Centre de Documentation Campus Montignies
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Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
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Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Philosophie magazine . 55Paru le : 01/12/2011 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierJean-Paul Sartre in Philosophie magazine, 55 (Décembre 2011-janvier 2012)
[article]
Titre : Jean-Paul Sartre : le scandale de la liberté Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 64-75 + livret (16 p.) Langues : Français (fre) Mots-clés : 929 Sartre, Jean-Paul (1905-1980) 14 Existentialisme Résumé : Le grand auteur : Jean-Paul Sartre
Il est le dernier des géants. Plus que tout autre, Sartre a incarné dans la seconde moitié du XXe siècle le modèle de l’intellectuel total et omniprésent. Avec lui, c’est toute une époque qui rejaillit, celle des années « existentialistes » dont il a été l’instigateur et l’emblème. Les cafés du boulevard Saint-Germain, le jazz, les luttes politiques, le couple inoubliable avec Simone de Beauvoir… Nostalgie, quand tu nous tiens ? Pas seulement. Car Sartre, on l’oublierait presque tant il a acquis la stature de mythe, est aussi un massif philosophique à escalader. Tout au long de son œuvre protéiforme, il s’est fait, lui l’athée, l’apôtre de la liberté et le chantre de la responsabilité, non sans tâtonner dans ses propres prises de position et s’être aveuglé dans certaines causes… Mais comme le souligne Stéphane Hessel, le plaidoyer sartrien pour l’engagement tous azimuts demeure décisif, à l’heure où le vent de l’émancipation souffle sur le monde. Si nous tenons encore à la liberté, c’est dans ses pas (de géant) qu’il faut, plus que jamais, marcher.
Note de contenu : Articles :
* Jean-Paul Sartre. Le scandale de la liberté Par Mathilde Lequin
« Tu n’es rien d’autre que ta vie. » Qui est-il, Jean-Paul Sartre, à l’aune de ce slogan existentialiste ? Philosophe, romancier, dramaturge, il devient après-guerre l’incarnation de l’intellectuel engagé, puis le grand penseur de la gauche révolutionnaire : souvent à contretemps de l’histoire, l’homme semble n’avoir jamais cessé de courir après lui-même. « J’ai toujours pensé contre moi », confie ce monstre sacré qui s’est acharné à tuer en lui l’homme de lettres et le bourgeois. Qu’elles agacent ou fascinent, ses contradictions sont celles d’un homme douloureusement conscient de sa liberté et de l’impossibilité de coïncider avec soi : « On ne se possède que si l’on se crée, et si l’on se crée, on s’échappe. »
* Être ou ne pas être soi Par Charles Pépin
Refusant aussi bien l’idée de Dieu que celle d’inconscient, l’existentialisme de Sartre pose que l’homme est libre et responsable de ses actes. Mais dans un monde où des obstacles surgissent et où le regard d’autrui m’aliène, cette liberté doit sans cesse se réinventer.
* Annie Ernaux. « Son écriture est un couteau qui décape les croyances » Par Catherine Portevin
* Stéphane Hessel. « Il n’a jamais renoncé à s’engager » Par Martin Duru
+ livret 55, L'être et le néant : extraits, préface de Philippe Cabestan, 16 p.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101680
in Philosophie magazine > 55 (Décembre 2011-janvier 2012) . - p. 64-75 + livret (16 p.)[article] Jean-Paul Sartre : le scandale de la liberté [texte imprimé] . - 2011 . - p. 64-75 + livret (16 p.).
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 55 (Décembre 2011-janvier 2012) . - p. 64-75 + livret (16 p.)
Mots-clés : 929 Sartre, Jean-Paul (1905-1980) 14 Existentialisme Résumé : Le grand auteur : Jean-Paul Sartre
Il est le dernier des géants. Plus que tout autre, Sartre a incarné dans la seconde moitié du XXe siècle le modèle de l’intellectuel total et omniprésent. Avec lui, c’est toute une époque qui rejaillit, celle des années « existentialistes » dont il a été l’instigateur et l’emblème. Les cafés du boulevard Saint-Germain, le jazz, les luttes politiques, le couple inoubliable avec Simone de Beauvoir… Nostalgie, quand tu nous tiens ? Pas seulement. Car Sartre, on l’oublierait presque tant il a acquis la stature de mythe, est aussi un massif philosophique à escalader. Tout au long de son œuvre protéiforme, il s’est fait, lui l’athée, l’apôtre de la liberté et le chantre de la responsabilité, non sans tâtonner dans ses propres prises de position et s’être aveuglé dans certaines causes… Mais comme le souligne Stéphane Hessel, le plaidoyer sartrien pour l’engagement tous azimuts demeure décisif, à l’heure où le vent de l’émancipation souffle sur le monde. Si nous tenons encore à la liberté, c’est dans ses pas (de géant) qu’il faut, plus que jamais, marcher.
Note de contenu : Articles :
* Jean-Paul Sartre. Le scandale de la liberté Par Mathilde Lequin
« Tu n’es rien d’autre que ta vie. » Qui est-il, Jean-Paul Sartre, à l’aune de ce slogan existentialiste ? Philosophe, romancier, dramaturge, il devient après-guerre l’incarnation de l’intellectuel engagé, puis le grand penseur de la gauche révolutionnaire : souvent à contretemps de l’histoire, l’homme semble n’avoir jamais cessé de courir après lui-même. « J’ai toujours pensé contre moi », confie ce monstre sacré qui s’est acharné à tuer en lui l’homme de lettres et le bourgeois. Qu’elles agacent ou fascinent, ses contradictions sont celles d’un homme douloureusement conscient de sa liberté et de l’impossibilité de coïncider avec soi : « On ne se possède que si l’on se crée, et si l’on se crée, on s’échappe. »
* Être ou ne pas être soi Par Charles Pépin
Refusant aussi bien l’idée de Dieu que celle d’inconscient, l’existentialisme de Sartre pose que l’homme est libre et responsable de ses actes. Mais dans un monde où des obstacles surgissent et où le regard d’autrui m’aliène, cette liberté doit sans cesse se réinventer.
* Annie Ernaux. « Son écriture est un couteau qui décape les croyances » Par Catherine Portevin
* Stéphane Hessel. « Il n’a jamais renoncé à s’engager » Par Martin Duru
+ livret 55, L'être et le néant : extraits, préface de Philippe Cabestan, 16 p.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101680 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtSe connaître soi-même. Est-ce bien nécessaire? in Philosophie magazine, 55 (Décembre 2011-janvier 2012)
[article]
Titre : Se connaître soi-même. Est-ce bien nécessaire? : dossier Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 42-63 Langues : Français (fre) Mots-clés : 159.9 Psychologie 159.964 Psychanalyse 316.35 Groupes / Identités / Communautés Résumé : Dossier : Se connaître soi-même. Est-ce bien nécessaire?
Gravé il y a plus de 2 500 ans au fronton du temple de Delphes, le précepte « Connais-toi toi-même » s’est imposé comme l’aiguillon de la pensée occidentale. Mais, à s’obséder de soi, on en vient à manquer son prochain, l’inconnu, la liberté. Pour ne pas rester bloqués dans l’impasse du narcissisme, certains philosophes invitent à jeter les miroirs, fuir les divans des psychanalystes et retrouver le goût de l’action. D’autres en appellent à une idée plus vaste et plus ouverte du moi – l’enjeu est alors de s’explorer comme une terra incognita ou de s’éprouver dans le rapport à l’autre. Et s’il fallait s’excentrer pour mieux se trouver ?
Note de contenu : Articles :
* L’impasse du narcissisme Par Michel Eltchaninoff
* Le moi, ce grand mystère inutile Par Alexandre Lacroix
La quête de la connaissance de soi est vouée à l’échec. Nous resterons à jamais une énigme pour nous-mêmes et seul notre état civil prouve que nous existons. Tels sont les arguments qu’avance, en malicieux démystificateur, le philosophe Clément Rosset.
* Michel Onfray. « Nous sommes ce que nous faisons de nous » Par Martin Duru
En s’attaquant à l’inconscient freudien, le philosophe Michel Onfray entend réaffirmer l’idéal antique de la libre sculpture de soi. Il rappelle la prééminence des actes sur la parole. Explications.
* De l’intime à l’extime Par Catherine Portevin
Écrit-on pour se connaître ou au contraire pour s’éviter ? L’écrivain Laurent Mauvignier préfère ne pas répondre à la question, afin de mieux se confronter à l’opacité de l’existence.
* Les 10 sens d’une formule magique Par Michel Eltchaninoff
« Connais-toi toi-même », ou gnothi seauton en grec : la maxime est fameuse mais sa signification, plus de deux mille ans avant Freud, incertaine. C’est pourquoi, à chaque époque, les philosophes ont livré de nouvelles intérprétations de cette sentence de vie.
* « Avancer vers une terre étrangère » Par Martin Legros
La psychanalyse vise moins la connaissance que le dessaisissement du moi, rappelle le psychanalyste et écrivain Jean-Bertrand Pontalis. L’enjeu ? Entendre la voix de celui que nous avons été avant de venir à la parole.
* La possibilité d’un « il » Par Cédric Enjalbert
Pour l’écrivain et psychanalyste Michel Schneider, il s’agit bien dans l’écriture de parler de soi mais seulement à la troisième personne. On n’écrit jamais sur ce que l’on sait, mais on dévoile ce que l’on aurait préféré éviter de dire.
* La corne acérée du taureau Par Martin Legros
Se jeter à l’extérieur ou plonger à l’intérieur ? De Hannah Arendt à Paul Ricœur, une troisième voie, médiane, se fait jour : se connaître, c’est d’abord savoir se raconter.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101732
in Philosophie magazine > 55 (Décembre 2011-janvier 2012) . - p. 42-63[article] Se connaître soi-même. Est-ce bien nécessaire? : dossier [texte imprimé] . - 2011 . - p. 42-63.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 55 (Décembre 2011-janvier 2012) . - p. 42-63
Mots-clés : 159.9 Psychologie 159.964 Psychanalyse 316.35 Groupes / Identités / Communautés Résumé : Dossier : Se connaître soi-même. Est-ce bien nécessaire?
Gravé il y a plus de 2 500 ans au fronton du temple de Delphes, le précepte « Connais-toi toi-même » s’est imposé comme l’aiguillon de la pensée occidentale. Mais, à s’obséder de soi, on en vient à manquer son prochain, l’inconnu, la liberté. Pour ne pas rester bloqués dans l’impasse du narcissisme, certains philosophes invitent à jeter les miroirs, fuir les divans des psychanalystes et retrouver le goût de l’action. D’autres en appellent à une idée plus vaste et plus ouverte du moi – l’enjeu est alors de s’explorer comme une terra incognita ou de s’éprouver dans le rapport à l’autre. Et s’il fallait s’excentrer pour mieux se trouver ?
Note de contenu : Articles :
* L’impasse du narcissisme Par Michel Eltchaninoff
* Le moi, ce grand mystère inutile Par Alexandre Lacroix
La quête de la connaissance de soi est vouée à l’échec. Nous resterons à jamais une énigme pour nous-mêmes et seul notre état civil prouve que nous existons. Tels sont les arguments qu’avance, en malicieux démystificateur, le philosophe Clément Rosset.
* Michel Onfray. « Nous sommes ce que nous faisons de nous » Par Martin Duru
En s’attaquant à l’inconscient freudien, le philosophe Michel Onfray entend réaffirmer l’idéal antique de la libre sculpture de soi. Il rappelle la prééminence des actes sur la parole. Explications.
* De l’intime à l’extime Par Catherine Portevin
Écrit-on pour se connaître ou au contraire pour s’éviter ? L’écrivain Laurent Mauvignier préfère ne pas répondre à la question, afin de mieux se confronter à l’opacité de l’existence.
* Les 10 sens d’une formule magique Par Michel Eltchaninoff
« Connais-toi toi-même », ou gnothi seauton en grec : la maxime est fameuse mais sa signification, plus de deux mille ans avant Freud, incertaine. C’est pourquoi, à chaque époque, les philosophes ont livré de nouvelles intérprétations de cette sentence de vie.
* « Avancer vers une terre étrangère » Par Martin Legros
La psychanalyse vise moins la connaissance que le dessaisissement du moi, rappelle le psychanalyste et écrivain Jean-Bertrand Pontalis. L’enjeu ? Entendre la voix de celui que nous avons été avant de venir à la parole.
* La possibilité d’un « il » Par Cédric Enjalbert
Pour l’écrivain et psychanalyste Michel Schneider, il s’agit bien dans l’écriture de parler de soi mais seulement à la troisième personne. On n’écrit jamais sur ce que l’on sait, mais on dévoile ce que l’on aurait préféré éviter de dire.
* La corne acérée du taureau Par Martin Legros
Se jeter à l’extérieur ou plonger à l’intérieur ? De Hannah Arendt à Paul Ricœur, une troisième voie, médiane, se fait jour : se connaître, c’est d’abord savoir se raconter.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101732 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
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