Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Octobre 2022 Paru le : 01/10/2022 |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierÉcouter les enfants et les jeunes concernés par la santé mentale / Ann Morissens in Santé & société [périodique électronique], 3 (Octobre 2022)
[article]
Titre : Écouter les enfants et les jeunes concernés par la santé mentale : Résumé du rapport de l’UNICEF des enfants et des jeunes concernés par la santé mentale en Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Ann Morissens Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 76 - 80 Langues : Français (fre) Mots-clés : Jeunes adultes -- Santé mentale Adolescents -- Santé mentale Enfants -- Santé mentale Hospitalisation Santé mentale -- Politique publique Résumé : "Dans cet article, nous présentons les principaux résultats du rapport de l’UNICEF : enfants et jeunes avec des problèmes de santé mentale. Dans ce rapport, les enfants et les jeunes
parlent de leurs expériences pendant une hospitalisation, de leurs sentiments, de ce qui leur manque et de ce qu’ils aimeraient voir changer. L’UNICEF a utilisé une méthodologie
intéressante permettant aux enfants et aux jeunes de partager leurs expériences et leurs sentiments de différentes manières, non seulement en en parlant, mais aussi par en dessinant, etc.
Le rapport donne un aperçu intime de la vie des enfants et des jeunes souffrant de problèmes de santé mentale et nous indique où se situent les défis (politiques). Les enfants et les jeunes déplorent que leur voix ne soit pas entendue et que les problèmes de santé mentale fassent encore l’objet de stigmatisation et d’incompréhension. Nous espérons que ce rapport
contribuera positivement à ce que la voix de ce groupe d’enfants vulnérables soit écoutée."En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/493b56ee87d7a271/original/Sante-Societe-n-3.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106228
in Santé & société [périodique électronique] > 3 (Octobre 2022) . - p. 76 - 80[article] Écouter les enfants et les jeunes concernés par la santé mentale : Résumé du rapport de l’UNICEF des enfants et des jeunes concernés par la santé mentale en Belgique [texte imprimé] / Ann Morissens . - 2022 . - p. 76 - 80.
Langues : Français (fre)
in Santé & société [périodique électronique] > 3 (Octobre 2022) . - p. 76 - 80
Mots-clés : Jeunes adultes -- Santé mentale Adolescents -- Santé mentale Enfants -- Santé mentale Hospitalisation Santé mentale -- Politique publique Résumé : "Dans cet article, nous présentons les principaux résultats du rapport de l’UNICEF : enfants et jeunes avec des problèmes de santé mentale. Dans ce rapport, les enfants et les jeunes
parlent de leurs expériences pendant une hospitalisation, de leurs sentiments, de ce qui leur manque et de ce qu’ils aimeraient voir changer. L’UNICEF a utilisé une méthodologie
intéressante permettant aux enfants et aux jeunes de partager leurs expériences et leurs sentiments de différentes manières, non seulement en en parlant, mais aussi par en dessinant, etc.
Le rapport donne un aperçu intime de la vie des enfants et des jeunes souffrant de problèmes de santé mentale et nous indique où se situent les défis (politiques). Les enfants et les jeunes déplorent que leur voix ne soit pas entendue et que les problèmes de santé mentale fassent encore l’objet de stigmatisation et d’incompréhension. Nous espérons que ce rapport
contribuera positivement à ce que la voix de ce groupe d’enfants vulnérables soit écoutée."En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/493b56ee87d7a271/original/Sante-Societe-n-3.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106228 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Le suivi psychologique : accessible en Belgique ? Analyse de l’utilisation des soins de santé mentale ambulatoires par les membres de la MC / Clara Noirhomme in Santé & société [périodique électronique], 3 (Octobre 2022)
[article]
Titre : Le suivi psychologique : accessible en Belgique ? Analyse de l’utilisation des soins de santé mentale ambulatoires par les membres de la MC Type de document : texte imprimé Auteurs : Clara Noirhomme Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 28-51 Langues : Français (fre) Mots-clés : Discrimination sexuelle Droit à la santé Hôpitaux -- Financement Inégalités sociales de santé Santé mentale Services de santé mentale Soins médicaux -- Financement Soins médicaux -- Coût Résumé : "Partant du constat des besoins de soins de santé mentale plus élevés pour certains groupes – les femmes, les personnes actives, pauvres, racisées – cette étude a pour double objectif
d’évaluer l’utilisation des soins de santé mentale ambulatoires (consultations chez le psychiatre et le psychologue) et d’identifier les obstacles à l’accès à ces soins. Pour ce faire, plusieurs types de données sont utilisées : celles de l’enquête de santé de Sciensano (2018), de l’enquête de la MC sur la prévalence des problèmes psychologiques et la recherche d’aide (2019), les données d’utilisation des soins des membres de la MC (2021) et les listings de prestataires de l’INAMI et de la commission des psychologues (2022). L’analyse de ces données nous permet d’observer que si ces publics n’utilisent pas les soins dans une mesure proportionnelle à leurs besoins, c’est en raison des freins rencontrés dans les quatre dimensions de l’accessibilité : l’incapacité à identifier ses besoins en santé mentale (sensibilité), la réticence à chercher des services (acceptabilité), l’incapacité à payer les services (accessibilité financière) et l’incapacité à atteindre les services ou les patient·es (disponibilité). Les femmes sont ainsi moins sceptiques que les hommes envers l’aide professionnelle, mais elles sous-rapportent leurs problèmes et mettent en avant des inquiétudes liées au coût des soins et au temps disponible pour en bénéficier. Les personnes ayant des difficultés financières, quant à elles, ont davantage honte d’avoir recours à l’aide professionnelle et sont les plus nombreuses à indiquer qu’elles s’inquiètent des coûts des soins, de façon légitime puisque les soins qui ne sont pas remboursés par l’assurance obligatoire leur restent largement inaccessibles financièrement. Elles utilisent ainsi ces soins psychologiques dans une moindre mesure. En outre, l’offre de prestataires est inégalement distribuée sur le territoire. Tant de difficultés qui débouchent sur des recommandations qui découlent des résultats de notre étude et qui insistent notamment sur l’importance de mesures proportionnées qui permettraient d’atteindre des résultats similaires dans tous les publics."Note de contenu : Bibliographie p. 51 En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/493b56ee87d7a271/original/Sante-Societe-n-3.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106230
in Santé & société [périodique électronique] > 3 (Octobre 2022) . - p. 28-51[article] Le suivi psychologique : accessible en Belgique ? Analyse de l’utilisation des soins de santé mentale ambulatoires par les membres de la MC [texte imprimé] / Clara Noirhomme . - 2022 . - p. 28-51.
Langues : Français (fre)
in Santé & société [périodique électronique] > 3 (Octobre 2022) . - p. 28-51
Mots-clés : Discrimination sexuelle Droit à la santé Hôpitaux -- Financement Inégalités sociales de santé Santé mentale Services de santé mentale Soins médicaux -- Financement Soins médicaux -- Coût Résumé : "Partant du constat des besoins de soins de santé mentale plus élevés pour certains groupes – les femmes, les personnes actives, pauvres, racisées – cette étude a pour double objectif
d’évaluer l’utilisation des soins de santé mentale ambulatoires (consultations chez le psychiatre et le psychologue) et d’identifier les obstacles à l’accès à ces soins. Pour ce faire, plusieurs types de données sont utilisées : celles de l’enquête de santé de Sciensano (2018), de l’enquête de la MC sur la prévalence des problèmes psychologiques et la recherche d’aide (2019), les données d’utilisation des soins des membres de la MC (2021) et les listings de prestataires de l’INAMI et de la commission des psychologues (2022). L’analyse de ces données nous permet d’observer que si ces publics n’utilisent pas les soins dans une mesure proportionnelle à leurs besoins, c’est en raison des freins rencontrés dans les quatre dimensions de l’accessibilité : l’incapacité à identifier ses besoins en santé mentale (sensibilité), la réticence à chercher des services (acceptabilité), l’incapacité à payer les services (accessibilité financière) et l’incapacité à atteindre les services ou les patient·es (disponibilité). Les femmes sont ainsi moins sceptiques que les hommes envers l’aide professionnelle, mais elles sous-rapportent leurs problèmes et mettent en avant des inquiétudes liées au coût des soins et au temps disponible pour en bénéficier. Les personnes ayant des difficultés financières, quant à elles, ont davantage honte d’avoir recours à l’aide professionnelle et sont les plus nombreuses à indiquer qu’elles s’inquiètent des coûts des soins, de façon légitime puisque les soins qui ne sont pas remboursés par l’assurance obligatoire leur restent largement inaccessibles financièrement. Elles utilisent ainsi ces soins psychologiques dans une moindre mesure. En outre, l’offre de prestataires est inégalement distribuée sur le territoire. Tant de difficultés qui débouchent sur des recommandations qui découlent des résultats de notre étude et qui insistent notamment sur l’importance de mesures proportionnées qui permettraient d’atteindre des résultats similaires dans tous les publics."Note de contenu : Bibliographie p. 51 En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/493b56ee87d7a271/original/Sante-Societe-n-3.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106230 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire L’impact de la pandémie de COVID-19 sur la santé mentale des enfants et des adolescent·es en Belgique / Ann Morissens in Santé & société [périodique électronique], 3 (Octobre 2022)
[article]
Titre : L’impact de la pandémie de COVID-19 sur la santé mentale des enfants et des adolescent·es en Belgique : Une enquête qualitative auprès des professionnel·les sur les besoins, les obstacles et les solutions en matière de santé mentale Type de document : texte imprimé Auteurs : Ann Morissens ; Rebekka Verniest ; Clara Noirhomme ; Svetlana Sholokhova Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 52-75 Langues : Français (fre) Mots-clés : Covid-19 Santé mentale Enfants -- Santé mentale Adolescents -- Santé mentale Télémédecine Recherche qualitative Droit à la santé Petite enfance -- Soins Résumé : "La pandémie de COVID-19 et les mesures restrictives associées ont eu un impact majeur sur notre société. Une attention particulière a été accordée aux conséquences sur la santé mentale, en particulier celle des enfants et des adolescent·es. Les signaux qui ont émergé à ce sujet étaient souvent alarmants. Sur la base des résultats de notre précédente étude quantitative sur l’impact de la pandémie de COVID-19 sur l’utilisation des soins de santé mentale par les enfants et les adolescent·es, nous avions déjà des indications de détérioration de la santé mentale (Sholokhova, Noirhomme, Morissens, & Verniest, 2021). Afin de mieux comprendre la réalité qui se cache derrière ces chiffres, nous avons également lancé une étude qualitative. Nous avons interrogé des profils très diversifiés de personnes qui travaillent quotidiennement avec des enfants et des adolescent·es, que ce soit dans le domaine des soins, de l’éducation ou du secteur social. Les professionnel·les interrogé·es ont confirmé que la santé mentale de nombreux enfants et adolescent·es s’est détériorée pendant la pandémie. Ils ont également souligné les différences majeures en fonction du stade de développement dans lequel se trouvent les enfants et les adolescent·es. L’environnement dans lequel ils grandissent est également déterminant. Il est clair que les enfants et les adolescent·es qui grandissent dans des environnements défavorisés sont généralement plus durement touchés. Plusieurs participant·es à cette étude ont également mentionné spécifiquement l’impact de la fermeture des écoles, car l’environnement scolaire joue un rôle important dans le développement des jeunes et peut être un facteur de protection pour le bien-être mental. En outre, les entretiens ont également révélé la grande créativité et flexibilité du terrain pour apporter une réponse à la demande de soins existante et nouvelle, tout en tenant compte des mesures restrictives. Afin de ne pas perdre le contact avec les enfants et les adolescent·es et de pouvoir continuer à les soutenir autant que possible, de nombreuses méthodes innovantes ont été utilisées, telles que la téléconsultation. Bien que ces méthodes aient des avantages et aient prouvé leur valeur ajoutée, les participant·es ont également mentionné certaines limites importantes lors de leur utilisation. Sur la base des signaux du terrain, nous avons formulé quelques recommandations pour mieux soutenir et protéger les enfants et les adolescent·es à l’avenir. Nous sommes pleinement engagés en faveur de soins plus rapides, plus accessibles et plus abordables, de la prévention et de la promotion de la santé mentale et de la recherche d’un outil de suivi. Pour y parvenir, la collaboration et la concertation sont nécessaires, tant entre le gouvernement et le monde professionnel qu’entre les différent·es acteur·rices du terrain." Note de contenu : Bibliographie p. 73-75 En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/493b56ee87d7a271/original/Sante-Societe-n-3.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106231
in Santé & société [périodique électronique] > 3 (Octobre 2022) . - p. 52-75[article] L’impact de la pandémie de COVID-19 sur la santé mentale des enfants et des adolescent·es en Belgique : Une enquête qualitative auprès des professionnel·les sur les besoins, les obstacles et les solutions en matière de santé mentale [texte imprimé] / Ann Morissens ; Rebekka Verniest ; Clara Noirhomme ; Svetlana Sholokhova . - 2022 . - p. 52-75.
Langues : Français (fre)
in Santé & société [périodique électronique] > 3 (Octobre 2022) . - p. 52-75
Mots-clés : Covid-19 Santé mentale Enfants -- Santé mentale Adolescents -- Santé mentale Télémédecine Recherche qualitative Droit à la santé Petite enfance -- Soins Résumé : "La pandémie de COVID-19 et les mesures restrictives associées ont eu un impact majeur sur notre société. Une attention particulière a été accordée aux conséquences sur la santé mentale, en particulier celle des enfants et des adolescent·es. Les signaux qui ont émergé à ce sujet étaient souvent alarmants. Sur la base des résultats de notre précédente étude quantitative sur l’impact de la pandémie de COVID-19 sur l’utilisation des soins de santé mentale par les enfants et les adolescent·es, nous avions déjà des indications de détérioration de la santé mentale (Sholokhova, Noirhomme, Morissens, & Verniest, 2021). Afin de mieux comprendre la réalité qui se cache derrière ces chiffres, nous avons également lancé une étude qualitative. Nous avons interrogé des profils très diversifiés de personnes qui travaillent quotidiennement avec des enfants et des adolescent·es, que ce soit dans le domaine des soins, de l’éducation ou du secteur social. Les professionnel·les interrogé·es ont confirmé que la santé mentale de nombreux enfants et adolescent·es s’est détériorée pendant la pandémie. Ils ont également souligné les différences majeures en fonction du stade de développement dans lequel se trouvent les enfants et les adolescent·es. L’environnement dans lequel ils grandissent est également déterminant. Il est clair que les enfants et les adolescent·es qui grandissent dans des environnements défavorisés sont généralement plus durement touchés. Plusieurs participant·es à cette étude ont également mentionné spécifiquement l’impact de la fermeture des écoles, car l’environnement scolaire joue un rôle important dans le développement des jeunes et peut être un facteur de protection pour le bien-être mental. En outre, les entretiens ont également révélé la grande créativité et flexibilité du terrain pour apporter une réponse à la demande de soins existante et nouvelle, tout en tenant compte des mesures restrictives. Afin de ne pas perdre le contact avec les enfants et les adolescent·es et de pouvoir continuer à les soutenir autant que possible, de nombreuses méthodes innovantes ont été utilisées, telles que la téléconsultation. Bien que ces méthodes aient des avantages et aient prouvé leur valeur ajoutée, les participant·es ont également mentionné certaines limites importantes lors de leur utilisation. Sur la base des signaux du terrain, nous avons formulé quelques recommandations pour mieux soutenir et protéger les enfants et les adolescent·es à l’avenir. Nous sommes pleinement engagés en faveur de soins plus rapides, plus accessibles et plus abordables, de la prévention et de la promotion de la santé mentale et de la recherche d’un outil de suivi. Pour y parvenir, la collaboration et la concertation sont nécessaires, tant entre le gouvernement et le monde professionnel qu’entre les différent·es acteur·rices du terrain." Note de contenu : Bibliographie p. 73-75 En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/493b56ee87d7a271/original/Sante-Societe-n-3.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106231 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Prévention dans le domaine de la santé mentale : Pourquoi, pour qui et comment ? / Svetlana Sholokhova in Santé & société [périodique électronique], 3 (Octobre 2022)
[article]
Titre : Prévention dans le domaine de la santé mentale : Pourquoi, pour qui et comment ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Svetlana Sholokhova Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 4-27 Langues : Français (fre) Mots-clés : Prévention Psychothérapie Santé mentale Santé mentale -- Politique publique Services de santé mentale Inégalités sociales de santé Résumé : "Les maladies mentales demeurent un problème fondamental de la santé publique : malgré les progrès en psychiatrie et en psychologie, la prévalence des maladies mentales ainsi que leur impact sur la mortalité n’ont pas diminué ces dernières années. L’efficacité des traitements des maladies psychiques reste limitée, surtout s’il ne s’agit pas d’une combinaison entre des traitements médicamenteux et psychothérapeutiques. De plus, encore aujourd’hui beaucoup de personnes ne reçoivent pas ou reçoivent trop tard un suivi par un·e spécialiste. Les limites de l’efficacité du traitement sont également liées au fait que les maladies mentales (tant leur apparition que leur suivi) dépendent fortement des facteurs sociaux, économiques et environnementaux. C’est pourquoi le traitement ne peut pas être une solution unique pour protéger ou améliorer la santé mentale de la population. Ainsi selon l’OMS, « la seule méthode durable pour réduire la charge causée par ces troubles est la prévention » (Organisation mondiale de la Santé, 2004, p. 13). Les recherches scientifiques montrent en effet que la prévention permet d’éviter, au moins partiellement, l’apparition et/ou d’atténuer la gravité des maladies mentales. Dans cet article, nous allons d’abord délimiter le champ de la prévention dans le domaine de la santé mentale : en quoi consistent la prévention des maladies et la promotion de la santé ? Quelle est la spécificité du domaine de la santé mentale ?Pourquoi convient-il de distinguer la souffrance psychique de la maladie mentale ? Et qu’est-ce qui détermine l’apparition d’une maladie mentale ? Dans la deuxième partie, nous déclinerons cette dernière question, sous l’angle du public à risque des maladies mentales." Note de contenu : Bibliographie p. 25-26 En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/493b56ee87d7a271/original/Sante-Societe-n-3.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106232
in Santé & société [périodique électronique] > 3 (Octobre 2022) . - p. 4-27[article] Prévention dans le domaine de la santé mentale : Pourquoi, pour qui et comment ? [texte imprimé] / Svetlana Sholokhova . - 2022 . - p. 4-27.
Langues : Français (fre)
in Santé & société [périodique électronique] > 3 (Octobre 2022) . - p. 4-27
Mots-clés : Prévention Psychothérapie Santé mentale Santé mentale -- Politique publique Services de santé mentale Inégalités sociales de santé Résumé : "Les maladies mentales demeurent un problème fondamental de la santé publique : malgré les progrès en psychiatrie et en psychologie, la prévalence des maladies mentales ainsi que leur impact sur la mortalité n’ont pas diminué ces dernières années. L’efficacité des traitements des maladies psychiques reste limitée, surtout s’il ne s’agit pas d’une combinaison entre des traitements médicamenteux et psychothérapeutiques. De plus, encore aujourd’hui beaucoup de personnes ne reçoivent pas ou reçoivent trop tard un suivi par un·e spécialiste. Les limites de l’efficacité du traitement sont également liées au fait que les maladies mentales (tant leur apparition que leur suivi) dépendent fortement des facteurs sociaux, économiques et environnementaux. C’est pourquoi le traitement ne peut pas être une solution unique pour protéger ou améliorer la santé mentale de la population. Ainsi selon l’OMS, « la seule méthode durable pour réduire la charge causée par ces troubles est la prévention » (Organisation mondiale de la Santé, 2004, p. 13). Les recherches scientifiques montrent en effet que la prévention permet d’éviter, au moins partiellement, l’apparition et/ou d’atténuer la gravité des maladies mentales. Dans cet article, nous allons d’abord délimiter le champ de la prévention dans le domaine de la santé mentale : en quoi consistent la prévention des maladies et la promotion de la santé ? Quelle est la spécificité du domaine de la santé mentale ?Pourquoi convient-il de distinguer la souffrance psychique de la maladie mentale ? Et qu’est-ce qui détermine l’apparition d’une maladie mentale ? Dans la deuxième partie, nous déclinerons cette dernière question, sous l’angle du public à risque des maladies mentales." Note de contenu : Bibliographie p. 25-26 En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/493b56ee87d7a271/original/Sante-Societe-n-3.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106232 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Soins de santé somatiques en institutions psychiatriques / Sigrid Vancorenland in Santé & société [périodique électronique], 3 (Octobre 2022)
[article]
Titre : Soins de santé somatiques en institutions psychiatriques : Résumé du rapport du Centre Fédéral d’Expertise des Soins de santé (KCE) Type de document : texte imprimé Auteurs : Sigrid Vancorenland Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 82-85 Langues : Français (fre) Mots-clés : Santé mentale Psychiatrie Hôpitaux psychiatriques Diabètes Obésité Hypertension artérielle Résumé : "Les personnes atteintes de troubles psychiatriques présentent un risque plus élevé de problèmes somatiques (hypertension, diabète, obésité). Pourtant, elles ont un accès plus difficile aux soins de santé somatiques que la population générale. Le rapport KCE tente de comprendre la cause de cette situation. Pour cela les chercheurs du KCE combinent une étude de la littérature avec des données chiffrées, des entretiens individuels et de groupes de discussion avec des patients et des prestataires de soins (psychiatriques). L’étude se limite aux soins somatiques dans des contextes de soins spécifiques (tels que les hôpitaux psychiatriques) et ne couvre donc pas les soins ambulatoires (psychiatriques ou de santé mentale). Le rapport du KCE identifie plusieurs causes à ce déficit de santé. L’explication se trouve en partie dans les préjugés et le manque de connaissances. En conséquence, les problèmes de santé sont plus souvent attribués à l’état psychiatrique du patient et les problèmes de santé somatiques sont négligés. Une autre explication est que l’organisation des soins somatiques souffre de contraintes administratives et financières. Le rôle et le financement du médecin généraliste et des spécialistes somatiques ne facilitent pas toujours la fourniture des soins somatiques nécessaires aux patients psychiatriques. De même, l’accès aux médicaments ambulatoires pour les maladies préexistantes avant l’hospitalisation est souvent un problème. Enfin, le problème
de la communication et de la continuité des soins est également mentionné, tant à l’admission que pendant le séjour, mais aussi après la sortie. Le rapport du KCE formule un certain nombre de recommandations pour y remédier."En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/493b56ee87d7a271/original/Sante-Societe-n-3.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106233
in Santé & société [périodique électronique] > 3 (Octobre 2022) . - p. 82-85[article] Soins de santé somatiques en institutions psychiatriques : Résumé du rapport du Centre Fédéral d’Expertise des Soins de santé (KCE) [texte imprimé] / Sigrid Vancorenland . - 2022 . - p. 82-85.
Langues : Français (fre)
in Santé & société [périodique électronique] > 3 (Octobre 2022) . - p. 82-85
Mots-clés : Santé mentale Psychiatrie Hôpitaux psychiatriques Diabètes Obésité Hypertension artérielle Résumé : "Les personnes atteintes de troubles psychiatriques présentent un risque plus élevé de problèmes somatiques (hypertension, diabète, obésité). Pourtant, elles ont un accès plus difficile aux soins de santé somatiques que la population générale. Le rapport KCE tente de comprendre la cause de cette situation. Pour cela les chercheurs du KCE combinent une étude de la littérature avec des données chiffrées, des entretiens individuels et de groupes de discussion avec des patients et des prestataires de soins (psychiatriques). L’étude se limite aux soins somatiques dans des contextes de soins spécifiques (tels que les hôpitaux psychiatriques) et ne couvre donc pas les soins ambulatoires (psychiatriques ou de santé mentale). Le rapport du KCE identifie plusieurs causes à ce déficit de santé. L’explication se trouve en partie dans les préjugés et le manque de connaissances. En conséquence, les problèmes de santé sont plus souvent attribués à l’état psychiatrique du patient et les problèmes de santé somatiques sont négligés. Une autre explication est que l’organisation des soins somatiques souffre de contraintes administratives et financières. Le rôle et le financement du médecin généraliste et des spécialistes somatiques ne facilitent pas toujours la fourniture des soins somatiques nécessaires aux patients psychiatriques. De même, l’accès aux médicaments ambulatoires pour les maladies préexistantes avant l’hospitalisation est souvent un problème. Enfin, le problème
de la communication et de la continuité des soins est également mentionné, tant à l’admission que pendant le séjour, mais aussi après la sortie. Le rapport du KCE formule un certain nombre de recommandations pour y remédier."En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/493b56ee87d7a271/original/Sante-Societe-n-3.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106233 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire