Centre de Documentation Campus Montignies
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Propos introductifs relatifs à l’urgence en kinésithérapie / Jean Séverin in Kinésithérapie, la revue, Vol. 19, n° 210 (Juin 2019)
[article]
Titre : Propos introductifs relatifs à l’urgence en kinésithérapie Auteurs : Jean Séverin Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Premiers secours Urgence KINESITHERAPIE Prescription Absence du médecin Masso-kinésithérapie Préjudice dans le retard Soins nécessaires Résumé :
La loi du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé a modifié substantiellement l’article L. 4321-1 du Code de la santé publique. Désormais, cet article, in fine , prévoit qu’ « en cas d’urgence et en l’absence d’un médecin, le masseur-kinésithérapeute est habilité à accomplir les premiers actes de soins nécessaires en masso-kinésithérapie ». Ce colloque se propose d’envisager les risques et les enjeux pour la profession des masseurs-kinésithérapeutes. Risques et enjeux qui se comprennent d’abord à l’aune du contexte de l’urgence en kinésithérapie, en ce sens de l’ensemble des circonstances dans lesquelles ce texte a été adopté. Risques et enjeux qui s’analysent ensuite eu égard au texte lui-même de l’urgence en kinésithérapie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81467
in Kinésithérapie, la revue > Vol. 19, n° 210 (Juin 2019)[article] Propos introductifs relatifs à l’urgence en kinésithérapie [] / Jean Séverin . - 2019.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > Vol. 19, n° 210 (Juin 2019)
Mots-clés : Premiers secours Urgence KINESITHERAPIE Prescription Absence du médecin Masso-kinésithérapie Préjudice dans le retard Soins nécessaires Résumé :
La loi du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé a modifié substantiellement l’article L. 4321-1 du Code de la santé publique. Désormais, cet article, in fine , prévoit qu’ « en cas d’urgence et en l’absence d’un médecin, le masseur-kinésithérapeute est habilité à accomplir les premiers actes de soins nécessaires en masso-kinésithérapie ». Ce colloque se propose d’envisager les risques et les enjeux pour la profession des masseurs-kinésithérapeutes. Risques et enjeux qui se comprennent d’abord à l’aune du contexte de l’urgence en kinésithérapie, en ce sens de l’ensemble des circonstances dans lesquelles ce texte a été adopté. Risques et enjeux qui s’analysent ensuite eu égard au texte lui-même de l’urgence en kinésithérapie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=81467 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDe l’urgence à définir l’urgence en Kinésithérapie / Jean Séverin in Kinésithérapie, la revue, 192 (Décembre 2017)
[article]
Titre : De l’urgence à définir l’urgence en Kinésithérapie Type de document : document multimédia Auteurs : Jean Séverin, Auteur ; Roland Rocton, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 51-56 Langues : Français (fre) Mots-clés : Absence du médecin Premiers soins Soins nécessaires Urgence Résumé : Lorsqu’ils interviennent dans un but thérapeutique, les kinésithérapeutes exercent leur art sur prescription médicale. La nouvelle rédaction de l’article L.4321-1 du Code de la santé publique, issu de la loi du 26 janvier 2016, introduit une circonstance dérogatoire à cette règle générale : en cas d’urgence et en l’absence d’un médecin, les kinésithérapeutes sont habilités à mettre en œuvre sans prescription médicale les premiers actes de soin en Masso-Kinésithérapie. Cette dérogation est nécessairement d’interprétation stricte et ne permet l’accès direct qu’en présence de ses deux conditions cumulatives : l’absence d’un médecin et une situation d’urgence. L’urgence, n’étant pas définie juridiquement, renvoie à la notion de « préjudice dans le retard ». Dès lors, il appartiendra au kinésithérapeute d’apprécier au cas par cas si son intervention se situe dans ce cadre. La question à laquelle celui-ci devra répondre se résume à : « y a-t-il un risque à différer les actes de kinésithérapie ? » Dans l’affirmative, la nécessité d’une intervention sans délai (intérêt supérieur) permettra de déroger à l’exigence d’une prescription médicale (intérêt inférieur). Le kinésithérapeute pourra alors pratiquer les premiers soins de kinésithérapie nécessaires pour répondre à la situation d’urgence. En cas de contentieux, il appartiendra au juge du fond de déterminer, au besoin à l’aide d’une expertise technique de kinésithérapie, si, compte tenu des circonstances de l’espèce, le masseur-kinésithérapeute est bien intervenu dans le cadre défini par l’article L.4321-1 du code précité. La modification de l’article commenté formalise, par ailleurs, l’existence d’une urgence spécifique, l’urgence médicale de Masso-Kinésithérapie, distincte de l’urgence médicale générique et à laquelle seul le masseur-kinésithérapeute peut répondre en raison de ses compétences spécifiques. Néanmoins, de nombreuses questions découlent de ces modifications (information du patient, consentement éclairé, prise en charge financière par les organismes sociaux, etc.), qui demanderaient une étude dépassant le cadre de cet article, qui ne peut être qu’un commencement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54574
in Kinésithérapie, la revue > 192 (Décembre 2017) . - p. 51-56[article] De l’urgence à définir l’urgence en Kinésithérapie [document multimédia] / Jean Séverin, Auteur ; Roland Rocton, Auteur . - 2017 . - p. 51-56.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 192 (Décembre 2017) . - p. 51-56
Mots-clés : Absence du médecin Premiers soins Soins nécessaires Urgence Résumé : Lorsqu’ils interviennent dans un but thérapeutique, les kinésithérapeutes exercent leur art sur prescription médicale. La nouvelle rédaction de l’article L.4321-1 du Code de la santé publique, issu de la loi du 26 janvier 2016, introduit une circonstance dérogatoire à cette règle générale : en cas d’urgence et en l’absence d’un médecin, les kinésithérapeutes sont habilités à mettre en œuvre sans prescription médicale les premiers actes de soin en Masso-Kinésithérapie. Cette dérogation est nécessairement d’interprétation stricte et ne permet l’accès direct qu’en présence de ses deux conditions cumulatives : l’absence d’un médecin et une situation d’urgence. L’urgence, n’étant pas définie juridiquement, renvoie à la notion de « préjudice dans le retard ». Dès lors, il appartiendra au kinésithérapeute d’apprécier au cas par cas si son intervention se situe dans ce cadre. La question à laquelle celui-ci devra répondre se résume à : « y a-t-il un risque à différer les actes de kinésithérapie ? » Dans l’affirmative, la nécessité d’une intervention sans délai (intérêt supérieur) permettra de déroger à l’exigence d’une prescription médicale (intérêt inférieur). Le kinésithérapeute pourra alors pratiquer les premiers soins de kinésithérapie nécessaires pour répondre à la situation d’urgence. En cas de contentieux, il appartiendra au juge du fond de déterminer, au besoin à l’aide d’une expertise technique de kinésithérapie, si, compte tenu des circonstances de l’espèce, le masseur-kinésithérapeute est bien intervenu dans le cadre défini par l’article L.4321-1 du code précité. La modification de l’article commenté formalise, par ailleurs, l’existence d’une urgence spécifique, l’urgence médicale de Masso-Kinésithérapie, distincte de l’urgence médicale générique et à laquelle seul le masseur-kinésithérapeute peut répondre en raison de ses compétences spécifiques. Néanmoins, de nombreuses questions découlent de ces modifications (information du patient, consentement éclairé, prise en charge financière par les organismes sociaux, etc.), qui demanderaient une étude dépassant le cadre de cet article, qui ne peut être qu’un commencement. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54574 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt