Dépouillements

Travail social et pratiques discrétionnaires [Dossier] / Morgane Giladi in Les Politiques sociales, 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021)

Public ISBD [article]  inLes Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 4-127 Titre : Travail social et pratiques discrétionnaires [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Morgane Giladi Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 4-127 Langues : Français (fre) Mots-clés : Action publique  Discrétion  Politique sociale  Pratique professionnelle  Travail social Résumé : La notion de pouvoir discrétionnaire des agents de première ligne, et la question de ses usages, font l’objet d’un intérêt certain depuis les années 1980 dans la littérature sur les street-level bureaucrats. Il s’agit là de questionnements centraux dans l’analyse des politiques publiques, dans la mesure où les agents d’exécution peuvent être vus comme des acteurs incontournables de la « production quotidienne de l’action publique », et disposent en ce sens d’un rôle de policy making. Le présent numéro a pour objectif de rassembler des contributions permettant de questionner les usages discrétionnaires dans le champ spécifique du travail social. Au travers d’une approche « par le bas », ancrée dans l’analyse des « pratiques des professionnels en situation », il entend susciter une réflexion globale sur les conditions de mise en œuvre des politiques sociales et sur les enjeux (professionnels, politiques et sociétaux) auxquels doivent faire face les acteurs de ce secteur. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99957 [article] Travail social et pratiques discrétionnaires [Dossier] [texte imprimé] / Morgane Giladi . - 2021 . - p. 4-127. Langues : Français (fre) in Les Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 4-127 Mots-clés : Action publique  Discrétion  Politique sociale  Pratique professionnelle  Travail social Résumé : La notion de pouvoir discrétionnaire des agents de première ligne, et la question de ses usages, font l’objet d’un intérêt certain depuis les années 1980 dans la littérature sur les street-level bureaucrats. Il s’agit là de questionnements centraux dans l’analyse des politiques publiques, dans la mesure où les agents d’exécution peuvent être vus comme des acteurs incontournables de la « production quotidienne de l’action publique », et disposent en ce sens d’un rôle de policy making. Le présent numéro a pour objectif de rassembler des contributions permettant de questionner les usages discrétionnaires dans le champ spécifique du travail social. Au travers d’une approche « par le bas », ancrée dans l’analyse des « pratiques des professionnels en situation », il entend susciter une réflexion globale sur les conditions de mise en œuvre des politiques sociales et sur les enjeux (professionnels, politiques et sociétaux) auxquels doivent faire face les acteurs de ce secteur. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99957

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Travail social et pratiques discrétionnaires : introduction / Morgane Giladi in Les Politiques sociales, 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021)

Public ISBD [article]  inLes Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 4-14 Titre : Travail social et pratiques discrétionnaires : introduction Type de document : texte imprimé Auteurs : Morgane Giladi Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 4-14 Note générale : Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) Mots-clés : Action publique  Autonomie professionnelle  Conditions de travail  Discrétion  Éthique  Politique publique  Pratique professionnelle  Travail social  Travailleur social Résumé : En guise d’introduction au dossier thématique « Travail social et pouvoir discrétionnaire : quels usages ? », la présente contribution vise à présenter le socle théorique des Street-Level Studies (SLB) comme grille analytique de l’action publique. Plus spécifiquement, après une présentation générale de ce champ d’étude, nous nous concentrerons sur la notion centrale de pouvoir discrétionnaire des agents d’exécution. Nous aborderons ensuite la question des usages discrétionnaires dans le champ du travail social. Pour cela, afin d’avoir une approche compréhensive et située, les spécificités du champ du travail social seront discutées. Enfin, nous esquisserons les tensions et enjeux sousjacents aux usages discrétionnaires dans le champ du travail social. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99958 [article] Travail social et pratiques discrétionnaires : introduction [texte imprimé] / Morgane Giladi . - 2021 . - p. 4-14. Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) in Les Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 4-14 Mots-clés : Action publique  Autonomie professionnelle  Conditions de travail  Discrétion  Éthique  Politique publique  Pratique professionnelle  Travail social  Travailleur social Résumé : En guise d’introduction au dossier thématique « Travail social et pouvoir discrétionnaire : quels usages ? », la présente contribution vise à présenter le socle théorique des Street-Level Studies (SLB) comme grille analytique de l’action publique. Plus spécifiquement, après une présentation générale de ce champ d’étude, nous nous concentrerons sur la notion centrale de pouvoir discrétionnaire des agents d’exécution. Nous aborderons ensuite la question des usages discrétionnaires dans le champ du travail social. Pour cela, afin d’avoir une approche compréhensive et située, les spécificités du champ du travail social seront discutées. Enfin, nous esquisserons les tensions et enjeux sousjacents aux usages discrétionnaires dans le champ du travail social. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99958

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Maisons de justice : entre bienveillance administrative et gestion du risque ? / Mathias Sabbe in Les Politiques sociales, 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021)

Public ISBD [article]  inLes Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 15-26 Titre : Maisons de justice : entre bienveillance administrative et gestion du risque ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathias Sabbe ; Nathalie Schiffino ; Stéphane Moyson Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 15-26 Note générale : Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) Mots-clés : Assistant de justice  Bureaucratie  Conditions de travail  Gestion des risques  Maisons de justice  Surcharge de travail  Travail administratif Résumé : Au sein des Maisons de justice, des assistants de justice (AJ) sont chargés de la guidance des justiciables condamnés à une mesure probatoire. Ce travail est assorti de mesures de contrôle et d’assistance. Or, la tension qui accompagne ces deux missions est accrue par la hausse des exigences administratives et une importante scrutation médiatique en cas de récidive. Cette contribution explore la marge de manœuvre dont disposent les AJ dans l’exercice de leur fonction. Une analyse thématique conduite auprès de 29 AJ francophones révèle que – malgré un nombre croissant de dossiers, un temps limité pour les traiter et un contrôle managérial grandissant – les AJ ne donnent pas nécessairement la priorité aux profils les plus commodes. Au contraire, ils agissent prioritairement auprès des justiciables les plus problématiques. Cette bienveillance discrétionnaire est discutée au regard de la street-level bureaucracy (Lipsky, 2010). Elle s’explique autant par un ethos professionnel résistant aux injonctions néomanagériales que par un certain désir de préservation personnelle. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99959 [article] Maisons de justice : entre bienveillance administrative et gestion du risque ? [texte imprimé] / Mathias Sabbe ; Nathalie Schiffino ; Stéphane Moyson . - 2021 . - p. 15-26. Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) in Les Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 15-26 Mots-clés : Assistant de justice  Bureaucratie  Conditions de travail  Gestion des risques  Maisons de justice  Surcharge de travail  Travail administratif Résumé : Au sein des Maisons de justice, des assistants de justice (AJ) sont chargés de la guidance des justiciables condamnés à une mesure probatoire. Ce travail est assorti de mesures de contrôle et d’assistance. Or, la tension qui accompagne ces deux missions est accrue par la hausse des exigences administratives et une importante scrutation médiatique en cas de récidive. Cette contribution explore la marge de manœuvre dont disposent les AJ dans l’exercice de leur fonction. Une analyse thématique conduite auprès de 29 AJ francophones révèle que – malgré un nombre croissant de dossiers, un temps limité pour les traiter et un contrôle managérial grandissant – les AJ ne donnent pas nécessairement la priorité aux profils les plus commodes. Au contraire, ils agissent prioritairement auprès des justiciables les plus problématiques. Cette bienveillance discrétionnaire est discutée au regard de la street-level bureaucracy (Lipsky, 2010). Elle s’explique autant par un ethos professionnel résistant aux injonctions néomanagériales que par un certain désir de préservation personnelle. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99959

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« Quelle est votre demande ? » : résistances éthiques à l’activation / Valentine Duhant in Les Politiques sociales, 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021)

Public ISBD [article]  inLes Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 27-35 Titre : « Quelle est votre demande ? » : résistances éthiques à l’activation Type de document : texte imprimé Auteurs : Valentine Duhant Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 27-35 Note générale : Issu du dossier "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) Mots-clés : Accompagnement social  Centre public d'action sociale  Éthique  Insertion socio-professionnelle  Politique d'activation  Travail social  Travailleur social Résumé : Cet article analyse la mise en œuvre de l’activation au sein du département de l’insertion socioprofessionnelle d’un CPAS bruxellois, à partir d’exemples issus d’une recherche ethnographique. Il montre que, contrairement à la majorité de la littérature sur la mise en œuvre des politiques publiques, des résistances éthiques à l’activation permettent une mise en œuvre capacitante de celle-ci. En effet, le CPAS étudié a structuré son organisation interne sur la base de la notion de « demande » du bénéficiaire. Bien qu’elle soit issue du programme politique de la présidente du CPAS et de la vision des responsables de département, cette notion constitue une ressource éthique et discursive pour les travailleurs sociaux, qui la mobilisent pour justifier le fait de ne pas recourir à la contrainte envers les bénéficiaires, et pour les protéger du « contrôle » inhérent aux politiques d’activation. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99960 [article] « Quelle est votre demande ? » : résistances éthiques à l’activation [texte imprimé] / Valentine Duhant . - 2021 . - p. 27-35. Issu du dossier "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) in Les Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 27-35 Mots-clés : Accompagnement social  Centre public d'action sociale  Éthique  Insertion socio-professionnelle  Politique d'activation  Travail social  Travailleur social Résumé : Cet article analyse la mise en œuvre de l’activation au sein du département de l’insertion socioprofessionnelle d’un CPAS bruxellois, à partir d’exemples issus d’une recherche ethnographique. Il montre que, contrairement à la majorité de la littérature sur la mise en œuvre des politiques publiques, des résistances éthiques à l’activation permettent une mise en œuvre capacitante de celle-ci. En effet, le CPAS étudié a structuré son organisation interne sur la base de la notion de « demande » du bénéficiaire. Bien qu’elle soit issue du programme politique de la présidente du CPAS et de la vision des responsables de département, cette notion constitue une ressource éthique et discursive pour les travailleurs sociaux, qui la mobilisent pour justifier le fait de ne pas recourir à la contrainte envers les bénéficiaires, et pour les protéger du « contrôle » inhérent aux politiques d’activation. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99960

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Économie sociale d’insertion : entre logique du travail social et logique de gestion / Muriel Sacco in Les Politiques sociales, 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021)

Public ISBD [article]  inLes Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 36-46 Titre : Économie sociale d’insertion : entre logique du travail social et logique de gestion Type de document : texte imprimé Auteurs : Muriel Sacco Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 36-46 Note générale : Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) Mots-clés : Accompagnement  Économie sociale d'insertion  Économie sociale et solidaire  Encadrement professionnel  Entreprise d'économie sociale  Rentabilité  Travail social Résumé : Vu la propension de l’économie sociale à engager des personnes bénéficiant d’un contrat d’insertion (article 60 § 7) ou d’une aide à l’emploi, l’économie sociale constitue à la fois un agent de la mise en œuvre des politiques du workfare et une street-level organization. Toutefois, son équilibre dépend également d’une certaine rentabilité de ses activités productives. L’enjeu de cet article est de saisir comment les logiques non marchandes et marchandes se combinent dans la fonction d’encadrement de ces travailleurs ; celle-ci étant peu codifiée, elle laisse une certaine discrétion à ceux qui l’endossent. L’article se centre sur des situations problématiques, et s’appuie sur une observation ethnographique menée entre 2017 et 2019 dans une structure d’économie sociale d’insertion en Belgique francophone. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99961 [article] Économie sociale d’insertion : entre logique du travail social et logique de gestion [texte imprimé] / Muriel Sacco . - 2021 . - p. 36-46. Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) in Les Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 36-46 Mots-clés : Accompagnement  Économie sociale d'insertion  Économie sociale et solidaire  Encadrement professionnel  Entreprise d'économie sociale  Rentabilité  Travail social Résumé : Vu la propension de l’économie sociale à engager des personnes bénéficiant d’un contrat d’insertion (article 60 § 7) ou d’une aide à l’emploi, l’économie sociale constitue à la fois un agent de la mise en œuvre des politiques du workfare et une street-level organization. Toutefois, son équilibre dépend également d’une certaine rentabilité de ses activités productives. L’enjeu de cet article est de saisir comment les logiques non marchandes et marchandes se combinent dans la fonction d’encadrement de ces travailleurs ; celle-ci étant peu codifiée, elle laisse une certaine discrétion à ceux qui l’endossent. L’article se centre sur des situations problématiques, et s’appuie sur une observation ethnographique menée entre 2017 et 2019 dans une structure d’économie sociale d’insertion en Belgique francophone. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99961

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Aider ceux qui ne l’ont pas (vraiment) demandé : le travail d’un SASE / Fadoua Messaoudi in Les Politiques sociales, 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021)

Public ISBD [article]  inLes Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 47-57 Titre : Aider ceux qui ne l’ont pas (vraiment) demandé : le travail d’un SASE Type de document : texte imprimé Auteurs : Fadoua Messaoudi Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 47-57 Note générale : Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) Mots-clés : Accompagnement social  Bruxelles  Intervenant social  Pratique professionnelle  Relation intervenant et usager  Service d'accompagnement socio-éducatif Résumé : À partir de la situation de la famille Demol, tirée des résultats d’une recherche doctorale en cours, je propose dans cet article de montrer comment les intervenants sociaux d’un service d’accompagnement socioéducatif (SASE) de Bruxelles s’emploient à intervenir auprès d’un public qui ne l’a pas (vraiment) demandé. Je confronte la thèse d’une « autonomie-condition » (Ehrenberg, 2012) à la façon dont elle est pratiquée en situation. Pour cela, je montre d’abord comment les pratiques des intervenants sociaux sont affectées par la nature de la relation qui les lie à leur public ; j’expose ensuite comment ils cherchent à intervenir pour induire un changement chez les bénéficiaires, en (ré)interprétant en permanence à qui ils ont affaire ; je présente enfin, à l’aide de la métaphore d’un match de football mobilisé par Norbert Elias, comment par ce travail de repérage ils se repèrent en fait au sein d’une « configuration ». Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99962 [article] Aider ceux qui ne l’ont pas (vraiment) demandé : le travail d’un SASE [texte imprimé] / Fadoua Messaoudi . - 2021 . - p. 47-57. Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) in Les Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 47-57 Mots-clés : Accompagnement social  Bruxelles  Intervenant social  Pratique professionnelle  Relation intervenant et usager  Service d'accompagnement socio-éducatif Résumé : À partir de la situation de la famille Demol, tirée des résultats d’une recherche doctorale en cours, je propose dans cet article de montrer comment les intervenants sociaux d’un service d’accompagnement socioéducatif (SASE) de Bruxelles s’emploient à intervenir auprès d’un public qui ne l’a pas (vraiment) demandé. Je confronte la thèse d’une « autonomie-condition » (Ehrenberg, 2012) à la façon dont elle est pratiquée en situation. Pour cela, je montre d’abord comment les pratiques des intervenants sociaux sont affectées par la nature de la relation qui les lie à leur public ; j’expose ensuite comment ils cherchent à intervenir pour induire un changement chez les bénéficiaires, en (ré)interprétant en permanence à qui ils ont affaire ; je présente enfin, à l’aide de la métaphore d’un match de football mobilisé par Norbert Elias, comment par ce travail de repérage ils se repèrent en fait au sein d’une « configuration ». Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99962

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Quel effet le cannabis a-t-il sur les travailleurs sociaux ? / Benoît Pinto in Les Politiques sociales, 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021)

Public ISBD [article]  inLes Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 58-67 Titre : Quel effet le cannabis a-t-il sur les travailleurs sociaux ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Benoît Pinto Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 58-67 Note générale : Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) Mots-clés : Cannabis  Discrétion  Échange  Intervenant social  Jeune  Pratique professionnelle  Relation intervenant et usager  Toxicomanie  Travail social  Travailleur social Résumé : Les institutions installées à Bayemont inaugurent en 2009 un projet commun destiné aux 12-25 ans. Une coexistence pas toujours évidente se développe entre regroupements juvéniles, et elle se caractérise notamment par l’apparition de nouveaux usages au sein du dispositif. Nous porterons le regard plus spécifiquement sur l’un d’entre eux : la consommation de cannabis. Par l’intermédiaire de cette pratique singulière, il sera question de montrer que la fabrication de l’intervention sociale débouche sur une coconstruction de l’action au quotidien, impliquant non seulement les agents de terrain mais aussi les jeunes, voire le quartier. Le travail social fabriqué quotidiennement passe par l’élaboration de compromis, le maintien du dialogue, ou engage une réflexion sur ce qui édifie l’échange entre professionnels et usagers. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99963 [article] Quel effet le cannabis a-t-il sur les travailleurs sociaux ? [texte imprimé] / Benoît Pinto . - 2021 . - p. 58-67. Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) in Les Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 58-67 Mots-clés : Cannabis  Discrétion  Échange  Intervenant social  Jeune  Pratique professionnelle  Relation intervenant et usager  Toxicomanie  Travail social  Travailleur social Résumé : Les institutions installées à Bayemont inaugurent en 2009 un projet commun destiné aux 12-25 ans. Une coexistence pas toujours évidente se développe entre regroupements juvéniles, et elle se caractérise notamment par l’apparition de nouveaux usages au sein du dispositif. Nous porterons le regard plus spécifiquement sur l’un d’entre eux : la consommation de cannabis. Par l’intermédiaire de cette pratique singulière, il sera question de montrer que la fabrication de l’intervention sociale débouche sur une coconstruction de l’action au quotidien, impliquant non seulement les agents de terrain mais aussi les jeunes, voire le quartier. Le travail social fabriqué quotidiennement passe par l’élaboration de compromis, le maintien du dialogue, ou engage une réflexion sur ce qui édifie l’échange entre professionnels et usagers. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99963

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Émancipation et travail social : pratiques et arts de faire / Delphine t’Serstevens in Les Politiques sociales, 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021)

Public ISBD [article]  inLes Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 68-80 Titre : Émancipation et travail social : pratiques et arts de faire Type de document : texte imprimé Auteurs : Delphine t’Serstevens ; Mélanie Vandeleene Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 68-80 Note générale : Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) Mots-clés : Changement sociétal  Émancipation  Liège  Recherche-action  Travail social Résumé : Enseignantes en Haute École, nous avons pu relever, lors d’échanges avec les travailleurs sociaux de terrain, que les professionnels de l’action sociale souhaitaient échanger sur leurs pratiques dans le contexte actuel de mutations sociétales. Au travers de cet article, nous souhaitons partager une pratique reliant monde de l’enseignement et milieux professionnels. Notre intention, en tant que chercheuses formées en parallèle à l’analyse des pratiques, a été de tenter de se situer au plus près des gestes des travailleurs sociaux ; pour ce faire, nous avons développé une méthodologie toute spécifique. Cette recherche a donné lieu à la publication d’un livre présentant à la fois le contexte et les enjeux dans lesquels le travail social se développe, la méthodologie de la recherche utilisée et les résultats de celle-ci. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99964 [article] Émancipation et travail social : pratiques et arts de faire [texte imprimé] / Delphine t’Serstevens ; Mélanie Vandeleene . - 2021 . - p. 68-80. Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) in Les Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 68-80 Mots-clés : Changement sociétal  Émancipation  Liège  Recherche-action  Travail social Résumé : Enseignantes en Haute École, nous avons pu relever, lors d’échanges avec les travailleurs sociaux de terrain, que les professionnels de l’action sociale souhaitaient échanger sur leurs pratiques dans le contexte actuel de mutations sociétales. Au travers de cet article, nous souhaitons partager une pratique reliant monde de l’enseignement et milieux professionnels. Notre intention, en tant que chercheuses formées en parallèle à l’analyse des pratiques, a été de tenter de se situer au plus près des gestes des travailleurs sociaux ; pour ce faire, nous avons développé une méthodologie toute spécifique. Cette recherche a donné lieu à la publication d’un livre présentant à la fois le contexte et les enjeux dans lesquels le travail social se développe, la méthodologie de la recherche utilisée et les résultats de celle-ci. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99964

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La plateformisation est-elle compatible avec l’exercice discrétionnaire ? / André Decamp in Les Politiques sociales, 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021)

Public ISBD [article]  inLes Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 81-92 Titre : La plateformisation est-elle compatible avec l’exercice discrétionnaire ? Type de document : texte imprimé Auteurs : André Decamp Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 81-92 Note générale : Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) Mots-clés : Action sociale  Dématérialisation  Discrétion  Pratique professionnelle  Services publics  Technologie numérique  Transformation digitale  Travail social Résumé : La mise en place du programme Action Publique 2022 met en lumière la redéfinition de la protection sociale et celle des relations de l’État avec les usagers, par le biais de la dématérialisation du Service public. Les agents du travail social voient leur pouvoir discrétionnaire pris en étau entre le big data et la plateformisation du service public. Quel est l’effet de la plateformisation et de ce big data sur les marges de manœuvres des fonctionnaires du travail social, leurs pratiques de contrôle et leur processus décisionnel ? Ce projet de programme gouvernemental Action Publique 2022 donne l’opportunité d’explorer les pistes de réponses à ces questions, et d’analyser la place actuelle de l’usager ainsi que les notions d’enjeux du numérique et du glissement progressif de la notion de « risques ». Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99965 [article] La plateformisation est-elle compatible avec l’exercice discrétionnaire ? [texte imprimé] / André Decamp . - 2021 . - p. 81-92. Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) in Les Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 81-92 Mots-clés : Action sociale  Dématérialisation  Discrétion  Pratique professionnelle  Services publics  Technologie numérique  Transformation digitale  Travail social Résumé : La mise en place du programme Action Publique 2022 met en lumière la redéfinition de la protection sociale et celle des relations de l’État avec les usagers, par le biais de la dématérialisation du Service public. Les agents du travail social voient leur pouvoir discrétionnaire pris en étau entre le big data et la plateformisation du service public. Quel est l’effet de la plateformisation et de ce big data sur les marges de manœuvres des fonctionnaires du travail social, leurs pratiques de contrôle et leur processus décisionnel ? Ce projet de programme gouvernemental Action Publique 2022 donne l’opportunité d’explorer les pistes de réponses à ces questions, et d’analyser la place actuelle de l’usager ainsi que les notions d’enjeux du numérique et du glissement progressif de la notion de « risques ». Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99965

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« Suivre la règle », ou le (non)-usage du pouvoir discrétionnaire / Carla Mascia in Les Politiques sociales, 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021)

Public ISBD [article]  inLes Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 93-104 Titre : « Suivre la règle », ou le (non)-usage du pouvoir discrétionnaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Carla Mascia ; Adriana Costa Santos Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 93-104 Note générale : Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) Mots-clés : Autonomie professionnelle  Centre public d'action sociale  Conditions de travail  Discrétion  Normes  Pratique professionnelle  Travailleur social Résumé : Le pouvoir discrétionnaire des agents de terrain, inhérent au travail social, émane de la nécessité d’adapter les règles générales aux situations singulières, et participe à la redéfinition de la politique publique (Lipsky, 2010). À partir d’une analyse de terrain auprès des différents intervenants (représentants politiques, responsables administratifs et travailleurs sociaux) dans sept CPAS bruxellois, nous nous sommes proposé de vérifier l’impact des normes censées encadrer les pratiques du travail social sur la marge de manœuvre des assistants sociaux. Au départ de la question des freins au pouvoir discrétionnaire, nous considérons l’impact du contexte organisationnel et des conditions de travail sur la non-mobilisation par les agents de leur marge de manœuvre – davantage que l’impact de leur attachement aux normes. Dans un contexte marqué par une complexité légale et normative, une surcharge de travail et des techniques managériales d’objectivation et de contrôle des pratiques, nos observations nous amènent à penser le suivi de la norme aussi en tant que pratique discrétionnaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99966 [article] « Suivre la règle », ou le (non)-usage du pouvoir discrétionnaire [texte imprimé] / Carla Mascia ; Adriana Costa Santos . - 2021 . - p. 93-104. Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) in Les Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 93-104 Mots-clés : Autonomie professionnelle  Centre public d'action sociale  Conditions de travail  Discrétion  Normes  Pratique professionnelle  Travailleur social Résumé : Le pouvoir discrétionnaire des agents de terrain, inhérent au travail social, émane de la nécessité d’adapter les règles générales aux situations singulières, et participe à la redéfinition de la politique publique (Lipsky, 2010). À partir d’une analyse de terrain auprès des différents intervenants (représentants politiques, responsables administratifs et travailleurs sociaux) dans sept CPAS bruxellois, nous nous sommes proposé de vérifier l’impact des normes censées encadrer les pratiques du travail social sur la marge de manœuvre des assistants sociaux. Au départ de la question des freins au pouvoir discrétionnaire, nous considérons l’impact du contexte organisationnel et des conditions de travail sur la non-mobilisation par les agents de leur marge de manœuvre – davantage que l’impact de leur attachement aux normes. Dans un contexte marqué par une complexité légale et normative, une surcharge de travail et des techniques managériales d’objectivation et de contrôle des pratiques, nos observations nous amènent à penser le suivi de la norme aussi en tant que pratique discrétionnaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99966

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Bilan de compétences et travail soutenable / David Laloy in Les Politiques sociales, 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021)

Public ISBD [article]  inLes Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 105-116 Titre : Bilan de compétences et travail soutenable Type de document : texte imprimé Auteurs : David Laloy Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 105-116 Note générale : Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) Mots-clés : Bien-être au travail  Bilan des compétences  Mal-être au travail  Orientation professionnelle  Parcours professionnel  Risques psychosociaux Résumé : L’article propose d’analyser, à travers le prisme du concept de travail soutenable, le bilan de compétences, un dispositif d’accompagnement individuel à l’orientation et à l’évolution professionnelle. Ce concept a une portée heuristique pour comprendre ce que vivent les travailleurs dans ce cheminement de questionnement et d’orientation professionnelle. L’auteur s’appuie sur les résultats d’une évaluation du bilan de compétences qu’il mène depuis de nombreuses années. Après une discussion et une présentation de la genèse du concept de travail soutenable, il décrit le bilan de compétences, ses objectifs, son mode de fonctionnement. Enfin, à partir des données récoltées dans le cadre de l’évaluation, il montre ce qui rend le travail « non-soutenable » et en quoi le bilan de compétences permet d’outiller le travailleur pour s’inscrire dans un parcours professionnel davantage soutenable. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99967 [article] Bilan de compétences et travail soutenable [texte imprimé] / David Laloy . - 2021 . - p. 105-116. Issu du dossier : "Travail social et pratiques discrétionnaires" Langues : Français (fre) in Les Politiques sociales > 3 & 4 / 2021 (Décembre 2021) . - p. 105-116 Mots-clés : Bien-être au travail  Bilan des compétences  Mal-être au travail  Orientation professionnelle  Parcours professionnel  Risques psychosociaux Résumé : L’article propose d’analyser, à travers le prisme du concept de travail soutenable, le bilan de compétences, un dispositif d’accompagnement individuel à l’orientation et à l’évolution professionnelle. Ce concept a une portée heuristique pour comprendre ce que vivent les travailleurs dans ce cheminement de questionnement et d’orientation professionnelle. L’auteur s’appuie sur les résultats d’une évaluation du bilan de compétences qu’il mène depuis de nombreuses années. Après une discussion et une présentation de la genèse du concept de travail soutenable, il décrit le bilan de compétences, ses objectifs, son mode de fonctionnement. Enfin, à partir des données récoltées dans le cadre de l’évaluation, il montre ce qui rend le travail « non-soutenable » et en quoi le bilan de compétences permet d’outiller le travailleur pour s’inscrire dans un parcours professionnel davantage soutenable. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=99967

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