialiste à 48h post-évènement. L?objectif est ici de définir l?incidence de la commotion dans le rugby professionnel et d?en connaître le mécanisme principal et les postes les plus à risque.
Méthodes
Nous avons suivi deux clubs professionnels, sur deux saisons, en recensant les cas de commotion. Pour chaque cas, nous avons noté les conditions de survenue, le poste du joueur et sa sortie immédiate ou non pour protocole commotion.
Résultats
Sur ces deux saisons, 43 cas de commotion cérébrale ont été recensés dont 41 survenus au cours de 134 matchs disputés. L?incidence est de 0,31 commotion par match, soit une commotion tous les trois matchs par effectif. Les postes les plus à risque sont les troisièmes (28 %) et premières lignes (26 %). Les commotions surviennent plus fréquemment chez le joueur plaqueur (67 %). Dans 72 % des cas, le joueur est sorti immédiatement pour protocole commotion.
Conclusion
La commotion cérébrale est un évènement non négligeable dans le rugby. Les protocoles établis et revus en consensus sont nécessaires afin d?être le plus discriminant possible pour la détection des cas. L?objectif est de protéger les joueurs sur le long terme des séquelles de commotions répétées, en particulier l?encéphalopathie chronique post-traumatique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=58689 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtNeurotracker comparé au SCAT5 dans la prise en charge des commotions cérébrales / A. Radafy in Journal de traumatologie du sport, Vol.39 N°1 (mars 2022)
PermalinkPrédictivité du score « sport concussion assessment tool 5 » dans la prise en charge des commotions cérébrales - / Y. Berthaud in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°1 (Mars 2020)
PermalinkLe score « Sport Concussion Assessment Tool 2 » est-il prédictif de la durée du syndrome post-commotionnel : 174 cas de rugby de haut niveau / A. Radafy in Journal de traumatologie du sport, Vol. 34, n°1 (Mars 2017)
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