Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Mention de date : avril 2022 Paru le : 01/04/2022 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierVécus et besoins des travailleu·r·se·s en fin de carrière / Hélène Henry in Santé & société [périodique électronique], 1 (avril 2022)
[article]
Titre : Vécus et besoins des travailleu·r·se·s en fin de carrière : Etude qualitative sur les aménagements du travail en fin de carrière Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Henry ; Ann Morissens ; Cathy Streel Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 6-37 Langues : Français (fre) Mots-clés : Travailleurs âgés Retraite Flexibilité du travail Résumé : Le relèvement de l’âge de la retraite, introduit lors de la dernière réforme de l’État, n’est pas sans conséquence pour les travailleurs n’ayant plus que quelques années de travail devant eux. Bien que le discours relatif à l’allongement des carrières soit revenu à l’avant de la scène en raison de la récente ambition d’atteindre un taux d’emploi de 80% d’ici 2030, le point de vue des travailleurs âgés est rarement envisagé. C’est pourquoi la présente étude est axée sur les vécus et les besoins des travailleurs de plus de 55 ans. Elle s’intéresse également aux aménagements du travail auxquels les travailleurs ont accès et aux aménagements pouvant les aider en fin de carrière. 41 travailleurs de différents secteurs ont été interrogés. Les résultats, qui sont avant tout exploratoires, sont présentés de manière descriptive. Concernant les vécus en termes de besoins et de difficultés rencontrées en fin de carrière, nous pouvons établir une distinction selon qu’ils résident dans le contexte personnel ou dans le contexte professionnel. Ainsi, sur le plan personnel, les douleurs physiques, la diminution des capacités de concentration et la fatigue rendent l’accomplissement du travail plus difficile avec l’âge. Le souhait de s’occuper de ses parents ou de ses petits-enfants peut également affecter la fin de vie professionnelle. Enfin, la situation financière peut expliquer qu’une réduction du temps de travail soit parfois totalement inenvisageable pour le travailleur, dont la carrière peut commencer à devenir pesante. Sur le plan professionnel, la manière dont le travail est organisé et, particulièrement, les restructurations ou les changements de management donnent souvent lieu à des situations dans lesquelles le bien-être des travailleurs est menacé. Le manque de considération et de reconnaissance envers les travailleurs âgés joue également un rôle à cet égard. Les travailleurs rencontrent également des problèmes en ce qui concerne leurs conditions de travail. Certains horaires (travail posté, travail de nuit) ainsi que les déplacements entre le domicile et le lieu de travail peuvent devenir pesants. En revanche, le télétravail et la possibilité d’avoir des jours de congé complémentaires sont vécus comme des éléments positifs. Dernier point mais non le moindre, les relations interpersonnelles constituent un facteur crucial pour le bien-être en fin de carrière. Concernant les aménagements auxquels les travailleurs en fin de carrière peuvent recourir, il apparaît que, malgré la CCT 104 qui incite les employeurs à mettre en place des aménagements pour les travailleurs âgés, les possibilités pour les obtenir sont souvent limitées. En outre, la plupart des répondants ont déclaré ne pas connaitre l’existence de cette CCT. Cette recherche ne défend pas l’idée de rester au travail à tout prix, mais vise avant tout à mettre l’accent sur les besoins des travailleurs en fin de carrière et à souligner que des aménagements peuvent positivement impacter leur qualité de vie. Sur la base de nos constats, nous formulons une série de pistes de réflexion pour améliorer le bien-être en fin de carrière aux parties impliquées dans le débat sur l’allongement des carrières. Dialoguer et exprimer les souhaits et les besoins dans le cadre de la fin de carrière est important pour les travailleurs et les employeurs. Pour ces derniers, il est important de reconnaître l’expertise de leurs travailleurs âgés et d’être à l’écoute de leurs besoins. Les employeurs devraient miser davantage sur les aménagements du travail envisageables, et il est important que les syndicats continuent d’informer les travailleurs des possibilités d’aménagements existantes. Le monde politique peut également y contribuer en rendant la CCT 104 davantage contraignante quant à l’ampleur de son contenu. Par ailleurs, une attention particulière doit également être accordée aux travailleurs âgés qui s’occupent d’un membre de leur famille. Pour la MC, la santé et le bien-être des travailleurs passent avant tout. C’est pourquoi nous souhaitons formuler une mise en garde contre une focalisation trop unilatérale sur l’allongement des carrières sans tenir compte de la santé et du bien-être. En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/6b89e5fcf765adc8/original/Sante-Societe-n-1.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=102893
in Santé & société [périodique électronique] > 1 (avril 2022) . - p. 6-37[article] Vécus et besoins des travailleu·r·se·s en fin de carrière : Etude qualitative sur les aménagements du travail en fin de carrière [texte imprimé] / Hélène Henry ; Ann Morissens ; Cathy Streel . - 2022 . - p. 6-37.
Langues : Français (fre)
in Santé & société [périodique électronique] > 1 (avril 2022) . - p. 6-37
Mots-clés : Travailleurs âgés Retraite Flexibilité du travail Résumé : Le relèvement de l’âge de la retraite, introduit lors de la dernière réforme de l’État, n’est pas sans conséquence pour les travailleurs n’ayant plus que quelques années de travail devant eux. Bien que le discours relatif à l’allongement des carrières soit revenu à l’avant de la scène en raison de la récente ambition d’atteindre un taux d’emploi de 80% d’ici 2030, le point de vue des travailleurs âgés est rarement envisagé. C’est pourquoi la présente étude est axée sur les vécus et les besoins des travailleurs de plus de 55 ans. Elle s’intéresse également aux aménagements du travail auxquels les travailleurs ont accès et aux aménagements pouvant les aider en fin de carrière. 41 travailleurs de différents secteurs ont été interrogés. Les résultats, qui sont avant tout exploratoires, sont présentés de manière descriptive. Concernant les vécus en termes de besoins et de difficultés rencontrées en fin de carrière, nous pouvons établir une distinction selon qu’ils résident dans le contexte personnel ou dans le contexte professionnel. Ainsi, sur le plan personnel, les douleurs physiques, la diminution des capacités de concentration et la fatigue rendent l’accomplissement du travail plus difficile avec l’âge. Le souhait de s’occuper de ses parents ou de ses petits-enfants peut également affecter la fin de vie professionnelle. Enfin, la situation financière peut expliquer qu’une réduction du temps de travail soit parfois totalement inenvisageable pour le travailleur, dont la carrière peut commencer à devenir pesante. Sur le plan professionnel, la manière dont le travail est organisé et, particulièrement, les restructurations ou les changements de management donnent souvent lieu à des situations dans lesquelles le bien-être des travailleurs est menacé. Le manque de considération et de reconnaissance envers les travailleurs âgés joue également un rôle à cet égard. Les travailleurs rencontrent également des problèmes en ce qui concerne leurs conditions de travail. Certains horaires (travail posté, travail de nuit) ainsi que les déplacements entre le domicile et le lieu de travail peuvent devenir pesants. En revanche, le télétravail et la possibilité d’avoir des jours de congé complémentaires sont vécus comme des éléments positifs. Dernier point mais non le moindre, les relations interpersonnelles constituent un facteur crucial pour le bien-être en fin de carrière. Concernant les aménagements auxquels les travailleurs en fin de carrière peuvent recourir, il apparaît que, malgré la CCT 104 qui incite les employeurs à mettre en place des aménagements pour les travailleurs âgés, les possibilités pour les obtenir sont souvent limitées. En outre, la plupart des répondants ont déclaré ne pas connaitre l’existence de cette CCT. Cette recherche ne défend pas l’idée de rester au travail à tout prix, mais vise avant tout à mettre l’accent sur les besoins des travailleurs en fin de carrière et à souligner que des aménagements peuvent positivement impacter leur qualité de vie. Sur la base de nos constats, nous formulons une série de pistes de réflexion pour améliorer le bien-être en fin de carrière aux parties impliquées dans le débat sur l’allongement des carrières. Dialoguer et exprimer les souhaits et les besoins dans le cadre de la fin de carrière est important pour les travailleurs et les employeurs. Pour ces derniers, il est important de reconnaître l’expertise de leurs travailleurs âgés et d’être à l’écoute de leurs besoins. Les employeurs devraient miser davantage sur les aménagements du travail envisageables, et il est important que les syndicats continuent d’informer les travailleurs des possibilités d’aménagements existantes. Le monde politique peut également y contribuer en rendant la CCT 104 davantage contraignante quant à l’ampleur de son contenu. Par ailleurs, une attention particulière doit également être accordée aux travailleurs âgés qui s’occupent d’un membre de leur famille. Pour la MC, la santé et le bien-être des travailleurs passent avant tout. C’est pourquoi nous souhaitons formuler une mise en garde contre une focalisation trop unilatérale sur l’allongement des carrières sans tenir compte de la santé et du bien-être. En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/6b89e5fcf765adc8/original/Sante-Societe-n-1.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=102893 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Que coûtent les appareils auditifs en Belgique ? / Gauthier Vandeleene in Santé & société [périodique électronique], 1 (avril 2022)
[article]
Titre : Que coûtent les appareils auditifs en Belgique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Gauthier Vandeleene Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 38-57 Langues : Français (fre) Mots-clés : Prothèses auditives Sécurité sociale Soins médicaux -- Coût Résumé : Le secteur des appareils auditifs connait une croissance rapide ces dernières années. Cela se reflète notamment dans le nombre de personnes qui reçoivent les remboursements des frais couverts par l’assurance obligatoire soins de santé. Néanmoins une partie importante du coût des appareils auditifs reste à charge des personnes. Il s’agit des suppléments : en médiane ils constituent 2.000 euros pour les appareils stéréophoniques. Comment expliquer la hauteur du montant qui reste à charge du patient ? Comment le prix des appareils auditifs est-il constitué ? Cette étude vise à répondre à ces questions à l’aide de l’analyse des données de consommation des soins de santé à disposition de la Mutualité chrétienne. Notre analyse montre que le prix des appareils auditifs couvre le coût du matériel (dont bien sûr l’appareil lui-même) ainsi que la rémunération de plusieurs services rendus par l’audicien. Or les données des factures fournies par les audiciens ne permettent pas de faire la distinction entre ces différentes composantes. C’est pourquoi le système de l’assurance obligatoire ne peut pas les prendre en charge de façon différenciée. Notre analyse des suppléments pour les appareils auditifs montre également les variations importantes selon la province d’habitation du membre (parfois du simple au double) ainsi que selon le fait que la personne a ou non le statut de bénéficiaire de l’intervention majorée (BIM). On peut supposer que la situation économique des personnes explique en partie ces différences. Ainsi on achète beaucoup plus d’appareils chers et complexes en Flandre qu’en Wallonie ou à Bruxelles, alors que les pyramides des âges des utilisateurs sont très similaires. Notons que de façon générale le prix de vente chez l’audicien en Belgique est souvent plus élevé que dans d’autres pays, comme le Danemark par exemple où le taux de propriété d’appareils auditifs est le plus élevé en Europe. Plusieurs organisations, nationales ou internationales, ont déjà pointé des anomalies relatives au fonctionnement du marché des appareils auditifs. Notre point d’attention est celui de la non-transparence des suppléments facturés qui empêche de dissocier les services rendus par l’audicien du coût du matériel. Rendre le coût des appareils auditifs transparent est pourtant, selon nous, une condition nécessaire de toute discussion éventuelle sur l’augmentation du remboursement par l’assurance obligatoire ou par l’assurance complémentaire mutuelliste. En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/6b89e5fcf765adc8/original/Sante-Societe-n-1.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=102895
in Santé & société [périodique électronique] > 1 (avril 2022) . - p. 38-57[article] Que coûtent les appareils auditifs en Belgique ? [texte imprimé] / Gauthier Vandeleene . - 2022 . - p. 38-57.
Langues : Français (fre)
in Santé & société [périodique électronique] > 1 (avril 2022) . - p. 38-57
Mots-clés : Prothèses auditives Sécurité sociale Soins médicaux -- Coût Résumé : Le secteur des appareils auditifs connait une croissance rapide ces dernières années. Cela se reflète notamment dans le nombre de personnes qui reçoivent les remboursements des frais couverts par l’assurance obligatoire soins de santé. Néanmoins une partie importante du coût des appareils auditifs reste à charge des personnes. Il s’agit des suppléments : en médiane ils constituent 2.000 euros pour les appareils stéréophoniques. Comment expliquer la hauteur du montant qui reste à charge du patient ? Comment le prix des appareils auditifs est-il constitué ? Cette étude vise à répondre à ces questions à l’aide de l’analyse des données de consommation des soins de santé à disposition de la Mutualité chrétienne. Notre analyse montre que le prix des appareils auditifs couvre le coût du matériel (dont bien sûr l’appareil lui-même) ainsi que la rémunération de plusieurs services rendus par l’audicien. Or les données des factures fournies par les audiciens ne permettent pas de faire la distinction entre ces différentes composantes. C’est pourquoi le système de l’assurance obligatoire ne peut pas les prendre en charge de façon différenciée. Notre analyse des suppléments pour les appareils auditifs montre également les variations importantes selon la province d’habitation du membre (parfois du simple au double) ainsi que selon le fait que la personne a ou non le statut de bénéficiaire de l’intervention majorée (BIM). On peut supposer que la situation économique des personnes explique en partie ces différences. Ainsi on achète beaucoup plus d’appareils chers et complexes en Flandre qu’en Wallonie ou à Bruxelles, alors que les pyramides des âges des utilisateurs sont très similaires. Notons que de façon générale le prix de vente chez l’audicien en Belgique est souvent plus élevé que dans d’autres pays, comme le Danemark par exemple où le taux de propriété d’appareils auditifs est le plus élevé en Europe. Plusieurs organisations, nationales ou internationales, ont déjà pointé des anomalies relatives au fonctionnement du marché des appareils auditifs. Notre point d’attention est celui de la non-transparence des suppléments facturés qui empêche de dissocier les services rendus par l’audicien du coût du matériel. Rendre le coût des appareils auditifs transparent est pourtant, selon nous, une condition nécessaire de toute discussion éventuelle sur l’augmentation du remboursement par l’assurance obligatoire ou par l’assurance complémentaire mutuelliste. En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/6b89e5fcf765adc8/original/Sante-Societe-n-1.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=102895 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Comment aider des patients atteints de COVID-19 long ? / Sigrid Vancorenland in Santé & société [périodique électronique], 1 (avril 2022)
[article]
Titre : Comment aider des patients atteints de COVID-19 long ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Sigrid Vancorenland Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 58-62 Langues : Français (fre) Résumé : Cet article présente une synthèse du rapport « Besoins et suivi des patients atteints de COVID long », publié par le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) en 2021. Ce rapport nous offre un aperçu des besoins et des vécus de personnes atteintes de COVID-19 long sur la base d’une large enquête réalisée auprès des patients. Il formule également un certain nombre de recommandations, telles que l’introduction d’un bilan interdisciplinaire, l’élaboration de supports d’information, la mise en place d’une campagne de sensibilisation et lacréation d’un comité scientifique COVID-19 long. En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/6b89e5fcf765adc8/original/Sante-Societe-n-1.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=102896
in Santé & société [périodique électronique] > 1 (avril 2022) . - p. 58-62[article] Comment aider des patients atteints de COVID-19 long ? [texte imprimé] / Sigrid Vancorenland . - 2022 . - p. 58-62.
Langues : Français (fre)
in Santé & société [périodique électronique] > 1 (avril 2022) . - p. 58-62
Résumé : Cet article présente une synthèse du rapport « Besoins et suivi des patients atteints de COVID long », publié par le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) en 2021. Ce rapport nous offre un aperçu des besoins et des vécus de personnes atteintes de COVID-19 long sur la base d’une large enquête réalisée auprès des patients. Il formule également un certain nombre de recommandations, telles que l’introduction d’un bilan interdisciplinaire, l’élaboration de supports d’information, la mise en place d’une campagne de sensibilisation et lacréation d’un comité scientifique COVID-19 long. En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/6b89e5fcf765adc8/original/Sante-Societe-n-1.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=102896 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire