Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Détail de l'auteur
Auteur Maartje Hoogsteyns |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Shaping the subject of incontinence. Relating experience to knowledge / Jeannette Pols in Alter, Vol. 10, n°1 (Janvier/Mars 2016)
[article]
Titre : Shaping the subject of incontinence. Relating experience to knowledge Titre original : Fabriquer le sujet de l’incontinence. Relier l’expérience à la connaissance Type de document : texte imprimé Auteurs : Jeannette Pols ; Maartje Hoogsteyns Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.40-53 Langues : Français (fre) Mots-clés : Expérience Connaissance expérientielle Théorie de la connaissance Connaissance pratique Savoir clinique Résumé : Dans cet article, nous analysons, de manière empirique, le rôle de l’expérience et son lien à la connaissance, en nous intéressant au cas d’un site web dédié aux personnes souffrant d’incontinence. Le terme « connaissance par l’expérience » peut prêter à confusion s’il est défini en termes de « situations vécues par une personne », fonctionnant comme fondements de cette « connaissance expérientielle ». Cette conception fondamentaliste de la connaissance expérientielle conduit aux problèmes de l’indistinction, de l’incontestabilité et de l’authenticité de cette connaissance. Notre analyse montre comment les participants structurent et transforment leurs expériences, par exemple en collectant, relatant et révisant des moments individuels, et en les interprétant activement. Toute expérience n’est pas considérée comme une donnée valide pour la « connaissance ». Nous suggérons que, relativement à la connaissance, « l’expérience » doit être définie en termes de « faire l’expérience avec », plutôt qu’en termes de « situations vécues par une personne ». L’expérience comme « vécu » n’est pas alors quelque chose qui fonde la connaissance expérientielle, mais qui prend la forme de savoir-faire, de possibilités interprétatives et de compétences, qui ne sont pas liées exclusivement à un sujet particulier. Analyser la connaissance expérientielle de cette manière permet de la spécifier en termes de connaissance pratique qui peut être contestée par d’autres personnes (plus) expérimentées et qui peut être transférée à d’autres qui sont toujours en train d’essayer d’acquérir des compétences. Ces compétences peuvent aider dans la tentative de re-configurer l’expérience autrement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42240
in Alter > Vol. 10, n°1 (Janvier/Mars 2016) . - p.40-53[article] Shaping the subject of incontinence. Relating experience to knowledge = Fabriquer le sujet de l’incontinence. Relier l’expérience à la connaissance [texte imprimé] / Jeannette Pols ; Maartje Hoogsteyns . - 2016 . - p.40-53.
Langues : Français (fre)
in Alter > Vol. 10, n°1 (Janvier/Mars 2016) . - p.40-53
Mots-clés : Expérience Connaissance expérientielle Théorie de la connaissance Connaissance pratique Savoir clinique Résumé : Dans cet article, nous analysons, de manière empirique, le rôle de l’expérience et son lien à la connaissance, en nous intéressant au cas d’un site web dédié aux personnes souffrant d’incontinence. Le terme « connaissance par l’expérience » peut prêter à confusion s’il est défini en termes de « situations vécues par une personne », fonctionnant comme fondements de cette « connaissance expérientielle ». Cette conception fondamentaliste de la connaissance expérientielle conduit aux problèmes de l’indistinction, de l’incontestabilité et de l’authenticité de cette connaissance. Notre analyse montre comment les participants structurent et transforment leurs expériences, par exemple en collectant, relatant et révisant des moments individuels, et en les interprétant activement. Toute expérience n’est pas considérée comme une donnée valide pour la « connaissance ». Nous suggérons que, relativement à la connaissance, « l’expérience » doit être définie en termes de « faire l’expérience avec », plutôt qu’en termes de « situations vécues par une personne ». L’expérience comme « vécu » n’est pas alors quelque chose qui fonde la connaissance expérientielle, mais qui prend la forme de savoir-faire, de possibilités interprétatives et de compétences, qui ne sont pas liées exclusivement à un sujet particulier. Analyser la connaissance expérientielle de cette manière permet de la spécifier en termes de connaissance pratique qui peut être contestée par d’autres personnes (plus) expérimentées et qui peut être transférée à d’autres qui sont toujours en train d’essayer d’acquérir des compétences. Ces compétences peuvent aider dans la tentative de re-configurer l’expérience autrement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=42240 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt