Dépouillements

Enquête épidémiologique sur les blessures rachidiennes chez les enseignants de golf en France / S. Charraye in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°4 (Décembre 2020)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) . - p. 183-192 Titre : Enquête épidémiologique sur les blessures rachidiennes chez les enseignants de golf en France Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Charraye ; et al. Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 183-192 Langues : Français (fre) Mots-clés : Golf  Lombalgie  Dorsalgie  Cervicalgie Résumé : Introduction Le golf, sport multigénérationnel, se pratique de 4 à 106 ans en France et, comme tout sport, il induit des blessures qui lui sont spécifiques. Les localisations les plus fréquemment atteintes sont le rachis lombaire et les membres supérieurs. L’objectif principal de l’étude était d’évaluer la prévalence des blessures du rachis chez les professionnels-enseignants de golf français. Méthodes Le recrutement s’est fait avec l’envoi d’un questionnaire par e-mails par la Fédération française de golf (FFG) à l’ensemble des professionnels-enseignants de golf déclarés à la FFG. Résultats Deux cent deux patients inclus. La prévalence des blessures du rachis était de 39 %. Deux facteurs de risque des blessures ont été identifiés : les antécédents de maladie de la colonne vertébrale (p =0,025) et les problèmes de dos et/ou de hanche dans l’enfance (p =0,038). Au total, 61,1 % des enseignants blessés s’étaient rendus chez l’ostéopathe, 48,6 % chez leur médecin généraliste, 41,7 % chez le kinésithérapeute. Conclusion Cette population considère la colonne vertébrale comme une zone de fragilité anatomique importante pour leur profession (37,7 %). Selon cette étude, la prévalence des blessures du rachis chez ces enseignants était de 39 %, ce qui corrobore les précédentes études réalisées chez les professionnels joueurs et chez les amateurs. Nous avons pu remarquer que, dans plus de la moitié des cas (55,6 %), la blessure était récurrente. Il semble donc important d’insister sur la prévention primaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90056 [article] Enquête épidémiologique sur les blessures rachidiennes chez les enseignants de golf en France [texte imprimé] / S. Charraye ; et al. . - 2020 . - p. 183-192. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) . - p. 183-192 Mots-clés : Golf  Lombalgie  Dorsalgie  Cervicalgie Résumé : Introduction Le golf, sport multigénérationnel, se pratique de 4 à 106 ans en France et, comme tout sport, il induit des blessures qui lui sont spécifiques. Les localisations les plus fréquemment atteintes sont le rachis lombaire et les membres supérieurs. L’objectif principal de l’étude était d’évaluer la prévalence des blessures du rachis chez les professionnels-enseignants de golf français. Méthodes Le recrutement s’est fait avec l’envoi d’un questionnaire par e-mails par la Fédération française de golf (FFG) à l’ensemble des professionnels-enseignants de golf déclarés à la FFG. Résultats Deux cent deux patients inclus. La prévalence des blessures du rachis était de 39 %. Deux facteurs de risque des blessures ont été identifiés : les antécédents de maladie de la colonne vertébrale (p =0,025) et les problèmes de dos et/ou de hanche dans l’enfance (p =0,038). Au total, 61,1 % des enseignants blessés s’étaient rendus chez l’ostéopathe, 48,6 % chez leur médecin généraliste, 41,7 % chez le kinésithérapeute. Conclusion Cette population considère la colonne vertébrale comme une zone de fragilité anatomique importante pour leur profession (37,7 %). Selon cette étude, la prévalence des blessures du rachis chez ces enseignants était de 39 %, ce qui corrobore les précédentes études réalisées chez les professionnels joueurs et chez les amateurs. Nous avons pu remarquer que, dans plus de la moitié des cas (55,6 %), la blessure était récurrente. Il semble donc important d’insister sur la prévention primaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90056

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Étude sur la perception des blessures par les athlètes et leurs influences sur la réalisation de mesures de prévention des blessures en athlétisme / M. Sorg in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°4 (Décembre 2020)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) . - p. 193-200 Titre : Étude sur la perception des blessures par les athlètes et leurs influences sur la réalisation de mesures de prévention des blessures en athlétisme Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Sorg ; et al. Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 193-200 Langues : Français (fre) Mots-clés : Athlétisme  Traumatismes sportifs Résumé : Introduction Mieux comprendre les conséquences psychologiques d’une blessure et l’influence de celle-ci sur les modifications de comportement et la réalisation d’un programme de prévention semble pertinent pour la prise en charge thérapeutique et dans une optique de prévention. Ainsi, l’objectif de cette présente étude a donc été (1) d’analyser la perception des blessures par les athlètes, et (2) d’analyser l’influence de celles-ci sur la réalisation de mesures de prévention. Méthodes Nous avons conduit une étude observationnelle quantitative rétrospective nationale de recueil du ressenti des athlètes de compétition licenciés à la Fédération française d’athlétisme vis-à-vis de leurs antécédents de blessures, leur perception de la blessure et les programmes de prévention des blessures, par un questionnaire informatique envoyé aux athlètes au printemps 2020. Résultats Au total, 7712 réponses d’athlètes ont été incluses dans cette analyse, incluant 37 % de femmes et 63 % d’hommes, âgés de 37,9±14,8 ans (de 18 à 87 ans), allant de niveau international à départemental, couvrant toutes les disciplines de l’athlétisme. Soixante-dix pour cent des athlètes n’avaient jamais réalisé de programme de prévention des blessures durant leur carrière, alors que 30 % estimaient en avoir suivi un de manière partielle ou totale. Quatre-vingt dix pour cent des athlètes avaient eu au moins une blessure depuis le début de leur pratique. Les sportifs rapportaient qu’une blessure engendrait une tristesse, une frustration, un dégoût et une préoccupation de se refaire mal au même endroit. Ils étaient conscients qu’une mauvaise prise en charge pouvait entraîner une récidive ou une nouvelle blessure. Les athlètes avec antécédent de blessure réalisaient significativement plus un programme de prévention des lésions que ceux ne s’étant jamais blessés. Ceux s’étant déjà blessés croyaient en l’efficacité des programmes de prévention, davantage que ceux sans antécédent de blessure. En revanche, il n’y avait pas de différence de perception de l’intérêt de mesures préventives telles que l’hygiène de vie, l’écoute de son corps, de ses douleurs et de sa fatigue entre les athlètes avec et sans antécédent de blessures. Conclusion Une blessure peut entraîner des conséquences psychologiques non négligeables pour l’athlète. Ses répercussions sont importantes à prendre en compte dans la prise en charge globale des lésions. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90058 [article] Étude sur la perception des blessures par les athlètes et leurs influences sur la réalisation de mesures de prévention des blessures en athlétisme [texte imprimé] / M. Sorg ; et al. . - 2020 . - p. 193-200. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) . - p. 193-200 Mots-clés : Athlétisme  Traumatismes sportifs Résumé : Introduction Mieux comprendre les conséquences psychologiques d’une blessure et l’influence de celle-ci sur les modifications de comportement et la réalisation d’un programme de prévention semble pertinent pour la prise en charge thérapeutique et dans une optique de prévention. Ainsi, l’objectif de cette présente étude a donc été (1) d’analyser la perception des blessures par les athlètes, et (2) d’analyser l’influence de celles-ci sur la réalisation de mesures de prévention. Méthodes Nous avons conduit une étude observationnelle quantitative rétrospective nationale de recueil du ressenti des athlètes de compétition licenciés à la Fédération française d’athlétisme vis-à-vis de leurs antécédents de blessures, leur perception de la blessure et les programmes de prévention des blessures, par un questionnaire informatique envoyé aux athlètes au printemps 2020. Résultats Au total, 7712 réponses d’athlètes ont été incluses dans cette analyse, incluant 37 % de femmes et 63 % d’hommes, âgés de 37,9±14,8 ans (de 18 à 87 ans), allant de niveau international à départemental, couvrant toutes les disciplines de l’athlétisme. Soixante-dix pour cent des athlètes n’avaient jamais réalisé de programme de prévention des blessures durant leur carrière, alors que 30 % estimaient en avoir suivi un de manière partielle ou totale. Quatre-vingt dix pour cent des athlètes avaient eu au moins une blessure depuis le début de leur pratique. Les sportifs rapportaient qu’une blessure engendrait une tristesse, une frustration, un dégoût et une préoccupation de se refaire mal au même endroit. Ils étaient conscients qu’une mauvaise prise en charge pouvait entraîner une récidive ou une nouvelle blessure. Les athlètes avec antécédent de blessure réalisaient significativement plus un programme de prévention des lésions que ceux ne s’étant jamais blessés. Ceux s’étant déjà blessés croyaient en l’efficacité des programmes de prévention, davantage que ceux sans antécédent de blessure. En revanche, il n’y avait pas de différence de perception de l’intérêt de mesures préventives telles que l’hygiène de vie, l’écoute de son corps, de ses douleurs et de sa fatigue entre les athlètes avec et sans antécédent de blessures. Conclusion Une blessure peut entraîner des conséquences psychologiques non négligeables pour l’athlète. Ses répercussions sont importantes à prendre en compte dans la prise en charge globale des lésions. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90058

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La clavicule / Sylvie Besch in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°4 (Décembre 2020)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) . - p. 235-238 Titre : La clavicule Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvie Besch Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 235-238 Langues : Français (fre) Mots-clés : Revue de la littérature  Clavicule Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90070 [article] La clavicule [texte imprimé] / Sylvie Besch . - 2020 . - p. 235-238. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) . - p. 235-238 Mots-clés : Revue de la littérature  Clavicule Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90070

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La première luxation antérieure de l’épaule : quelles lésions anatomiques ? / Jacques Rodineau in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°4 (Décembre 2020)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) . - p. 201-207 Titre : La première luxation antérieure de l’épaule : quelles lésions anatomiques ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Rodineau Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 201-207 Langues : Français (fre) Mots-clés : Épaule  LUXATION  Traumatismes sportifs Résumé : Le complexe articulaire de l’épaule est une structure ostéo-articulaire fréquemment concernée par les traumatismes. La luxation d’épaule concerne principalement des adultes jeunes, mais peut, néanmoins, survenir à tout âge. En revanche, le risque de récidive est inversement proportionnel à l’âge. A contrario, d’autres facteurs comme la technique ou la durée d’immobilisation paraissent peu modifier l’incidence des récidives. Les lésions anatomiques de la première luxation d’épaule, son histoire naturelle et les facteurs de risque de récidive sont bien identifiés de nos jours et il est indispensable de les connaître pour les reconnaître et les traiter de façon appropriée. La stabilité de l’épaule n’est assurée que par quelques éléments offrant la particularité d’être majoritairement des tissus mous : la capsule articulaire et les ligaments glénohuméraux moyen et inférieur, le labrum et l’enveloppe tendinomusculaire de la coiffe des rotateurs. La première luxation survient préférentiellement lors d’un épisode traumatique au cours d’une activité sportive chez des sujets jeunes entre 20 et 35 ans et dans la majorité des cas chez des hommes. Les sports les plus concernés sont les sports de contact lors d’une chute sur l’épaule : rugby, judo ; certains sports individuels par chute sur la paume de la main, le bras en rétropulsion-rotation externe : ski, snowboard, patinage, patinage à roulettes, bicyclette, moto, surf, planche à voile ; les mouvements forcés ou les traumatismes en abduction et rotation externe lors de sports individuels : lancers, tennis ou de sports collectifs : volleyball, basketball, handball, water-polo ; enfin des chocs directs sur le moignon de l’épaule et des tractions violentes sur le bras comme dans le rugby ou les sports de combat. Les diverses lésions anatomiques provoquées par une première luxation antérieure ou antéro-interne sont variées, notamment capsulo-labro-ligamentaires et osseuses. Les atteintes des parties molles comportent la lésion capsulo-périostée de Bankart qui correspond à une avulsion du labrum inférieur au niveau de l’insertion du LGHI, les lésions ligamentaires isolées avec un labrum normalement inséré sont beaucoup plus rares que la lésion de Bankart, l’avulsion du ligament glénohuméral inférieur au niveau du col de l’humérus, les ALPSA (Anterior Labral Periosteal Sleeve Avulsion) : avulsion complète du manchon labro-ligamentaire antérieur. Les lésions osseuses sont constituées par l’encoche humérale, initialement décrite par Malgaigne, connue dans la littérature anglo-saxonne sous le nom de « Hill-Sachs lesion » et a été définie comme une lésion « engageante », et les lésions de la glène habituellement situées au bord antéro-inférieur de la cavité. De ce premier épisode peut résulter des manifestations fort variables : avant tout une appréhension, mais aussi des douleurs lors de l’armé du bras ; des épisodes de subluxation ; une ou des luxations récidivantes. Après une première luxation, l’instabilité de l’épaule dépend donc de n … facteurs, notamment de lésions anatomiques qui doivent être connues pour être traitées efficacement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90074 [article] La première luxation antérieure de l’épaule : quelles lésions anatomiques ? [texte imprimé] / Jacques Rodineau . - 2020 . - p. 201-207. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) . - p. 201-207 Mots-clés : Épaule  LUXATION  Traumatismes sportifs Résumé : Le complexe articulaire de l’épaule est une structure ostéo-articulaire fréquemment concernée par les traumatismes. La luxation d’épaule concerne principalement des adultes jeunes, mais peut, néanmoins, survenir à tout âge. En revanche, le risque de récidive est inversement proportionnel à l’âge. A contrario, d’autres facteurs comme la technique ou la durée d’immobilisation paraissent peu modifier l’incidence des récidives. Les lésions anatomiques de la première luxation d’épaule, son histoire naturelle et les facteurs de risque de récidive sont bien identifiés de nos jours et il est indispensable de les connaître pour les reconnaître et les traiter de façon appropriée. La stabilité de l’épaule n’est assurée que par quelques éléments offrant la particularité d’être majoritairement des tissus mous : la capsule articulaire et les ligaments glénohuméraux moyen et inférieur, le labrum et l’enveloppe tendinomusculaire de la coiffe des rotateurs. La première luxation survient préférentiellement lors d’un épisode traumatique au cours d’une activité sportive chez des sujets jeunes entre 20 et 35 ans et dans la majorité des cas chez des hommes. Les sports les plus concernés sont les sports de contact lors d’une chute sur l’épaule : rugby, judo ; certains sports individuels par chute sur la paume de la main, le bras en rétropulsion-rotation externe : ski, snowboard, patinage, patinage à roulettes, bicyclette, moto, surf, planche à voile ; les mouvements forcés ou les traumatismes en abduction et rotation externe lors de sports individuels : lancers, tennis ou de sports collectifs : volleyball, basketball, handball, water-polo ; enfin des chocs directs sur le moignon de l’épaule et des tractions violentes sur le bras comme dans le rugby ou les sports de combat. Les diverses lésions anatomiques provoquées par une première luxation antérieure ou antéro-interne sont variées, notamment capsulo-labro-ligamentaires et osseuses. Les atteintes des parties molles comportent la lésion capsulo-périostée de Bankart qui correspond à une avulsion du labrum inférieur au niveau de l’insertion du LGHI, les lésions ligamentaires isolées avec un labrum normalement inséré sont beaucoup plus rares que la lésion de Bankart, l’avulsion du ligament glénohuméral inférieur au niveau du col de l’humérus, les ALPSA (Anterior Labral Periosteal Sleeve Avulsion) : avulsion complète du manchon labro-ligamentaire antérieur. Les lésions osseuses sont constituées par l’encoche humérale, initialement décrite par Malgaigne, connue dans la littérature anglo-saxonne sous le nom de « Hill-Sachs lesion » et a été définie comme une lésion « engageante », et les lésions de la glène habituellement situées au bord antéro-inférieur de la cavité. De ce premier épisode peut résulter des manifestations fort variables : avant tout une appréhension, mais aussi des douleurs lors de l’armé du bras ; des épisodes de subluxation ; une ou des luxations récidivantes. Après une première luxation, l’instabilité de l’épaule dépend donc de n … facteurs, notamment de lésions anatomiques qui doivent être connues pour être traitées efficacement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90074

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Le syndrome de Maigne / Y. Lambert in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°4 (Décembre 2020)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) Titre : Le syndrome de Maigne Type de document : texte imprimé Auteurs : Y. Lambert ; et al., Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleurs  Dorsalgie  Lombalgie Résumé : Le diagnostic de dérangement intervertébral mineur (DIM), s’il est bien établi en thérapeutique orthopédique et manuelle, reste méconnu de certaines spécialités médicales. Le DIM est parfois évoqué, pas toujours diagnostiqué et assez vaguement décrit. S’il peut concerner la ceinture scapulaire, il est classique de considérer que la référence reste la jonction thoracolombaire. Son diagnostic est évoqué devant des douleurs myofasciales, de type cellulomyalgies, réveillées par le palper-rouler, devant une réaction des nocicepteurs cutanés entraînant une rougeur de la peau, ou encore devant des douleurs musculaires, sur un même dermatome. La confirmation devient plus complexe avec la recherche de contracture ou de douleur au niveau d’une articulation zygapophysaire dans la gouttière paravertébrale. Son traitement est souvent rendu difficile par la technicité des manipulations vertébrales. Certaines spécialités médicales ont contourné cet obstacle par le recours aux infiltrations. Le diagnostic de DIM fait appel, selon les cas, à des notions de douleur, de bilan clinique ou encore à des notions palpatoires variables selon les écoles. Nous nous sommes efforcés de revoir la littérature et d’essayer d’établir des bases de traitement du syndrome de Maigne en ostéopathie médicale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90080 [article] Le syndrome de Maigne [texte imprimé] / Y. Lambert ; et al., Auteur . - 2020. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) Mots-clés : Douleurs  Dorsalgie  Lombalgie Résumé : Le diagnostic de dérangement intervertébral mineur (DIM), s’il est bien établi en thérapeutique orthopédique et manuelle, reste méconnu de certaines spécialités médicales. Le DIM est parfois évoqué, pas toujours diagnostiqué et assez vaguement décrit. S’il peut concerner la ceinture scapulaire, il est classique de considérer que la référence reste la jonction thoracolombaire. Son diagnostic est évoqué devant des douleurs myofasciales, de type cellulomyalgies, réveillées par le palper-rouler, devant une réaction des nocicepteurs cutanés entraînant une rougeur de la peau, ou encore devant des douleurs musculaires, sur un même dermatome. La confirmation devient plus complexe avec la recherche de contracture ou de douleur au niveau d’une articulation zygapophysaire dans la gouttière paravertébrale. Son traitement est souvent rendu difficile par la technicité des manipulations vertébrales. Certaines spécialités médicales ont contourné cet obstacle par le recours aux infiltrations. Le diagnostic de DIM fait appel, selon les cas, à des notions de douleur, de bilan clinique ou encore à des notions palpatoires variables selon les écoles. Nous nous sommes efforcés de revoir la littérature et d’essayer d’établir des bases de traitement du syndrome de Maigne en ostéopathie médicale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90080

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Les lésions partielles du ligament croisé antérieur / C. Sauvant in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°4 (Décembre 2020)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) . - p. 208-215 Titre : Les lésions partielles du ligament croisé antérieur Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Sauvant ; et al. Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 208-215 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ligament croisé antérieur /Traumatismes  ligamentoplastie Résumé : L’atteinte traumatique du ligament croisé antérieur (LCA) représente la lésion ligamentaire la plus fréquente du genou dont 10 à 27 % sont des ruptures partielles. Ces dernières sont connues et étudiées depuis la moitié du 20e siècle mais, à ce jour, il n’y a pas de consensus sur la définition même des lésions ou sur leur approche thérapeutique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90083 [article] Les lésions partielles du ligament croisé antérieur [texte imprimé] / C. Sauvant ; et al. . - 2020 . - p. 208-215. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) . - p. 208-215 Mots-clés : Ligament croisé antérieur /Traumatismes  ligamentoplastie Résumé : L’atteinte traumatique du ligament croisé antérieur (LCA) représente la lésion ligamentaire la plus fréquente du genou dont 10 à 27 % sont des ruptures partielles. Ces dernières sont connues et étudiées depuis la moitié du 20e siècle mais, à ce jour, il n’y a pas de consensus sur la définition même des lésions ou sur leur approche thérapeutique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90083

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Mal de dos : encore de nombreux paradoxes / Y. Lambert in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°4 (Décembre 2020)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) . - p. 182-183 Titre : Mal de dos : encore de nombreux paradoxes Type de document : texte imprimé Auteurs : Y. Lambert Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 182-183 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lombalgie Résumé : Le mal de dos, quelle qu’en soit la cause, représente un état ou un passage désagréable pour celui qui en est atteint. Il est responsable d’une dépense de plusieurs milliards d’euros pour la communauté. En France, 5 % du budget de la santé sont consacrés aux rachialgies, soit environ 11,5 milliards d’euros par an. Entre 90 et 95 % des lombalgies sont d’origine bénigne et mécanique, mais on évalue entre 40 à 45 % le taux de la population présentant, au scanner ou à l’IRM, une image de discopathie ou de hernie discale. Paradoxe. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90085 [article] Mal de dos : encore de nombreux paradoxes [texte imprimé] / Y. Lambert . - 2020 . - p. 182-183. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) . - p. 182-183 Mots-clés : Lombalgie Résumé : Le mal de dos, quelle qu’en soit la cause, représente un état ou un passage désagréable pour celui qui en est atteint. Il est responsable d’une dépense de plusieurs milliards d’euros pour la communauté. En France, 5 % du budget de la santé sont consacrés aux rachialgies, soit environ 11,5 milliards d’euros par an. Entre 90 et 95 % des lombalgies sont d’origine bénigne et mécanique, mais on évalue entre 40 à 45 % le taux de la population présentant, au scanner ou à l’IRM, une image de discopathie ou de hernie discale. Paradoxe. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90085

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Pathologies de l’articulation tibiofibulaire proximale chez le coureur à pied / Laurent Chardin in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°4 (Décembre 2020)

Public ISBD [article]  inJournal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) . - p.225-234 Titre : Pathologies de l’articulation tibiofibulaire proximale chez le coureur à pied Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Chardin Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.225-234 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tibia / physiopathologie  Course à pied  gonalgie  Genou  Instabilité articulaire Résumé : Le but de cet article est de faire le point sur la prise en charge spécifique des pathologies de l’articulation tibiofibulaire proximale, souvent laissée pour compte dans la prise en charge des gonalgies chroniques. Ces déplacements vont créer des douleurs latérales chroniques invalidantes chez le sportif surtout en course à pied. Cette pratique sportive induit des moments de force avec des impacts unipodaux importants. La réalisation d’une analyse vidéo de la foulée est primordiale afin d’orienter la rééducation et d’évaluer l’évolution. Il a été rapporté la nécessité de rétablir les axes articulaires de la hanche au pied, de rééquilibrer les structures musculaires en lien avec le type de profil moteur du sportif. Le principe est de redonner de la stabilité à une articulation de type arthrodie dont certaines formes anatomiques sont particulièrement sensibles aux contraintes induites par les différentes articulations sus- et sous-jacentes. L’analyse vidéo va également déterminer le choix des chaussures afin de proposer au sportif un appui au sol optimal par rapport à ses troubles posturaux et son profil moteur. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90088 [article] Pathologies de l’articulation tibiofibulaire proximale chez le coureur à pied [texte imprimé] / Laurent Chardin . - 2020 . - p.225-234. Langues : Français (fre) in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) . - p.225-234 Mots-clés : Tibia / physiopathologie  Course à pied  gonalgie  Genou  Instabilité articulaire Résumé : Le but de cet article est de faire le point sur la prise en charge spécifique des pathologies de l’articulation tibiofibulaire proximale, souvent laissée pour compte dans la prise en charge des gonalgies chroniques. Ces déplacements vont créer des douleurs latérales chroniques invalidantes chez le sportif surtout en course à pied. Cette pratique sportive induit des moments de force avec des impacts unipodaux importants. La réalisation d’une analyse vidéo de la foulée est primordiale afin d’orienter la rééducation et d’évaluer l’évolution. Il a été rapporté la nécessité de rétablir les axes articulaires de la hanche au pied, de rééquilibrer les structures musculaires en lien avec le type de profil moteur du sportif. Le principe est de redonner de la stabilité à une articulation de type arthrodie dont certaines formes anatomiques sont particulièrement sensibles aux contraintes induites par les différentes articulations sus- et sous-jacentes. L’analyse vidéo va également déterminer le choix des chaussures afin de proposer au sportif un appui au sol optimal par rapport à ses troubles posturaux et son profil moteur. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90088

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