Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Kinésithérapie, la revue . 192Mention de date : Décembre 2017 Paru le : 01/12/2017 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierPrévalence des pathologies rencontrées en kinésithérapie libérale / Etienne Panchout in Kinésithérapie, la revue, 192 (Décembre 2017)
[article]
Titre : Prévalence des pathologies rencontrées en kinésithérapie libérale : un outil pour repenser l’enseignement en kinésithérapie ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Etienne Panchout, Auteur ; F. Doury-Planchout, Auteur ; Frédéric Launay, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 3-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Enseignement Épidémiologie Formation Kinésithérapie libérale Prévalence Résumé : Introduction
L’arrêté du 2 septembre 2015 offre aux étudiants une nouvelle maquette de formation. Nous avons souhaité connaître la prévalence des pathologies rencontrées par les masseurs kinésithérapeutes libéraux afin d’organiser nos programmes en adéquation avec la pratique professionnelle.
Matériel, population et méthode
Il s’agit une étude descriptive transversale. Un questionnaire a été diffusé via Google Form© entre le 6/6/2016 et le 30/9/2016 afin de mesurer la prévalence des pathologies rencontrées en masso-kinésithérapie libérale. Le kinésithérapeute sélectionne les groupes de pathologies qu’il estime rencontrer dans sa pratique professionnelle et accède alors, pour chaque groupe, à une liste de pathologies pour laquelle une notation sur échelle de Likert à 4 points est proposée.
Résultats
Le questionnaire a reçu 687 réponses. Les groupes de pathologies le plus fréquemment rencontrés sont les pathologies rhumatismales (98,4 %), musculo-squelettiques (98,4 %) et neuromusculaires (93,1 %).
Discussion et conclusion
Ce travail nous donne une approche descriptive de la pratique professionnelle des kinésithérapeutes libéraux en France, et met en évidence la nette prépondérance des pathologies de l’appareil locomoteur. La comparaison entre le volume horaire de cours actuel et les résultats de cette étude est riche d’enseignement.
Niveau de preuve
5.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54570
in Kinésithérapie, la revue > 192 (Décembre 2017) . - p. 3-10[article] Prévalence des pathologies rencontrées en kinésithérapie libérale : un outil pour repenser l’enseignement en kinésithérapie ? [texte imprimé] / Etienne Panchout, Auteur ; F. Doury-Planchout, Auteur ; Frédéric Launay, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p. 3-10.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 192 (Décembre 2017) . - p. 3-10
Mots-clés : Enseignement Épidémiologie Formation Kinésithérapie libérale Prévalence Résumé : Introduction
L’arrêté du 2 septembre 2015 offre aux étudiants une nouvelle maquette de formation. Nous avons souhaité connaître la prévalence des pathologies rencontrées par les masseurs kinésithérapeutes libéraux afin d’organiser nos programmes en adéquation avec la pratique professionnelle.
Matériel, population et méthode
Il s’agit une étude descriptive transversale. Un questionnaire a été diffusé via Google Form© entre le 6/6/2016 et le 30/9/2016 afin de mesurer la prévalence des pathologies rencontrées en masso-kinésithérapie libérale. Le kinésithérapeute sélectionne les groupes de pathologies qu’il estime rencontrer dans sa pratique professionnelle et accède alors, pour chaque groupe, à une liste de pathologies pour laquelle une notation sur échelle de Likert à 4 points est proposée.
Résultats
Le questionnaire a reçu 687 réponses. Les groupes de pathologies le plus fréquemment rencontrés sont les pathologies rhumatismales (98,4 %), musculo-squelettiques (98,4 %) et neuromusculaires (93,1 %).
Discussion et conclusion
Ce travail nous donne une approche descriptive de la pratique professionnelle des kinésithérapeutes libéraux en France, et met en évidence la nette prépondérance des pathologies de l’appareil locomoteur. La comparaison entre le volume horaire de cours actuel et les résultats de cette étude est riche d’enseignement.
Niveau de preuve
5.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54570 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtActivité physique et maladie coronarienne / Dominique Monnin in Kinésithérapie, la revue, 192 (Décembre 2017)
[article]
Titre : Activité physique et maladie coronarienne : un couple dont les relations pourraient être plus claires Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Monnin, Auteur ; Balz Winteler, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 11-12 Langues : Français (fre) Mots-clés : Exercice physique Maladie des artères coronaires Entraînement Qualité de vie Mortalité Relation coûts/bénéfices Résumé : Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde. On estime à 17,7 millions le nombre de décès qui leur sont imputables, soit 31 % de la mortalité mondiale totale. Parmi ces décès, 7,4 millions sont dus à une affection coronarienne (chiffres de 2015) [1].En Suisse, en 2014, 9398 hommes et 4798 femmes ont fait un infarctus aigu du myocarde [2]. L’Association européenne de cardiologie, l’American Heart Association et l’American College of Cardiology considèrent le réentraînement en force et en endurance comme une recommandation de niveau 11 après un infarctus du myocarde [3]. Malgré cela, on ne connaît pas encore avec précision les bénéfices que les patients en retirent. Lindsey Anderson et ses collègues ont publié une revue Cochrane de la littérature relative à ce sujet en 2011 ; ils l’ont mise à jour en 2016 [3]. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54572
in Kinésithérapie, la revue > 192 (Décembre 2017) . - p. 11-12[article] Activité physique et maladie coronarienne : un couple dont les relations pourraient être plus claires [texte imprimé] / Dominique Monnin, Auteur ; Balz Winteler, Auteur . - 2017 . - p. 11-12.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 192 (Décembre 2017) . - p. 11-12
Mots-clés : Exercice physique Maladie des artères coronaires Entraînement Qualité de vie Mortalité Relation coûts/bénéfices Résumé : Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde. On estime à 17,7 millions le nombre de décès qui leur sont imputables, soit 31 % de la mortalité mondiale totale. Parmi ces décès, 7,4 millions sont dus à une affection coronarienne (chiffres de 2015) [1].En Suisse, en 2014, 9398 hommes et 4798 femmes ont fait un infarctus aigu du myocarde [2]. L’Association européenne de cardiologie, l’American Heart Association et l’American College of Cardiology considèrent le réentraînement en force et en endurance comme une recommandation de niveau 11 après un infarctus du myocarde [3]. Malgré cela, on ne connaît pas encore avec précision les bénéfices que les patients en retirent. Lindsey Anderson et ses collègues ont publié une revue Cochrane de la littérature relative à ce sujet en 2011 ; ils l’ont mise à jour en 2016 [3]. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54572 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLombalgie et arthrose, existe-t-il un lien systématique ? / Arnaud Cerioli in Kinésithérapie, la revue, 192 (Décembre 2017)
[article]
Titre : Lombalgie et arthrose, existe-t-il un lien systématique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Arnaud Cerioli, Auteur ; Xavier Dufour, Auteur ; Isabelle Morreale, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 46-50 Langues : Français (fre) Mots-clés : Arthrose Imagerie Lombalgie Thérapie manuelle Résumé : Les dernières données anatomiques qui notent une absence d’innervation nociceptive du cartilage articulaire et les études biomécaniques du rachis lombaire en extension amènent à remettre en question certaines idées reçues, devenues un « leitmotiv » trop facilement avancé pour justifier certains échecs thérapeutiques. L’arthrose n’est pas une « sentence » d’algies, du moins tant que l’os sous-chondral ou la synoviale ne sont pas impactés. La perte de liberté articulaire qu’elle peut engendrer donne une place privilégiée aux masseurs-kinésithérapeutes pour proposer des solutions de traitement tant qu’un phénomène inflammatoire ne s’ajoute pas aux signes cliniques. On ne peut plus dire qu’un processus arthrosique découvert à la lecture de résultats radiologiques soit l’explication systématique de la douleur des patients. De nombreuses étiologies autres que l’arthrose peuvent être à l’origine d’une lombalgie. Sa chronicité doit amener le thérapeute à s’interroger sur l’origine centrale potentielle de la douleur ressentie. Il s’agit d’affiner au mieux le bilan diagnostic pour cibler l’étiologie et y adapter une stratégie thérapeutique, en ne se fiant aux imageries et aux examens complémentaires que dans les cas de corrélation radio-clinique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54573
in Kinésithérapie, la revue > 192 (Décembre 2017) . - p. 46-50[article] Lombalgie et arthrose, existe-t-il un lien systématique ? [texte imprimé] / Arnaud Cerioli, Auteur ; Xavier Dufour, Auteur ; Isabelle Morreale, Auteur ; et al., Auteur . - 2017 . - p. 46-50.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 192 (Décembre 2017) . - p. 46-50
Mots-clés : Arthrose Imagerie Lombalgie Thérapie manuelle Résumé : Les dernières données anatomiques qui notent une absence d’innervation nociceptive du cartilage articulaire et les études biomécaniques du rachis lombaire en extension amènent à remettre en question certaines idées reçues, devenues un « leitmotiv » trop facilement avancé pour justifier certains échecs thérapeutiques. L’arthrose n’est pas une « sentence » d’algies, du moins tant que l’os sous-chondral ou la synoviale ne sont pas impactés. La perte de liberté articulaire qu’elle peut engendrer donne une place privilégiée aux masseurs-kinésithérapeutes pour proposer des solutions de traitement tant qu’un phénomène inflammatoire ne s’ajoute pas aux signes cliniques. On ne peut plus dire qu’un processus arthrosique découvert à la lecture de résultats radiologiques soit l’explication systématique de la douleur des patients. De nombreuses étiologies autres que l’arthrose peuvent être à l’origine d’une lombalgie. Sa chronicité doit amener le thérapeute à s’interroger sur l’origine centrale potentielle de la douleur ressentie. Il s’agit d’affiner au mieux le bilan diagnostic pour cibler l’étiologie et y adapter une stratégie thérapeutique, en ne se fiant aux imageries et aux examens complémentaires que dans les cas de corrélation radio-clinique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54573 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDe l’urgence à définir l’urgence en Kinésithérapie / Jean Séverin in Kinésithérapie, la revue, 192 (Décembre 2017)
[article]
Titre : De l’urgence à définir l’urgence en Kinésithérapie Type de document : document multimédia Auteurs : Jean Séverin, Auteur ; Roland Rocton, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 51-56 Langues : Français (fre) Mots-clés : Absence du médecin Premiers soins Soins nécessaires Urgence Résumé : Lorsqu’ils interviennent dans un but thérapeutique, les kinésithérapeutes exercent leur art sur prescription médicale. La nouvelle rédaction de l’article L.4321-1 du Code de la santé publique, issu de la loi du 26 janvier 2016, introduit une circonstance dérogatoire à cette règle générale : en cas d’urgence et en l’absence d’un médecin, les kinésithérapeutes sont habilités à mettre en œuvre sans prescription médicale les premiers actes de soin en Masso-Kinésithérapie. Cette dérogation est nécessairement d’interprétation stricte et ne permet l’accès direct qu’en présence de ses deux conditions cumulatives : l’absence d’un médecin et une situation d’urgence. L’urgence, n’étant pas définie juridiquement, renvoie à la notion de « préjudice dans le retard ». Dès lors, il appartiendra au kinésithérapeute d’apprécier au cas par cas si son intervention se situe dans ce cadre. La question à laquelle celui-ci devra répondre se résume à : « y a-t-il un risque à différer les actes de kinésithérapie ? » Dans l’affirmative, la nécessité d’une intervention sans délai (intérêt supérieur) permettra de déroger à l’exigence d’une prescription médicale (intérêt inférieur). Le kinésithérapeute pourra alors pratiquer les premiers soins de kinésithérapie nécessaires pour répondre à la situation d’urgence. En cas de contentieux, il appartiendra au juge du fond de déterminer, au besoin à l’aide d’une expertise technique de kinésithérapie, si, compte tenu des circonstances de l’espèce, le masseur-kinésithérapeute est bien intervenu dans le cadre défini par l’article L.4321-1 du code précité. La modification de l’article commenté formalise, par ailleurs, l’existence d’une urgence spécifique, l’urgence médicale de Masso-Kinésithérapie, distincte de l’urgence médicale générique et à laquelle seul le masseur-kinésithérapeute peut répondre en raison de ses compétences spécifiques. Néanmoins, de nombreuses questions découlent de ces modifications (information du patient, consentement éclairé, prise en charge financière par les organismes sociaux, etc.), qui demanderaient une étude dépassant le cadre de cet article, qui ne peut être qu’un commencement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54574
in Kinésithérapie, la revue > 192 (Décembre 2017) . - p. 51-56[article] De l’urgence à définir l’urgence en Kinésithérapie [document multimédia] / Jean Séverin, Auteur ; Roland Rocton, Auteur . - 2017 . - p. 51-56.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 192 (Décembre 2017) . - p. 51-56
Mots-clés : Absence du médecin Premiers soins Soins nécessaires Urgence Résumé : Lorsqu’ils interviennent dans un but thérapeutique, les kinésithérapeutes exercent leur art sur prescription médicale. La nouvelle rédaction de l’article L.4321-1 du Code de la santé publique, issu de la loi du 26 janvier 2016, introduit une circonstance dérogatoire à cette règle générale : en cas d’urgence et en l’absence d’un médecin, les kinésithérapeutes sont habilités à mettre en œuvre sans prescription médicale les premiers actes de soin en Masso-Kinésithérapie. Cette dérogation est nécessairement d’interprétation stricte et ne permet l’accès direct qu’en présence de ses deux conditions cumulatives : l’absence d’un médecin et une situation d’urgence. L’urgence, n’étant pas définie juridiquement, renvoie à la notion de « préjudice dans le retard ». Dès lors, il appartiendra au kinésithérapeute d’apprécier au cas par cas si son intervention se situe dans ce cadre. La question à laquelle celui-ci devra répondre se résume à : « y a-t-il un risque à différer les actes de kinésithérapie ? » Dans l’affirmative, la nécessité d’une intervention sans délai (intérêt supérieur) permettra de déroger à l’exigence d’une prescription médicale (intérêt inférieur). Le kinésithérapeute pourra alors pratiquer les premiers soins de kinésithérapie nécessaires pour répondre à la situation d’urgence. En cas de contentieux, il appartiendra au juge du fond de déterminer, au besoin à l’aide d’une expertise technique de kinésithérapie, si, compte tenu des circonstances de l’espèce, le masseur-kinésithérapeute est bien intervenu dans le cadre défini par l’article L.4321-1 du code précité. La modification de l’article commenté formalise, par ailleurs, l’existence d’une urgence spécifique, l’urgence médicale de Masso-Kinésithérapie, distincte de l’urgence médicale générique et à laquelle seul le masseur-kinésithérapeute peut répondre en raison de ses compétences spécifiques. Néanmoins, de nombreuses questions découlent de ces modifications (information du patient, consentement éclairé, prise en charge financière par les organismes sociaux, etc.), qui demanderaient une étude dépassant le cadre de cet article, qui ne peut être qu’un commencement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54574 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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