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accueil Articles Petites annonces Boutique Contact mon Panier : 0 article Intervenir avec des musiciens en tant que kinésithérapeute : une lecture croisée d'articles / Céleste Rousseau in Kinésithérapie scientifique, 651 (mars 2023)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 651 (mars 2023) . - p. 39-42 Titre : accueil Articles Petites annonces Boutique Contact mon Panier : 0 article Intervenir avec des musiciens en tant que kinésithérapeute : une lecture croisée d'articles Type de document : texte imprimé Auteurs : Céleste Rousseau Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 39-42 Langues : Français (fre) Mots-clés : troubles musculo-squelettiques  musicien Résumé : Les troubles musculo-squelettiques liés à l’exécution musicale (ou, autrement dit, à la performance instrumentale) ont été définis comme tout/toute « douleur, faiblesse, perte de contrôle, engourdissement, fourmillement ou tout autre symptôme qui interagirait avec la capacité [du musicien] à jouer au niveau auquel il est habitué », en excluant les symptômes légers et transitoires qui n’affecteraient pas le jeu instrumental. Ces troubles affectent principalement les membres supérieurs et la colonne vertébrale des musiciennes et des musiciens. Ils sont bien sûr de différentes natures, à la fois selon les individus et la variété des « allures de la vie » dirait Canguilhem, mais également du fait de l’existence d’une myriade d’instruments de musique et de fait, de moult postures instrumentales différentes d’une famille d’instruments à une autre et au sein même de celle-ci. Nous, kinésithérapeutes, avons un rôle majeur à jouer auprès de ces professionnels, de ces étudiants, de ces amateurs.De nombreuses études se sont intéressées à évaluer, traiter, prévenir les troubles musculo-squelettiques liés à la performance instrumentale. Il s’agit de savoir de quelle façon. C’est la question que se sont posées Jessica Stanhope et al. dans la revue systématique : « Have musicians' musculoskeletal symptoms been thoroughly addressed ? », c’est-à-dire, peut-on considérer que les troubles musculo-squelettiques des musiciens ont été minutieusement traités ?.Pour apporter des éléments de réponse complémentaires et postérieurs à ladite revue, nous discuterons également d’un article décrivant une approche dite « centrée sur le musicien » pour gérer ces troubles ainsi qu’un essai contrôlé randomisé s’intéressant à la faisabilité et à l’influence d’une intervention préventive chez des étudiants musiciens. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109365 [article] accueil Articles Petites annonces Boutique Contact mon Panier : 0 article Intervenir avec des musiciens en tant que kinésithérapeute : une lecture croisée d'articles [texte imprimé] / Céleste Rousseau . - 2023 . - p. 39-42. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 651 (mars 2023) . - p. 39-42 Mots-clés : troubles musculo-squelettiques  musicien Résumé : Les troubles musculo-squelettiques liés à l’exécution musicale (ou, autrement dit, à la performance instrumentale) ont été définis comme tout/toute « douleur, faiblesse, perte de contrôle, engourdissement, fourmillement ou tout autre symptôme qui interagirait avec la capacité [du musicien] à jouer au niveau auquel il est habitué », en excluant les symptômes légers et transitoires qui n’affecteraient pas le jeu instrumental. Ces troubles affectent principalement les membres supérieurs et la colonne vertébrale des musiciennes et des musiciens. Ils sont bien sûr de différentes natures, à la fois selon les individus et la variété des « allures de la vie » dirait Canguilhem, mais également du fait de l’existence d’une myriade d’instruments de musique et de fait, de moult postures instrumentales différentes d’une famille d’instruments à une autre et au sein même de celle-ci. Nous, kinésithérapeutes, avons un rôle majeur à jouer auprès de ces professionnels, de ces étudiants, de ces amateurs.De nombreuses études se sont intéressées à évaluer, traiter, prévenir les troubles musculo-squelettiques liés à la performance instrumentale. Il s’agit de savoir de quelle façon. C’est la question que se sont posées Jessica Stanhope et al. dans la revue systématique : « Have musicians' musculoskeletal symptoms been thoroughly addressed ? », c’est-à-dire, peut-on considérer que les troubles musculo-squelettiques des musiciens ont été minutieusement traités ?.Pour apporter des éléments de réponse complémentaires et postérieurs à ladite revue, nous discuterons également d’un article décrivant une approche dite « centrée sur le musicien » pour gérer ces troubles ainsi qu’un essai contrôlé randomisé s’intéressant à la faisabilité et à l’influence d’une intervention préventive chez des étudiants musiciens. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109365

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Développement de vignettes cliniques pour favoriser l'apprentissage du raisonnement clinique en physiothérapie / Joseph-Omer Dyer in Kinésithérapie scientifique, 651 (mars 2023)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 651 (mars 2023) . - p. 5-15 Titre : Développement de vignettes cliniques pour favoriser l'apprentissage du raisonnement clinique en physiothérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : Joseph-Omer Dyer ; Maya Hammoud Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 5-15 Langues : Français (fre) Mots-clés : Raisonnement clinique  Kinésithérapie (spécialité)  vignette clinique Résumé : Le raisonnement clinique (RC) est au cœur de l’expertise des professionnels de la santé. En effet, il permet aux cliniciens de choisir, entre autres, les évaluations et les interventions les plus appropriées pour les besoins du client. À cet égard, le RC est mentionné dans la compétence d’expertise du Profil des compétences essentielles des physiothérapeutes au Canada(1). Il y est notamment mentionné que les physiothérapeutes doivent être capables « d’adopter une pratique fondée sur les données probantes », ce qui inclut « de prendre des décisions en fonction d’un cadre de raisonnement clinique établi. ». Ainsi, il est bien établi que le RC constitue un élément clé de la qualité de la pratique en physiothérapie. Cependant, il n’est pas clair quelles sont les meilleures stratégies pédagogiques pour favoriser son développement chez les étudiants et les cliniciens en exercice.L’apprentissage basé sur des cas cliniques (Case-based learning) est fréquemment utilisé en pédagogie des professions de la santé. Cette stratégie consiste à présenter un cas que les apprenants doivent résoudre en utilisant les connaissances qu’ils ont préalablement acquises. L’apprentissage basé sur des cas cliniques (ABC) a été utilisé pour favoriser l’apprentissage du raisonnement clinique dans différentes professions de la santé, incluant la physiothérapie.Plusieurs études ont investigué l’utilisation de l’ABC et leurs résultats suggèrent qu’il s’agit d’une stratégie avantageuse pour développer le RC en physiothérapie [5, 6]. En revanche, il existe encore peu de recommandations sur la manière dont ces activités devraient être conçues pour optimiser le développement du RC des apprenants. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109368 [article] Développement de vignettes cliniques pour favoriser l'apprentissage du raisonnement clinique en physiothérapie [texte imprimé] / Joseph-Omer Dyer ; Maya Hammoud . - 2023 . - p. 5-15. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 651 (mars 2023) . - p. 5-15 Mots-clés : Raisonnement clinique  Kinésithérapie (spécialité)  vignette clinique Résumé : Le raisonnement clinique (RC) est au cœur de l’expertise des professionnels de la santé. En effet, il permet aux cliniciens de choisir, entre autres, les évaluations et les interventions les plus appropriées pour les besoins du client. À cet égard, le RC est mentionné dans la compétence d’expertise du Profil des compétences essentielles des physiothérapeutes au Canada(1). Il y est notamment mentionné que les physiothérapeutes doivent être capables « d’adopter une pratique fondée sur les données probantes », ce qui inclut « de prendre des décisions en fonction d’un cadre de raisonnement clinique établi. ». Ainsi, il est bien établi que le RC constitue un élément clé de la qualité de la pratique en physiothérapie. Cependant, il n’est pas clair quelles sont les meilleures stratégies pédagogiques pour favoriser son développement chez les étudiants et les cliniciens en exercice.L’apprentissage basé sur des cas cliniques (Case-based learning) est fréquemment utilisé en pédagogie des professions de la santé. Cette stratégie consiste à présenter un cas que les apprenants doivent résoudre en utilisant les connaissances qu’ils ont préalablement acquises. L’apprentissage basé sur des cas cliniques (ABC) a été utilisé pour favoriser l’apprentissage du raisonnement clinique dans différentes professions de la santé, incluant la physiothérapie.Plusieurs études ont investigué l’utilisation de l’ABC et leurs résultats suggèrent qu’il s’agit d’une stratégie avantageuse pour développer le RC en physiothérapie [5, 6]. En revanche, il existe encore peu de recommandations sur la manière dont ces activités devraient être conçues pour optimiser le développement du RC des apprenants. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109368

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Endométriose, que peut faire le kinésithérapeute ? / Sophie Conrard in Kinésithérapie scientifique, 651 (mars 2023)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 651 (mars 2023) . - p. 48-52 Titre : Endométriose, que peut faire le kinésithérapeute ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Conrard Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 48-52 Langues : Français (fre) Mots-clés : Endométriose  PERINEOLOGIE  Douleur pelvienne  Pelvi-périnéologie Résumé : Nous vous proposons le compte-rendu d’une session proposée par le Collège de la masso-kinésithérapie (CMK) lors du congrès inter-disciplinaire Paris Santé Femme, qui s’est déroulé à Paris du 11 au 13 mai 2022. Cette intervention était proposée par Guillaume Carnaux, Delphine Lelong et Blandine Liagre-Weerts, masseurs-kinésithérapeutes DE et membres de l’Association française de rééducation en pelvi-périnéologie (Afrepp). De quoi parle-t-on ? L’endométriose est la présence anormale de tissu endométrial à des endroits où il ne devrait pas y en avoir. Il existe plusieurs types d’atteintes : endométriose superficielle, endométriome, endométriose pelvienne profonde, endométriose extrapelvienne, adénomyose Elle touche 10 à 15 % des femmes en âge de procréer. Mais il faut savoir que 40 % des femmes souffrent de douleurs pelviennes chroniques et qu’il ne s’agit pas forcément d’une endométriose. Dans les cas d’endométriose pelvienne profonde, les ligaments utéro-sacrés sont souvent touchés (52,7 % des cas). Suivent le tube digestif (22,7 %), le vagin (16,2 %), la vessie (6,3 %) et l’uretère (2,1 %). L’endométriose est parfois asymptomatique, et découverte par hasard lors d’un bilan de fertilité. Mais souvent, elle engendre des douleurs. La présentation clinique est hétérogène : infertilité, douleurs pelviennes chroniques, dysménorrhées, dyspareunies, troubles ano-rectaux, troubles vésico-sphinctériens, avec une recrudescence en période prémenstruelle. Autant de troubles qu’un kinésithérapeute exerçant dans le domaine de la pelvi-périnéologie est fréquemment amené à prendre en charge. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109369 [article] Endométriose, que peut faire le kinésithérapeute ? [texte imprimé] / Sophie Conrard . - 2023 . - p. 48-52. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 651 (mars 2023) . - p. 48-52 Mots-clés : Endométriose  PERINEOLOGIE  Douleur pelvienne  Pelvi-périnéologie Résumé : Nous vous proposons le compte-rendu d’une session proposée par le Collège de la masso-kinésithérapie (CMK) lors du congrès inter-disciplinaire Paris Santé Femme, qui s’est déroulé à Paris du 11 au 13 mai 2022. Cette intervention était proposée par Guillaume Carnaux, Delphine Lelong et Blandine Liagre-Weerts, masseurs-kinésithérapeutes DE et membres de l’Association française de rééducation en pelvi-périnéologie (Afrepp). De quoi parle-t-on ? L’endométriose est la présence anormale de tissu endométrial à des endroits où il ne devrait pas y en avoir. Il existe plusieurs types d’atteintes : endométriose superficielle, endométriome, endométriose pelvienne profonde, endométriose extrapelvienne, adénomyose Elle touche 10 à 15 % des femmes en âge de procréer. Mais il faut savoir que 40 % des femmes souffrent de douleurs pelviennes chroniques et qu’il ne s’agit pas forcément d’une endométriose. Dans les cas d’endométriose pelvienne profonde, les ligaments utéro-sacrés sont souvent touchés (52,7 % des cas). Suivent le tube digestif (22,7 %), le vagin (16,2 %), la vessie (6,3 %) et l’uretère (2,1 %). L’endométriose est parfois asymptomatique, et découverte par hasard lors d’un bilan de fertilité. Mais souvent, elle engendre des douleurs. La présentation clinique est hétérogène : infertilité, douleurs pelviennes chroniques, dysménorrhées, dyspareunies, troubles ano-rectaux, troubles vésico-sphinctériens, avec une recrudescence en période prémenstruelle. Autant de troubles qu’un kinésithérapeute exerçant dans le domaine de la pelvi-périnéologie est fréquemment amené à prendre en charge. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109369

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Examen clinique et prise en charge de l'entorse récente de cheville 2. Évaluation multidimensionnelle post-entorse latérale de cheville / Pierre-Yves Froideval in Kinésithérapie scientifique, 651 (mars 2023)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 651 (mars 2023) . - p. 17-23 Titre : Examen clinique et prise en charge de l'entorse récente de cheville 2. Évaluation multidimensionnelle post-entorse latérale de cheville Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre-Yves Froideval ; Brice Picot Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 17-23 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cheville  Entorse de la cheville  Examen physique  examen clinique Résumé : L’entorse latérale de la cheville se définit comme une atteinte ligamentaire touchant principalement le compartiment latéral de la cheville, avec environ 80 % de lésion du ligament talo-fibulaire antérieur (LTFA). Le mécanisme lésionnel le plus fréquent correspond à une combinaison de supination et de rotation médiale du pied.Ce traumatisme reste à ce jour le plus fréquent avec une incidence de 6 500 cas par jour en France et 2 millions par an aux États-Unis. Cependant, on estime que ce chiffre est à multiplier par 2 au minimum car la majorité des patients ne consulte pas à la suite de ce traumatisme.L'entorse de la cheville était autrefois le type de blessure le plus fréquent chez les joueurs de football professionnels, représentant 10 à 36 % de l'ensemble des blessures, mais des études récentes font état d'un taux plus faible de blessures à la cheville,représentant 10 à 15 % de l'ensemble des blessures.Cette tendance à la baisse peut s'expliquer par le succès des stratégies de prévention des blessures (par exemple, l'entraînement de l'équilibre et l'utilisation d'attelles), par des règles de jeu plus strictes et par une culture de déclaration plus détaillée des soustypes de blessures spécifiques. Par ailleurs, moins de 10 % des patients qui ont consulté vont suivre une rééducation dans le mois qui suit la blessure.Enfin, la cheville est la région présentant le plus de diagnostics erronés dans les services d’urgences.Le kinésithérapeute a un rôle primordial car il est souvent le premier praticien à intervenir au moment de la blessure notamment dans la pratique sportive. L’objectif de l’examen clinique sur le terrain consiste donc à éliminer la présence de drapeaux rouges ou de facteurs de gravité pouvant conduire à un pronostic défavorable pour le patient si la lésion n’est pas prise en charge rapidement (fracture, atteinte nerveuse...).Le diagnostic médical pourra être posé plus précisément dans un second temps. Dans la mesure où la précision des tests cliniques ligamentaires de la cheville est faible dans les premières heures qui suivent la lésion [3], il est préférable de les reporter (4 à 6 jours) pour définir plus précisément le type (structure(s) ligamentaire(s) touchée(s) et la gravité de la lésion (Grades 1 à 3). L’objectif de ce travail est de présenter les différentes conduites à tenir au moment de la blessure (réorientation ou non du sportif),puis d’énoncer les évaluations post-entorse latérale de la cheville qui font consensus pour optimiser et individualiser la prise en charge.Dans ce numéro, les différents tests fonctionnels et scores fonctionnels qui permettent au kinésithérapeute de prendre une décision plus précise pour le retour au sport seront détaillés. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109370 [article] Examen clinique et prise en charge de l'entorse récente de cheville 2. Évaluation multidimensionnelle post-entorse latérale de cheville [texte imprimé] / Pierre-Yves Froideval ; Brice Picot . - 2023 . - p. 17-23. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 651 (mars 2023) . - p. 17-23 Mots-clés : Cheville  Entorse de la cheville  Examen physique  examen clinique Résumé : L’entorse latérale de la cheville se définit comme une atteinte ligamentaire touchant principalement le compartiment latéral de la cheville, avec environ 80 % de lésion du ligament talo-fibulaire antérieur (LTFA). Le mécanisme lésionnel le plus fréquent correspond à une combinaison de supination et de rotation médiale du pied.Ce traumatisme reste à ce jour le plus fréquent avec une incidence de 6 500 cas par jour en France et 2 millions par an aux États-Unis. Cependant, on estime que ce chiffre est à multiplier par 2 au minimum car la majorité des patients ne consulte pas à la suite de ce traumatisme.L'entorse de la cheville était autrefois le type de blessure le plus fréquent chez les joueurs de football professionnels, représentant 10 à 36 % de l'ensemble des blessures, mais des études récentes font état d'un taux plus faible de blessures à la cheville,représentant 10 à 15 % de l'ensemble des blessures.Cette tendance à la baisse peut s'expliquer par le succès des stratégies de prévention des blessures (par exemple, l'entraînement de l'équilibre et l'utilisation d'attelles), par des règles de jeu plus strictes et par une culture de déclaration plus détaillée des soustypes de blessures spécifiques. Par ailleurs, moins de 10 % des patients qui ont consulté vont suivre une rééducation dans le mois qui suit la blessure.Enfin, la cheville est la région présentant le plus de diagnostics erronés dans les services d’urgences.Le kinésithérapeute a un rôle primordial car il est souvent le premier praticien à intervenir au moment de la blessure notamment dans la pratique sportive. L’objectif de l’examen clinique sur le terrain consiste donc à éliminer la présence de drapeaux rouges ou de facteurs de gravité pouvant conduire à un pronostic défavorable pour le patient si la lésion n’est pas prise en charge rapidement (fracture, atteinte nerveuse...).Le diagnostic médical pourra être posé plus précisément dans un second temps. Dans la mesure où la précision des tests cliniques ligamentaires de la cheville est faible dans les premières heures qui suivent la lésion [3], il est préférable de les reporter (4 à 6 jours) pour définir plus précisément le type (structure(s) ligamentaire(s) touchée(s) et la gravité de la lésion (Grades 1 à 3). L’objectif de ce travail est de présenter les différentes conduites à tenir au moment de la blessure (réorientation ou non du sportif),puis d’énoncer les évaluations post-entorse latérale de la cheville qui font consensus pour optimiser et individualiser la prise en charge.Dans ce numéro, les différents tests fonctionnels et scores fonctionnels qui permettent au kinésithérapeute de prendre une décision plus précise pour le retour au sport seront détaillés. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109370

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L'identification et le questionnement de la posture des patients soignés en kinésithérapie vis-à-vis des professionnels et de la gestion de leur santé Résultats d'enquêtes et propositions de recommandations / Bernard Sémichon in Kinésithérapie scientifique, 651 (mars 2023)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 651 (mars 2023) . - p. 25-34 Titre : L'identification et le questionnement de la posture des patients soignés en kinésithérapie vis-à-vis des professionnels et de la gestion de leur santé Résultats d'enquêtes et propositions de recommandations Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Sémichon Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 25-34 Langues : Français (fre) Mots-clés : Guide de bonnes pratiques  Posture  patient partenaire  Savoir expérientiel Résumé : La loi du 4 mars 2002 avait pour objectif de mieux répondre aux attentes des malades, d'améliorer leurs droits et de définir le rôle des professionnels de santé. 20 ans après, il nous est apparu pertinent d’analyser la posture des patients vis-à-vis de leur kinésithérapeute, leur médecin et le système de santé en général.Il est cherché à identifier et à questionner la posture des patients soignés en kinésithérapie vis-à-vis de la gestion de leur santé.Pour ce faire, nous avons réalisé une enquête auprès de trois patients selon une méthode quasi-clinique qui s’inscrit dans un paradigme phénoménologique avec une logique qualitative.Les résultats des enquêtes montrent que les patients sont plutôt en attente d’occuper une posture d’auteur dans un modèle de santé complexe alors que les professionnels de santé ne sont pas toujours au diapason de ces attentes. Cela est certainement dû à un manque de formation en sciences de l’éducation plus particulièrement dans le domaine de la communication et du management.Les apports de ces résultats seraient de valoriser la posture de coauteur désirée par les patients par une formation plus aboutie en sciences de l’éducation pour les kinésithérapeutes, les médecins et les professionnels de santé de manière plus générale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109373 [article] L'identification et le questionnement de la posture des patients soignés en kinésithérapie vis-à-vis des professionnels et de la gestion de leur santé Résultats d'enquêtes et propositions de recommandations [texte imprimé] / Bernard Sémichon . - 2023 . - p. 25-34. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 651 (mars 2023) . - p. 25-34 Mots-clés : Guide de bonnes pratiques  Posture  patient partenaire  Savoir expérientiel Résumé : La loi du 4 mars 2002 avait pour objectif de mieux répondre aux attentes des malades, d'améliorer leurs droits et de définir le rôle des professionnels de santé. 20 ans après, il nous est apparu pertinent d’analyser la posture des patients vis-à-vis de leur kinésithérapeute, leur médecin et le système de santé en général.Il est cherché à identifier et à questionner la posture des patients soignés en kinésithérapie vis-à-vis de la gestion de leur santé.Pour ce faire, nous avons réalisé une enquête auprès de trois patients selon une méthode quasi-clinique qui s’inscrit dans un paradigme phénoménologique avec une logique qualitative.Les résultats des enquêtes montrent que les patients sont plutôt en attente d’occuper une posture d’auteur dans un modèle de santé complexe alors que les professionnels de santé ne sont pas toujours au diapason de ces attentes. Cela est certainement dû à un manque de formation en sciences de l’éducation plus particulièrement dans le domaine de la communication et du management.Les apports de ces résultats seraient de valoriser la posture de coauteur désirée par les patients par une formation plus aboutie en sciences de l’éducation pour les kinésithérapeutes, les médecins et les professionnels de santé de manière plus générale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109373

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Relation entre la force de préhension et la santé de la coiffe des rotateurs : pistes en rééducation et suivi du sportif / Erwin Brandt in Kinésithérapie scientifique, 651 (mars 2023)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 651 (mars 2023) . - p. 35-37 Titre : Relation entre la force de préhension et la santé de la coiffe des rotateurs : pistes en rééducation et suivi du sportif Type de document : texte imprimé Auteurs : Erwin Brandt Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 35-37 Langues : Français (fre) Mots-clés : Épaule  Coiffe des rotateurs  sportif  Douleurs Résumé : Les douleurs d’épaule liées à la coiffe des rotateurs font partie des affections musculo-squelettiques les plus courantes, avec une proportion d’autant plus importante dans les sports dit « over-head ». Les muscles de la coiffe font partie des muscles clés de la stabilisation de l’épaule, à la fois de façon statique et dynamique de par leur orientation et localisation autour de l’épaule. Ils permettent également une large palette de mouvement, notamment en rotation.Plusieurs études rapportent la présence d'une faiblesse ou d'un recrutement sous-optimal de la coiffe des rotateurs chez les patients présentant un conflit sous-acromial. De plus, l'existence d'un déséquilibre entre les groupes musculaires agonistes et antagonistes s'est avérée être l'un des principaux facteurs de risque de développer des blessures à l'épaule. Une réduction de la force des rotateurs latéraux est susceptible d'entraîner des blessures. En conséquence, l’amélioration de la force des muscles de l'épaule est généralement nécessaire pendant le processus de rééducation après une blessure à l'épaule.Une des clés de la prise en charge de l’épaule du sportif est de ne pas considérer l’articulation comme une entité isolée, mais comme faisant partie d’une chaîne cinétique complexe, dont la synergie favorise la performance. Dans ce sens, nous décrirons dans cet article les liens existants entre la force de préhension et l’activité des muscles de la coiffe, et l’intérêt clinique pour notre pratique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109381 [article] Relation entre la force de préhension et la santé de la coiffe des rotateurs : pistes en rééducation et suivi du sportif [texte imprimé] / Erwin Brandt . - 2023 . - p. 35-37. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 651 (mars 2023) . - p. 35-37 Mots-clés : Épaule  Coiffe des rotateurs  sportif  Douleurs Résumé : Les douleurs d’épaule liées à la coiffe des rotateurs font partie des affections musculo-squelettiques les plus courantes, avec une proportion d’autant plus importante dans les sports dit « over-head ». Les muscles de la coiffe font partie des muscles clés de la stabilisation de l’épaule, à la fois de façon statique et dynamique de par leur orientation et localisation autour de l’épaule. Ils permettent également une large palette de mouvement, notamment en rotation.Plusieurs études rapportent la présence d'une faiblesse ou d'un recrutement sous-optimal de la coiffe des rotateurs chez les patients présentant un conflit sous-acromial. De plus, l'existence d'un déséquilibre entre les groupes musculaires agonistes et antagonistes s'est avérée être l'un des principaux facteurs de risque de développer des blessures à l'épaule. Une réduction de la force des rotateurs latéraux est susceptible d'entraîner des blessures. En conséquence, l’amélioration de la force des muscles de l'épaule est généralement nécessaire pendant le processus de rééducation après une blessure à l'épaule.Une des clés de la prise en charge de l’épaule du sportif est de ne pas considérer l’articulation comme une entité isolée, mais comme faisant partie d’une chaîne cinétique complexe, dont la synergie favorise la performance. Dans ce sens, nous décrirons dans cet article les liens existants entre la force de préhension et l’activité des muscles de la coiffe, et l’intérêt clinique pour notre pratique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109381

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Toujours plus compétent / Christian Dauzac in Kinésithérapie scientifique, 651 (mars 2023)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie scientifique > 651 (mars 2023) . - p. 1 Titre : Toujours plus compétent Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Dauzac Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 1 Langues : Français (fre) Mots-clés : Formation professionnelle  Résolution de problème Résumé : Écouter, observer, examiner un patient, n’est-ce pas la partie émergée d’un iceberg, celle qui le rassure alors qu’il vient d’exprimer ses problèmes ? Au-delà des données de l’interrogatoire et de l’examen, la situation clinique rencontrée va entraîner, du côté du praticien, un processus de pensée et une prise de décision, autrement dit un raisonnement clinique. Cette démarche, non visible aux yeux du malade, s’appuyant sur les connaissances et les expériences précédentes, repose sur un praticien à qui on demande d’être toujours plus compétent. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109383 [article] Toujours plus compétent [texte imprimé] / Christian Dauzac . - 2023 . - p. 1. Langues : Français (fre) in Kinésithérapie scientifique > 651 (mars 2023) . - p. 1 Mots-clés : Formation professionnelle  Résolution de problème Résumé : Écouter, observer, examiner un patient, n’est-ce pas la partie émergée d’un iceberg, celle qui le rassure alors qu’il vient d’exprimer ses problèmes ? Au-delà des données de l’interrogatoire et de l’examen, la situation clinique rencontrée va entraîner, du côté du praticien, un processus de pensée et une prise de décision, autrement dit un raisonnement clinique. Cette démarche, non visible aux yeux du malade, s’appuyant sur les connaissances et les expériences précédentes, repose sur un praticien à qui on demande d’être toujours plus compétent. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109383

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